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[Event Forum] Bathys'gaffe sur l'Okidor

Par Le-Valet-Noir#2887 - ANCIEN ABONNÉ - 04 Avril 2020 - 09:00:02
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    Meryl rangea dans sa poche le mouchoir avec lequel elle venait de se tamponner le front et s’extirpa de la cabine de Bonnie Mentôse -cette fois en pensant à baisser la tête. Les yeux dans le vague, elle méditait sur les indices qu’elle avait accumulés jusque-là. Dans la petite coursive, elle croisa Largon Hôte et lui adressa un sourire furtif accompagné d’un petit geste qui signifiait qu’elle se préparait à redescendre.

    Au salon, elle retrouva les membres de l’expédition. Monsieur Aeffe -pour qui elle avait beaucoup d’admiration- était en plein interrogatoire et elle ne put s’empêcher de laisser traîner une oreille. Celui qui avait qualifié la curiosité de vilain défaut n’avait certainement jamais rien résolu de sa vie, songea-t-elle en se servant un verre de spiritueux. Après tout, le maître des lieux étant décédé, ceux-ci n’allaient pas lui manquer.

    La mixture fut avalée d’une traite. Déjà, la milicienne se redressait de toute sa hauteur. Voyons voir… Elle se dirigea dans un premier temps vers le laboratoire avant de faire volte-face. Une vraie girouette. En quelques enjambées, elle fut devant la porte qui menait à la cabine du Professeur Mistral qu’elle ouvrit sans hésitation. Elle s’engouffra à l’intérieur et se mit à fouiller. A l'issue de ses recherches, elle s’appuya contre le mur, se laissa glisser au sol et sortit de sa poche une rune de contact.
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     Toujours un peu mal à l'aise après avoir fouillé les quartiers privés d'un autre, Largon avançait gauchement dans les étroits couloirs du bathyscaphe. Sa silhouette dégingandée l'obligeait à se baisser quasi-constamment pour ne pas se cogner méchamment contre la tuyauterie omniprésente.

     Beaucoup d'idées se bousculaient sous sa chevelure d'or et, déjà, certaines sérieuses hypothèses. Mais une autre pensée l'occupait, une certitude, celle du bien fondé d'avoir su mettre de côté les griefs qui existaient entre Amakna et sa cité. La collaboration avait du bon, il en était sur, et allait le mener sûrement vers la vérité.

     D'une oreille distraite il avait écouté les questions des autres enquêteurs, collègues ou non. Il avait tendu davantage ses grandes oreilles quand les réponses arrivaient mais n'avait pas pu en retirer quelconque substance à faire avancer ses pistes. Alors pour ouvrir une nouvelle voie, le steamer se dirigea vers la cabine d'Aramis Æricorde.
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En sortant de la cabine du nageur, feso sentit les derniers soubresauts de chaleur de la rune de contact qu'il avait utilisé. Après cette visite il était logique d'aller voir la chambre du mecanomancien, et se dirigea d'un pas pressé vers celle ci non sans esquisser un sourire quand la comtesse renvoya l'enutrof dans ses XXII.
Cependant une fois arrivé devant la porte, il se ravisa, je pourrai y aller plus tard, ou extirper ces informations aux autres pensa-t-il.

Maintenant que j'ai plus d'informations, je devrais plutôt trouver la cause de la mort. Direction le labo ! dit-il tout bas, tout en prenant l'escalier vers cette direction, le bas.


 
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Sa fouille de la cuisine terminée, Pépé Aeffe prit quelques instants de son précieux temps pour signer des autographes à ses innombrables fans qui se pressaient pour le voir sur son lieu de travail, puis alla inspecter la cabine de Zellie Guertrude d’un pas décidé :

- « Ce n’est qu’une question de temps avant que je ne résolve ce mystère », dit-il en marchant entouré d’une aura aussi intimidante qu’encourageante pour ses confrères de la Garde Royale.
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Autant de savoir, de connaissances s'étaient immiscées dans l'esprit de Julien.
 
Chacune de ces pièces, telles les morceaux d'un vase brisé, commençaient à s'assembler sous ses yeux dont les cernes commençaient à être visibles.
 
Mais il savait ... Il savait que le dernier nœud à défaire se trouvait là, dans la loge de Sylviana, comtesse de Sfalte. Le dernier des nœuds qui allait faire tomber le corset de cette énigme étrange.
D'ailleurs, la honte de fouiller dans les affaires d'une créature aussi sublime et raffinée que la Dame de Metaformoz atteignait légèrement l'homme pourtant d'un naturel si stoïque.
 
Si seulement Calie avait les mêmes formes qu'elle ...
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Après avoir inspecté la cabine de Zellie Guertrude, Pépé Aeffe sortit sa rune de contact pour s’adresser brièvement à Darle Charouine, puis entra silencieusement dans la cabine d’Otto :

-       « Je touche au but ! », cria-t-il aux enquêteurs qui croisèrent sa route, voulant montrer à quel point il était fier de son parcours sans faute.
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Firmin quitta la salle des scaphandres, notant quelques infos sur son petit carnet. Il voyait tout les agents à bord s'exciter et courir dans tout les sens à la recherche du coupable, si coupable il y avait, de cette décapitation.

Et bien que cela flatterait son égo de résoudre ce meurtre, il ne s'agissait là pour lui que d'un incident de parcours ne devant pas le détourner de son véritable objectif. 

Aussi, d'un pas décidé, il mit les voiles vers le bureau du professeur, avec une idée bien précise en tête. 
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Une fois son inspection de la cabine d’Otto terminée, Grand-Père Aeffe se dirigea vers Corbin Molbec pour lui poser son ultime question publique, qui serait cette fois décisive pour son enquête :

- « Bonsoir Monsieur Molbec ! On nous a à plusieurs reprises conseillé d’aller vous parler car en tant que journaliste, vous pouvez voir des choses que les gens ne peuvent imaginer. Ma question est donc la suivante : quelles sont les choses étranges que vous avez vues à bord de l’Okidor ? »
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« Eh bien... »

Molbec se caresse le menton de ses doigts épais.

« Au moment où nous avons ressenti l’onde de choc, j’étais sur le point de quitter ma cabine. Je me suis rendu directement au salon lorsque la cloche a sonné. »

L'interrogé fronce ses sourcils fournis.

« C’est à peu de chose près à cet instant que j’ai vu le mécanomancien sauter — en panique — de l’échelle menant à la salle des scaphandres. L’ingénieur venait dans l’autre sens, précise-t-il en désignant Hastur Bine. Je l’ai croisé, avec son air inquiet, et j'ai continué ma route. »

Puis, avec un sourire matois, il ajoute :

« Saviez-vous que cet homme était dernièrement décrit — dans un hebdomadaire scientomagique dont je tairai le nom — comme étant le responsable d’une découverte majeure en matière d’armement sous-marin ? »
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Jerome Ulus était étendu dans un des couloirs, la face contre terre, son long et frêle corps gênant à peine le passage de ses coéquipiers, d'ailleurs nombreux dans ce secteur du submersible. Le sufokien déprimait. Ah oui, il était courageux, très courageux même, et puis brillant aussi !

Mais son courage avait flanché, enfin que dis-je, avait eu un petit coup de mou. D'abord quand il a fallu aider les Amaknéens, qu'il pensait être une armée prête à déferler sur eux au premier abord, puis quand le grand bruit eut secoué la carcasse marine, et encore un dernier quand la tête qu'était le professeu- enfin, le corps sans tête qu'était maintenant le professeur avait été retrouvé.

Pourtant, en proie à une crise existentielle Jerome trouva quelque chose d'intéressant sous son nez. Un fil ! Mais pas n'importe quel fil de ce tapis rouge, non, ce fil était.... décoloré ! Hé oui, ce n'était qu'un moyen tordu de la part de son cerveau pour le distraire de ses questionnements. Cela suffit, car bientôt le scientifique se releva promptement et suivit le fil plus si rouge que ça jusqu'à une salle bien mystérieuse.... Le bureau du professeur !

Et c'est alors que l'odeur de vieux parchemins et de livres aux coins de page tordus reconnaissable entre mille lui parvint au nez. Jerome était....

— Hé bien, vous savez quoi ? lança-t-il aux murs. Je suis heureux.

Le détective, si on peut l'appeler détective, spécialiste dans l'étude des documents, décida de fouiller et d'analyser tout ce qui pourrait lui passer entre les mains !
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Après avoir effectué une visite de fond en comble du laboratoire, non sans avoir demandé son aide à selina latrap, feso réfléchis.

Effectivement la jeune maitresse nommeuse était parfaite à tout abord, mais l'un des autres invités se méfiait d'elle. Ne voulant écarter aucunes pistes, feso se dirigea donc vers les quartiers de selina, en lui disant avant de partir  :
- Ne vous inquiétez pas mademoiselle, si vous n'êtes pas responsable, tout se passera bien pour vous !
et il laissa sur place la demoiselle sans apercevoir sa réaction à cette affirmation.
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Quelques notes ajoutées à son calepin, elle acquiesce en silence et relit ses indices ainsi que les informations apportées par Julien. Si cette enquête devait lui enseigner une leçon, c'est qu'on ne peut décidément se fier à personne et qu'une porte peut en cacher une.. deux.. ou trois autres !

Ouais, je crois que c'est comme ça qu'on dit... Bon, et maintenant ?

Elle mâchonne la gomme durcie et fade avec une fougue qui ne faiblit pas et c'est vers la cabine de Selina l'éniripsa qu'elle se dirige maintenant.
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Encore un peu chamboulé en s'imaginant de quelles manières les différents vêtements trouvés dans la chambre de la comtesse pouvaient être enfilés, et surtout, ce qu'ils dévoilaient, Julien referme la porte de la chambre. Son teint est toujours blafard, mais un œil affûté saurait remarquer que les coins de ses lèvres sont légèrement relevés en un sourire benêt.
 
Il regarde les portes des loges qui jonchent les murs le long du couloir et tente de se remémorer, non sans difficultés, ses allers et venues passées.
 
Non ... Déjà fait ... Celle-là aussi, je crois ... Heu ... Là, peut-être ... Plouf, plouf, ce sera toi-... Toi.
 

Sans plus tergiverser, il ouvre une nouvelle loge et se retrouve dans celle d'Hastur Bine. Quelle chance, il ne l'avait pas encore fouillée !
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Sortant de la salle des scaphandres, Aloysius Peperblum tenait toujours fermement son carnet. Le silence sourd troublé par les bruits de pas grouillant le rendait anxieux. Aloysius rangea son carnet de notes. Il avait les mains moites et ne cessait de regarder autour de lui. Il lui fallut beaucoup de concentration pour emprunter l'échelle et redescendre d'un étage. Par malchance, Aloysius manqua le dernier échelon, eut un mouvement de recul pour se rattraper et se cogna avec violence contre la porte de la cabine n°8. 

Soupirant et reprenant ses esprits, il se décida à inspecter la cabine n°8, celle d'Hastur Bine
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La porte de la cabine du Professeur Mistral était à peine refermée derrière elle que Meryl se laissait tomber de tout son poids dans un des confortables fauteuils du salon. Sans savoir avec certitude si elle allait réussir à s’en extirper par la suite. Les yeux fermés, elle se laissa aller aux hypothèses les plus folles. Et si… Non. Alors peut-être que… Mais, sans cesse, quelque chose venait contredire l’une ou l’autre des possibilités. Elle avait la sensation terrible de ne pas parvenir à assembler les différents éléments de façon logique.

Pourtant, le professeur était bien mort. Il gisait bien, là-bas, décapité, sur le sol sans doute froid du laboratoire. Un frisson remonta dans le grand corps de la milicienne. Si ce n’était pas une créature qui était responsable de cette boucherie, alors quelqu’un, dans cette pièce, était un meurtrier. Un meurtrier capable de ne rien laisser paraître, même en face d’une brochette d’enquêteurs.

Elle se releva d’un bond. Ce n’était pas le moment de se reposer, il fallait absolument mettre cette personne hors d’état de nuire. Ses grandes jambes la conduisirent en direction des membres de l’expédition. Elle s’arrêta devant Selina Latrap, se gratta doucement la tête et se pencha un peu. Dans l’espoir, peut-être, d’avoir l’air un peu moins impressionnante malgré sa carrure assez masculine.

« Madame Latrap. Les sociétés secrètent vous intéressent, n’est-ce pas ce que vous avez dit lors de votre déposition ? Est-ce que vous avez déjà entendu parler des Admirateurs de la Dame en Noir, savez-vous de quoi il s’agit ? »
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La guérisseuse plissa le front et répéta le nom à voix basse, cherchant dans sa mémoire quelque écho d'une organisation appelée ainsi.

« N'est-ce pas plutôt le Parfum de la Dame en Noir dont vous voulez parler ? Non, je regrette, je... Les Admirateurs de la Dame en Noir, vous en êtes sûre ? Non, ça ne me dit rien, désolée. »

Une légère moue de dépit ponctua cette déclaration. La Maîtresse Nommeuse paraissait regretter le fait de n'avoir pu se rendre utile.
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C’est en ayant encore la vision du corps sans tête du professeur, qu’Alyopim se rendit dans la salon chercher un petit remontant. Pas d’alcool pendant le service, règle n°1 ! se dit-elle.

Tout en buvant son verre d’eau, elle laissa trainer une oreille indiscrète afin de gratter la moindre information que Grand-Père Aeffe soutirait de ces nombreuses questions. Avec un peu de chance, un des suspects pourrait laisser échapper un détail...

Corbin Molbec venait de finir de répondre à Mr Aeffe quand la vessie d’Alyopim vint la titiller. Eh flûte, avec toute l’eau que j’ai bu voilà que j’ai envie d’aller aux toilettes… Elle s’apprêtait à partir à la recherche de celles-ci, mais son esprit d’enquêtrice l’eut rappeler d’un élément essentiel… J’étais tellement focalisée sur la dépouille du professeur que j’en ai oublié de fouiller la pièce. Grossière erreur, il faut que je me ressaisisse ! Je dois enlever cette image de stagiaire que mes supérieurs ont de moi !

Aussi tôt son envie s’estompa, temporairement. Elle parti à nouveau en direction du laboratoire, cette fois-ci sans Selina, bien décidée à ne laisser échapper aucun indice !
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Cette derniére fouille lui laissa un goût amère dans la bouche, elle l'avait laissé beaucoup plus d'interrogations que de réponses à ses questions. Cela ne présageait rien de bon car pour l'instant feso n'avait aucune piste ... Quoi que ... et si ... mais oui bien sur !  pensa-t-il, et il courut dans la cabine de bonnie mentôse sans autre forme d'explications.
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   La moue dépitée de Selina Latrap n’échappa pas à Meryl qui s’empressa de lui décocher un sourire de façade.

« Ce n’est rien, ne vous en faites pas. Après tout, cette ignorance est source d’informations si l’on y réfléchit bien. »

   Elle lui tourna le dos sans plus de formalités. De nouveau, elle se caressa machinalement le menton, plongée dans des réflexions de plus en plus complexes. Les minutes passaient à toute vitesse dans l’espace clos du bathyscaphe. Et rien n’était vraiment clarifié concernant le meurtre. Faisaient-ils tous fausse route ? Se pouvait-il que tout ça ne soit qu’un vulgaire accident ? Qu’une créature de la Gueule soit responsable de la décapitation ? Dans la poche de sa veste, son autre main glissa distraitement sur les rugosités de sa rune de contact. Devait-elle l’appeler ? Quelles réponses obtiendrait-elle ?

   Ses collègues semblaient aussi affairés qu’elle. Elle avait l’impression de croiser du monde dans tous les sens. Au moins, plus personne ne pensait à ce qu’il adviendrait de la fameuse Pierre Angulaire à l’issue de cette affaire. Elle, elle n’oubliait pas. Et alors qu’elle grimpait aux barreaux de l’échelle pour remonter à l’étage des cabines, qu’elle s’avançait et qu’elle poussait la porte de la salle d’observation, son esprit élaborait déjà les bases d’un argumentaire susceptible de convaincre la patrouille de Sufokia qu’il fallait les laisser repartir avec le précieux artefact.

   Ces réflexions ne la quittèrent qu’au moment où elle commença à fouiller les lieux avec attention.
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Paul Ventrêche, à la fois déçu et soulagé que son enquête ne quitte pas le salon cru pouvoir prendre un peu de repos. Néanmoins, après un conciliabule fructueux avec d'autres Amaknéens, il se força à gravir l'échelle du centre de la pièce.

Les barreaux en acier crièrent sous le poids de l'Avaleur de Monde, mais restèrent dignes et droits pendant l'effort.

Par chance, une fois sur le pont supérieur, il n'eut à croiser personne, et évita ainsi l'incident. Sa destination finale était la cabine d'Aramis Aericorde, qu'il comptait bien inspecter de plus près pour satisfaire la mission dont il venait d'être investi par ses pairs, ainsi que sa propre curiosité alimentaire.
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