Les cauchemards se déroulent toujours de la même manière, vous savez ? Pour commencer, vous êtes dans votre environnement naturel et tout va pour le mieux, sauf... un petit détail ! Il y a toujours un truc qui cloche, comme pour vous dire : "Ohé, tu es en train de rêver : attention, ce n'est pas la réalité..." C'est souvent un gros lapin blanc avec une montre à gousset, ou bien un éléphant rose ; mais ça peut être autre chose, bien sûr...
Toujours est-il que si vous ne prenez pas garde à cet avertissement (si vous continuez à rêver) alors, c'est fichu : ça se met à déraper, sans que vous ne puissiez rien faire pour l'en empêcher et (surtout !) sans que vous vous rendiez compte que ce n'est pas réel ! C'est ça un cauchemard : un rêve qui dérape et qui vous semble tellement crédible que vous êtes persuadé que c'est la réalité. Enfin, pour peu que ayez de la fièvre (parce que vous êtes malade), ou que vous ayez absorbé des substances toxiques (une droque, ou du poison) alors, le cauchemard prend la forme d'une aventure incroyable : une histoire totalement délirante, à laquelle vous avez pourtant cru dur comme fer (pendant votre sommeil) et qui vous paraît bien ridicule à votre réveil...
Donc, voilà : c'est sûr que Mina a (elle aussi) consommé des substances hallucinogènes (sans doute des champignons) ! Par contre, pourquoi a-t-elle rêvé d'un xélor ? Là, je reconnais que c'est moins évident... La meilleure explication est qu'elle a vraiment été choquée par le comportement du jeune Jin et que (au plus profond d'elle même) elle aurait voulu faire marche arrière : ne jamais avoir été témoin de l'automutilation que le jeune sacrieur s'est infligé devant elle (pour l'impressionner ?). Mais, comme c'était un mauvais rêve, a chacun de ses sauts dans le passée elle s'est retrouvée, à nouveau, dans une situation cauchemardesque. Par conséquent, on peut espérer que, désormais, dans l'esprit de Mina, le Dieu Xélor soit associé aux pires cauchemards de son existence. Et, donc, qu'elle n'optera pas pour cette divinité...
Houlàaa... Encore une migrante sacrieur ? Après l'expérience traumatisante de l'autre jour et son cauchemard de la vieille ? Mais ils vont me la tuer ! Et, en plus, vous l'avez vue l'autre, là (genre badass), avec ses cicatrices de partout et ses mains caleuses ? Tu m'étonnes qu'elle a eu peur, la pauvre Mina ! Enfin, au moins cette Fhane n'a pas l'air dêtre une droguée (c'est toujours ça de pris...).
A vrai dire, c'est une filoute, la Fhane : elle a tout de suite compris qu'elle était arrivée au bon moment et elle a bien l'intention d'en profiter pour marquer des points en faveur de sa déesse... Et (évidemment) c'est parti pour une petite tentative de lavage de cerveau : "non, tu peux me faire confiance, je ne vais pas chercher à t'influencer ; écoute plutôt ton coeur..." Voilà encore une belle hypocrite, tiens ! Elle essaie ni plus ni moins de l'emballer avec ses cicatrices, oui ! Elle va même jusqu'à se déshabiller (la coquine !) pour lui montrer son tatouage, là, sur le sein gauche (comme par hasard) ! Comme quoi, j'avais raison : tous les moyens sont bons, vous avez vu ? Et, d'ailleurs, elle le reconnaît elle-même : "Non, je ne peux pas rester : j'ai un charisme fou et je t'influencerais dans tes choix (ce serait de la triche, tu comprends ?)"... Prétencieuse avec ça !
Enfin... Encore heureux que je n'ai pas été invitée ce banquet, tiens ! J'aurais gaché l'ambiance, vous pouvez me croire : cette façon de s'y prendre pour manipuler une fillette de 12 ans est tout simplement honteuse ! La pauvre Mina doit être totalement déboussolée... Se faire draguer par une femme de l'âge de sa mère, vous vous rendez compte ?
J'aime pô les crâs ! lls sont prétencieux et ne peuvent pas s'empêcher de vous regarder de haut, comme s'ils avaient des bottes à talons. Non, je n'exagère pas ; c'est vrai : attendez d'en croiser un et vous verrez si j'ai pas raison ! Bon, celui-ci a l'air plutôt sympatique, je le reconnais. Mais, c'est un débutant (c'est pour ça !), sinon il ne se serait même pas arrêté...
Toujours est-il que (comme c'est un crâ) il est persuadé que sa déesse est mieux que les autres et il ne peut pas s'empêcher d'essayer de convertir Mina ! (Ca devient pénible, d'ailleurs : comment voulez-vous qu'elle devienne sram, à force que tout le monde lui embrouille les idées, comme ça, hein ?) Enfin, sa technique est ultra classique : "Regarde comme je suis sympa, Mina ! Je te prête mon arc si tu veux ? (Tu veux une Panda d'Piles ?)" Et.. Non, c'est pas vrai ? Il lui fait le coup du milimilou ? (J'y crois pas...) Ca se fait encore ce truc ? (C'est vieux comme le monde...) Comment ? Vous connaissez pas ? (Sérieusement ?) Mais si, c'est simple : vous payez un gars qui se déguise en milimulou et qui s'en prend à la fille que vous draguez. Alors, la fille elle crie (Hiiiiii !!) et vous, vous arrivez pour la sauver et vous passez pour un héros... (facile !) Bon, ici c'est une version un peu différente : le complice du crâ s'en prend à lui (qui fait semblant d'avoir été mis hors jeu) avant de faire semblant d'avoir été touché par la flèche de la gamine (pour lui donner confiance en elle) : c'est pareil...
Bref, je savais qu'avec un crâ ça n'irait pas : ils sont tricheurs, vous pouvez pas imaginer. D'ailleurs, vous avez remarqué ? Une fois le combat terminé Cyatold n'a même plus mal au dos (comme par hasard...) : de la triche, j'vous dis ! Enfin... Au moins, Mina se sera amusée et, de toutes façons, je ne suis pas inquiète : je ne sais pas pourquoi, mais ça m'étonnerait qu'elle devienne crâ.
Une petite déesse ? Pardon, je voulais dire une divinité mineure. On n'en entend pas souvent parler parce que, bien évidemment, leurs adeptes ne montent jamais sur les marches du podium ! Ils restent aux étages inférieurs...
Comment ? Vous me trouvez cynique ? Irrespectueuse ? Quoi ? Bêcheuse, moi ? Meuhh... Pas du tout ! Je suis réaliste : faut voir les choses en face, c'est tout ! Non seulement il y a peu de divinités qui arrivent à la cheville de Sram (Il faut avoir l'honnêté de le reconnaître ; ce qui n'a pas l'air d'être votre cas.) mais, quoi qu'il en soit, vous n'allez tout de même pas comparer les Douze avec ces... "déïdes" (ou, "esprits" ?). D'ailleurs, vous l'avez bien regardé l'autre, là ? (Comment il s'appelle, déjà ?) Ah, oui : Faust ! (Rien que le nom d'ailleurs, ça n'a rien de glorieux... Vous connaissez un héros qui s'appelle Faust, vous ?) Non, mais, franchement, il ne ressemble à rien : ce type là pourrait avoir n'importe quelle religion (à part sadida, bien sûr...). Son patron, par contre, est plus intéressant : manifestement c'est un "p'tit gars qui n'en veut". J'irais pas jusqu'à dire qu'il m'est sympathique mais, par certains côtés, il a des airs de sram qui ne sont pas pour me déplaire...
Enfin, finalement, grosse déception. Trrèèèss grosse déception ! Mina n'a rien retenu de ce que je lui ai dit. Le baratin des autres, alors là, oui, elle s'en est rappelé. Mais rien de ce que je lui ai expliqué ! Jusqu'à jouer son éventuelle dévotion à un esprit mineur sur un coup de dé ! Franchement : il y a de quoi désespérer...
une fois n'est pas coutume, je me lance dans les commentaires (qui n'engagent que moi) des participations de cette dixième édition, une édition anniversaire dira-t-on, des fabuleux récits d'invention.
Mais d'abord un petit mot sur le thème qui m'a d'abord paru rasoir et m'a finalement à peu près convaincu même s'il fera parti pour moi des moins bons. Je m'explique. J'ai personnellement du mal à voir comment proposer quelque chose de vraiment original sur ce thème qui sera presque nécessairement un discours entre un disciple d'un Dieu précis et Mina. Il y avait, je pense, moins de voies pour jouer un peu avec le thème et s'offrir quelques libertés. Ca se ressent un peu en lisant toutes les participations les unes après les autres alors qu'on peut ressentir un sentiment de déjà lu sur la forme ou les arguments des protagonistes. Mais cela en fait un exercice ! Et dès lors qu'on le prend comme tel, s'en devient intéressant. Au final comme tous les RIs me direz-vous...
Sur ma participation : arf. Arf parce que je l'ai basée presque exclusivement sur une information erronée (corrigée depuis) sur le wiki RP de Dofus. Non la date de montée au Panthéon de la Déesse Pandawa n'est pas le 12 martalo de l'an 12 mais bien le 17 martalo de l'an 12, jour de la Fin Patraque. Quand on m'a averti de mon erreur, je l'étais, clairement, patraque... Puisque j'étais assez fier d'avoir pu sortir mon texte le 12 mars IRL en faisant confondre l'aujourd'hui de notre réalité avec celui de nos personnages et que j'aurais pu le faire le 17 avec un texte plus abouti et surtout sans méchante contradiction avec le lore. On dira ce qu'on voudra pour m'excuser, que Maître Kontouar avait ce soir-là un peu trop picolé mais, oui, j'aurais du vérifier mes sources.
Allez, c'est parti avec les 10 premières participations. Je préviens, je n'ai pas l'humour des autres commentateurs qui m'ont, au passage, bien régalé :
On commence ici tout en fraîcheur végétale et en douceur sans pour autant tomber dans la mièvrerie avec la démonstration de la puissance de Rosæ. Les explications de cette dernière sont en accord parfait avec la façon de jouer des disciples de Sadida et de leur lore. Je ne vais pas m’attarder plus longtemps puisqu’il s’agit là de l’amorce de ce concours mais j’ai bien apprécié cette première lecture qui met la barre haute, merci !
Il en fallait bien un pour entamer la danse, je trouve toujours ça courageux d’autant plus que le temps de réflexion et de rédaction est de fait bien réduit. Ce qui n’empêche en rien la qualité du récit ! J’ai trouvé le tout fort bien rédigé et fidèle aux mœurs et habilités des disciples de Sram. J’aurais peut-être envisagé de faire se dérouler le récit en pleine nuit pour un ton plus lugubre et une progression plus nette du personnage de Mina. Je m’explique, je trouve que le différentiel entre le moment où Mina rencontre Eryne et celui où elle la quitte en tout confiance est un peu trop faible en termes d’émotion de la fillette. Maintenant cela aurait peut-être amenuit l’impact du passage sur la faculté d’invisibilité des Srams que j’ai vraiment apprécié. Dernier point, j’ai trouvé que ta participation s’enchainait à merveille avec l’amorce, bravo !
Je vais commencer par les aspects qui m’ont un peu dérangé. Une petite incohérence quand tu écris que Tsugira assiste au tour de passe-passe d’Eryne alors que celui-ci est censé se passer au niveau de l’entrée du cimetière. Ce n’est qu’un tout petit irritant mais le découpage de mot par retour à la ligne rend parfois complexe la lecture. Enfin, l’utilisation de « procrastinée » comme un adjectif pour une personne me paraît étrange et me laisse dubitatif sur ce que tu as voulu dire de ton personnage. Mais mis à part ça j’ai trouvé ton récit agréable dans l’ensemble ! Bel effort quant à la retranscription des sorts iops par écrit. Et sympathique idée d’évoquer la propre cérémonie du choix de ta disciple de Iop, bien joué !
Bon le récit précédent était le mien et ça va paraître un poil égocentré de te remonter ça mais j’aurais bien aimé lire les conséquences de la nuit imbibée qu’a connue Mina au début de ta participation. J’imagine que tu avais fini de l’écrire avant la mienne et que tu n’as pas souhaité la mettre à jour en conséquence, ce n’est pas grave ! Pêle-mêle, voilà ce que j’ai noté à la lecture des échanges entre Egna et la fillette :
- Plusieurs petits soucis de concordance des temps entre présent et passé simple / imparfait comme au quatrième paragraphe.
- Tu m’as rappelé que chez les Ecaflips le hasard n’existait pas, notion que j’avais un peu oublié, donc merci !
- J’ai bien apprécié ton petit néologisme : écafflipé.
- Les passages en couleurs avaient du sens mais je pense que tu aurais pu pousser le concept jusqu’à la fin de ton texte.
Coumadine, en voilà un joli prénom ! Ah c’est un médicament, encore mieux ! Bon outre ça, de même que pour le récit précédent je suis un poil déçu de ne pas voir le nom de Pandawa dans ta liste de Dieux desquelles Mina a rencontré les disciples jusqu’alors. Ensuite, je suis toujours un peu gêné quand un personnage reçoit une mission directement de sa divinité comme tu sembles le signifier. J’aime bien l’esprit petit village paumé où les grandes intrigues de ce Monde sont exemptes. Ah et sinon pourquoi avoir utilisé l’appellation lapin plutôt que Lapino pour l’invocation de ton eniripsa ? Cela égratigne un petit peu la fidélité de ton histoire au lore qui est très bonne mis à part ça. J’ai d’ailleurs bien apprécié l’accentuation que tu as mise sur les mains qui sont précieuses pour cette classe de guérisseur.
J’ai beaucoup aimé le petit détail sur la Soif que tu donnes au début de ton récit, c’est rafraichissant ! Bon mais désolé, passons aux choses qui fâche. La phrase : « elle n’avait jamais rencontré d’écaflip par le passé » m’a quand même pas mal gêné. D’accord, tu postes cette participation peu de temps après celle de -lauraetcaroline- mais la cohérence globale de ce concours s’en voit pas mal écornée et tu aurais dû t’adapter… Ensuite attention aux fautes sur les noms propres au jeu lui-même comme « énirepsas », ça fait un peu tâche. Bon mais sinon j’ai quand même trouvé de quoi passer un bon moment à la lecture de ton histoire : les jeux de mots typiquement krozmoziens, les aventures dans les galeries, le petit poème final… Pour ça : merci !
Ah, première allusion directe à la famille de Mina ! Qui pour moi sera ternie par les multiples fautes de conjugaisons. Désolé, mais là c’est un peu trop pour ma part… Tu as des efforts à fournir de ce côté-là pour les prochaines fois. Il y a malgré tout de très bonnes idées dans ton récit comme le fait que Mina n’avait jamais vraiment considéré le choix de son frère ou encore la bienveillance bien traduite de ce dernier. Merci !
Toujours pas d’évocation à Pandawa alors que les autres y sont, mais c’est la dernière fois que j’évoque ce point, promis. Et puis l’allusion sur la non-politesse de Coumadine m’a bien fait rire. La tentative d’euphémisme qu’emploie ton personnage quant aux mœurs des disciples de Sacrieur face à une jeune âme est plaisante à lire et me fait dire que toutes les classes ne sont pas égales dans l’exercice. Sinon c’est bien écrit et j’aurais aimé en voir un peu plus qu’un simple discours de te sacrieuse pour faire durer le plaisir.
Ah j’aurais tant aimé lire ta première version du réveil de Mina comme tu l’as évoqué sur ce topic mais celle-ci fera l’affaire ! J’ai trouvé bien retranscrit le mystère qui peut émaner d’un Eliotrope vu au travers des yeux d’une novice. D’ailleurs je te suis reconnaissant de ne pas t’être emporté dans un discours explicatif sur cette classe qui est si spécifique et dont le lore me dépasse moi-même. L’utilisation des portails est plaisante et la mention des Piles comme source énergétique était très intéressante à mes yeux ! Tu as pas mal glissé de détails des précédentes participations et ça fait plaisir donc à toi aussi un beau merci.
Une deuxième sramette qui vient contraster la vision de la discipline de Sram déjà évoquée, c’est plutôt plaisant ! Le tout est bien écrit et contient de nombreuses références aux autres participations, un très bon point. Ce que j’ai pu regretter c’est le peu de connexion avec l’univers du Krozmoz alors que j’ai l’impression que tu avais plusieurs occasions, notamment au niveau de la faune que tu décris dans la forêt et qui fait très « terrienne ». Mais ce que je retiens de ton récit c’est l’esprit de nuance du discours de Fantomine (j’aime beaucoup le prénom au passage) qui ne se sent pas forcément la plus à même de convaincre Mina et qui le fait avec une belle franchise. Joli !
Aïe, aïe, aïe, ici encore, trop de fautes pour connaître une lecture agréable de ton récit. Rien qu’avec un bête correcteur orthographique tu aurais pu éviter cette catastrophe. Je pense qu’il te manque aussi une simple relecture ! Par exemple, à deux lignes d’écart tu utilises deux orthographes différentes pour l’expression « tomber à pic ». Sans parler de la conjugaison, les « ça » utilisés comme possessifs font un peu mal aux yeux aussi… Bon, passons au contenu qui nous présente le grand-père de Mina façon Père Castor. Le concept est original puisqu’on a pas affaire à un unique argumentaire de classe mais à un panel choisi par le vieillard. De fait, la morale est bonne car ton personnage conclut en donnant sa pleine liberté à Mina pour son choix, et cela dans la confiance.
D’entrée de jeu, le texte fait très (trop) dense et il faut prendre un peu d’élan avant de sauter dedans. Deuxième irritant, le nom de ton personnage principal est orthographié différemment dès le début, Broussaille au singulier et au pluriel. Bon, simple faute de frappe pas méchante du tout. Je taquine puisque tout le reste m’a vraiment plu ! Entre ton personnage bien caractérisé et atypique comme je les aime (j’ai tout particulièrement apprécié ses petites expressions ligneuses) et Mina pétillante et innocente, le dialogue ne pouvait que faire mouche ! Le discours du vieux sage peut paraître moralisateur mais il se cache derrière toute l’ambivalence de la condition de disciple d’un Dieu. Chapeau bas cher conteur.
Une sympathique entrée en matière pour Valcade et Bola qui atteignent enfin leur destination d’un soir. J’ai bien aimé la petite interjection à Ecaflip qui rend un peu plus poreuses les barrières entre nos différentes classes si chèrement défendues cette édition. Je vais être franc, j’ai un petit coup de cœur à la lecture de ta participation, je trouve ça savamment écrit ; encore une fois la nuance fait beaucoup. Ta disciple de Féca exprime une évidence :le choix que va faire Mina n’est que le début d’un long apprentissage et non une fin en soi. Avec ça, les histoires de tes pairs sont bien intégrées. Bon allez, quand même dommage pour le chat qui aurait pu aisément devenir un chacha !
Reprendre directement la morale du récit précédent c’est, je trouve, une très belle idée ! Ton récit est une belle idée ! L’ami Vakog aux paroles énigmatiques ne vient pas ici déblatérer un argumentaire sur sa propre classe mais propose plutôt à Mina une pseudo-séance de relaxation krozmozienne visant à l’aider dans son choix. Choix qui sera la meilleur une fois fait. Pas grand-chose à redire, merci pour cette participation originale.
J'éditerai prochainement ce post avec les autres commentaires.
Row-Sebal#9473
- ANCIEN ABONNÉ -
28 Mars 2021 - 12:34:44
Cool ! Merci Lutineur !
C'est sympa d'avoir des points de vue différents sur les récits des uns et des autres. Et ces commentaires un peu sérieux, c'est bien aussi...
Merci pour ce retour ! Je ne voulais pas faire cette scène de nuit, déjà car ça aurait fait une trop longue différence de temps entre le récit de -Tag-Heueur- et le mien, et puis d'après moi l'ambiance était déjà assez spéciale.
L'arrivée imminente de la deadline nous a apporté de nouveaux récits! Merci aux auteurs (d'autant plus qu'on assite à la défense de nouveaux cultes!). Sans plus attendre, voici mes commentaires sur les derniers récits. J'espère que vous ne les prendrez pas mal ^^'.
Cyatold, disciple Crâ. Ce disciple débutant sait y faire avec les mots (peut-être même plus qu’avec les flèches). Le parallèle entre le matériel d’archer et l’objectif/chemin est particulièrement bien trouvé je trouve. Le premier tir de Mina, qui se solde par un échec (fallait-il s’attendre à autre chose ?) permet néanmoins de créer une scène touchante de réconfort.
L’apparition du milimulou et sa mise en déroute par Mina font agréablement grandir la jeune fille. L’énumération des sentiments par lesquels est passée Mina fonctionne pour moi. La rencontre, puis le dénouement avec le milimulou et le la séparation sont peut-être un peu hâtés à mon goût, mais le récit reste agréable à lire.
Faust, un nom qui évoque pour moi le héros qui conclut un pacte avec le diable ou Shaman King, au choix (et encore, les deux peuvent facilement être liés). Avec un tel nom, on s’attend à du lourd.
Mina découvre ici l’existence de dieux en dehors du Panthéon (au passage, le chiffre 1824 a-t-il été choisi au hasard ou fait-il référence à quelque chose en particulier ?) et se met en tête d’en apprendre un peu plus à leur sujet.
Ce qui au fonctionne bien, car la curiosité du lecteur est elle aussi titillée par la même occasion. Malheureusement, nous en apprendrons au final assez peu sur ce culte de dieu inconnu (et même sur Faust), et le récit propose une fin ouverte des plus frustrantes (personnellement) sur son dénouement. On VEUT EN SAVOIR PLUS !! L’auteur a bien joué son jeu x)
Les possibles initiations de Mina et d’Offerenda, qui rappelons-le, a 6 ans et demi, en pleine nuit de surcroît, nous laissent présager du pire, comme du meilleur (la balance penche quand même légèrement plus du côté du pire personnellement).
La façon de retranscrire les paroles prononcées change des récits précédents, on se croirait presque au théâtre, c’est original. Bonus pour Mizaru, Kikazaru et Iwazaru, qui font ici leurs apparitions sous les traits des Ouassingues de la Sagesse et l’illustration !
Griffe. Les lignes entre rêve et réalité sont brouillées pour notre plus grand plaisir. D’une part Mina et le sympathique village des Piles, de l’autre Frigost où Griffe vit ses aventures. La rencontre entre les deux est empreinte de mystères (le pendentif, la pièce que Mina retrouve près d’elle) et bien écrite.
J’aime à y voir un partage de savoir, on ne sait trop comment entre l’âme du vieil ecaflip et la jeune Mina, dans le dernier souffle du dernier. Il s’y opère, en plus du passage de l’héritage matériel entre les Huit, un passage de flambeau spirituel avec Mina. Personnellement, j’ai été ému par la fin du vieil écaflip, donc je valide ce récit =).
Pour finir, le dernier paragraphe montrant Mina prête à affronter son destin est touchant. Quant à la dernière phrase, correspond-elle à une des dernières pensées de Griffe (ou même ses pensées depuis l’au-delà ? C’est ce que je suis plus que prêt à croire !
Namyu, sage Ouginak de son état. On a accès à un peu de lore me semble t-il (la réception des Ouginaks par le monde des 12 et leur intégration plus ou moins difficile, ainsi que la présentation du culte en lui-même). Ce dernier point est d’ailleurs assez essentiel pour le cadre du récit, et il est assez bien réalisé, on retrouve les grandes aspirations de la classe, et l’idée de la meute solidaire est bien amenée.
La méditation, qu’exerce Namyu, ne permet cependant pas, à mon sens, de faire une promotion efficace de la classe auprès de Mina. Au final, à moins que Mina n’ait laissé divaguer son esprit comme lors du conte boulanger, aura-t-elle appris beaucoup de choses sur les Ouginaks ? Au moins se sera -t’elle vidée la tête lors de son entretien avec Namy, ce qui ne peut pas lui faire de mal en cette période pleine d’incertitudes.
Bonus linguistique dès le début : « La voyant en PROIE à un sentiment d’inquiétude, je FLAIRE un début de panique […] en laissant échapper un ABOIEMENT ». Très finement joué ^^.
PS : Sig s’était-il vraiment lancé dans d’ennuyantes élocutions ? Damned, ce n’était pas l’effet voulu xD
Mortimer, aka “l’homme tortue”. Ou un mélange entre Tortue Géniale et Maître Oogway de Kung Fu Panda. Son côté philosophe quant au recrutement de ses disciples est appréciable. La découverte d’une nouvelle déesse, Ixchelonia, fait également plaisir. On a besoin de tels apports dans le Panthéon.
De prime abord, la ressemblance entre la Lune et une carapace de tortue ne m’est pas paru évidente non plus, mais la description qu’en fait Mortimer est efficace. Ce passage constitue à mes yeux le point fort du récit.
Et à nouveau, niveau compétences et aptitudes offertes par le culte d’Ixchelonia, on reste dans le mystère, ce qui nous pousse à nous interroger. C’est malin de la part de l’auteur =).
Place à Etherio et Aethelian, deux boute-en-train survitaminés !
On sent dès le début qu’on ne va pas s’ennuyer avec ces deux-là ! Et un vent de fraîcheur est des plus bienvenus pour aider Mina en prévision de son choix à venir. D’autant plus qu’elle aura droit aux éloges de deux Dieux pour le prix d’un ! Le contraste dans le récit, d’une part voulu héroïque par les jumeaux terribles et la réalité (ils semblent avoir fait plus de bêtises que de réels exploits) est agréable. L’intégration de l’expérience des aventuriers à Bonta et Astrub (pas moyen de se faire des kamas) est une bonne touche humoristique. Tout comme le côté « Super-sayeune » !
Bref, je suis touché par la parenthèse qu’ils offrent à notre chère Mina, et les interactions qu’ils entre les persos.
Et pour revenir sur le commentaire de l’auteur, OUI, personnellement, j’ai souri en découvrant ces deux énergumènes =).
Encore merci aux auteurs pour ces nouvelles histoires!
Mon amour et admiration pour Oogway a peut-être effectivement influencé mon récit... un peu... beaucoup Mais si tu cherches comme il faut, c'est d'une autre célèbre tortue que mon personnage tient son patronyme
Pour le nombre 1824, je me permets de te répondre car il est aussi inclus à mon récit, c'est Hel Munster qui a recensé un tel nombre de divinités dans son ouvrage Diis Ignoti, information que l'on peut retrouver IG dans Dieux et Démons d'Acridrik Fenlapanse.
Merci pour ces jolis commentaires, continues comme ça !
Merci beaucoup pour ton retour. Ca m'as fait très plaisir de te lire. Après de nombreuses années a adorer l'univers Dofus/Wakfu ça m'as fait très plaisir de me mettre a raconter une histoire incorporée dans un univers que j'adore et je suis d'autant plus content d'avoir pus partager mon récit avec vous. J'ai vraiment apprécier l'exercice et m'y tenterais de nouveau je pense.
Avant toute chose, merci de nous avoir lu.
Merci aussi à tout les participants. J'avoue que c'est extrêmement stimulant d'avoir certaines contraintes pour traiter un sujet. Les approches ont été variées. Il y a des textes que j'ai trouvé drôles, d'autres touchants. A mon sens, aucun(e) des auteur(e)s n'a démérité. Je compte bien lire chacune des participations ( pas en une seule fois, rassurez vous).
Bonne soirée et peu-être à bientôt dans le monde des Douze.
J'avais bien une idée pour participer à ce RI, mais j'avoue ne pas avoir pris le temps de rédiger en bonne et due forme quoi que se soit. De ce fait, je vous propose ici le concept, si ça peut en intéresser certain(e)s...
Je voulais faire croiser Mina avec deux personnages qui passaient un peu par hasard aux Piles : M. Bonfoy, une quinzaine d'année, "en formation" et plutôt méprisant vis-à-vis des ruraux, et Dame De Nodagal, bien plus âgée (la soixantaine), instructrice en élémentalisme à l'Académie de Rok, qui escorte le premier car celui-ci est en retenue (pour avoir déclencher un incendie dans l'atelier de Forgemagie de ladite académie...), l'idée étant de lui rappeler les concepts d'humilité et les bases de l'Huppermagie qui lui font vraisemblablement défaut...
Bref, le jeune Bonfoy devait s'entraîner sous les yeux de son prof', dans un champ non loin du village, à soulever un monticule de terre par Huppermagie. Sauf qu'il n'y arrive pas. Alors son professeur devait lui faire comprendre que pour y parvenir, il fallait non pas se concentrer uniquement sur la terre qu'il voulait déplacer, mais aussi sur l'air qui devait s'engouffrer en dessous... Bref, lui faire la morale sur l'Équilibre, tout ça...
Cela aurait été à ce moment-là que Mina, qui les écoutait et les observait depuis peu, se serait timidement avancée, fascinée de voir des magiciens. (bon, un magicien pas doué, mais un magicien quand même !). l'apprenti, qui cherchait à abréger la leçon de son mentor, l'aurait alors remarqué et la discussion entre les trois se serait engagée.
La vénérable femme, apprenant la situation de la jeune fille, aurait alors expliqué qu'il existe une voie légèrement différente des cultes qu'on lui a jusqu'alors présenté. Une voie où les aptitudes s'obtiennent en parti par l'étude et la compréhension à notre bien petite échelle de l'univers, sans trop entrer dans les détails. Tout cela parsemé d'intervention de l'étudiant qui aurait alors vanter l'Huppermagie comme supérieure à tout le reste, mais il se serait fait reprendre avec sévérité (mais justesse) par sa tutrice...
Et... c'est tout... j'avais bien dit que je n'avais que l'idée...
PAEZZOU#3185
- ANCIEN ABONNÉ -
28 Mars 2021 - 19:03:06
Bonsoir mes chères scribes !
Chose promise, chose due ! A la manière de Row-Sebal et Chopperkun c'est maintenant mon tour de vous faire un retour sur vos récits. (désolé de m'y prendre si tard mais je voulais que tous les récits soit publiés avant mon retour sur ces derniers :/ )
Je m'excuse d'avance si mon retour froisse certains d'entre vous, ce n'est pas l'effet recherché. J'ai beaucoup apprécié les retours de mon récit, qui me permettent de voir, comment ce dernier a été interpréter.
C'est une expérience enrichissante autant pour votre plume que pour la mienne.
Alors
Ah la belle Rosæ ! Une magnifique plume pour introduire ce RI. J'ai beaucoup apprécié certains mots et tournures de phrases que je n'ai pas l'habitude de lire : " les vivats, les maisons qui ceinturaient la place, quelques vrilles fleuries, petiote, Son front était ceint, Le petit homoncule, De ce tableau idyllique, Marche avec moi dans l’humus"
Quel régale pour les pupilles !
Je souligne une prouesse de l'auteur : pas une seule fois Rosæ ou Mina n'a été appelé de la même manière et ça j'admire ! En effet, Rosæ est nommée par : " accompagnatrice, guide, adulte, L’adepte de Sadida, etc..." (j'ai tenté de faire de même mais c'est un exercice plus complexe qu'il n'y parait
Beau champs lexical de la nature, comme on pouvait s'y attendre d'une sadidette. Je note également un sous-champs lexical du "guide" attribué à Rosæ. Chapeau l'artiste !
Enfin, les différents noms usés pour invoquer le dieu Sadida m'ont charmé : " le Maître des Poupées, la Grande Sylve,etc..." tout comme l'utilisation des expressions propres à la classe tel que " Lorsque j’ai la broussaille en feu" Bel allusions au livres de classe in game
Enfin, la description des sorts sadida et des poupées eu terminé de faire le tour de la présentation de la classe. Les petits noms données aux poupées ne peuvent que nous faire nous attacher à elle. (Pour ma part, ma préféré est Sacri-fia ^^)
Les jeux de mots sont également au rendez-vous et m'ont bien fait sourire : " Le peuple Sadida est connu pour ses siestes, mais je te promets que je ne te ferai vivre aucune histoire à dormir debout."
Enfin, la fin du récit donnant une amorce aux autres récits avec les pêcheurs rentrant de leur journées de travail m'a directement donné envie de respecter une continuité des récits qui regroupés tous ensemble, pourrait faire un roman, qui sait ?
Jolie continuité du récit de Rosæ ! Si tous les récits avaient commencé et finis comme celui là, nous aurions vraiment pu créer un roman en rattachant le tout ! (oui je suis idéaliste, quel mal y a-t-il à cela ? :p )
Là encore, j'eus le plaisir de lire des mots précieux : " ses cheveux ivoirins, le chemin devenir plus vallonné, mélopée, etc..."
Mais ?... Toi aussi ?? Pas une seule fois je n'ai noté la même appellation pour Mina ou Eryne. Vraiment bien joué. (la concurrence est rude !)
J'ai grandement apprécié le jeu de clair-obscur tout au long de ton récit ! On oscille entre la lumière et les ténèbres à la manière d'Eryne, que l'on ne peut qualifier de bonne ou mauvaise. Finement jouer de ta part l'ami
Si je ne m'abuse, un discret champs lexical du silence, mélé à celui du cimetière, s'immiscie tout du long et nous rappelle la beauté de ce dernier. La parole est d'argent mais le silence est d'or... Et c'est un bavard qui vous dis cela x)
La coutume de divulguer habilement les différentes appellations de la divinité se poursuit :" le mystérieux culte du Nuisible Invisible" Malheureusement, je n'ai pas déceler les expressions typiques des Srams, qui selon moi, sont la seule touche manquante de ton récit...
Sinon, la subtilité dont tu as fais preuves pour faire étalage du pannel des sorts srams m'a beaucoup plue !
Enfin, la petite touche de cléptomanie propre au disciple du Shinigami scie parfaitement à ton récit. Je suis jaloux ! Il manquerai juste une amorce pour le prochain récit, à la manière du précédent.
Ah ma chère Tsugira ! Enfin un peu d'action ! C'est l'un des seules récits où il y a une démonstration d'un sort puissant qui plus est, dont l'utilisation est tourné avec humour : "J’avais été tellement précise que les poils de son nez étaient partis en fumée."
Originale, l'idée de l'aventurière de retour chez elle après de longues années. Le background du personnage nous permet de nous y attacher.
De plus, le parallèle avec sa propre cérémonie des 12 ans et le fait qu'elle connaissais Mina petite lui donne une aura de grande soeur spirituelle ayant quitté le foyer.
Ici, pas de champs lexical, c'est simple, c'est iop. Ah si ! Pardon, on a bien le champs lexical de la baston avec pas mal d'armes et des réflexions iophilosophiques sur les armes. C'est simple, c'est iop, et c'est ça qu'on aime !
Mais attention ! On sent bien la concurrence ahah : "Par politesse et parce qu’il était formellement interdit de se battre en ce jour sacré, j’attendis la fin du tour de passe-passe grotesque et inutile. "
Enfin bon, pour une fois que les iops sont patient et ne veulent pas tout régler par le langage des poings...
Par contre, pas le droit à des expréssions types ou même les différents noms de Iop...
Il y a également des blancs étranges, (serait-ce voulu ?) des sauts de lignes pas communs... Parfois il manque des mots... Et la fin : " j’étais fière d’avoir pu m’exprimer et aider une " nous laisse sur notre faim.
C'est dommage ! Une relecture de plus et le travail aurait été propre.
J'ai bien aimé finir sur une orientation indirect vers la voie du "coeur d'Iop" : "Écoute ton cœur, lui seul te guidera vers le dieu qui te convient." C'est joliement tourné
Maitre Kontouar, mon vieil ami ! Quel dommage que tu ne participe pas à ce concours, tu aurais été un adversaire de taille. (ah ben heureusement alors !)
Tout d'abord, j'aime beaucoup ton style d'écriture. Tu es capable de passer du langage soutenue (dans ton récit en général) au langage grossier (de Maitre Kontouar) avec même une touche d'accent Pandalousien un peu bourré que l'on ressent clairement dans les dialogues.
Belle plume satisfaisant l'oeillade que j'eus sur ton texte : " mordoré , poindre , quelques polis ,etc..."
Ah la Panda d'Piles ! J'aimerai bien la goûter celle là. On en trouve plus en Pandalousie. Vivement que je repasse aux Piles de Kontouar ! Plus sérieusement, c'est finement joué d'avoir publié le récit le 12 martalo intentionnellement : la fêtes des Pandawas, rien que ça ! (je pensais que c'était un peu plus tôt mais bon autant pour moi !)
Bien vu ! Avoir réussi à reprendre la continuité du récit de Rosæ (avec les pêcheur là) alors que plusieurs textes ont été publiés entre temps n'a pas du être une mince affaire.
On a un jolie champs lexical de la boisson, comme un bon ivrogne... Pandawa !
Et vraiment, réussir à raviver la proximité de la Nature aux Sadida c'est culoté ahah : " Ben tu vois, je pense qu’on ne peut pas faire plus en symbiose avec la Nature que nous Pandawas ! "
De plus, l'argumentation est intéressante tout en taquinant les Iops. Quel rude concurent tu aurais fais !
J'adore tes jeux de mots, en particulier celui-ci : " Jeune âme, tu es née près de la Soif, n’offusque pas celle qui l’est Eternelle en laissant cette chope pleine derrière toi."
Petit défaut peut-être, il n'y a eu aucune démonstration de sort. Bien que, la démonstration de souplesse pour sauvé le précieux alcool était époustouflante ! Egalement, la répétition de Mina, du pandawa ou la jeune fille est un poil redondant.
Enfin c'est le 1er récit qui termine par "Loué soit la déesse..." Une fin originale qui n'a pas manqué d'être reprise
Mmmmh, ça part mal ! La petite viens de se prendre sa 1ère cuite la veille, certes mais de là à remonter le temps et revivre une 2e fois d'affilé le jour de son 12e anniversaire... Elle est terrible cette Panda d'Piles ! Après, les références aux autres récits sont là, c'est déjà ça.
Enfin, sinon la rencontre hasardeuse avec un disciple du dieu de la chance, c'est une sacré coïncidence, vous ne trouvez pas ?
Une originale façon de parler : en couleur et en preceptes ! Une première !
Par contre, le hasard existe ou pas ? Entre les :" nous sommes clairs sur le fait que le hasard n’existe pas " et les :" le hasard nous entrainerait-il vers le destin qui nous attend ? " Je suis un peu perdu ^^'
Enfin, même s'il y a quelques incohérence, j'ai bien aimé l'expression typique de la fin ! en particulier :" cette rivière me rend tout écafflipé " Bien trouvé !
Dommage que la rencontre soit un peu courte mais cela fais parti du charme de ce récit. Jolie réponse à maitre Kontouar à la toute fin
Tiens ? Encore une temporalité altérée ? Décidèment Xélor se repose sur ses lauriers --'
Entre le moment où Eryne lui vole son bracelet et ce récit, il s'en ai passé des choses ! (enfin, je dois etre un peu trop à cheval sur la continuité ^^' désolé mais c'est que j'y tiens à faire un roman de tous ces récits !)
Là encore, les références sont présentes donc on te pardonne. Mais c'est la dernière fois hein ?
J'aime beaucoup l'ambiance compte de fées qui fait écho avec la voie Eniripsa autant par le champs léxicale de la féérie que par le début de ton histoire, le rêve de Mina se voyant telle une femme et non une petite fille. D'ailleurs on y voit un peu trop le mot fée ou c'est moi ?
Par contre, WAW ! Qu'est-ce qu'elle est bavarde cette Coumandine x) Enfin, elle parle bien c'est vrai. Ses assonnance sont assez rigolotes : " passe par la fenêtre, tu es toute fluette ! »
Et Pinpin ahah, quel phénomène ! Une vraie pile électrique ce lapin rose. (Energizer ? lol)
Ah la récolte de fleurs. Un classique pour une fillette de 12 ans ! Pourquoi n'y ai-je pas pensé ?
En tout cas, elle est bien occupé la jeune Eniripsa. Elle réussit quand même à placé La fameuse ovation à la déesse, comme les 2 précédents. Une mode aurait-elle été lancé ?
Vraghdakk#1234
- ANCIEN ABONNÉ -
28 Mars 2021 - 22:02:03
Salut !
Alors, c'est un peu tard pour se poser la question maintenant mais, j'ai volontairement attendu parce que je voulais être dans les derniers à poster, et je me demandais : Sachant qu'on est le dernier jour du concours, Mina est bien censée avoir sa cérémonie demain ?
Ou alors le temps ne s'écoule pas et j'ai vraiment rien compris aux règles ?
Narrativement parlant (d'un point de vue RP* si tu préfères), c'est demain qu'aura lieu le choix de Mina, oui. ^^
Dans les faits (d'un point de vue HRP**, cette fois-ci), les résultats ne seront pas publiés immédiatement, car il nous faut encore faire la moyenne des coups de coeur, achever les commentaires relatifs à certaines participations, rédiger la conclusion en fonction des différentes histoires, etc. C'est un sacré boulot et on aimerait le réaliser correctement...
Autant vous dire que ça ne se fera pas en un claquement de doigts !
* RP : « Roleplay ». Il s'agit du jeu de rôle auquel vous avez participé.
** HRP : Hors RP. C'est ce qui se déroule en-dehors de l'histoire, dans la « vraie vie véritable ».
Il y a quelques années que je n’avais rien écrit pour le Monde des Douze, et malgré ma rouille, le thème était trop bien trouvé et trop tentant pour y résister : un grand bravo pour l’organisation de ce Récit d’Invention !
Pour prolonger l’expérience et parce que j’ai toujours eu un faible pour les récits qui suggèrent plus qu’ils ne disent, je laisse quelques clefs pour ouvrir à tous un autre niveau de lecture (je ne doute pas que certains ont deviné très tôt vers où allait le récit). Si vous êtes curieux, vous voudrez peut-être le lire avant de poursuivre.
1824
Je reprends les mots de Lilizefou : « C'est Hel Munster qui a recensé un tel nombre de divinités dans son ouvrage Diis Ignoti, information que l'on peut retrouver IG dans Dieux et Démons d'Acridrik Fenlapanse »
Faust
Le nom de Faust a effectivement été choisi en référence à la figure populaire du savant qui contracte un pacte avec le Diable (ou le manga Shaman King, merci pour cette découverte Chopperkun). La thématique infernale m’était chère.
« Deux, dans les faits, sont déjà [au Panthéon] sans y être. »
On peut penser au Roi-Dieu, mais aussi à Rushu. La phrase porte évidemment toute la subjectivité de Faust : il est impossible pour lui de considérer ces deux entités comme autre chose que l’égal des divinités du Panthéon... ou bien plus que l'égal.
« [Les temples Sacrieur] sont bien cachés, et à raison »
L’ascension de la déesse Sacrieur au Panthéon, il y a des siècles, a provoqué la colère de Rushu. Les adeptes de Sacrieur auraient cherché à protéger leur lieu de culte des attaques de ses fidèles. D’où sa localisation en jeu, à l’abri des regards.
« Il existe une potion pour se rendre à [l’un de nos temples], celui que notre dieu a érigé en une nuit… Mais au fil des siècles, ses habitants ont oublié leur foi. »
Plusieurs légendes sur la fondation de Brâkmar existent, l’une d’entre elles prétend qu’elle fut érigée en une nuit par Rushu lui-même. L’un des objectifs de la cité était de servir de temple à Sa gloire. Les plus traditionnalistes considèrent la cité comme s’étant éloignée de son objectif initial.
Offerenda
Le latin offerenda signifie « qui doit être offert », et sert d’étymologie au français « offrande ».
« J’ai dressé la table, Messire »
La métaphore ajoute un certain décorum mais surtout préserve le PEGI du récit.
Le prêtre
L’espace d’une phrase, j’ai eu l’occasion de redonner sa voix au rushuiste Urgal (Hécate/Ush).
J’espère que vous aurez pu prendre plaisir à la lecture des mots écrits, ou peut-être à l’imagination des fins suggérées,
Et vous remercie pour tous les sourires que les vôtres m’ont donné, ils ont été nombreux (un certain Pandawa en particulier en est coupable),
Vous souhaitant une très bonne continuation dans l’univers qui est le vôtre,
Urgal
Bonjour à tous!
J'espère que vous vous portez tous bien.
A présent que la date limite est passée, je peux vous fournir mes derniers ressentis sur les récits collectés (et vous avez fait fort pour le rush de dernière minute!). Il aurait été dommage d'être privés de ces derniers récits!
Sans plus vous faire attendre, voici mes derniers commentaires.
Un vaillant effort de la part d’Orihime (référence à Bleach ?) pour faire découvrir à Mina le culte Eniripsa. Accompagnées de Kenzo, on assiste à une démonstration des pouvoirs accordés par la déesse, ainsi qu’une rapide explication du culte. La séparation arrive cependant bien vite, et on n’aura pas eu de nouveaux ajouts par rapport aux autres présentations faites par les disciples du même culte. Il est également dommage que les interactions entre les intervenants ne soient pas plus développées.
Attention aux phrases un peu longues (le second paragraphe est composé d’une unique phrase^^’). Il est néanmoins possible que la ponctuation ait « sauté » lors de l’édition. Un petit peu triste qu’Anton ait si subitement disparu du village, il aurait été sympathique de l’inclure ici. A moins que Kenzo et lui se partagent les urgences (il ne doit jamais y avoir trop d’énis je suppose =)
Dites, vous vous rappelez de Vakog et de son conte boulanger ? (Désolé, mais j’y tiens ^^). J’ai le plaisir de vous présenter Urgholl, le Crepemestre ! Celui-ci, non content de faire preuve DE mauvaise foi, dénigre allégrement les autres cultes, mais avec sous couvert (oserai-je dire glaçage ?) d’un humour bien placé. Chacun en prend pour son grade on dirait. Entre les gâteaux poilus, des gâteaux brûlés et d’autres plein de grumeaux car mal mélangés, il n’épargne rien ni personne. Force est de reconnaître que ces pâtisseries ne font pas vraiment envie.
J’ai apprécié la remise en question de Mina au début du récit, ainsi que le passage sur l’aspect pratique des religions (qu’apporte tel ou tel culte, par rapport aux autres… ?). Le fait que Mina aide Urgholl dans son plaidoyer montre aussi qu’elle a bien évolué depuis le début des récits (et cela fait plaisir à voir !) Oui, je suis fier d’elle mais chuut. Merci pour ce récit, il était cool à lire =)
PS : Sig réussit très bien le gâteau au chocolat, il ne faut pas croire tout ce qu’Urgholl raconte !
Mad-Nessy, une Zobal philosophe. La première partie du récit, et les références à tous ceux qui précèdent font vraiment plaisir ! L’ensemble du texte est vraiment bien écrit, et on imagine sans mal le repaire de la conseillère du jour (ou plutôt de la soirée). La défense de la classe, si elle n’est pas forcée, est cependant puissante. On retrouve le parallèle émotion/masque déjà développé par la précédente défense zobal, mais présenté d’une autre manière. En ce sens, les deux récits se répondent et se complètent.
Bonus pour l’arbre aux masques, le hobby particulier de Mad (qui me paraît vraiment cool, retranscrire les rencontres marquantes dans les masques, riche idée !) et les paroles réconfortantes pour Mina, qui semblait vraiment en avoir besoin. On peut dire qu’elles tombent à pic !
PS : Je serai vraiment curieux de voir les masques que Mad-Nessy pourrait produire à partir des récits des rencontres avec les autres disciples que Mina pourrait lui faire.
La défense d’un nouveau culte et d’une nouvelle déesse, ici Shariva ! Le début du récit, avec notamment le récit des aventures de la disciple est très agréable à lire. On peut sans crainte dire qu’elle mène une vie des plus tumultueuses. Il est tout aussi rafraîchissant d’avoir affaire à un personnage qui se dévoile (si peu) et existe en dehors de ses interactions avec Mina. Là où les autres pouvaient sembler n’exister ou se découvrir qu’en présence de Mina, le background de la disciple de Shariva lui permet d’exister à part entière seule (sérieusement, imaginez les courses de charrettes ou même la chasse aux objets si vous n’êtes pas convaincu(e)s ^^).
Wow, un acrostiche pour Shariva ! Il fallait y penser, c’est bien joué ! Ce récit était des plus divertissant et j’ai personnellement accroché =). Avoir affaire à une disciple chauve aurait été marrant, dommage que le dessin joint révèle qu’elle ait toujours des cheveux xD.
Korbeil, petit filou ! Déjà, poster le récit à 23h59, terminer son récit par une phrase qui se veut péremptoire (« on gagne à tous les coups ») et dénigrer la Balance avec d’autres broches à l’emmental ?! Sig, tel je le connais, ne serait vraiment pas content ^^’. (D’autant plus que le choix lui importe peu, juste un pari de plus… Mais je m’égare !).
Le récit est sympathique, on s’exprime sans langue de bois (« Et comment t’es-tu retrouvée déguisée en sapin de Nowel ? »), les jeux de mots avec la Soif, la Bossue, la Balance, le pile ou pile sont autant de touches appréciables. Les références au lore (le venin de Serpentins, Chapiteau des Magik Riktus, Capitaine Ekarlatte,…) permettent d’ancrer assez efficacement le récit. On retrouve le côté famille des roublards, et l’argument qui renvoie à celle de Mina est bien trouvé. On tente tout doucement d’amadouer en vendant son roublabot et des explosions tout partout, mais cela suffira-t ’il ?
Au final, ça parle beaucoup mais ça ne montre pas grand-chose, est-ce que c’est typique chez les roublards ? ^^
Un nouvel illustre inconnu, et pas des moindres car on termine les récits par quelqu’un qui n’est plus affilié à aucun dieu. L’ancien disciple de Xélor, à présent athée, n’en est pas moins intéressants car il permet à Mina de s’interroger et de continuer à réfléchir (sans en avoir trop l’air).
Les petites énigmes, qui permettent à l’enfant, de saisir l’essence de la conversation en les ramenant à des préoccupations enfantines, sont habilement écrites. Mina trouve un réconfort plus que nécessaire auprès de ce dernier compagnon, d’autant plus que la cérémonie du choix est ici décrite comme un capharnaüm des plus épouvantables.
La spontanéité de Mina lors de ses réponses cadre avec son âge et son petit côté impertinent (« vous n’avez pas honte ? ») permettent d’égayer ce récit. Il n’y a que le début sur lequel je m’interroge encore.
Dans l’ensemble, c’est un récit qui m’a plu (un peu comme tous les autres me direz-vous).
Merci pour votre lecture et vos retours, j'ai personnellement pris beaucoup de plaisir à vous lire et à discuter avec vous. Pour une première expérience avec les Récits d'Invention, je suis comblé.
Je te remercie beaucoup d'avoir prit le temps de me lire et pour cette critique ! Ca faisait bien longtemps que je n'avais pas proposé de texte et je dois avouer que j'étais assez incertain.e mais ton commentaire me fait chaud au coeur.
Pour ce qui est des masques des autres aventuriers, Mad travaille déjà dessus et ce sont de beaux chefs d'oeuvres à l'image des textes qui nous ont été offert par les autres disciples.
Vraghdakk#1234
- ANCIEN ABONNÉ -
30 Mars 2021 - 13:22:05
Merci de ton retour Chopper !
Mais franchement Urgholl fait pas preuve de mauvaise foi, il a raison. En fait, on pourrait même étendre son raisonnement : Tout le monde est nul en pâtisserie, sauf lui.
Et tu sais quoi ? C'est aussi le meilleur en modestie, et un Sacrieur modeste ne se permettrait pas de dire que l'intégralité de la population Douzienne est bête à bêcher de la flotte et infoutue de faire une crêpe qui tient la route, sauf lui.
Merci pour le retour !
Korbeil aurait certainement pu en montrer plus mais il y a eu quelques problèmes de montre, justement. Si j'ai posté à 23h59, c'est parce qu'à 23h58, c'était pas fini, haha.
Bonjour à tous.
Je me demandai si vous aviez un peu de visibilité quant à la publication des résultats.
J'ai plus d'ongles de dispo là, c'est pour ça que je demande.
L'IRL chargée d'une partie des membres du jury ne permet pas une publication immédiate des résultats. Il va falloir que tu attaques les ongles de tes pieds, si tu es suffisamment souple... ^^"
Cela dit, on peut vous partager les retours qui sont déjà prêts, si ça vous botte. A moins que vous ne préfériez tout découvrir en même temps ?
A titre personnel, je préfère garder la surprise et tout découvrir en même temps (désolé pour tes ongles Fhane ^^'). Je ne me fais pas d'illusions sur ma participation, mais je comprends que d'autres puissent être impatients.
Prenez le temps qu'il faudra, rien ne presse. D'autant plus qu'il y a encore quelques analyses de Row-Sebal, PAEZZOU, Lutineur (et potentiellement d'autres?) à découvrir.
Et d'ailleurs, comment les résultats seront-ils présentés? Peut-on envisager que le jury nous écrive des histoires révélant le choix final de Mina, en accord avec les coups de coeur? Ou encore une bande-dessinée de [Malma-Jeste]?
Tant de mystères demeurent! (désolé si je m'emporte un peu, et si cela sort du cadre habituel des récits d'invention, mais de telles initiatives seraient cool!).
Enfin, et c'est très égoïste de ma part, mais j'aime continuer à faire vivre ce sujet et discuter avec tout le monde. L'attente de la parution des résultats offre une parenthèse dans nos vies trépidantes d'aventuriers du monde des 12.
Bien à vous,
Chopper'
PS: "N'cha"? Est-ce là un salut secret, un code propre au Jury? *Q*
Row-Sebal#9473
- ANCIEN ABONNÉ -
02 Avril 2021 - 19:05:29
Re !
Prenez votre temps : il serait plus logique que je sorte mes derniers commentaires avant les résultats et (malheureusement) j'ai eu une semaine assez chargée...
Mais, d'un autre côté, je suis assez curieux de voir si Mina choisira le culte mis en avant par le "vainqueur", ou bien si le Jury bottera en touche en lui faisant choisir un culte dont personne n'a parlé.
ll faudra également penser à se creuser la tête pour proposer des idées de sujets pour les prochaines éditions (ce n'est pas facile, non plus, comme exercice !)
Je préfèrerais moi aussi garder la surprise et avoir les analyses des jurys en même temps que les résultats, prenez votre temps !
Chopperkun, merci beaucoup pour ton retour sur ma participation d'ailleurs, ça m'a fait très plaisir héhé. Je suis contente si sa lecture t'a été agréable ! Et, oui, j'a hésité à faire en sorte que mon personnage soit chauve pour le troll, mais je me suis dit que j'allais plutôt faire échos à mes propres cheveux, histoire que ce personnage éphémère soit un petit bout de moi quand même :3
Merci pour les retours, réponses à mes interrogations, clins d'oeil à vos persos en jeu et autres précisions qui continuent à enrichir les récits! Entre les 1824 dieux, Fahne et Ducon, le pourquoi du comment derrière le prénom Jean-François ou même les clefs de Guillemaut (au passage, respect!), les relectures sont des plus sympathiques.
Avoir la confirmation pour certaines de mes premières impressions (maître Oogway, Fahne et Faust notamment) me ravit. D'ailleurs, pour le premier, Mortimer doit-il son nom (après moult recherches ^^) à un certain Tortimer d'Animal Crossing? (si tel est le cas, j'avoue que j'ai triché, n'ayant pas joué au jeu. Pour moi, niveau tortues célèbres, j'étais plutôt du côté des tortues ninja, de Franklin qui sait compter deux par deux et lacer ses chaussures et de Caroline xD... La découverte n'en est que plus appréciable!)
C'est avec plaisir que je partage les quelques références que j'ai également, et si elles vous plaisent, tant mieux =)
Enfin, juste pour revenir sur les messages de mes vdds:
Vraghdakk
"C'est aussi ça, faire preuve de classe." Pour un sujet d'invention portant sur un choix de divinité, cette expression est plus que de circonstance! Bien joué!
Fhane
Personnellement, aucuuune idée à quand on aura droit à une annonce des résultats. Mais la fin du concours étant encore proche, je suppose qu'on peut raisonnablement compter sur une ou deux semaines?
Eutecto
L'histoire que tu imagines a l'air prometteuse, en plus de défendre les huppers (hein, comment ça un "parti pris"?! Du tout!...). Aura-t'on la chance de la lire dans son intégralité malgré la fin du concours?
Hello tout le monde
Je voulais savoir : Pouvons nous aussi faire nos commentaires sur la participation des autres et commenter leurs textes ?
Merci d'avance !
PS : Je n'ai pas répondu sur le message de Fhane mais j'avoue que je préfèrerais aussi attendre pour les commentaires pour les résultats.. J'essaie d'éviter mes ongles à ronger aussi mais à attendre un peu plus le final n'en sera que plus appréciable ^^
Evidemment que tu peux également te lancer dans le commentaire des œuvres! Tous les retours sont bons à prendre, et nul n'en a, à ma connaissance, le monopole.
Les retours que l'on a pour l'instant sont d'ailleurs tous écrits par des participants, ta contribution sera la bienvenue.
Bonjour tout le monde, et merci à tous pour vos participations, commentaires ou lectures.
Cette édition a encore été forte en récits inventifs et qualitatifs et c'est un régal pour nous de tous vous lire, mais vient aussi le moment du verdict final avec les coups de coeur, nos coups de coeur... Et si on doit bien dire quelque chose, c'est que vous ne nous avez pas rendu la tâche facile, la concurrence est rude ! Aussi, il va nous falloir un petit peu plus de temps pour délibérer et pouvoir vous donner notre choix en notre âme (ou c'qu'il en reste) et concience. Qu'est-ce que cela veut dire ? Cela veut dire que les résultats finaux seront disponibles dimanche prochain, mais impatients comme vous devez être de découvrir les résultats, nous avons décidé de ne pas vous laisser en reste : vous pourrez trouver à la suite les commentaires qui sont déjà prêts !
Non mais vous avez vu ce que vous avez fait ? Sérieusement ? Vous avez explosé tous les compteurs, là ! Un nouveau record de participations (31, bande de grands malades !), un déluge de retours et de commentaires après plusieurs éditions de sécheresse et, surtout, une ambiance teeeeeeellement, mais teeeeeeellement plaisante !
Bravo et surtout (que vous ayez participé, commenté, échangé ou juste proposé), du fond du coeur, un énorme MERCI !
Les commentaires, remarques et critiques qui vont suivre, vous le savez déjà, n'engageront que moi (j'suis pas une professionnelle, très clairement, vous avez le droit de ne pas être d'accord avec mes observations : il ne s'agit que de mon ressentipersonnel-à-moi-et-moi-seule-pas-touche-chasse-gardée). J'estime important et normal de pouvoir fournir un retour qui fasse de l'effort que vous avez fourni, en prenant le temps de participer à cette dixième édition des Récits d'Invention, quelque chose qui valait le coup, pour vous. Je vous l'ai déjà écrit il y a quelques semaines : faire en sorte que vous obteniez un retour sur votre investissement fait partie de l'ADN des Récits d'Invention. Et vous avez dépassé mes espérances les plus folles en ressuscitant cette pratique. J'en suis encore baba... Merciii !
Savoir ce qu'un récit, que l'on a imaginé et mis en mots, produit sur une personne qui l'a lu est ô combien précieux et source d'enseignements (à la fois sur soi et sa manière de raconter des histoires, mais également sur la perception des autres). Voyez-y une énième forme de partage (joie d'offrir, plaisir de recevoir) autour de la thématique qui nous a réunis sur le forum officiel.
A votre place, j'adorerais découvrir ce que les uns et les autres ont pu penser d'une histoire de mon cru (etpourquoi, soyonsdingues), alors j'me dis que ça vous fera peut-être plaisir de savoir quel impact vous avez eu sur une partie de la vie d'une de vos lectrices. Ça ne va pas plus loin (venez on discute de la teneur de nos retours respectifs, c'est tellement chouette).
Sur ce, commentons, mes bons ! Et sans limites de mots, s'il vous plaît... Niark Niark Niark !
ALLEEEEEEZ ! On commence directement avec une adoratrice de Sram ! Et dans la foulée de l’annonce de l’ouverture des RI#10 ! J’étais pas prête.
T’as d’emblée cassé le cliché du personnage ténébreux qui sort des ombres vu que c’est la base de la religion Sram, les ombres. Ouf ! Pour ça, merci. Je commençais déjà à grommeler un vieux : « Ohlala, je sors des ombres parce que je suis trop dark/badass/mystérieuse, gnagn… Ah, non. Ouuuh, ok, mea culpa ! »
Le fait qu’Eryne annonce qu’elle est nécromancienne mettait l’eau à la bouche : comment comptait-elle présenter sa profession à la pataude Mina, de justesse échappée d’un bain forcé ? PLOT TWIST : elle ne le fera pas, à mon grand désespoir (je boude, j’te cause plus). Le coup du trajet qui rasait les murs et suivait les ombres ajoutait au charme du personnage et lui donnait de la consistance en venant renforcer la description physique qui en était faite, c’était chouette. Ton Eryne respecte les Commandements de Sram, y a pas à dire !
D’ailleurs, revenons un instant sur le métier d’Eryne : nécromancienne. Cette profession est loin de faire l’unanimité dans le Monde des Douze et est généralement tenue secrète. Difficile d’imaginer ton personnage vouloir en faire la publicité (j’t’assure, les nécromanciens sont trèèèèèès mal vus, comme peuvent l’attester divers PNJ et supports dofusiens). D’ailleurs, si son culte est relativement morbide, Sram n’est pas le dieu de la Mort, mais de l’Ombre. La mort — pardon, la Mort — c’est Thanaténa. Tu ne peux pas la louper : c’est la grande faucheuse qui règne sur le Pays Gris ! Remarque, peut-on dire de Sram qu’il est un nécromancien dans la mesure où il fut tout de même responsable de la Nuit des Morts-Brigands durant laquelle il invoqua une armée de Chafers ? Ah… Y a débat ! Bref.
Première participation et, BAM, premier enrichissement de la carte des Piles de Kontouar. Voilà que tu nous y ajoutes un cimetière et que tu l’exploites à sa juste mesure ; ça, c’est bien-bien cool. Ça (me) donne l’impression que t’as compris comment fonctionnait cette édition des RI et ça fait plaisir. D’autant plus que ce n’est pas évident lorsqu’il s’agit d’une première participation. Certes, d’un côté, il peut être plus facile d’inventer des lieux lorsqu’il n’y en a pas encore trop, mais il faut également oser le faire… Bien joué, et merci !
Bon, je suis un chouïa dubitative vis-à-vis du traitement que tu fais du mode de combat des adeptes de Sram : ça ressemble davantage à une énumération rapide, de type « liste de courses », qu’autre chose, alors qu’il y aurait eu matière à creuser. Même si je me demande si ça n’aurait pas été contre-productif dans la mesure où viser l’exhaustivité pouvait confiner à l’écoeurement… T’as peut-être bien fait, en fin de compte.
Par contre, autant t’as géré tout ce qui avait trait au background Sram, autant j’ai tiqué à la lecture du mot « corbeau ». C’est que dalle, hein, on va pas s’mentir, mais t’avais moyen d’accentuer l’immersion en lui préférant « corbac », qui colle davantage à l’univers (pardon, au Krosmoz) ! C’est un point de détail, mais il paraît que Rushu s’y cache, donc bon…
Y a des moments où tu inities des descriptions (le voile d’ombre sortant du crâne, le silence sépulcral, et la disparition des membres, par exemple) qui m’ont laissée sur ma faim (mais, ça, t’y peux rien puisque c’est de ma faute : j’adore les descriptions) dans la mesure où elles auraient, je crois, été encore plus immersives si t’avais pris le temps de t’appesantir dessus, via le champ lexical des sens, par exemple, afin que l’on puisse véritablement se sentir projeté dans la scène, avoir la sensation d’y être et de vivre les événements. Tu y arrivais le mieux, je trouve, lors du passage de la course de Mina, avec ses pieds qui martèlent le sol. Boum-boum-boum, c’était facile de ressentir les impacts, les chocs sourds contre les talons qui remontent dans les jambes, etc. Y aurait peut-être eu moyen de reproduire ça à d’autres moments, donc. Ou peut-être pas… Après tout, c’est toi qui écris, tu fais bien c’que tu veux !
Le coup de l’invisibilité d’autrui, tout de même, est assez pratique ! Quoi de mieux pour faire goûter Mina aux pouvoirs de Sram que… d’en partager un avec elle ? Je ne m’y attendais pas, l’idée a fait (mou)mouche, bravo !
Le larcin du bracelet, quant à lui, était un poil convenu, mais… Mais mince, on cause d’une fervente de Sram, là ! Pouvait-on passer à côté de pareille opportunité ? C’était l’occasion de faire briller Eryne, de lui donner du panache, huhuhu. Ce faisant, tu as également accentué le relief du personnage de Mina : d’où lui vient ce bracelet ? Pourquoi le conserve-t-elle dans une poche fermée au lieu de le porter à son poignet ? Ces questions — qui permettaient de s’arrêter un instant sur le personnage de la gamine et de réfléchir à ce que l’on (ne) sait (pas) d’elle — peuvent très bien demeurer en suspens : elles titillent l’imagination et le font bien. C’est une bonne chose que tu te sois permis ces ouvertures, ces perches tendues aux autres participants : ça donne du grain à moudre à ceux qui te lisent et rebondissent sur ton texte !
Pour un premier récit, ça démarre bien, bravo ! J’espère que cette expérience aura su te plaire et qu’on te reverra prochainement de ce côté-ci du forum officiel…
Argh, t’as été victime du forum : il a massacré ta mise en page, ce qui casse relativement l’immersion et nous prive de la fin de ton récit, désormais amputée… Qu’on vienne en aide à cette participante ! Nouvelle, qui plus est ! TT_TT
Bon, ‘as-y, je vais tâcher de faire abstraction de la forme pour me focaliser sur le fond. Ooooh, ah ouais, t’annonces d’entrée de jeu qu’il ne peut pas y avoir d’autres participants vénérant Iop ET faisant partie du village (la chose étant réservée aux seuls parents de ton personnage et ce dernier). Ok, c’est osé, mais ça permet d’éliminer la concurrence, c’pas bête. Pas bête du tout ! Les seuls adorateurs de Iop ne pourront donc qu’être de passage aux Piles de Kontouar, ‘faudra que je m’en souvienne pour la lecture des participations qui suivront la tienne…
La vache, c’est quand même bien relou ces phrases découpées par le forum et ces retours à la ligne intempestifs… Attends, j’ai un doute : ton personnage est un homme ou une femme ? On jongle entre les participes passés accordés au féminin et au masculin. C’est peut-être un oubli de relecture ?
Bon, quoi qu’il en soit, tu dotes Mina d’un caractère et d’une force peu communs : là encore, les autres participants feraient bien de s’en rappeler. Hahaha, sympatoche le coup du « règlement de comptes » à l’occasion de la cérémonie d’initiation. C’est crédible et ça sent presque le vécu ! XD
C’est bête, hein, mais c’est ce genre de remarque, aussi petite qu’innocente, qui permet de se projeter/de projeter ses expériences dans une histoire. Tu sous-entends et notre imagination fait le reste…
Gaffe, cependant, à ne pas modifier le genre des intervenants précédents : Eryne est une femme, pas un homme ! Par ailleurs, on dirait que tu as compris que cette édition des RI se déroulait sur une seule journée, mais elle s’étale bel et bien sur deux semaines. C’est du détail, j’en conviens, mais comme écrit plus haut, ça peut avoir son importance !
A partir d’un certain point (lorsque Tsugira se lève de sa chaise), on sent poindre la fatigue : ton discours se fait moins assuré, les coquilles se multiplient et émaillent davantage ton récit. N’hésite pas à faire des pauses, à laisser décanter les choses et à revenir l’esprit frais et l’oeil alerte (à moins que ça ne soit l’inverse ?) lorsque tu sens que tu commences à lutter pour garder ta concentration. En l’état, je pense que cela aurait permis d’approfondir l’immersion de ton lectorat dans ton histoire.
Allez, on revient au fond du fond : la prétention de Tsugira. Ohlalaaaa… Elle en devenait presque arrogante, usant de tous les superlatifs pour se décrire, elle et ses exploits… A l’entendre, elle excelle dans tout ce qu’elle entreprend. Ouais, d’accord, l’anecdote avec les Sept est marrante, mais trop de trop tue le trop… Entre ça et le fait qu’elle accapare l’attention des gens en un claquement de doigts (ou d’épée contre un bouclier), qu’elle nous sort des flammes dosées au millikamètre près et bondit sans crier gare comme pas deux… Pfff, on sent bien la Gr0b1ll en puissance.
D’un autre côté, le fait est que de décrire un personnage comme celui-ci de la manière dont tu l’as fait ne laisse pas indifférent. Ou ne me laisse pas indifférente, du moins. J’ai appris (tu m’as appris) à ne pas l’apprécier, et ce n’est pas forcément une mauvaise chose, loin de là, puisque ça m’a permis de me positionner par rapport à lui. J’ai des sentiments plus tranchés à l’égard de Tsugira que par rapport à d’autres personnages de ces RI. Donc c’est plutôt cool : elle a un impact et ne passe pas inaperçue (même si tu aurais pu y parvenir différemment). C’est ton choix, ‘faut le respecter, c’est très bien ainsi.
« Baktou frêne‘tch », comme dirait… Comme dirait personne, tiens.
N’y avait-il pas un paradoxe dans le fait que tu décrives une Mina intimidée après le bond alors que… Ooooh, le sortilège d’Intimidation ? Ça expliquerait tout !
C’est une bonne chose que tu aies, toi z’aussi, tendu des perches impliquant l’existence d’autres « guides », à l’image du Crâ ou même de la personne désormais sans poils de nez. Cela donnera potentiellement de la matière aux participants suivants.
Je croise les doigts pour que tu repasses sur le topic RP pour t’apercevoir de l’absence de la fin de ton récit, parce que j’aimerais bien-bien-bien la lire !
Hé, Mina, t’as quelque chose à voir avec la famille des Tandu ? Non ? Mince, on aurait pu croire que… Bah ! C’est ce bon vieux Lutineur qui s’égare...
Voilà une tête connue, après deux nouveaux-venus : il fallait bien qu’un habitué des RI rempile (de Kontouar). Qu’auras-tu pondu, cette fois-ci ?
Hahaha, un Pandawa ! Et pas de première fraîcheur, semble-t-il… Dans des RI placés sous l’égide de la beauté et de l’exception, il est rafraîchissant de croiser du miteux, du poisseux et du rabougri : ça vient à point nommé renforcer les descriptions de chaque personnage ainsi que leurs identités propres. Tu valorises les autres en rabaissant ton poivrot. Si c’est pas gentil, ça…
D’ailleurs, question aspect communautaire, ça passe comme du p’tit lait... Tu rebondis sur les lieux imaginés, tu évoques les actions des personnages des autres participants, et tu te payes le luxe d’implanter une taverne dans les Piles ! Il ne manque que quelques virgules oubliées, par-ci par-là, pour parachever le tout et davantage rythmer le récit. Un récit qui promeut l’alcoolisme juvénile, d’ailleurs. QUELLE HONTE ! QUEL SCANDALE ! QUELLE IN-DI-GNI-TÉ !
Pwahaha ! La Panda d’Piles ! Oooooh, elle est jolie, celle-là ! Mais moins que le coup du 12 martalo. Punaise, mais oui ! On aurait voulu le faire exprès qu’on n’y aur… Ahem, bien sûr, bien sûr, tout était calculé dans le choix des dates de cette édition des RI, voyons. Tu as saisi cette perche qui vous était tendue avec br… Comment ça « pas crédible » ? Ben ouais, la Fin Patraque commémorant l’accession de Pandawa au Panthéon a lieu chaque 17 martalo, et non le 12. A cinq jours près, t’y étais !
Toujours est-il que ce petit point background était fort agréable, notamment l’interrogation interne de Mina au sujet des grandes dates à retenir… C’était drôle, tout naïf, et fichtrement efficace. Même chose pour la remise en question des intentions des intervenantes précédentes, sans pour autant tacler ces dernières à la gorge.
Sans blague, douze ans, ça fait quand même jeune pour devenir la « collègue de boisson » d’un pilier de comptoir… QUE FAIT LA MILICE ?
Elle… ? Trinque ? Ah… On n’a pas le popotin sorti des ronces, alors…
Punaise, le contraste quasi-graphique entre le Maître Kontouar vanneur et le Maître Kontouar outré (vous l’avez ?) est bieeeeen cool ! On sent le gars qui ne plaisante plus, sur un coup de tambour imaginaire. Ça prend aux tripes, et fait limite froid dans le dos. Bien ouéj. Mais ça ne vaut pas, selon moi, cette description que tu fais du contenu de la chope de Mina.
J’veux dire… C’est bête, hein, mais… Ben, elle a reçu sa boisson, sans trop s’y intéresser. C’était qu’un élément du décor tout juste imaginé et salement survolé dans ma tête jusqu’à ce que tu t’appesantisses dessus. Et là, outch, c’est devenu un personnage à part entière. Alors que t’as fait quoi, concrètement ? T’as évoqué le passage du temps, avec la mousse qui était retombée. Et t’as parlé de sa couleur, pas folle, limite rebutante. Ouais, c’est très-très bête, mais ça (me) suffit. Ça (me) suffit pour se (me) dire : « Ah, ouais, je suis Mina. Vraiment. J’ai écouté l’ivrogne sans l’écouter et regardé ce qu’il me montrait sans le voir. »
J’vais peut-être chercher trop loin, mais ça fait l’effet d’une claque dans la margoulette, en mode : « Si je suis passée à côté de ça, n’y aurait-il pas d’autres points qui m’auraient échap… Oulah, non, ‘faut que je me calme. »
A la fin de l’envoi, tu touches.
Bon, le passage décrivant le sauvetage in extremis de la boisson de Mina était sympa, mais il m’a fait moins d’effet. Je lui ai préféré la pose du Pandawa, éclairée à la lueur d’une flamme chancelante. C’était visuel, ça avait de la gueule, c’était l’une de ces respirations qui manquaient (via les virgules) au récit de manière trèèèès anecdotique. Et la salve d’applaudissements, hahaha, comme à la cantine, bien qu’il n’y ait eu aucun bris de verre ! Par contre, le lait de bambou fermenté a réalisé deux voyages ? Comment tu te la pèèèèèètes ! Même pas cap’ de recommencer, pour voir.
Tout ça avait un joyeux goût de reviens-y : c’était pas de la flotte, loin de là. Une eau de vie savamment distillée, à la rigueur, avec quelques bulles. Ça pétillait sur la langue sans pour autant coller la moindre gueule de bois, mais je maintiens, persiste et signe : la seule déesse adéquate… C’est celle qu’a des couettes.
Ooooh, une autre tête connue... Bon retour par ici !
Pour un peu, on croirait entendre Le Matin en fond musical… C’est un bon réveil, ça, pour une fillette fatiguée de sa première cuite et d’une journée bien chargée. La transition avec la participation précédente est toute douce, c’est chouet… Argh, mince, la voilà mise à mal par un souci de concordance des temps (tu alternes présent de l’indicatif et passé simple), ce qui donne une sensation de zoom-dézoom assez déstabilisante. Il vaudrait mieux que tu t’accordes sur une temporalité en particulier car cela permettrait d’homogénéiser ton récit et d’en faciliter la lecture et, ce faisant, de favoriser l’immersion de ton lectorat.
Double mince, c’est un retour dans le passé que tu nous proposes ici puisque tu ne tiens absolument pas compte de la participation qui a précédé la tienne ! Peut-être as-tu rédigé ton histoire sans en avoir pris connaissance ? Râââh, ce que c’est frustrant… Le contraire aurait été tellement cooooool !
Cool comme l’eau de la Soif (vous l’avez ?) et le fait que tu te serves tout de même des éléments de décor plantés précédemment, ça fait plaisir ! Ooooh, et… Mais… Mais oui ! T’as bien potassé les Commandements d’Ecaflip ! Hahaha, bien joué ! Est-ce que tu vas nous sortir les dix pour rythmer la rencontre de Mina avec ton ange… pardon, avec Egna ? Ce serait assez attendu, mais y a moyen de moyenner un bon fil directeur ! Voyons voir…
HAAAAAN ! MAIS OUIIIII ! Mais-mais-mais… Rôhlalaaaa ! T’as réussi à évoquer un pan peu mis en avant du background officiel en évoquant la légende de l’affrontement entre Ecaflip et l’Hydre ! Je suis Amour, merciiiii ! T’as donc regardé la série Aux trésors de Kerubim ? Haaaaaaa, c’est trop bien que tu t’en serves !
En revanche, c’est dommage qu’Egna parte aussi vite après avoir lâché son anecdote mythique. Le soufflé retombe trop tôt, alors que tu commençais à bien le faire lever. Je m’attendais à une sorte de montée en puissance et… Et puis non, râh ! C’est trop injuste… Enfin, en tout cas, ça fera un cadeau de plus pour Mina, c’est déjà ça. Elle va finir par vénérer Enutrof, à ce rythme-là…
Popopooooo, ce défilé d’habitués des RI, c’est tellement enthousiasmaaant…
Alors, qu’as-tu trouvé de nouveau à raconter, cette fois-ci ? Ah, sympa le rêve plus ou moins prémonitoire, ça pose tranquillement l’ambiance, mais… Oh non, toi aussi tu passes à l’as la participation du Pandawa ? Pfff… Vous avez quelque chose contre les amateurs de boissons alcoolisées, c’est ça ?
Pourtant, j’ai cru qu’il était toujours question de la cuite de la veille pour Mina car j’ai buté sur le fait que ton Eniripsa passe en voletant par la fenêtre de la chambre de la gamine : « Tiens ? Elle s’invite chez les gens comme ça ? Tranquille, la Coumadine ! ‘faudrait voir à pas trop s’gêner... »
‘faut que je te fasse une confidence : à ce moment-ci de l’histoire, j’étais convaincue que la chambre de Mina se trouvait à l’étage de sa maison. C’est sans doute dû au fait que l’Eniripsa volait. J’ai associé sa position aérienne à la nécessité de prendre de la hauteur et n’ai pas songé un seul instant que la chambre se trouvait au rez-de-chaussée. Ce qui a provoqué, plus tard, une drôle de réaction chez moi.
Bref, j’en reviens à Coumadine qui pratique mieux que personne la méthode du pied dans la porte ou, dans le cas présent, de la tête par la fenêtre. Quelle sans-gêne ! « Bonjour, avez-vous entendu parler de notre Sainte Panseuse et Rafistoleuse, la déesse Eniripsa ? »
Vas-y que j’te ficherais pareille envahisseuse dehors, non mais !
Mais Mina est bon public, c’est là son moindre défaut. Et gentille, comme fille. Polie avec ça. Jamais il ne lui viendrait l’idée de couper Coumadine dans son élan, elle est trop bien élevée pour cela ! Et curieuse, hein, ‘faut le dire…
C’qui me permet d’embrayer sur la remarque suivante : Coumadine parle d’un pêcheur s’étant fait mordre par un requin marteau-faucille (allusion fine à l’univers de DOFUS donc j’aime ça donc t’as bien joué donc il faut qu’tu continues ainsi) et dont la cheville avait dû être soignée pour cela. J’sais pas pourquoi, mais j’ai eu du mal à imaginer la cheville mordue car la première image qui m’est venue à l’esprit en lisant « guérir la cheville » était celle d’une entorse. C’qui n’est pas très compatible avec une morsure (de requin, qui pis est). Du coup, ça m’a un brin éjectée du récit. Peut-être qu’en utilisant un autre mot, comme « rafistoler » ou « suturer », l’image des chairs déchiquetées m’aurait plus facilement sauté au visage ? Aucune idée, mais j’avais envie de t’en parler.
Et toi aussi t’as dû avoir envie de causer, parce que tu as doté Mina d’un nouveau trait : la maladresse ! Maladresse que l’on peut retrouver dans d’autres participations, ça fait un petit pont entre elles et la tienne, c’qui est chouette, même si ce n’est pas forcément volontaire.
Et puis ça te fournit un matériau à exploiter : Coumadine peut faire une démonstration des pouvoirs conférés par sa divinité sur les blessures de… AAAAH, LA FENÊTRE ! MINA NE SAUTE PAS !
Tu vois ce que ça fait que de penser que la chambre de Mina se trouve à l’étage ? J’ai cru que la petite était encouragée à se défenestrer ! T’as voulu tuer Mina, c’est ça ? C’est ça ? Tu devrais avoir honte… Avoue, Coumadine bosse pour qui ? La MORGUE d’Eniripsa ?
Blague à part, y avait incompréhension de ma part, donc je suis retournée lire le début de ton histoire pour déterminer si, oui ou non, la chambre se trouvait à l’étage, etc. Apparemment pas, mais ce n’était pas très clair, aussi ai-je pris le parti de me dire que j’avais mal interprété les choses.
Par contre, autant t’as géré avec le requin marteau-faucille, autant je ne m’explique pas que tu n’aies pas relevé la coquille sur le « lapin ». A moins que le sort n’ait changé (mais je viens de vérifier et il apparaît que non), cette créature insupportable aux longues oreilles s’appelle un lapino (avec un o) ! Comment se fait-il que tu aies commis une erreur aussi impardonnable ? C’est fini entre toi et moi. Tu t’es dit que tu m’avais charmée avec ton marteau-faucille et que tu pouvais te permettre ce genre de petite trahison ? Mais non ! Que daaaalle ! Et t’as rempilé avec l’histoire du « chat », en plus, alors qu’un « chacha » aurait convenu à merveille...
Bon, je m’emballe, mais, tu l’auras compris, c’est un peu regrettable de buter là-dessus (et j’exagère avec le mot « buter ») alors que t’as fait l’effort de coller à l’univers dofusien plus tôt dans le texte.Gros sourire à la lecture du manque d’autorité de Coumadine sur Pinpin, c’était amusant à visualiser et, rien que d’en reparler, je me remets à pouffer.
Bon, au final, je trouve que LE moment qui m’a le plus interpellée, ç’a été celui de la réflexion de Mina à propos de son sentiment d’être redevable. Mine de rien, tu posais une question ‘achement intéressante : « Devait-elle choisir un culte pour remercier l’un de ses membres d’avoir fait quelque chose pour elle ? »
Ça pouvait créer un débat interne bien-bien sympa : le choix de Mina serait-il biaisé ? Le fait d’être, en quelque sorte, « achetée » par l’un ou l’autre des croyants, remettait-il en question la puissance de sa dévotion envers la divinité qu’elle choisirait ? Non, vraiment, ça n’avait l’air de rien, lu comme ça, mais ça stimulait fortement l’imagination, bravo !
Nouvelle tête, d’accord, mais nouvel Ecaflip ! Le culte du Grand Taquin a le vent en poupe, dites donc…
Ooooh, ça commence bien. Tu établis des liens entre ton histoire et celle des autres en utilisant des adjectifs communs (ah ben je viens de lire que tu ne t’en caches même pas), c’est malin ! Et puis le fait d’avoir, à nouveau, un personnage en-dehors du stéréotype de l’intervenant d’une beauté et d’un charisme à couper le souffle, aaaah, ça fait du bien. Longue vie aux guenilles !
Le souci, c’est que tu indiques que Mina n’a jamais rencontré d’Ecaflip par le passé. Or on a eu la preuve que si, deux participations plus haut. Tu n’as donc pas pris en considération les récits précédents… Au contre-argument du « mais si, c’est seulement que ça se passe AVANT que Mina ne rencontre Egna », je répondrai qu’il n’est pas forcément utile, sur une histoire globale s’étalant sur deux semaines, de chercher à remonter le temps en s’insérant entre deux participations (à moins de jouer dans l’équipe de Xélor). Y a de la place pour tout le monde, ne vous en faites pas ! Je suppose qu’il s’agit simplement d’un concours de circonstances : t’as écrit ton histoire sans savoir que d’autres avaient été publiées entre temps (c’est à la fois la force et la faiblesse des RI : savoir s’adapter à un contexte changeant ou y renoncer en prenant le risque de créer des incohérences).
Passons. La tirade de Miaouch, le fond de son discours, ahlala… Ce que ça donne envie de l’imiter ! C’est chouette qu’il cherche à descendre les adeptes des autres cultes (légèrement) afin de valoriser le sien, mais ce qui me séduit le plus dans ce qu’il raconte, c’est sa mention de ses amis, de sa guilde. La foi, c’est bien, mais c’pas le plus important. C’est quelque chose qui n’avait pas encore été évoqué dans les autres récits, et je trouve bigrement chouette que tu l’aies fait dans le tien, merci !
Les références au Seigneur des Anneaux sont agréables, celle au corbeau de la fable un peu moins car purement gratuite dans la mesure où elle ne sert en rien le récit. Le coup de l’Empileur créateur de piles est drôle, allez, je le concède !
Toujours est-il qu’à partir de la sortie de la forêt, j’ai l’impression que tu précipites les choses dans la mesure où tes descriptions se font moins riches, plus évasives, au détriment de l’immersion. Les événements s’enchaînent à toute vitesse : « On sort de la forêt. On va à la plage. Y a une grotte qui mène à un souterrain. Il permettra d’accéder à la Bossue ! Aïe, je suis blessé ! »
Il n’y a plus cette progression narrative que tu avais instaurée au début de ton récit, et je ne te cache pas que j’ai dû zieuter la carte fournie au début du topic RP pour essayer d’y voir clair dans les pérégrinations de Miaouch et Mina.
Bon, les allusions aux sortilèges d’Ecaflip sonnent juste la plupart du temps, mais qu’est-ce que ceux-ci auraient plus de panache s’ils étaient davantage accompagnés de descriptions adéquates ! Rôhlala, ça aurait tellement plus de gueule ! Et j’suis certaine que t’en es capable, hein ! Alors pourquoi nous/t’en priver ? Ah, peut-être à cause de la limite du nombre de mots ?
Je t’ai cherché des excuses, des pirouettes, pour me convaincre que tu n’attentais pas au background officiel en déclarant que la pièce appartenait à Ecaflip : « Ouiiii, on pourrait dire qu’elle appartient à Ecaflip PARCE QUE son créateur la lui a dédiée. De fait, elle serait au Grand Taquin sans que ce dernier ne soit jamais intervenu… Allez, on va dire que ça passe, vu sous cet angle ! »
Par contre, non.
Non, non et non ! L’ellipse de l’effondrement, c’est un scandale !
« Et à ce moment »... Je t’en ficherai, moi, du « et à ce moment… » !
Je voulais davantage de contexte, moi… Tu m’en prives de la plus vile des manières, je suis Colère, na. Le poème final est sympa, même si la métrique aurait mérité un petit coup de polish final. Idem pour l’hirondelle que tu aurais pu, je crois, revisiter à la sauce douzienne, afin de conserver l’immersion jusqu’au bout !
Au final, Mina obtient, une nouvelle fois, un cadeau/souvenir de sa rencontre avec une religion, et ça s’inscrit dans la lignée que vous, participants de ces RI#10, semblez avoir décidé d’initier. C’est raccord !
Sur le chemin du retour ? Quel chemin du retour ? Je… Je suis perdue, alors que l’histoire vient tout juste de commencer. TT_TT
Ça ne peut pas être après l’aventure avec Miaouch. C’est peut-être dans la foulée de celle avec Coumaline ? On manque de repères temporels, argh. Bon, au moins, on sait que ce passage se déroule après la promenade avec Rosæ.
Il faut tout de même se réjouir du fait que Mina gagne un frère dans l’affaire ; c’est une bonne chose, ça lui évitera d’être fille unique ! Leur relation ne semble pourtant pas être au beau fixe, tout juste cordiale, c’est un peu triste…
Toujours est-il qu’il faut mettre en avant que tu as pris soin de t’intéresser aux Commandements d’Osamodas, l’haleine fétide de Jean-François l’atteste, et, ça, c’est super ! Ça (me) montre que tu as fait des recherches. Je te conseille, d’ailleurs, de procéder de la sorte pour tout ce qui a trait à la relecture. En l’état, de nombreuses erreurs se sont glissées dans ta participation et tu aurais pu, je pense, en éliminer une quantité non négligeable en relisant ton texte à tête reposée et/ou en utilisant des correcteurs disponibles en ligne. Si je te fais cette remarque, c’est uniquement pour que tu comprennes que l’immersion dans ton histoire peut être malmenée par ces erreurs : ces dernières éjectent le lectorat du récit et l’empêchent de l’apprécier à sa juste valeur. En les corrigeant, le gain est double : tes lecteurs profitent à fond de ton histoire et, toi, tu progresses !
Ça, c’était pour la forme, j’en reviens au fond et notamment au traitement de Jean-François. Somme toute, ce dernier est assez timide. N’aie pas peur, ose, fonce, lance-toi ! JF (je peux l’appeler JF ?) doit avoir tant de choses à raconter à sa sœur, tant d’anecdotes à partager avec elle au sujet de ses camarades à poils, plumes et écailles… Leurs plus beaux exploits, leurs pires mésaventures, leurs joies, leurs peines… Y avait matière à accentuer davantage la description du quotidien d’un disciple d’Osamodas. Comment l’imagines-tu, toi, ce quotidien ? De quelle façon penses-tu que s’écoulent les journées de Jean-François et sa troupe ?
Alors, oui, d’accord, le passage pratico-pratique du dressage de Mulou fonctionne bien, c’est sûr. Mais il y avait moyen de pousser les choses encore plus loin, je crois. Au niveau des impressions, des sensations, des réactions des personnages à partager avec nous, tes lecteurs…
C’est la première fois que tu te lances dans les RI, ta participation est tout à fait honorable, ne t’en fais pas, mais y a… Y a ce « mais », justement, parce que j’avais l’impression que tu tenais quelque chose d’assez fou entre tes mains (le pendant faunistique de la promenade forestière avec l’adepte de Sadida) et que tu n’as fait qu’en effleurer la surface. Peut-être par retenue, je ne sais pas ? A moins que je ne me monte le bourrichon ? Dis-moi ce qu’il en est, s’il te plaît, parce que j’ai envie de savoir comment tu as abordé les choses, ça m’intéresse !
Le retour d’alexiacia ! Que d’habitués, que d’habitués…
Brrr, pas gentille, cette intervenante. Elle a des idées bien arrêtées, dis donc. Espérons seulement qu’elle n’a pas également arrêté d’avoir des idées…
J’en profite pour ouvrir une parenthèse sur l’emploi des temps : tu utilises beaucoup-beaucoup l’imparfait du subjonctif au lieu du passé simple. Or certaines actions de ton adoratrice de Sacrieur ne s’étalent pas dans le temps (imparfait), mais sont ponctuelles (passé simple). Je conçois qu’à l’oreille, on ne fasse pas la différence, mais à l’écrit, celle-ci existe. Je referme ici la parenthèse.
Le fait d’avoir opté pour un personnage d’abord simple observateur te permet de réaliser de multiples références, allusions et — cerise sur le gâteau — commentaires au sujet des interventions des autres participants. C’est pratique, ça tient la route, t’aurais eu tort de t’en priver ! Tu aurais même pu marquer des points et leur voler la vedette en allant plus loin, niark niark niark.Je m’explique : ta Sacrieur reproche leurs boniments à ses « concurrents » du moment, mais elle ne cherche pas, elle-même, à proposer autre chose que des paroles et des discours grandiloquents à Mina.
Peut-être aurait-elle pu tirer son épingle du jeu en partageant son expérience de la souffrance (ses bons comme ses mauvais côtés) avec la petite ? En l’état, elle se contente de peu et, pour une femme d’action telle qu’elle semble être, il est dommage, à mon sens, qu’on ne puisse pas davantage joindre le geste à la parole… C’est comme la couronne d’épines : tu aurais peut-être pu davantage développer autour de son histoire, pour que Mina comprenne mieux ce qu’elle représentait, et se fasse une idée plus précise de ce qu’était le culte de Sacrieur ? Tout cela est restée très théorique. Trop, peut-être ? Je voulais te lire davantage, moiiii… TT_TT
‘as-y, d’où tu critiques le cidre des Isselba ? Non mais, tu… Ouais, bon, il n’est peut-être pas siiiiii bon que ça dans la bouche d’une Sacri’ qui a roulé sa bosse et dû boire quantité d’autres alcools. N’empêche qu’il est plutôt fameux, selon les critères locaux…
Ce qui me rend hyper jouasse — parmi d’autres choses, hein — c’est que t’as vraiment intégré et respecté la temporalité des différentes interventions : tout le monde trouve un écho à sa participation dans ton récit (sauf peut-être le Pandawa) et les événements du tien se déroulent bel et bien le lendemain de l’amorce. Une telle prise en compte des histoires de chacun, c’est super ! Merci beaucoup !
Du descriptif, du narratif, des enjeux, de la réflexion… Y a à boire et à manger, là-dedans ! O_o
Décortiquons tout ça dans la mesure de mes maigres moyens… Sans déc’, vous n’avez peut-être pas idée de ce que c’est que de commenter chacune de vos œuvres sans (se) donner l’impression de céder à la facilité d’un : « GG, c’était bien. A plus ! »
J’veux du retour constructif qui vous serve, moi ! Allez, je m’retrousse les manches et j’y r’tourne.
Bim ! Les parents de Mina ont désormais un nom, ‘faudra qu’on s’en souvienne, idem pour leur profession ! Plus de relief, toujours plus de relief ! Encooooore, s’il vous plaîîît !
Ne penses-tu pas qu’à « un quart d’heure de la côte », les habitants des Piles savent plus ou moins tous où s’achève le voyage de la Soif ? Huhuhu.
Vu que Mina se réveille en fin de matinée, j’imagine qu’on en est au troisième jour ? Ah ! Voilà ! Toi aussi tu avais compris que sa chambre se trouvait à l’étage ! Je ne suis pas totalement folle, voilà qui me rassure…
Argh, l’oncle Ben est un Eliotrope. J’veux bien qu’un grand pouvoir implique de grandes responsabilités, mais que les Douze et les Autres nous préservent de l’abomination (in)cohérente que représente ce peuple… Bon, voyons voir sur quel pied tu as décidé de nous faire danser.
Pfouuu, mais ces descriptions, quoi… Cette immersion… Allez, j’peux avoir du rab’, s’te plaît ?Et ce sens de la formule, huhuhu ! « Le jour n’attend pas le réveil des étoiles », rien que ça. C’est joliment tourné, y a pas à mégoter, bravo !
J’apprécie énormément le fait que Bayhn soit indescriptible ? J’veux dire, t’as beau lui avoir collé des traits lisses, des yeux profonds et une carrure qui ne passe pas inaperçue, c’est tout juste si je parviens à me le représenter mentalement. Non, à vrai dire, je n’y parviens pas. Du tout. Pour moi, c’est une silhouette à contre-jour, une vague tache floue et ça ne fait qu’accentuer la malédiction des Eliotropes (: s’effacer, à leur trépas, de la mémoire de ceux qui les ont connus). Voulu ? Pas voulu ? J’m’en moque, ça me plaît, tout simplement.
Dis voir, tu fais de l’escalade ou pas ? Outre les descriptions (j’ai déjà parlé de tes descriptions ?) prenantes et ô combien pertinentes, y a cette sensation de se retrouver en pleine séance de grimpe lors de l’ascension de la Bossue par Mina et son oncle.
D’ailleurs, causons-en de la Bossue ! Ça va me permettre de mettre le doigt sur ce qui m’a fait grincer des dents après avoir constamment soupiré d’aise. Ton idée de donner une signification au nom du village est très bonne. C’est réfléchi, ça paraît cohérent, et ça enrichit d’autant plus l’histoire collective en approfondissant celle du lieu. Cependant, en ce qui concerne le respect du background officiel, je ne suis pas certaine que cela puisse passer d’annoncer, de but en blanc, que la Bossue est l’équivalent d’un réacteur nucléaire longtemps convoité mais jamais véritablement exploité. D’autant plus que la notion de « Wakfu » est relativement confidentielle et nouvelle. Certes, on n’a pas précisé à quelle époque se déroulaient ces RI ! Oui, tu précises qu’il n’a pas été fait grand usage des gisements cachés. Mais il n’empêche que… Il n’empêche que ce serait conférer beaucoup (trop) d’importance à l’endroit (quand bien même tu pourrais jouer sur la notion de « réputation » pas forcément vérifiée) en plus de risquer de bouleverser l’équilibre du monde connu en conférant un sacré regain de puissance aux adeptes du… Du Roi-Dieu. Pas de la Grande Déesse.
Parce que cette dernière est vénérée par les Eliatropes, alors que c’est son fils (le Roi-Dieu) qu’adorent (ahem) les Eliotropes. Y a un semblant de confusion ici, que l’on pourrait balayer du revers de la main en prétextant que Bayhn a lu les textes apocryphes de Lyrad le Silencieux (Du Wakfu, pour ceux que ça intéresse). Le mystère demeure ! D’ailleurs, ton personnage prétend que Nelop, son frère, était un Eliatrope. La chose est impossible car les seuls Eliatropes encore en vie, à l’ère des Dofus, sont confinés à l’intérieur d’Emrub et il s’agit uniquement des enfants du peuple de la Grande Déesse. Les adultes, eux, sont tous morts lors de la dévastation du futur Monde des Douze durant le cataclysme ayant débarrassé sa surface des Méchasmes qui s’y trouvaient. Du coup, déso’ pas déso’, y a quelque chose qui ne se tient pas dans ce que ton personnage explique à Mina. Quand j’disais que la cohérence avait tendance à être malmenée dès qu’on touche aux Eli(x)tropes...
Pour finir — parce que toutes les bonnes choses ont une fin, ton récit y compris — tu nous as casé un chouette rebondissement final avec la révélation du secret de la filiation de Mina. Pauvre gosse ! Elle qui devait passer deux semaines à réfléchir à son orientation religieuse, là voilà qui risque de harceler ses parents de questions et nous faire une crise existentielle. Je ne te félicite pas, c’est honteux. Quel oncle affreux ton Bayhn fait !
D’ailleurs, cette annonce signifie autre chose : Jean-François, le « grand-frère » de Mina, serait son demi-frère, issu des amours de Martol avec quelqu’un d’autre puisque tu précisais que Mina était la première enfant d’Alyne (et j’ai crié… Criéééééééé ! Alyne, ‘faut qu’tu rev…).
Oulalah, ça devient compliqué tout ça…
Quoi qu’il en soit, je te remercie pour cette première participation aux Récits d’Invention, et j’espère bien te relire lors des prochaines éditions ou, plus rapidement, au sein du Coeur de la Fontaine. Mon p’tit doigt me dit que tu as encore plein de choses à nous raconter...
Aaaah, Fantoto, Fantomine… Comme on se retrouve, oui-oui-ou… Hé mais, non !
Non-non-non ! Ce ne sont pas les Piliers, mais les Empileur(se)s ! C’est écrit sur le topic RP… Aaaargh, nooooon ! Pourquoiii ? Pourquoi si tôôôt ? Je… Ça y est, tu m’as brisé le coeur. Non, n’insiste pas, te dis-je, tout est fini entre nous, je…
Bon, oui, c’est chouette d’avoir voulu améliorer l’histoire des Piles en donnant un nom à celles et ceux qui y habitent, mais tu aurais dû relire le texte introductif car l’information y figurait déjà. N’as-tu donc aucune considération pour nos pauvres déclarations ? Je me sens trahie et ma peine est indescriptible… TT_TT
A part ça, j’aime bien la description de l’atmosphère des Piles, ça colle tranquillement à l’idée de village paisible que je m’en fais. Machin qui sait tout de ses voisins parce que Bidule lui raconte les dernières anecdotes glanées auprès de Trucmuche… Ah, la vie en communauté restreinte !
Et puis cette idée de créer une coutume à base de cidre, hahaha, c’est tellement pittoresque ! Plus que le concours de beauté entre Fantomine et Rosæ, tu me diras, mais t’as bieeeen rattrapé le coup avec le dialogue qui a suivi. Sa teneur en crédibilité était assez importante ! Les échanges étaient logiques, pour le moins naturels et les réactions des deux protagonistes (bon, surtout celles de ton personnage) sacrément… Ben… Intéressantes !
Son positionnement vis-à-vis de la nécromancie (coeur-coeur pour la moue de dédain) constituait une superbe réappropriation/exploitation d’idée ! Tu rebondissais carrément sur l’un des récits précédents, au lieu de céder à la facilité de la simple énumération des rencontres. Merci !
Bon, ’faut que je te le dise (à toi comme aux z’autres) : à chaque fois que vous vous affairez à décrire un parcours réalisé par vos personnages et celui de Mina, je galère affreusement à tenter de comprendre par où vous passez à l’aide de la carte fournie dans la première publication. C’est ignoble, et j’en viens à me demander si vous ne le faites pas exprès… Bande de sadiques.
A part ça, je n’ai pas très bien saisi l’intérêt de courir après Fantomine d’un seul coup d’un seul. Ça m’a semblé sortir d’on ne sait quel chapeau tellement c’était soudain. Au vu de l’orientation de la carte, je suis prête à parier que le bois dans lequel les deux personnages pénètrent n’est pas le même que celui de Rosæ sinon il y aurait, je crois, un souci dans le trajet réalisé par Mina et Fantomine. Après tout, nous vous avions dit qu’il y avait des bois millénaires autour du village donc ça demeure crédible.
La présence d’une liane, en revanche, m’a quelque peu désarçonnée tant elle paraissait déplacée sous un climat tel que celui des Piles de Kontouar. Enfin, sur l’île de Moon, à la rigueur, j’aurais compris… Mais du côté des Piles, j’sais pas, ça me semblait un tantinet incongru. Idem pour l’évocation de la biche et de son faon. Ça, je sais pourquoi ça m’a surprise : c’est tout bonnement parce que je n’ai jamais imaginé voir ces animaux dans le Krosmoz, n’ayant jamais lu non plus la moindre mention à leur sujet… Pour le coup, j’étais un peu perdue : « Euh, mais… Ça se passe où, au final, tout ça ? Je… Je ne reconnais pas le Monde des Douze. »
Peut-être qu’avec des termes plus évasifs, moins précis, des sous-entendus, ce serait mieux passé ? Du type « elles virent deux cervidés : une mère et son petit », comme tu l’as fait plus tard. Là, tu aurais évoqué sans nommer, laissant notre imagination faire le reste, au lieu « d’imposer » une image précise (et potentiellement erronée, j’en sais rien) à notre esprit. C’est un détail, hein, mais je me devais de le mentionner puisqu’il a haché ma lecture à ce moment-là. En plus, on a découvert dans la mise à jour de Pandala qu’il y avait des inspirations de cervidés, donc ça pouvait passer d’autant mieux...
Tu sais quoi ? Je suis sûre que Fantomine… c’est Pocahontas. D’ici deux paragraphes, elle va nous chanter L’Air du Vent et plonger dans un torrent. O-bli-gé.
Tiens ? Même pas ! Bon…
Par contre, la bergerie sort d’où ? Elle se matérialise d’un seul coup à l’orée de la forêt ? Ne penses-tu pas que tu aurais gagné en immersion en prenant le temps de décrire ce bâtiment et/ou sa découverte par les deux jeunes femmes ? Elle aurait peut-être moins donné l’impression de jaillir du néant pour des besoins purement scénaristiques (la partie de cache-cache).
D’ailleurs, jouer à cache-cache avec une adoratrice du Nuisible Invisible ? NERF SRAM ! GO BAN !
A ce sujet, ça me permet une transition bienvenue au sujet de quelques formulations et coquilles éparpillées au long de l’histoire qui auraient mérité une plus ample relecture. Exemple de circonstance : on ne se « met » pas « invisible », on le devient. C’est tout bête, mais ça fait une différence appréciable. En l’état (sans doute parce que je suis une peau de vach… pardon, de Moogrr), ça m’a fait tiquer et regretter que tu n’aies pas davantage pris le temps de choisir comment tourner ta formule. En gros, ça revenait à découvrir que tu m’avais gentiment offert un bouquet de fleurs, mais que l’une d’entre elles était déjà fanée. Visualises-tu le désarroi qui fut le mien ? Ma détresse psychologique ? HEIN ? Non, nooon, bien sûr que non… Tu préfères gambader avec Mina pendant que… Ah, oui, Mina. Revenons-en au plus important : le récit !
C’est le résultat qui compte. Point.
Je…
Oui.
Merci. Ton interprétation de la philosophie Sram, dans toute son évidence, est aussi simple que plaisante.
Tu veux la bourse de ce marchand, là-bas ? Débrouille-toi comme tu veux. Vole-la. Tue-le et dépouille-le. Envoie quelqu’un faire le sale boulot à ta place. Fais à ta façon, du moment que tu atteins ton objectif. Làààà, on cause ! Lààààà, y a un moment riche d’enseignements ! A ceci près que Sram n’est pas le dieu de la Mort, hé.
Les insinuations au sujet des autres cultes frisent la manipulation chère à la Grande Ombre au Tableau, c’est très bien vu, bravo !
Mais ce qui achève de poser la cerise sur ton pudding à l’arsenic (Sram oblige), c’est cette espèce de fatalité dans ta toute dernière phrase : « après tout, elles étaient aux Piles ».
Tu trouveras peut-être ça bête, mais… Pfou. J’sais pas trop comment le formuler… Y a une sorte de résignation, de vérité universelle, d’évidence douloureuse dans cette seule remarque et… Et ça pose une ambiance, quoi. Ça résume l’atmosphère du lieu, des parages, de la région ! Ce sont les Piles, et les Piles resteront toujours ce qu’elles sont, contrairement à celles et ceux qui la peuplent et qui, eux, ont le choix de devenir qui ils veulent. C’est trois fois rien, mais ça fait tout. C’est la petite claque… Non, la petite tape compatissante sur l’épaule à l’heure des adieux. Punaise, c’est une conclusion dans la conclusion et, ça, c’est… Ça fait du bien, même si ça fait du mal. C’est un pincement au coeur, voilà ! Et si c’en est un, c’est que ça fonctionne. Bravo !
Poum-poudoum, une nouvelle tête fait son apparition, tralalalalèreuh !
Argh, par contre, il aurait fallu que tu te relises davantage. Je ne le répéterai jamais assez : relisez-vous, toutes et tous, ne serait-ce que par respect pour votre lectorat ; si vous ne le faites pas pour vous, faites-le pour nous. TT_TT
Il n’y a rien de plus terrible que d’être éjecté d’une histoire par des erreurs qui auraient pu être évitées grâce à une relecture consciencieuse et/ou l’utilisation de logiciels de correction. En l’état, je suis contente de voir apparaître un vieillard bienveillant, mais je peine à entrer dans ton récit à cause de fautes qui n’ont pas lieu d’être.
Peut-être que tu rencontre des difficultés face à l’écrit et il est, dans ce cas, tout à ton honneur d’avoir osé relever le défi de participer à ces Récits d’Invention (bravo-bravo, continue comme ça, c’est une très bonne mentalité), mais, par pitié, essaye d’utiliser les moyens à ta disposition pour combler les lacunes qui peuvent être les tiennes.
Promis, j’arrête là en ce qui concerne la forme de ton récit, je me doute que ce n’est pas le genre de chose agréable à lire (à moins que tu ne sois masochiste, après tout, c’est toi que ça regarde), mais je me devais de t’en faire la remarque… Ne serait-ce que par souci d’honnêteté !
L’histoire, donc. TON histoire. Ton Père Castor — tu permets que je l’appelle comme ça ? C’est la première image qui m’est venue à l’esprit lorsque j’ai débuté ma lecture — file d’entrée de jeu une information cruciale concernant Mina : elle a des petits frères et/ou petites sœurs, en plus d’avoir un grand-père aux Piles de Kontouar. L’arbre généalogique de l’héroïne n’en finit pas de se dessiner… Au grand désespoir de mes méninges. C’est que ça devient touffu, tout ça ! Vous êtes des grands malades, hein. Vous le savez, ça ? Dites, vous le savez ? Chut. Ne répondez pas. On a dit qu’on parlait de l’histoire.
Je me demande comment considérer l’implication du vieux dans les aventures de Mina dans la mesure où il ne lui présente pas la divinité qu’il vénère, mais l’envoie rencontrer différents adeptes des Douze. S’agit-il d’un hors-sujet, d’après toi ?
D’un côté, le papy influence le choix de Mina vu qu’il élimine de l’équation des cultes qu’il considère inconvenants. Il exprime donc un avis et, en ce sens, il y a un parti-pris en ce qui le concerne. Cependant, d’un autre côté, ton personnage n’explique ses raisons qu’à ses pôtits n’enfants et pas à Mina elle-même. Cette dernière ne peut donc pas bénéficier des réflexions de l’ancêtre et de son avis éclairé au sujet des différentes « classes ». D’ailleurs, le choix de ce mot m’a paru déplacé : il est sensément plus utilisé dans un contexte HRP (: comprendre « entre joueurs conscients parlant d’un jeu vidéo ») que dans un contexte RP (: « où les personnages font partie intégrante d’un univers dont ils n’ont pas tous les codes, sans se douter que celui-ci est fictif »). Du coup, ça m’a fait une drôle d’impression ! Mais c’est peut-être uniquement dû à ma perception des choses, hein ? T’inquiète.
T’avais bien commencé ton histoire en pensant à faire quelques allusions à d’autres participations, et j’ai regretté que tu n’aies pas poursuivi en ce qui concernait le personnage de la maman que tu décrivais comme souvent en vadrouille aux quatre coins du monde. L’image colle assez peu, je crois, avec celle que dépeignait une autre participation (: à savoir une mère de famille venue aux Piles pour vivre de la culture du lin), c’est dommage car ton récit aurait gagné à exploiter ce filon !
Même chose pour l’allergie subite de Mina aux poils de rongeurs à longues oreilles : une participation précédente mettait la gamine en relation directe avec un Lapino sans que rien de dramatique ne lui arrive. Aucune réaction allergique, pas un seul éternuement ni même la moindre démangeaison… Difficile de se convaincre, dans ces conditions, que ce qu’affirme ton personnage puisse être véridique ; il y a une certaine incohérence dans cette déclaration.
Et vient enfin le moment où tu fais intervenir un personnage nommé (et pour cause, c’est celui que tu joues sur DOFUS). Là, tu commençais à prendre tes aises. Là, t’avais des choses à dire. Là, c’était l’occasion de nous faire découvrir Sunsilver, sa façon de penser, de parler, d’agir, et d’être. Son caractère, ses manies, ses réactions face à différente situations, ô Douze comme j’aurais aimé que tu nous les dévoiiiiiles ! C’était vraiment LE tournant de ton récit car tu avais toutes les cartes en main pour devenir, véritablement, maître de ton récit. Et tu nous as privés de toutes ces belles choses, bouhouhouuuu… TT_TT
Tu as expédié le tout comme tu l’as fait des différentes autres anecdotes au sujet d’adeptes moyens des Douze. Sunsilver n’avait, finalement, rien de plus qu’eux tous, si ce n’est un nom. Pourquoiiii ? Pourquoiiiiiiiiiiiii ? Tu étais l’Élu, Sunsilver, c’était toi ! La pro-RI que je suis voulait que tu t’affranchisses de la routine, pas que tu t’y conformes ! Tu devais amener l’originalité dans l’histoire globale, pas la condamner aux regrets ! Nous étions comme des frères… Je t’aimais Anaki… ultimafeca2011. Ahem.
Je suis Colère et Espoir. Colère parce que j’ai un sentiment d’inachevé ou d’inexploité face à ta participation qui recèle un potentiel certain (pour ne pas dire « un certain potentiel ») et Espoir parce que tu as désormais des pistes d’évolution pour tes prochains écrits. Et j’espère bien pouvoir les lire, ceux-là ! Non mais oh. Tout de même. Allons. Hé. Ne crois pas t’en tirer comme ça, mon gaillard, je t’ai à l’oeil !
Outch… Pavé César, ceux qui ne te liront pas te saluent !
Bonjour-bonjour, avez-vous entendu parler de Notre Régente et Maîtresse, la Mise en Page ? Sérieusement, Javion, aère tout ça ! Ouvre les fenêtres, saute des lignes, espace tes paragraphes ! Que cette impression de densité disparaisse et emporte avec elle cette appréhension du type : « Euuuuh… Qu’est-ce que c’est que cette masse-là ? C’est quoi ce mur textuel ? Non. Non-non-non. J’ai claiiiiirement pas envie de me taper un pavé aussi étouffant que celui-ci. »
Je me le suis farci, le pavé, c’est pas l’souci, mais punaise… La mise en page, quoi.
Question forme, donc, c’est un gros pâté du genre bourratif (: pas « bien bourratif », hein, juste bourratif). En ce qui concerne le fond, en revanche, c’est totalement différent !
Déjà, rien que le rythme, les descriptions et le concept en lui-même ! L’éloge de la lenteur dans toute sa splendeur… Punaise, ce que ça fait du bieeeeeen ! Une pause au milieu du rythme effréné des autres histoires. Une parenthèse aussi bien narrative que réelle. Aaaaah… Bonheur. Luxe, calme et volupté, comme dirait l’autre.
Et puis cette conception du temps, des choses qui importent, des événements qui comptent. Cette formulation : « Ils restaient assis à regarder les étoiles jusqu’à ce que leur pâle lueur ait absorbé les doutes et les chagrins. »
« Jusqu’à ce que leur pâle lueur ait absorbé les doutes et les chagrins » ! C’est impossible, c’est poétique, c’est beau. Encore !
Le traitement d’un Broussaille (avec ou sans s final ?) bourru, archétype du vieil ours solitaire ému par l’innocence de la jeunesse. Un cliché sur canne, mais — pfiou ! — ça fonctionne teeeeellement bien...
« Ils restaient assis à regarder les étoiles jusqu’à ce que leur pâle lueur ait absorbé les doutes et les chagrins. »
Je. Ne. M’en. Lasse. Pas. Mmmmh…
Et cette énumération constante des forces extérieures qui tentent d’exercer une pression, aussi faible soit-elle, sur la carapace de l’habitant du vieux frêne. Des gouttes de pluie sur le plumage d’un Kouin Kouin ! Là encore, c’est très imagé sans l’être. C’est rythmé, et même mélodique. On entend la petite musique broussailleuse en fond sonore, très ténue, toute à base de râles, de reniflements, de soupirs et de ruminements. Avec le métronome de la canne sur le sol inégal de la vie des Piles. Rôhlala, mais qu’est-ce que tu me fais lire, Jaja ? Qu’est-ce que tu me fais dire, surtout ?
Il BOUDE, le vieux. Il. Boude. Et c’est affreusement mignon. Le contre-pied est total tandis que je prends le mien (de pied). C’est habile, je jubile.
Petit bémol, cependant, avec la scène de dialogue. Je ne saurais trop dire pourquoi, celle-ci sonne moins… plus… Râââh, comment dire ? Là où les paragraphes précédents mettaient l’accent sur la représentation et l’appropriation mentales de l’histoire par le lectorat, l’échange verbal, lui, était figé dans la pierre. Immuable, statique. Les précédentes discussions se faisaient au discours direct et, ce dernier, m’a paru un poil trop vif, immédiat ou réactif pour un texte basé sur l’assimilation lente et progressive d’événements vécus plus ou moins directement.
D’où cette impression de décalage, de petit vertige. Pas inconfortable, hein, mais plus aussi bouyou-bouyou (terme technique) qu’auparavant. A la relecture, je m’aperçois que c’est le changement de point de vue (on suit désormais Mina) qui justifie un tel revirement rythmique. Ceci explique cela, il me semble. Mais j’préfère quand même le vieux, na.
Broussaille, je crois, parle trop — trop vite, trop fort — car il a trop de choses à dire (tu dis toi-même qu’il n’est pas dans son état normal et que sa réaction est exceptionnelle). Il ne laisse pas Mina tirer des conclusions de ses silences et de ses marmonnements (et, d’un autre côté, je le conçois, ç’aurait été tellement chiant que cet échange se base sur de pauvres et laconiques « oui » et « non » en guise de réponses aux questions métaphysiques de la petiote). Certes, il propose une approche totalement inédite de la situation par rapport à ses « concurrents » (là encore), mais n’y avait-il pas un autre traitement possible ? Je n’en sais rien et, si tu as choisi celui-ci, c’est que tu devais avoir tes raisons. Cette seule idée me suffit.
D’ailleurs, ne te serais-tu pas essayé, toi z’aussi, à l’art des passeurs de songes sur la fin de ton récit ? La fatigue semble avoir prélevé son tribut et ton attention avoir décru, en atteste l’apparition inopinée de quelques coquilles dont ton histoire était, jusque-là, globalement dépourvue. C’est beau un tel investissement, huhuhu !
J’achève cette lecture à la manière de Broubrou et de Nini : le coeur gonflé de bonheur. C’que je m’apprête à t’écrire est mièvre à souhait, mais… Merci.
Allez, boum. On commence directement sur un jeu de mots. Plaisir, joie… Et attentes, du coup !
Des attentes sacrément bien comblées, d’ailleurs. Tu parviens à prolonger cet entre-deux méditatif instauré par la participation précédente en exploitant brillamment le terreau fertile qu’elle représente. Ton récit joue à merveille le rôle de transition… Non, c’est plus que ça, on est au-delà de la transition. C’est de la transition ++ ! Tu parviens à saisir le témoin, à le transporter jusqu’à la prochaine histoire tout en accompagnant cette phase de relais d’une rencontre moins que gratuite et plus que payante.
T’exploites tout : la topographie, les perches tendues (in)volontairement par celles et ceux qui ont pris la parole avant toi et, même si l’on pourrait se demander, de prime abord, comment relier Valcade à la « mission » donnée par les Sept alors même qu’elle n’était pas présente à ce moment précis du récit global, tu réussis à tirer ton épingle du jeu sans nous faire hurler à l’incohérence.
Tout est logique.
Valcade n’était pas là ? Pas grave, Mina lui expliquera.
Que vient faire Valcade dans le coin ? Elle sort de nulle part ? Non, elle vient rendre visite à un personnage susceptible d’être incarné par quelqu’un d’autre, par la suite.
Tout se tient, tu saisis les mains tendues, fournis de la matière à exploiter, c’est fichtrement communautaire !
Bon, parfois, cela en devient limite lourd : je pense principalement à l’énumération des rencontres vécues par Mina. Mais, intégré dans tout le reste, ça passe largement.
Ça passe largement pour la simple et bonne raison qu’à aucun moment ton adepte de Féca ne cherche à se mêler des choix et décisions de la gamine : tu l’as écrit toi-même, son rôle tient plus de l’oreille attentive, de l’étrangère à laquelle on peut se confier sans crainte d’être jugé(e), qu’autre chose. Et c’est, justement, ce qui fait toute sa force. Une force que tu as su, je crois, décupler en endormant Mina. En permettant à la propriétaire de Bola de s’épancher, une fois certaine qu’elle ne serait pas, à son tour, jugée par plus petite qu’elle, tu as mis le doigt sur un point relativement peu abordé auparavant : celui des raisons ayant poussé les différents intervenants à embrasser tel ou tel culte d’une divinité douzienne.
Le regard critique de Valcade sur son propre parcours explose les compteurs d’honnêteté (bon, facile de jouer la carte de la franchise quand son interlocutrice pionce, mais passons) ! Quant à savoir si Mina en retiendra quelque chose, là n’est pas le sujet. L’essentiel est que ton personnage l’ait aidée à prendre conscience de certaines choses, positives comme négatives. Peut-être que l’inconscient de la fillette fera le reste ? Il est des questions qui ne doivent pas trouver de réponse(s).
A l’image du troisième commandement de Féca que tu interprètes (ou cherches à interpréter) chouettement à ta sauce ! D’un côté, ça témoigne d’une certaine recherche de ta part au sujet de la religion Féca, et, d’un autre côté, cela donne une profondeur certaine à Valcade. Tout le monde y gagne : ton personnage, ton lectorat, et toi !
P’tit bémol, à la rigueur, sur les parchemins laissés en guise de souvenir, mais c’est sans doute parce que j’en ai eu une interprétation toute personnelle. J’ai trouvé ce geste déplacé car relativement intrusif, venant de Valcade qui s’était bien gardée, jusque-là, d’influencer de quelque manière que ce soit l’avenir de Mina. Ça revenait à tomber sur un fragment de coquille d’oeuf en dégustant une mousse au chocolat. Tout d’un coup, t’as quelque chose qui craque sous la dent, tu te demandes d’où ça vient, ce que c’est, et ça t’extrait momentanément de ton petit moment de plaisir gustatif. Et puis bon… Un seul parchemin pour la myriade de personnes à qui Mina devrait écrire ? C’est un peu juste, non ? A moins qu’elle n’opte pour une lettre collective, mais, là encore, elle n’aura pas la certitude de parvenir à joindre tous les voyageurs de passage aux Piles en ce moment. Ouais, p’tit bémol.
Mais c’pas bien grave vu que t’as réussi à raccrocher les wagons en concluant ta transition narrative (narrée, plutôt ?) sur l’application d’un autre Commandement de Féca, toujours en exploitant des éléments mis en place par d’autres. Boum, cerise sur la mousse au chocolat !
Râh, que c’est compliqué…
Qui ? Quoi ? Quel suspense ! Va-t-elle lâcher le morceau ? Mieux vaut que je t’explique en quoi et pourquoi je suis bien embêtée — pour ne pas dire tiraillée — plutôt que de te laisser dans l’expectative.
Vois-tu, lorsque j’ai appris que l’intervenant de ce récit — le tien — serait un Eniripsa, je me suis dit que ce serait l’occasion de découvrir une nouvelle facette des adeptes de ce culte puisque Coumadine était déjà passée par là auparavant.
Donc, lorsque Vakog a commencé à évoquer les soins psychologiques, j’étais toute contente. Ça ne sentait pas le réchauffé et me donnait toutes les raisons du monde de trépigner sur ma chaise à l’idée de partager ta vision de la chose.
Et j’ai tellement, mais teeeeeellement déchanté… TT_TT
A plusieurs niveaux, car c’est l’effet d’un tout global plutôt que d’un élément bien précis et déterminé.
Le premier, et je crois que c’est le principal, concerne les maladresses de langage, d’expression.
Oui, décider de faire de Vakog quelqu’un qui soigne les maux de l’âme par les mots est une excellente idée et, cela, personne ne viendra me l’ôter de la tête ! Je suis convaincue que tu as bien fait d’orienter tes réflexions dans cette direction.
Mais ces mots dont tu remplis la bouche de Vakog, eux, manquent d’âme (sans compter le fait qu’il annonce vouloir aider Mina à y voir plus clair, mais ne l’est aucunement dans sa façon de s’exprimer, c’est même tout le contraire). J’ai eu l’impression de lire un discours maintes et maintes fois répété jusqu’à ce qu’il ait été lavé de la dernière tâche de sincérité. Vakog m’a fait de la peine, dans la mesure où il m’a fait cet effet de ressortir des mots qui n’étaient pas les siens, peut-être entendus auprès de certains de ses maîtres (à penser et/ou à panser), et qu’il a notés pour pouvoir les recaser plus tard, sans comprendre véritablement leur signification. Imagine donc quelques petits cailloux syntaxiques venus se glisser dans mes souliers de lectrice sur le tranquille chemin du discours de ton Eniripsa et tu pourras, je pense, te représenter la situation qui fut la mienne.
Et c’est dommage parce que, à certains moments, j’avais l’opportunité de voir glisser cette toge de péteux mystérieux tout verbeux dont s’était drapé Vakog pour l’entrapercevoir lui. Le véritable Vakog. Celui qui parvient à reprendre le contrôle pour faire preuve d’humanité et d’empathie, alors que son alter ego s’est lancé dans une explication pseudo-savante en se dépouillant de toute trace d’émotion.C’est pas parlant, c’est ça ? Alors exemple : « La confusion est la porte d’entrée à la réorganisation des perceptions. Souhaites-tu que je t’accompagne pour que tu puisses avoir les idées un peu plus claires durant cette période ? »
La confusion gnagnagna, ok, on a compris que tu connaissais des mots Vakog, cool pour toi. Souhaites-tu que… Inversion sujet-verbe pour bien montrer que tu sais causer de manière soutenue, bravo Vakog. AH ! BIEN ! Là, on a du langage oral qui pointe le bout de son nez avec ce « pour que » et cet « un peu plus » ! Là, on parvient à apercevoir un Vakog plus humain, qui cède à la facilité et aux travers de l’expression populaire.
J’ai vraiment vécu tout ça en remplaçant Vakog par le Dr. Jekyl et Mr Hyde. Jekyll toutes les fois où toi, en tant que rédacteur, tu t’échinais à chercher des tournures alambiquées (ça a dû te demander du travail, mine de rien) et Hyde dès que ta concentration faiblissait et que ta façon habituelle de t’exprimer (celle de tout le monde, hein, on va pas s’mentir) en profitait pour faire une incursion dans ton récit. Paradoxalement, donc, ce sont ces incohérences syntaxiques qui rendent Vakog plus crédible (le Dr. Vakog m’endormait plus qu’il ne me stimulait), mais ça vient également troubler le tableau dans la mesure où l’on ne sait plus trop sur quel pied danser.
‘fin bref, tout ça pour dire que si tu veux absolument faire de Vakog un Eniripsa qui cause farpaitement bien sans « dédoublement de la personnalité », j’ai peut-être une technique (qui vaut ce qu’elle vaut, hein, tu te feras ton propre avis sur la question) pour toi. Elle passe par la nécessité de réaliser plusieurs relectures et — pourquoi pas ? — de soumettre ton texte à l’épreuve du gueuloir (même si tu n’es pas obligé de te casser la voiiiiiiiix pour ce faire). Cela te permettrait d’identifier les passages que tu pourrais enrichir et/ou retravailler pour uniformiser le tout, tout en rendant ce dernier plus facile à lire.
J’avais des choses à dire, dis donc… Et ce n’est pas fini, embrayons sur cette tentative de relaxation hypnotique.
Ici aussi, j’ai eu l’impression de lire, ou d’écouter, le discours pré-enregistré d’un robot.
As-se-yez-vous-res-pi-rez-on-est-bien-n’est-ce-pas-vous-pou-vez-chan-ger-de-pos-si-tion-quand-vous-vou-lez. C’est peut-être fait exprès, hein ? Si ça se trouve, c’est un parti-pris, je n’en sais rien. N’empêche… N’empêche que je suis convaincue que cet aspect froid, inaccessible, et faussement amical attente au discours de Vakog et au message de ton histoire. Peut-être aurais-tu pu tourner les choses différemment ? En faisant participer Mina, par exemple ; Vakog aurait pu lui demander de décrire ce qu’elle ressentait (physiquement, hein, via le champ lexical des sens) plutôt que de lui dire ce qu’elle devait ressentir. Y aller plus progressivement. De cette manière, l’immersion aurait été facilitée, Vakog n’aurait pas fait les questions ainsi que les réponses, et l’échange s’en serait trouvé enrichi. Ou même juste, toi en tant que narrateur omniscient, décrire les sensations de Mina en fonction des événements afin de vous inviter à partager sa torpeur ?
‘fin bref (elle ose dire « bref » après tout ça, quelle ordure), c’est compliqué. Je croyais dur comme fer au potentiel de ton idée, mais ne me suis pas retrouvée dans l’exploitation que tu en as faite. C’est sans doute plus « moi » que « toi », pardon ! J’ai peut-être (trop) projeté ma propre interprétation du sujet que tu t’es choisi sur celle que tu en as faite. N’empêche que ça m’a donné faim cette histoire. Il reste du mille-feuilles ?
Hé, dis, on tenterait pas d’entrer dans le vif du sujet sans tergiverser ? Allez, on fait comme ça !
Je ne sais pas si c’était volontaire, mais tu as osé faire découvrir deux divinités à Mina en même temps. Une pour Rey... et l’autre pour Anton. Stupeur, tremblements, cafouillage au sein du mécanisme de l’Horloge Divine. Qu’as-tu donc fait, malheureuuuuuux ?
Mine de rien, même si le premier occupait la scène sans remords, le second avait s’affairait en coulisses et était pour le moins présent. Ce faisant, il défendait discrètement les couleurs de sa paroisse sans mot dire (ou presque).
Sans transition aucune, je tiens à te remercier du fond du coeur et, surtout, à te féliciter pour ces très chouettes descriptions et, plus généralement, pour l’atmosphère, l’ambiance, qui se dégage de ton récit. L’immersion y est top, le vocabulaire riche et précis, complètement au service de l’histoire. Grâce à toi, les Piles de Kontouar gagnent un peu plus en relief et, surtout, un guérisseur expert !
Pwaaah, mais ces descriptions, quoi… Quel régal ! Tout le champ lexical des sens y passe, comment ne pas se sentir happé(e) à leur lecture ? Un plongeon à faire et à refaire, miam, plouf et re-plouf !Si seulement les dialogues avaient été du même acabit… Selon moi (ça vaut c’que ça vaut), c’était le point-faible de ta participation. Le tout restait crédible (même s’il manquait, çà et là, de ces fioritures descriptives dont tu nous gratifiais auparavant) jusqu’au fatidique éclat de rire.
Je… Que… Pardon ?
C’était abrupt ! « Sans transition, bonsoâââr », comme disait l’autre. Mais…
D’où sort cette situation sans queue ni tête ? Un instant Rey se marre et, dans la seconde qui suit, il balance une question qui n’a rien à voir (ouiii, mais c’est un Zobaaaal, il est foufouuuu…). Il ne manquerait pas un paragraphe, ici ?
A la rigueur, Rey rigole de soulagement, s’attarde à détailler Mina, lui demande quel âge elle a et embraye sur le thème de la majorité spirituelle : ça ne prend pas vingt lignes et ça évite de se retrouver en Absurdie. Mais non, tu nous sors ça d’un de tes masques et, BAM, on doit se débrouiller avec. D’accord. D’accord-d’accord. Mais alors, dans ce cas, pour ce qui est de l’immersion, on… Ah, il faut faire avec ? Euh, soit. J’promets pas de n’pas crier, hein, mais je vais essayer. Anton, vite, me concentrer sur Anton. Lui, ses interventions parlées sont efficaces.
Tu seras mon phare dans la nuit, Oncle ‘ton ! Ma bouée de sauvetage lorsque commencent à manquer les descriptions tirées à quatre épingles de ton narrateur.
Ah, d’ailleurs, en parlant de narration, c’était une excellente idée de varier les points de vue comme tu l’as fait. Bien joué !
P’naise, mais nooooon, tu l’as écrit sur des montagnes rus...frigostiennes, ton récit ? D’un dialogue à l’autre, la qualité et la pertinence des interventions varie (oui, mais ça reste dans le thème des masques du Zobaaaal, tu n’comprends paaaaaas, c’est une licence artistiiiique), alors que celle de tes DESCRIPTIONS DE GUEDIN, elle, demeure constante dans l’excellence. Je… Mais oui, bien sûr ! C’est pour le plaisir de nous laisser trouver quelque chose à redire, c’est ça ?
TU L’AS FAIT EXPRÈS. Non ? Raaah…
Ouais, non, y a vraiment un creux en milieu de récit (entre l’éclat de rire et l’interruption du début de discussion par l’arrivée d’Anton), et tout le reste se tient bien-bien-bien. Je suis bien contente d’avoir découvert une nouvelle tête telle que la tienne ! Jéjéwel pleïde, comme disent les Bworks !
‘faut absolument que tu r’viennes de ce côté-ci du forum officiel. Vrai de vrai, des idées et des moyens tels que les tiens, on ne crachera jamais dessus, alors fais-nous-en profiter, hé !
Bouyah, toi ! Alors, comme ça, tu te lances dans les Récits d’Invention ? Super !
Oh ! Je… J’ai été désarçonnée par ton choix de passer les dialogues en italique. Ayant tendance à associer ça aux pensées des personnages plutôt qu’à leurs échanges oraux, j’ai manqué une marche l’espace d’un instant. Mais plus de peur que de mal, t’inquiète !
Les inconnus qui font des clins d’oeil aux jeunes filles, en revanche, c’est sacrément flippant… Qui est ton personnage ? Un vilain suceur de sang ? Ah, non… Même pas !
Etant donné que l’on suit les réflexions internes de ton narrateur, pourquoi avoir opté pour des parenthèses, ici et là ? C’est du détail, hein, mais ce choix de « pensée dans la pensée » m’intrigue !
HAAAAN ! PUNAIIIISE ! OOOOH ! Le coup des framboises ! Mais… HAAAAAAAAAN ! Mais c’est trop bien ! Ça sort de NULLE PART, ça surprend, ça claque, et ça explose en bouche ! Mais… Mais c’est GÉNIAL ! C’est le genre d’ajout anodin qui continue d’enrichir la personnalité de Mina (ah, non, à la relecture, c’est Sig qui s’exprime, mea culpa) tout en mettant en avant qu’elle, hé, n’est qu’une gosse avec une vie des plus simples. Pfouuuuu, trop-trop bien. Hahaha, « j’aime les framboises » ! Je ne m’en remets pas…
Argh, mince, y a comme un souci de mise en page avec ces dialogues en italique. Tes sauts de ligne ont, semble-t-il, été bouffés par le forum. Considère que je tapote avec compassion sur ton épaule droite en secouant la tête de tristesse. Aï nodatt fil brô, comme dit… Comme ne le dit personne de ma connaissance, tiens.
L’utilisation des couleurs est sympatoche, ça permet de susciter l’impatience chez ton lectorat, une fois que l’on a compris que c’est en lien avec les éléments et réponses de la fillette. C’est bien pensé, il ne faut juste pas en abuser ! Chose que tu ne fais pas, fort heureusement !
Bon, à la deuxième interprétation des changements colorés de l’orbe, j’te cache pas que j’ai soupiré un p’tit peu, j’imaginais déjà venir, gros comme une maison, le coup de la Mina hyper équilibrée, porteuse des valeurs cardinales des quatre éléments et n’aspirais qu’à une chose : que tu prennes le contre-pied de cette attente en révélant que, non, Mina n’était en rien disposée à faire preuve d’un équilibre idéal. Là, ça lui aurait permis de se démarquer, d’avoir une sorte de marge de progression et, somme toute, d’approfondir sa personnalité en indiquant que la gamine avait, peut-être, des prédispositions pour un ou deux éléments, mais que dalle en ce qui concernait les autres. Bref, qu’elle n’était pas exceptionnelle parce que, après tout, un monde blindé d’individus exceptionnels ne présente que peu d’intérêt au final. Mais je m’égare !
Arf, la voilà déjà cul et chemise avec la liberté aérienne et la phrase rouge que j’aperçois quelques lignes plus bas me laisse croire que tu as pris le parti d’opter pour la Mina multi-éléments. C’est un choix, je le respecte !
En revanche, ce que je trouve de plus en plus problématique, ce sont vraiment ces dialogues en italique. Sans le moindre tiret cadratin, la compréhension des interventions s’en retrouve compliquée. ‘faut parfois s’arrêter pour se dire : « Ah, y a un saut de ligne, ça ne peut pas être Sig qui parle donc c’est forcément Mina. Râââh, ç’aurait été plus intuitif avec des tirets, c’est tout bête ! »
A l’évocation des voyages de Mina pour rendre visite à des membres de sa famille, j’ai été déchirée entre deux visions. La première fut absolument positive : « Waaaah, et vas-y que je t’enrichis ENCORE le background de Mina sans prêter à conséquence ! En plus, ça ouvre des possibilités pour les participants suivants, c’est trop cool ! »
La seconde, quant à elle, fut plus partagée : « Un à deux jours enfermée dans une diligence, coincée avec les membres de sa famille, ça ne doit pas être une expérience super fofolle pour une gamine. Mais je considère peut-être les choses de la mauvaise façon : davantage comme une adulte que comme une enfant avide de découvertes ? Si ça se trouve, elle a passé tout le trajet à côté du cocher, voire même sur le toit avec les bagages ? »
Bon, revenons-en à nos deux marcheurs. Tu ne peux pas savoir à quel point j’ai apprécié de lire le mot « futaie ». Non, tu ne te l’imagines pas. Il ne payait pas de mine, mais… Pfff… Qu’il était rafraîchissant ! C’est bête, hein ? Mais utiliser autre chose que « bois » ou « forêt » donne tout de suite plus l’impression que tu as réfléchi au choix des mots employés, qu’ils ont été pesés et soupesés. Un grand merci.
Euh, attends… Mina explose en touchant l’orbe bleuté ? Tu en parlais au masculin auparavant, pourquoi opter pour le féminin, à ce moment précis ? Tu m’as éjectée de l’action, ce faisant… TT_TT
Dommage, par ailleurs, que tu n’aies pas décrit les sensations de Mina lors de son contact avec l’orbe terrestre. J’étais curieuse de savoir quels seraient ses effets...
En tout cas, sache que j’aime beaucoup-beaucoup la présentation que Sig fait de lui-même et de sa vocation (bon, je regrette un poil que les noms des éléments n’aient pas été colorisés, cette fois-ci). C’est aussi clair que limpide (hormis le passage relatif à l’Omnirune si Mina n’en a jamais entendu parler). Le ton de la fillette m’a déstabilisée l’espace d’un instant : l’inversion sujet-verbe y était pour beaucoup et avait de quoi surprendre dans la bouche d’une jeune adolescente.
Coeur-coeur pour ton « clair comme de l’eau de Rok », hahaha !
Oooh, tu as même réussi à évoquer la forgemagie propre aux Huppermages… O_O
C’est très bien trouvé, bravo ! Mina aurait peut-être pu faire mine de s’intéresser à cette pratique, non ? Cela aurait permis à Sig de briller davantage. Qu’en penses-tu ?
Clore ton récit sur un ultime ajout à l’univers des Piles est une très bonne chose. Il faudra penser à ces arches creusées dans le bois qui marquent l’entrée (mais laquelle ?) du village, désormais !
Oh, encore une nouvelle tête… Bienvenue par ici, installe-toi, et fais péter ton récit !
Ah, ça commence fort, d’ailleurs. L’ambiance est à la morosité et, si la thématique de la crainte d’avoir à choisir n’avait pas encore été traitée, elle tranche considérablement avec l’acceptation quasi-enjouée de la situation par Mina dans les histoire ayant précédé la tienne.
Ooooh, jolie tentative d’appui sur le background officiel de la part du conteur sous acide ! A ceci près que le Méryde des larmes se nomme Tolgnas (« sanglot » à l’envers, si tu préfères) et non « Tolgonas ». Tu y étais presque ! L’intention était ‘achement louable, je t’en félicite quand même parce que c’est important d’féliciter les adeptes des Mérydes. On les oublie trop souvent.
Erf, j’suis moins satisfaite en ce qui concerne ton utilisation du mot « moustiques » en lieu et place de « moskito », certainement due à un moment d’inattention (relis-toiiiiii, ça t’évitera certaines coquilles et favorisera d’autant plus l’immersion des lecteurs). POURQUOI TU M’FAIS ÇA, HEIN ? Alors que je te soutenais il y a à peine un instant !
O. M. G.
La méthode de pêche de fou-furieuuuuux… O_o
Je ne comprenais pas pourquoi les goujons et les moskitos échangeaient de place, mais avec les explications, c’était tout de suite mieux et… ET QUE C’EST MALIN, bord d’aile de mer ! BRAVO !!! Tu innoves, tu prends des risques, j’suis teeeeeellement jouasse en découvrant cette idée ! Bravo-bravo-bravo !
« Oui mais comment qu’il fait pour transposer les moskitos et les goujons alors que la transpo’ ne fonctionne que sur l’utilisateur et sa cible ? » Ben… Il se laisse piquer par les moskitos et, puisque ceux-ci contiennent désormais de son sang à lui, il peut les utiliser comme extensions de son corps, j’imagine ? Non ? Hé, ‘fallait y penser ! Trop-trop bien (comme l’âne).
Bien que j’aie été relativement peu admirative de la façon dont Jin malmène Mina sans crier gare, je me suis rappelé que… Hé, c’est totalement admis puisqu’il s’agit véritablement d’une coutume du culte de Sacrieur ! Et puis que dire de ce personnage qui colle, trait pour trait (ou cicatrice pour cicatrice) à l’image dépeinte par le livre de classe de la Vierge de Fer ? T’as bien bossé ton sujet, coco, GG !
En revanche, tu gagnerais à travailler tes transitions car passer des réflexions métaphysiques des deux personnages au vol d’une rose réutilisée juste pour l’occasion afin d’introduire un adversaire sorti tout droit des fonds boueux de la Soif, mouais… Y a plus convaincant !
D’ailleurs, en parlant de transition, ça m’en fait une toute prête pour évoquer tes digressions HRP dans lesquelles tu envoies allègrement balader toute idée de quatrième mur. Dis-toi bien que, pour le coup, ça nuit plus au récit que ça ne lui profite. Dans un Deadpool, ça passe parce que c’est le propre du personnage, mais, dans ton histoire, l’effet est tout autre : « Je… Hein ? Qu’est-ce qu’il raconte ? ‘as-y, là ! On était en plein retournement de situation, viens pas me casser mon immersion avec tes remarques qui n’ont rien à faire là, oh ! Pfff… J’en étais où, moi ? »
Kuzco, ça te parle ? Oui ? Ben… Tu m’as pourri mon groove.
Et il en allait de même pour toutes les allusions hors-Krosmoz que tu as casées dans ton histoire : le paddle, et DBZ en tête ! Ça me chiffonne parce que t’as l’air de t’éclater à écrire tout ça — et ça (me) fait graaaaave plaisir à lire — et que ça peut sonner rabat-joie de te le dire, mais… Mais on d’mandait de la cohérence dans les règles de cette édition des Récits d’Invention. Les références et autres allusions subtiles, en revanche, sont totalement acceptées et encouragées !
P’naise, tu prends quoi ? J’en veux parce que ça a l’air de te mettre dans un état… O_o
J’ai eu du mal à suivre le rythme effréné (pour ne pas dire bordélique) des aventures de Mina et Jin. Toujours est-il que l’îlot sur lequel ils rejoignent le voleur à tentacules m’a beaucoup fait penser à celui qui sert de repère à Aguabrial ! Notamment l’histoire des deux coquillages-serrures.
Pouah, ce Jin ferait un excellent héros de shônen ! Il en a toutes les caractéristiques… On pourrait croire qu’un excès de badassitude tuerait la badassitude, mais il parvient à s’en sortir relativement bien, même s’il nous gratifie de quelques poncifs du genre...
Euh, alors… Non, stop, arrêtez tout.
Le dragon, le Dofus, non. Juste non.
Là, tu t’appropries trop le background officiel. C’pas n’importe quoi un dragon, et un Dofus encore moins. On ne peut pas en sortir de nos chapeaux à l’envi. T’en as trop pris, gros. Ça m’a totalement démotivée dans ma lecture : bim, t’avais cédé à la folie des grandeurs propre, généralement, aux personnes qui se lancent dans le jeu de rôle dofusien (moi la première, hein, t’inquiète).
J’ai pas compris d’où sortait le bandeau frontal de la fin. C’était celui de Jin ? Il avait été décrit auparavant ?
‘fin bref. Autant l’histoire commençait sur les chapeaux de roues et contenait de très bonnes idées et réappropriations de l’essence du culte de Sacrieur, à mon sens, autant elle est partie en c...acahuète lors de l’entrée dans la caverne du m3g4b0ss2f1n4ldelam0rkitu. Du coup, mi-figue mi-raisin comme sensation à l’issue de sa lecture. J’dis pas que je me suis fait violence sur la fin, mais pas loin… C’était assez particulier, et ça illustrait assez bien, je crois, les dangers du retour d’acide !
Coucou, toi. Ça faisait une paye ! 2500 mots tout pile, effectivement, bien joué… O_O
Hop, direct une référence à Alice au Pays des Merveilles. N’avons-nous d’ailleurs, en jeu, pas un PNJ semblable au Wabbit que tu décris ? J’ai l’impression d’en avoir déjà croisé un de ce type… En tout cas, c’était suffisamment original pour être plaisant comme introduction. L’allusion était assez légère (y a du Panpan en lui ou c’est une impression ?) pour ne pas prendre le pas sur le reste. Reste qui, d’ailleurs, permettait ENFIN de voir une nouvelle « utilisation » d’une partie des Sept (Triploza, en l’occurrence). C’était chouette, merci !
D’où sortait le Xélor ? C’était le Wabbit ? Je n’ai pas compris de qui il retournait étant donné que le personnage n’avait pas été explicitement introduit.
Bwarf, l’allusion filée au voyage d’Alice, c’moins folichon… Là, y a plus de clin d’oeil fugace : c’est une oeillade appuyée, peu subtile et bien-bien lourde qui prend le pas sur tout le reste. C’est dommage !
Oh, mais… Attends (hahaha, attendre dans une histoire basée sur le t… bref) ! Le gosse qui remontait, là, c’était… Nathaniel (un personnage des RI#7, pour ceux qui se poseraient la question) ? Oooooh, que ce serait drôle et habile si tel était bien le cas !
La description de la voix de l’interlocuteur m’a fait penser à Nox, ce qui a certainement biaisé mon appréciation du personnage que j’ai immédiatement étiqueté « antagoniste », surtout qu’il n’était pas spécialement vendu comme un être bienveillant.
J’sais pas pourquoi, mais la description du maquillage à base de quatre traits suivie du rugissement puis du chaos m’ont beaucoup plu. C’était très graphique, très sensoriel, ça fonctionnait bien ! Y avait-il une référence derrière le personnage de la guerrière, d’ailleurs ?
Je n’ai pas saisi l’intérêt de cette première vision d’un passé depuis longtemps révolu, mais j’imagine qu’il s’agissait, peut-être, de montrer à Mina l’importance des choix de chacun, ce, à différentes époques ?
Oh, tu en profites même pour caser d’autres événements historiques, quitte à citer des dialogues du film DOFUS – LIVRE 1 ! C’est original, mais je ne vois toujours pas où le Xélor veut en venir, surtout en tourmentant Mina comme il le fait… O_o
S’agit-il de faire comprendre à la fillette qu’elle se bercerait d’illusions si elle pensait pouvoir infléchir le cours du temps ? ‘fin, j’veux dire, avec l’exemple de la glaciation de Frigost par Djaul, ça ferait sens, mais en ce qui concerne les deux voyages temporels précédents ? Quoi qu’il en soit, joli coup de coeur pour le passage dans lequel un Féca utilise son égide pour protéger certains de ses camarades ! Ça m’a fait le même chouette effet que la guerrière brâkmarienne peinturlurée… Merci !
Concernant la dernière vision, je n’ai pas pu l’apprécier à sa juste mesure et le regrette car je n’ai pas pu explorer ce pan du jeu, n’ayant pas l’optimisation requise pour une bonne réalisation de ses quêtes. En revanche, j’ai compris où et « quand » ça se passait, mais aussi les tenants et aboutissants des différentes actions des personnages, donc j’imagine avoir saisi le message dans sa globalité...
Ton Xélor était, en définitive, bien cruel. Certes, il fait un don à Mina — celui du bonheur dans l’instant présent — mais au prix d’un traumatisme indéniable. Le jeu en valait-il la chandelle ? Tout cela est-il susceptible de pousser l’adolescente à opter pour une vie au service de la protection du temps (en déjouant les tentatives de « rectification » du passé et en oeuvrant pour un avenir idéalisé) ? Je n’en sais rien… Laissons les années faire leur œuvre !
Par curiosité, j’ai tenté de relire ton récit de bas en haut, histoire de déterminer si, oui ou non, remonter le temps m’offrirait une nouvelle expérience de lecture ou aboutirait à la même conclusion (ce qui aurait été oufissime à plusieurs niveaux : technique, littéraire et, surtout, narratif)… Mais non. Tant pis, ce sera pour une prochaine fois, huhuhu !
Ah, dernière question : pourquoi ne pas avoir cherché à intégrer les récits des autres participants au tien ? J’ai été surprise de n’en trouver aucune trace, était-ce voulu ou un simple oubli ?Je relis ton histoire (comme celle des autres) et d’autres éléments me sautent à la figure. Pour commencer, les coquilles et étourderies qui parsèment ton texte et qui sauteraient (elles z’aussi) sur la mine d’une relecture à tête reposée, je crois. Ce faisant, ton texte gagnerait en fluidité et serait d’autant plus prenant !
Mais il n’y a pas que ça : le personnage du Xélor. Je ne sais pas si c’est volontaire ou non, mais il y a une phrase qui me titille, chez lui : « Un choix d’importance t’es soumis dans les jours à venir, Mina… Il était temps que je te rencontre. »
Passons outre l’absence du t dans ce « es » et concentrons-nous un instant sur le temps de la phrase ou, plutôt (Minnie, Mickey et Dingo), LES temps. Le fait que ton Xélor parle au présent d’un événement futur (puis qu’il enchaîne sur du passé) me gifle un peu. En mode « gifle révélatrice ».
J’m’explique parce que ce n’est pas assez clair actuellement : si tu as fait exprès de rendre ton personnage décalé temporellement, c’est brillant. A la relecture de cette unique phrase, j’ai dû m’arrêter pour me demander si ce Xélor, à force de voyager dans des souvenirs et des reflets de futurs éventuels, ne s’était finalement pas perdu à travers les époques et ne savait plus sur quelle temporalité s’exprimer, d’où son emploi du présent pour un événement futur.
La chose est à venir, mais lui l’a déjà vue et elle représente un passé plus ou moins révolu, alors qu’il s’agit de l’instant présent. Du coup, il ne sait plus sur quel pied danser et mélange touuuus les temps dans ses phrases. Sauf que la suite de ton histoire ne part pas dans cette direction donc j’pense pas que ce soit réfléchi comme tel, mais j’me suis quand même posé la question… L’espace d’un instant.
Un avatar roux, un nom évocateur… Désolée, mais je t’imagine déjà comme une carotte.
Et, chère carotte, autant dire que ton récit commence tranquillement, à l’image d’un potager sans histoires. J’ai même cru un instant que Mina se perdrait dans la contemplation de la faune locale, quitte à devenir athée ou que sais-je encore ?
Mais non, voilà que t’as fait débouler cette créature étrange qui a su piquer ma curiosité jusqu’à ce que tu la compares avec un âne. Et j’ai tremblé de toute mon âme… La mention d’une créature issue de notre monde m’a, l’espace d’un instant, déboussolée et extirpée de ce début d’ambiance que tu avais su créer. Et puis j’ai relativisé en me disant qu’il était possible d’en apercevoir un, d’âne, dans l’un des tomes d’Ogrest réalisés par Mig. L’honneur était sauf, et la rupture de l’immersion moindre ! Et puis, y a pas à dire, ta description de la dragodinde faisait plaisir à lire, ne serait-ce que pour ton choix des couleurs et des attitudes de la bestiole. Merci ! Ce regard, brrr… Qui voudrait effleurer la véritable nature du Vide n’aurait qu’à plonger son regard dans celui d’une dragodinde… Pas vrai ? Non ? Pardon.
En revanche, non, on dit « PandawUshu » avec deux u. Sans i, en gros.
On passera sur le portrait extrêmement mélioratif que tu dresses de Fhane (la perfection au féminin, ou presque) pour se concentrer sur cette idée, très imagée (et donc très-très cool selon des critères qui ne regardent que ma pomme, chère carotte), d’un monde cicatrisé dans la paume de sa main. L’idée est ‘achement chouette ; je la trouve extrêmement plaisante à lire et encore plus à me la représenter !
Je regrette cependant que ton récit se déroule au début du délai de deux semaines imparti à Mina. Il nous renvoie bieeeeen loin en arrière alors qu’il aurait tout à fait eu sa place au moment où tu l’as publié (sur les derniers jours) et tu aurais, à cette occasion, pu davantage prendre en compte les histoire ayant précédé la tienne, faisant de ta participation une pièce s’imbriquant facilement dans le puzzle de cette édition des RI.
Haaaan, ce… Cette petite bouffée d’oxygène, en plein discours sur le choix d’une vie ! Je veux parler de l’observation du couple de pious, évidemment ! Ça permet de relativiser à fond la situation ! Pendant que Mina se fait des nœuds au cerveau, le Monde, lui, continue de tourner et se fout toooooooootalement de ses réflexions. Pfiou, ça remet magistralement les choses à leur place ! Bien jouéééée ! O_o
Oh, l’intervention d’un Obvijevan aurait été cool, maintenant que j’y pense en lisant ta description du sabre ! Par contre, toujours non, on dit « PandawUshu ». Je te l’assure, vraiment-vraiment.
C’est dommage, ça, parce que tu utilises des noms issus du background de Pandala (: Ikwa, Musamune, Amirukam) qui témoignent de ta connaissance de la chose, mais tu butes sur un terme « essentiel ». Ça revient à bâtir un superbe château de cartes… en plein courant d’air. D’ailleurs, pense à bien te relire car il y a plusieurs coquilles qui viennent, bourrasques embêtantes sévissant ici et là, perturber la lecture. Ça claquerait encore plus sans, j’en suis convaincue !
Je ne suis pas certaine que transposer une partie du folklore de Pandala aux Piles fonctionne, mais la tentative mérite d’être notée ! En revanche, concernant la rareté du passage d’un étranger aux Piles, là, tu te fourres le doigt dans l’oeil jusqu’au coude (voire plus, si affinités) : les participations précédentes sont là pour te prouver exactement le contraire et c’est ici que ton choix de ne pas les avoir prises en compte porte préjudice à l’ensemble de l’édifice que tu as patiemment bâti. Attention, tremblement de teeeeerre !
Hé, c’est bête et tout niais, hein, mais… Gros frisson sur la fin de ton texte. Le coeur. Le coeuuuur ! Rodrigue, as-tu du...
Ooooh ! Quel style… O_o
Tu as TOUT dit et d’une manière qui me laisse encore pantelante…Ce parti-pris de promouvoir la cause du Vide par le néant, c’est… Pfou ! Merci !
Hahaha, le clin d’oeil à la bande-dessinée ! Bravo !
Mais, euh, attends voir… Y aurait pas eu comme un souci au niveau de la mise en page des dialogues ? Les répliques se retrouvent collées les unes aux autres. C’est assez particulier ! O_o
Oooh, tu as su caser « bachelette »… C’est admirable, j’en redemande ! Cependant, gredin que tu es, tu aurais pu prendre le même soin dans la traque de tes coquilles que dans celle du choix de tes mots. Nous y aurions tous considérablement gagné, je crois, ton histoire, ton lectorat, et toi.
Je trouve ça bien chouette que tu fasses de Cyatold un néophyte dont la chance lui permet, parfois, de briller aux yeux de Mina. Ça change de tous les intervenants précédents, rompus à la bonne marche du monde, et chacun expert dans son domaine de compétences. Ça permet de relativiser les choses et d’éviter de sombrer dans une surenchère un tantinet malsaine. Ça fait du bien. Ça ME fait du bien, devrais-je plutôt dire, de découvrir un personnage avec ses doutes, ses faiblesses et une conscience de ses limites.
Râââh, mais comment se fait-il que tu parviennes à caser des termes aussi recherchés, soutenus, voire surannés et, l’instant d’après, à te planter sur l’accord d’un adjectif ou d’un participe passé ? C’est frustraaaaant… Qu’est-ce que c’est que cette arnaque ? J’abuse sur le terme « arnaque », hein.
Parfois, ce sont carrément des mots qui manquent et disparaissent, trouant tes descriptions et déchirant la couverture que représente ton immersion. Et c’est dommage, ça, parce que tu as de bonnes idées pour poser des ambiances, mais elles pâtissent de ce que j’imagine être un manque de… Bah, de relecture, tout simplement. As-tu pris le temps de laisser reposer ton texte, de le relire après coup, en ayant fait une pause plus ou moins longue ? Je t’assure que c’est particulièrement utile pour débusquer, à la manière d’un Crâ au regard acéré, les erreurs qui se terrent dans un texte.
Y avait un super postulat de base, dans ton récit, celui de débuter, de se tromper, de chuter pour mieux se relever… Bref, d’apprendre. Et j’ai l’impression que tu as pris un tout autre chemin sur la fin de ton histoire en optant pour un affrontement aussi symbolique que… Râh, le terme ne me plaît ni ne me satisfait, mais je dirais « basique ». Ça m’a semblé un peu « facile » comme dénouement, mais peut-être étais-tu pressé(e) de mettre un terme à ton histoire ? Toujours est-il que tu as pris le soin de choisir un adversaire qui faisait écho à une participation précédente, et, ça, c’est (très) appréciable ! T’imagines s’il s’agit du même prédateur que pour le récit faisant intervenir Jean-François ? Hahaha, paye la malchance du Milimulou, dans ce cas ! Fouetté, dompté puis perforé façon passoire… Huhuhu ! La victime du bois des Piles, le pauvre… C’est limite si je ne l’imagine pas en tant que Vil Coyote, maintenant… Merci pour ce sourire !
Et, surtout, une atmosphère bien mystérieuse qui fleure bon le soufre… En même temps, avec un prénom tel que Faust, on part tout de suite avec un a priori diabolique — que dis-je ? — rushuiste !
Fais, en tout cas, attention à la concordance des temps : tu parles au passé et cases du présent dans le même élan, ce qui a tendance à désarçonner, faisant plus se demander de quelle manière se passe l’action qu’autre chose.
En tout cas, le simple fait de voir le Diis Ignoti évoqué me réjouit, et encore plus lorsque l’image d’un vieux Mufafah balafré vient se superposer à celle de ton sombre personnage…
En revanche, je dois t’avouer que la perspective de croiser une enfant pauvre (orpheline ?) dans une communauté aussi petite que celle des Piles de Kontouar m’a quelque peu surprise. Personne n’aurait pris la gamine sous son aile, alors que tout le monde s’y mêle des affaires de chacun, comme décrit dans plusieurs des récits ayant précédé le tien ? Ça me semble bizarre, un brin incohérent, et davantage au service de ton récit (« j’ai besoin d’un sous-fifre à ce moment précis donc je vais créer un personnage dans ce but sans chercher plus loin les implications d’un tel choix »), mais je crois discerner une potentielle issue… et donc une certaine justification.
Offerenda (après tout, son nom répond déjà à la question que je suis sur le point de poser) ne serait-elle pas vouée à mourir, sacrifiée en l’honneur de quelque démon ? La p’tite offrande sur pattes, quoi. On verra bien !
Ouais, plus Faust cause sans en causer de son culte, plus cette supposition se tient. Quel infâme suppôt de Rushu, celui-là ! Ah, ça fait du bien de penser qu’une entité extérieure au Panthéon a été choisie… Merci ! Qui plus est, tu fais patiemment monter la sauce, l’atmosphère se fait de plus en plus oppressante, les informations que Faust distille permettent, petit à petit, de déchirer le voile qui l’entourait jusqu’à présent… Le crescendo est réussi !
Pwahaha, les trois Ouassingues de la sagesse ! Je n’ai pas compris de quelle manière les trois crânes étaient sculptés, ceci dit. Un coup ce sont des crânes, un autre des figurines ?
Bon, l’histoire de la potion de téléportation m’a parue un peu surfaite, mais peut-être trouvera-t-elle une utilité plus tard ? Fusil de Tchekhov en puissance ?
Raaaah, mais cette guerre que tu fais à la concordance des teeeeemps ! Tu es fâché avec Xélor et tu as décidé que ton lectorat devait pâtir de votre bisbille, c’est ça ? Dis-le, allez, dis-leeee ! TT_TT
Hahaha, allez, rien que pour le fait d’avoir imaginé ton Sadida tr0d4rk jouer à la poupée, je t’en veux moins… Bien joué ! Huhuhu !
Oh, mince ! T’avais décidé d’accélérer le rythme en optant pour des phrases de plus en plus courtes et tu y parvenais bien jusqu’à ce que tu ne butes sur « Lanterne plus nécessaire. »
T’aurais casé « superflue» ou « inutile » à la place de « plus nécessaire », tu serais parvenu à accentuer l’atmosphère oppressante. Idem pour la suite qui, pour le coup, ne faisait pas spécialement sens. « S’apprête à entrer. Lorsque soudain. »
N’utilise pas un verbe d’action à ce moment-là, tu casses le crescendo ! Préfère-lui plutôt « Pas de la porte. » et opte davantage pour un « Et… » laconique et blindé de tension au lieu de l’incorrect « Lorsque soudain. »
Ça se joue à pas grand-chose, ce sont des détails, mais ils auraient su renforcer, je crois, le sentiment d’urgence et de suspense que tu t’efforçais à mettre en place.
Quoi qu’il en soit, la suite… Ohlala, quelle suite ! O_o
Cette vague de souvenirs qui déferle sur Mina… Tous les enseignements, conseils et p’tits trucs que les personnes qu’elle a pu rencontrer au cours des deux dernières semaines lui ont donnés, waaaah… Ça rend, mais… Hyyyyyper bien ! Ça passe mieux que crème ! D’autant plus que tu parviens à sauver la situation, à sublimer le truc, en optant pour un procédé narratif qui a fait ses preuves : tu sous-entends et, MIEUX, tu nous laisses nous faire notre propre film (en coupant court avec un cliffhanger d’enfoi… de derrière les fagots). TROP-TROP JOUASSE !
Ça, c’est du retournement de situation ! Ça, c’est de la perche tendue à l’imagination collective ! Pouaaaah, bravo et merci pour ce final !
Bienvenue par ici, l’apprenti gothique !
J’te mets tout de suite dans le bain : j’ai poussé des cris indignés lorsque j’ai commencé à lire ton histoire. Enfin, non, pas tout à fait, mais j’étais mentalement désarçonnée.
Ça s’est, à peu de choses près, passé ainsi :
« Hein ? Quoi ? Que… Dans un petit village de Frigost ? Mais… Hein ? Attends, qu’est-ce que… J’ai mal compris, là. Bon, c’est peut-être un… Ah mais non, dans la suite du paragraphe, il est bien stipulé que ça se passe sur Frigost. Mais non, mais c’est pas possible, ce doit être moi qui ne comprends pas… Mais si ! Mais si, c’est ça ! Punaise, mais… LIRE L’AMORCE ET LES TEXTES SUIVANTS EN PRENANT EN CONSIDÉRATION LE CADRE CHAMPÊTRE DES PILES DE KONTOUAR, C’EST ENCORE TROP DEMANDER ? Pfff, mais vas-yyyyy… En plus comment tu veux faire pousser du LIN sur Frigost ? Mais… Ça n’a aucun sens ? Il envoie tout péter, làààà… Et vas-y que j’me la raconte avec ma cape noire, gnagnagna… Mais dégoûtée, quoi, il n’a absolument pas tenu compte des indications… Et alleeeez, des Smilomouuuths… Ben oui, parce qu’il paraît ÉVIDENT que les Piles se trouvent sur Frigost, hein. Si ça se trouve, ça date d’avant la glacia… Ah ben même pas puisqu’il… Râââh, pfff, bon je lis quand même mais ça sert à quoi de préciser les choses avant de… Oh. »
Oh.
Tout le début n’était qu’un rêve. Je…
D’accord, tu m’as bien eue. J’exècre l’excuse facile du « oulalah, hihihi, ce n’était qu’un rêve », hein, mais d’accord. C’est ton choix, ton angle d’attaque, il faut le respecter et je le ferai. Pas de souci.
Du coup, une relecture depuis le début a été nécessaire afin que je sois en mesure d’apprécier ton histoire, enfin lavée de l’affreuse souillure — tu visualises une souillure ? C’est déjà pas jojo, mais alors imagine en plus qu’elle soit affreuse et, là, tu trembleras d’effroi, toi z’aussi — de ton affront-qui-n’en-était-finalement-pas-un. Oui, parce que tu m’as fait du mal, je tiens à le préciser. Tu es vilain. Na.
On rembobine et on r’commence… Frigost, donc.
On part sur une histoire de réincarnation en écho à l’un des récits précédents ? Peut-être bien que oui, peut-être bien que non, mais ça peut le faire !
Y a quelque chose qui m’a perturbée (encooooore ?) dans la temporalité du rêv… Ah ben non, j’oubliais : c’est un rêve. Donc aux chio… aux vestiaires la cohérence ! Tellement facile, ça, le rêve… Ouais, donc, en gros, je ne comprenais pas comment on passait d’une description des habitudes de jeu de Mina à un tête-à-tête avec Griffe. Mais le rêve ne s’embête pas avec le concept galvaudé de la transition classique. Il est au-dessus de tout ça, le rêve. Sacré rêve… Toujours le mot pour rire !
Mina, tu seras un enfant-soldat : prends cette arme et file poutrer de l’adversaire car tel est ton destiiiin ! Tin-tin-tin-tiiiiiiin… Vous êtes des grands malades. Vraiment, hein.
Bon, y a des passages que je ne comprends pas trop, MÊME EN PRENANT EN COMPTE LE FAIT QUE TOUTE CETTE PARTIE N’EST QU’UN RÊÊÊVE (p’naise, il faut que je me détende, là : vite, penser à des chachas qui brûlent, des chachas qui miaulent, des chachas qui…) : le cou de Griffe qui se transforme en « coup », ses cartes qui « irent » se planter dans l’écorce d’un arbre. J’veux bien que le subconscient d’une gamine de douze ans soit riche, mais, là, ‘faudra m’expliquer… J’opte pour des coquilles d’écriture qu’une relecture approfondie aurait permis de faire disparaître. Dis-moi si je me trompe, s’il te plaît.
D’ailleurs, tant qu’on y est, j’étais presque persuadée que le coup de l’arbre et du Sadida était une allusion au vieux Broussaille ! Bon, par la suite, j’ai découvert que non, mais, sur le coup, j’ai trouvé ça bien amené.
Lors du réveil de Mina, afin d’accentuer la découverte du corps à la suite du cri, je pense que tu aurais pu prendre davantage ton temps afin de décrire la situation. En parlant de l’agitation des habitants des Piles, des bruits et des images perçus par Mina, tu serais parvenu à retranscrire avec encore plus de justesse et de force la gravité de la situation. Enfin, je dis « gravité de la situation », mais il serait plus juste de parler « d’impact de la conclusion ». Là, tu nous révèles directement ce qu’on s’attend tous à découvrir et, vu la manière dont tu as su construire ton récit jusque-là, j’ai trouvé — peut-être à tort — que ça ne lui rendait pas justice.
C’était le point culminant de ton histoire, le moment-charnière, celui où tout basculait, l’instant fugace où tout devait se recouper, et tu l’as un peu trop précipité, ce qui en a quelque peu amoindri la portée. Pourtant, c’était ouf d’avoir pensé à décrire la décrépitude de Griffe ! C’était d’ailleurs d’autant plus fort qu’on avait — nous, lecteurs — un moyen de se représenter mentalement un « avant/après » de Cape Noire. Y avait cette espèce de jeu de miroirs qui nous renvoyait aux différentes images de ton Ecaflip. Chouette-chouette idée, bon traitement du truc, à ceci près que le tout aurait vraiment gagné en impact émotionnel avec un crescendo un brin plus dosé ou étalé.
Mais l’idée fonctionne quand même bigrement bien, hein, j’insiste là-dessus !
Hé ! Non, Mina ne choisit pas « évidemment de devenir disciple d’Ecaflip » : c’est précisé dans les consignes. Quoi ? Tu te dis désolé pour les fautes… C’est donc que tu es conscient qu’il y en a ? Dans ce cas, pourquoi ne pas chercher à les éliminer en utilisant les divers outils à ta disposition (correcteurs, relecture, etc.) ? Ta réponse m’intéresse, je ne pose pas cette question pour le plaisir !
Tiens, d’ailleurs, depuis ma dernière question, j’ai relu ton récit, et voilà que tu en as modifié certains passages, dont la fin ! Pourquoi çaaaaa ?
Ce que je vais t’écrire se retrouve dans d’autres commentaires de vos récits : faites attention à la concordance des temps que vous employez, par pitié.
Passer du présent de l’indicatif à l’imparfait pour revenir, la phrase d’après, au présent de l’indicatif donne le vertige et finit, à terme, par carrément coller le mal de mer. Une homogénéité temporelle favorise le déroulement d’un fil narratif. Le passage d’un temps à un autre n’est, généralement, pas anodin. A manier avec précaution, donc ! Sur ce, revenons-en à ton récit.
Ouaf, voilà un personnage qui a du chien(chien) ! Espérons juste qu’il ne cabotinera pas trop… Huhuhu.
La simple idée d’un Ouginak méditatif m’a fait sourire. De quelle race imagines-tu ton Namyu ? Quel chien serait, selon toi, pile-poil dans la thématique de la zénitude absolue ? Je n’y connais pas grand-chose en la matière, mais je me demande quand même quelle image de Namyu tu avais en tête en le concevant…
Hahaha : « je t’ai senti(e) en difficulté » ! J’espère que le champ lexical de l’odorat continuera d’être exploité de la sorte. C’est discret, mais sacrément appréciable comme remarque, et d’autant plus lorsque c’est un Ouginak qui la formule !
Arf, par contre, tu remontes le temps et situes ton récit au tout début de l’histoire globale. C’est dommage ! Est-ce parce que tu n’as pas pu lire les autres interventions ?
Euh… PARDOOOON ? Mina aurait toujours vécue seule avec sa mère, sans père ni frère ni sœur ? Mais… Mais non ! C’est justement le contraire de ce qui a été bâti par les autres narrateurs. Mina a une famille recomposée et nombreuse, on ne parle pas du tout de la même personne, là ! Ahlala, quelle erreur du joueur françaaaaais… Punaise, mais… Mais noooon, c’est limite du gâchis que d’envoyer paître, comme tu le fais avec cette déclaration somme toute anodine, tout ce qui a été imaginé avant ton intervention. C’est jeter l’aspect communautaire des Récits d’Invention avec l’eau du bain. Maiiiis… Pourquoiiiiii ?
Si tu avais pris ou eu le temps de lire les autres participations, tu aurais découvert que la thématique du « ne laisse jamais les autres choisir à ta place, prends tes propres décisions » avait déjà été traitée et cela t’aurait sans doute évité de la répéter ici, en proposant quelque chose d’autre, quelque chose de plus original.
Tu sais, je me suis demandé si l’emploi du présent de l’indicatif avait un sens caché en ce qui concerne ton Ouginak. Considérant que les chiens (les animaux, en règle générale) vivent l’instant présent sans pour autant se mettre à tracer des plans sur la comète, je me suis dit que tu avais peut-être fait exprès de choisir de tout écrire à ce temps-ci. Histoire de bien montrer que ton Ouginak, lui z’aussi, n’avait que faire de ce qui ne se passait pas en ce moment-même. Quitte à s’autoriser une entorse exceptionnelle à sa façon d’être et de penser (: ce qui est passé n’est plus maîtrisable et ce qui arrivera ne s’est pas encore produit, alors pourquoi s’en faire ?) dans le dernier paragraphe où il évoque la décision à venir de Mina.
Etait-ce voulu ainsi — auquel cas j’applaudirai l’idée des deux mains — ou bien est-ce que je pars dans des élucubrations plus que capillotractées ?
Tiens, coucou, toi ! Tu as décidé de mettre ton grain de riz sel dans cette édition des RI ?
Que nous as-tu pondu ? Voyons, voyons…
Ooooh, voilà quelqu’un qui a entendu parler du dilemme de Mina ailleurs qu’aux Piles ! Peut-être dans une région proche d’une des cases de la bande-dessinée promotionnelle, qui sait ? Qui est-ce ? Tortue Géniale ? A-t-il des lunettes de soleil et une barbe drue ?
Bwarf, Mortimer est un perdant magnifique, voilà qui en fait quelqu’un de bigrement attachant à mes yeux. Du coup, la carapace, le bâton noueux, le culte chélonien… On part sur une vénération d’Ixchelonia ? Si tel est le cas, on aurait une nouvelle mise en avant d’une divinité absente du Panthéon !
Je n’ai pas compris pour quelle(s) raisons tu passais du passé au présent, ici et là, était-ce réfléchi ?
N’empêche, les prêcheurs convaincus d’avoir l’aval de leur divinité font des adversaires redoutables… Jusqu’où serait prêt à aller Mortimer pour ENFIN faire gagner une âme à sa déesse, hein ? Jusqu’où ?!
Argh, l’inconnu entre deux âges qui aborde une gamine en la complimentant sur la fleur qui orne sa chevelure… Ne bouge pas, j’appelle la Milice ! Blague à part, c’est une façon comme une autre de faire un clin d’oeil discret à de précédentes participations. Ça se marie bien avec le reste, ça passe tranquillement, et tu aurais eu tort de t’en priver !
Néanmoins, nouvelle incompréhension de ma part dans le paragraphe suivant : il est question de divinités puis d’inconnus nombreux. Qui représente ce « ils » ? Et pourquoi Mortimer pense-t-il que certains ont été très insistants lorsque Mina lui parle du nombre de divinités recensées ? Quel est le lien ?
Montrer quelque chose de joli ? Il propose juste de lui montrer quelque chose de… joli ? D’aucuns auraient parlé de quelque chose de beau, ç’aurait été plus vendeur, plus spectaculaire, plus aguicheur… Mais, « joli », ça pare le tout d’une forme de simplicité naïve, peut-être plus apte à séduire ou convaincre une fillette. Quand je vous disais que ce Mortimer était louche avec les enfants !
Attends, comment Mortimer s’allonge-t-il sur le sol avec sa carapace sur le dos ? C’est… Ah, bon, d’accord, tu en parles par après, bien vu. J’ai rien dit, j’ai rien dit. Cela étant, le choix du terme « exosquelette » m’a paru trop brut de décoffrage. Comment dire ? Disons simplement que le mot faisait comme tache dans le décor tranquille que tu avais bâti. C’était un poil trop pointu, trop précis, dans une atmosphère placée sous le signe du « chaque chose en son temps, ne nous précipitons pas ». ‘fin bref, ça m’a semblé déplacé, voire inadéquat. Après, je conçois qu’il n’y a pas des masses de synonymes pour le mot « carapace ». Armure, blindage, coquille, cuirasse, bouclier… On en fait bien vite le tour.
Je ne connaissais pas l’expression « se mettre confortable », étant partisane de « s’installer confortablement », mais suis ravie de l’avoir découverte !
Ton « Elle est magnifique, n’est-ce pas ? » m’a fait penser à… A je ne sais pas quoi ! Mais j’ai eu comme une réminiscence d’un film, d’une voix grave ou ancienne, pétrie de mélancolie… Je suis incapable de retrouver d’où ça viendrait, mais, du coup, la question a fait bien plus mouche que ce à quoi je ne m’attendais tant ça enrichissait le moment d’une émotion supplémentaire. OH, JE SAIS ! Men In Black ! Quand, en parlant des étoiles, son précédent partenaire dit à K : « Elles sont belles, hein ? »
Gagnééééé, c’était bien Ixchelonia !
Gaffe aux répétitions qui pourraient être évitées : typiquement les pronoms qui sont repris d’une phrase sur l’autre, et d’autres encore auparavant, voire même que par la suite.
Bon, alors, euh… Comment dire ? L’image de la lune qui ressemble à une carapace de tortue, c’est juste dingue. C’est le genre de remarque qui déboule de nulle part, sans crier gare, et qui te chamboule un moment de lecture : « Attends, mais… Mais oui, c’est pas bête du tout, ça ! Punaise, bien trouvééé ! »
Heureusement, d’ailleurs, parce que le discours empreint de sagesse millénaire qui a suivi n’a absolument pas su faire vibrer la moindre corde sensible chez moi. Je me contenterai de la carapace lunaire, bien plus efficace et imagée à mon sens ! Il en faut pour tous les goûts (quelqu’un a parlé de soupe de tortue ?)…
Haaaan, l’apparition subtile d’une majuscule au mot « Lune » alors qu’auparavant il était écrit « lune » ! La transition discrète du statut d’astre, de satellite, à celui de divinité ! C’est fourbe, c’est fin, ça se mange sans faim, bravo ! T’aurais même pu filer la métaphore en écrivant « elle La trouvait déjà plus jolie », qu’en penses-tu ?
En tout cas, ça marque bien l’évolution de la pensée de Mina au niveau de sa considération de ce qui l’entoure (ou de ceux qui l’entourent, c’est selon).
Il y a peut-être un bémol sur l’impact qu’ont eu les précédents intervenants au niveau de la mentalité de Mina. Je parle ici du fait qu’elle recherche une contrepartie directe et tangible dans la vénération d’Ixchelonia. Mortimer fait pâle figure (l’adepte de la Lune, pâle, vous l’avez ?) à côté des hérauts de Sram, Sadida, Iop, Ecaflip et Ouginak… On peut même dire de lui qu’il se contente de très peu, en comparaison des autres, et qu’Ixchelonia ne semble qu’avoir peu de choses à (lui) offrir, en définitive. D’ailleurs, pourquoi l’a-t-il choisie ? Pour ne pas avancer à tâtons en pleine nuit ? On ne le saura jamais, mais ça semble lui convenir ainsi alors, s’il est heureux, réjouissons-nous pour lui. Au final, on dirait que la seule reconnaissance des bienfaits d’Ixchelonia suffit pour rendre grâce à cette dernière.
Au fait, dernière question : pourquoi ne pas avoir fait de Mortimer une tortue dès le départ ? On en retrouve à différents endroits du Monde des Douze, après tout !
Yeah, déjà, c’est bien-bien cool que tu débutes ton récit pile au moment où s’est achevé le précédent, ça donne vraiment l’impression d’un tout homogène. Merci !
Bon, j’ai un peu d’mal à concevoir le fait que les silhouettes des jumeaux se dessinent à l’horizon, mais il paraît que la lune est levée donc disons que ça reste plausible.
Ce qui l’est moins, hélas, c’est la cohérence de ton récit : ce dernier est truffé d’erreurs qui viennent en perturber la lecture. Et je ne parle pas de coquilles, mais bien de ce que l’on appelle de véritables fautes d’ortho’gaffe. C’est dommage, je t’assure, parce que l’on passe plus de temps à regretter la lecture d’une nouvelle boulette qu’à s’extasier devant les prouesses d’Etherio et de son frangin.
Pourtant, ce sont deux personnages hauts en couleurs que tu nous as présentés-là ! Après des intervenants pâlots comme Mortimer, ça fait un bien fou d’avoir de l’action avec tes deux surexcités ! Oh, et l’image du Muloubard, miam ! Ex-quise. On cerne directement le personnage, c’est très visuel. Et le contraste entre la carrure phénoménale et l’arc chétif, hahaha, ça faisait grave plaisir à imaginer…
En revanche, de là à imaginer Etherio posséder la force d’un dieu (coucou Ougah), mouais… Non. ‘faut pas pousser mémé dans les orties, surtout lorsqu’elle est en short, hein.
Ah, et t’aurais peut-être dû éviter de mentionner le mot « cheval » en préférant à la queue éponyme le terme de « catogan »… C’est un détail d’ordre cosmétique (absolument pas cosmique) mais du genre qui change la perception des choses !
Attends, je… Que… Quoi ? Tu présentes Etherio puis… Tu représentes Etherio ? J’ai plutôt l’impression que tu ne t’es pas relu avec beaucoup d’attention et que tu voulais causer d’Aethelian, non ?
P’naise, c’est ouf ce que ton duo dynamique fonctionne bien... Tes personnages sont des caricatures ambulantes. Ils sont attachants au possible, possèdent une personnalité sur laquelle on pourrait tordre une barre de fer (à tout faire ou non), et représentent une inépuisable source de gags. GG !
Toutefois, y a toujours ce souci des erreurs qui flingue la cohésion de l’histoire. C’est dommaaaage, pfff, que je t’en veux pour çaaa… Le coup du Super-sayeune, bof-bof. J’imagine que tu t’es fendu la poire à l’écrire, et j’en suis contente pour toi, mais ça me tire plus de mon immersion (déjà malmenée) qu’autre chose.
J’ai trouvé qu’on perdait de cette originalité qui faisait le sel de ton récit lorsque tes personnages ont commencé à dévoiler des pouvoirs archi-pétés : le saut en hauteur qui ferait pâlir Goultard, l’épée divine qui découpe des pics rocheux (d’ailleurs, fais gaffe, on avait demandé à ce que l’environnement ne soit pas impacté par les actions de vos personnages).
Au final, les deux zigotos qui rataient tout ce qu’ils entreprenaient — avec panache, certes — se retrouvent propulsés au rang de demi-dieux. Cette faiblesse — ce décalage — qui faisait leur force, tu l’as fait disparaître… J’te cache pas que j’ai essuyé quelques larmes de regret à ce moment-là de ma lecture. Mince, c’était tellement jouissif et stimulant d’imaginer tes bras-cassés devoir composer avec leurs physiques et leurs aspirations aux antipodes les uns des autres ! Et voilà que tu envoyais promener ces perspectives prometteuses… Bouh, je te dis « bouh » ! Et je pleuuuuure… Je pleuuuuuure cette fraîcheur fanée par tes envies de grandeuuuur… Pourquoi m’as-tu fait ça, hein ? Pourquoââââ ?
La référence au tank a achevé de me tirer hors de l’histoire : c’est le genre de réflexion HRP qui tue l’immersion puissance mille. Alors qu’il y avait moyen de formuler la même remarque d’une façon bien plus adéquate qui n’aurait pas dénaturé la teneur du propos, j’en suis convaincue ! Idem pour le gorille… Je ne crois pas avoir déjà croisé ce mot en jeu, mais je peux me tromper !
Je suis persuadée d’une chose, au final, c’est que tu t’es éclaté à écrire et, rien que ça, c’est génial à ressentir. ‘fin, c’est qu’une impression, hein, mais on ne peut pas écrire toutes ces choses sans y prendre un malin plaisir. Alors continue de t’amuser en racontant des histoires, s’il te plaît, cette seule perspective me ravit !
Je… Je n’ai pas du tout accroché à ton histoire, je… Je te demande pardooooon !
Il faut que je t’explique pourquoi car il me semble que c’est important (autant pour toi que pour moi).
Déjà, il y a des fautes. Beaucoup de fautes. Tout-tout-tout-tout-tout pleeeeein de fautes. Et une telle quantité d’erreurs, crois-le si tu veux, ça flingue fortement la faculté à se projeter dans une histoire. Il y a des phrases à rallonge qui, à différents endroits de ton récit, feraient perdre leur souffle à un(e) apnéiste chevronné(e). Petit conseil : relis tes écrits à voix haute. Tu sentiras ainsi à quels endroits il est nécessaire de faire des pauses afin de respirer : places-y des signes de ponctuation (virgules, points). Tu verras, rien que ça, ça change considérablement la donne ! Cela évitera, par exemple, d’achever de lire une phrase de six pieds de long en ayant oublié de quoi elle parlait au départ. Ce faisant, tes lecteurs seront plus touchés par ce que tu leur racontes, davantage « immergés » dans l’action, si tu préfères.
En ce qui concerne les erreurs, je n’ai pas d’autres conseils que ceux que je donnais précédemment : relecture, relecture, relecture et relecture. Sans oublier les précieux correcteurs orthographiques et les traitements de texte gratuits qui pullulent sur le Net. Rien que ça, ça fait une bonne partie du boulot ! Après, j’dis pas qu’il ne restera pas quelques coquilles, éparpillées ici et là, mais ça soulagera grandement le récit global.
D’ailleurs, en ce qui concerne le récit, j’ai été positivement surprise de découvrir que tu avais considéré qu’Orihime (Bleach powaaaa) ferait une parfaite disciple d’Eniripsa. Ça paraît tellement évident que je n’avais jamais pris le temps d’y réfléchir et ça fait de ton clin d’oeil quelque chose d’encore plus malin. Bravo !
En revanche — et c’est là que c’est dommage, j’ai cru comprendre que tu n’avais pas lu ou pu lire les autres histoires car, si cela avait été le cas, tu aurais su que les Piles de Kontouar possédaient déjà leur propre « médecin » en la personne d’Anton. C’est l’un des participants qui t’a précédé qui l’a inventé. La cohérence générale prend ici un coup dans l’aile…
En dépit de tout ça, je suis contente.
Contente parce que tu as tout simplement osé participer.
Nombreux sont ceux qui ne se sentent pas le courage de sauter le pas, mais, toi, tu as fait cet effort. Dis-toi bien que tout ce que je t’ai écrit plus haut n’a pas vocation à te décourager, bien au contraire !
Je ne suis pas là pour te faire de la peine, te casser ou autre méchanceté, rassure-toi ! On a tous débuté quelque part. Tout le monde a une marge de progression, dans quelque domaine que ce soit. Mes remarques n’ont d’autre but que de t’indiquer ce que tu pourrais travailler pour rendre ta prochaine histoire (parce que J’ESPÈRE BIEN qu’il y en aura une) meilleure que celle-ci.
Hé, t’as fait le plus dur : tu t’es lancé dans le bain des Récits d’Invention !
Il ne tient qu’à toi d’apprécier d’y barboter. Personne ne te demande d’y taper des longueurs, hein. Eclate-toi, partage-nous ton plaisir de raconter des aventures (on s’en moque de leur longueur, ce n’est pas la taille qui compte), fais des bulles et saute du plongeoir. T’as tout pour y arriver maintenant que t’es passé dans le pédiluve des retours et commentaires.
Que de nouveaux-venuuuus, aaaah, ouiiii, toujours pluuuuuus !
Outch, la question de départ : « Et si je décevais quelqu’un ? »
Ma main à couper qu’on va lui répondre un truc du style : « Tu es la seule que tu ne dois pas décevoir, Mina » à un moment ou un autre du récit. Je crois le voir venir gros comme une maison et croise les doigts — du moment que j’en ai encore dix — pour que ça n’arrive pas tant ce serait convenu...
Ceci dit, j’apprécie l’image du jour qui se prépare pour s’en aller dormir. C’est joli, merci !
Des crêpes ? Hein ? Quelles crêpes ? Aurais-je loupé un tel détail ? Ooooh, un ukulélé entre les pognes d’un géant ! Décalage, incongruité, bizarrerie… J’aime !
Ah, d’accord, c’est lui le pourvoyeur de sucreries. Ceci explique cela ! « Crepemestre », carrément ! Excusez du peu… La claaaaaasse ! La description que tu en fais est tout à fait charmante (et je (sou)pèse mes mots). J’en viens presque à me le représenter comme un camion de glaces plutôt que comme un Sacri’ couvert de cicatrices et j’ai l’impression de sentir les cristaux de sucre crisser sous mes dents en lisant ton Urgholl taper Mina de son coude…
Quel fin tacticien, ce géant… Il a compris que ventre affamé n’a pas d’oreilles, aussi s’attelle-t-il à remplir celui de Mina. A moins qu’il ne cherche l’ancestrale reconnaissance du ventre ? Rusé, le bougre !
J’en viens même à me demander si Urgholl n’aurait pas gagné à vénérer un Méryde tel que Dees ou Nido pour établir un parallèle entre la pâte à crêpe, la foi, les dieux et les fidèles… Mais je vois que tu dresses, à travers une savante et houleuse série d’échanges entre Mina et son fournisseur de gâteries, un portrait progressif (mais pas forcément progressiste) du culte de Sacrieur.
Je note : avantage dermatologique certain, ne coupe pas les cheveux en quatre lorsqu’il s’agit de raser gratis, précision indéniable, talent certain dans la séparation des corps, délicatesse relative, intolérance pas qu’au lactose, mauvaise foi proportionnelle à la crise hépatique du fidèle. Mouais, ça ne fait pas rêver, tout ça. Quid des adeptes diabétiques, mmmh ?
Trêve de galéjades, le fait est qu’Urgholl est terriblement attachant. Il y a quelque chose de choupinou dans le fait d’imaginer ce grand gaillard se comporter comme un gosse face à une gamine qui doit alors se comporter comme une adulte. Même si je ne goûte pas toujours le registre plus que soutenu employé par le géant (j’sais pas, j’trouve que ça ne colle pas bien à la situation, au personnage que tu nous décris), je me régale de la qualité du récit. Merci beaucoup, parce qu’il se dévore sans problème !
J’aime ce que je lis (donc ce que tu écris). C’est rafraîchissant, même si parfois un peu verbeux, et, surtout, fichtrement original. Y a de la matière, pas spécialement de grumeaux, et les crêpes suffisamment réussies pour qu’on puisse quasiment voir à travers. Ce qui me permet de conclure sur l’observation suivante : j’ai conservé mes deux mains. Appelez-moi le chef, j’ai deux mots à lui dire !
RATATATATATATATATATA ! « Ça, c’est fait, on passe à la suite. »
Quelle rafale de références aux autres récits dès le départ ! Je… Que… Qu’est-ce qui vient de se passer ?
Erf, caser l’anglicisme « token » dans la foulée et, ce, sans crier gare, c’pas fou-fou-fou.
Ah, mais c’est que tu continues d’énumérer les différentes rencontres, en plus ! Au fur et à mesure, ça finit par se transformer en liste de courses et on se (je me) demande davantage laquelle tu oublieras plutôt qu’autre chose. C’en devient presque lourd, à l’image de Mina qui se pare des nombreux présents lui ayant été faits, et je désespère de lire quelque chose de nouveau en lieu et place d’un résumé des épisodes précédents…
Toujours est-il que j’apprécie la façon dont tu as scindé les souvenirs : d’un côté, ceux qui concernent des inconnus et, de l’autre, ceux qui ont trait à des têtes familières. Je trouve ça chouette et plus intelligent qu’un bête recensement de personnages. Au moins, ça démontre que tu as réfléchi à l’articulation des choses, ce qui est pour le moins agréable. Non, c’est même franchement cool, n’ayons pas peur des mots !
Et que dire de ta vision de Mina ? Une bête de foire ? Eh bien, tu n’as pas tort. Je n’avais pas du tout envisagé les choses sous cet angle, et tu as très bien fait de proposer pareille approche, merci.
En revanche, ce que je conçois moins, c’est que Mina n’ait jamais entendu parler de l’existence d’un arbre tel que tu le décris dans ton histoire. Il est maousse costaud, le bousin. Passablement remarquable, même. Et personne — genre peeeeeeersonne — n’en aurait jamais fait mention durant les douze années d’existence de la pauvre fillette ? La pilule a du mal à passer, ‘faut croire qu’elle fait la même taille que l’arbre en question…
A part ça, l’idée d’y suspendre des myriades de masques illuminés est brillante. Ça pose et crée une ambiance particulièrement fantastique, j’en redemande ! Encore, encore !
Les changements de visages inertes de la Zobal sont fluides et rendent le personnage ô combien attrayant (et mystérieux), je me demande si elle basera son mode de communication sur l’enfilage de masques expressifs plutôt que de céder à la facilité du langage oral… Ah ben non, tant pis. Ça commençait pourtant de la sorte… Bon, admettons qu’elle cause. Pour dire quoi ?
D’ailleurs, tant que j’y songe, pense à faire gaffe à la concordance des temps : y a des passages où l’on saute du coq à l’âne — ou du Tofu Royal au Iop, si tu préfères — et cela vient attenter à la beauté de l’instant, de la scène, de la lecture.
Idem pour les velléités d’écriture inclusive. Soit tu joues le jeu jusqu’au bout et tu l’appliques absolument partout, soit tu t’abstiens et tu évites un résultat en demi-teinte qui donne l’impression d’avoir le popotin coincé entre deux chaises.
Concernant la conteuse, son visage est-il entièrement ou partiellement masqué ? Je te pose cette question car tu indiques qu’elle sourit à une Mina éplorée, sauf que cette dernière ne risque pas de voir le sourire en question, si ? Tu me diras, il peut toujours se sentir dans ses intonations…Haaaan, ç’aurait été tellement cool d’avoir des descriptions plus poussées des masques que Mad-Nessy disposait entre elle et Mina pour appuyer son propos ! Cela aurait certainement enrichi et approfondi la scène, tu ne penses pas ?
Il y aurait sans doute eu davantage d’enjeux dans le fait de narrer la légende future de Mina à la sculpteuse d’histoires puisqu’on aurait eu un avant-goût des légendes d’autres personnes rencontrées par la Zobal. En l’état, on a compris que l’histoire d’une personne s’étale sur le masque qui lui est dédié, mais on n’a strictement aucun aperçu du résultat via des descriptions des œuvres suspendues. J’sais bien qu’il ne faut pas regretter ce qui n’a pas existé, mais je ne parviens pas à me défaire de l’idée que ç’aurait été une sacrée valeur ajoutée...
Entre nous, Mina n’a-t-elle pas rêvé cette rencontre ? Tu effaces les traces de Mad’, relègues cette dernière au rang de souvenir évanescent et joues sur la potentielle fatigue ainsi que l’égarement autant géographique que psychique de l’adolescente. Tout pourrait bien n’avoir eu lieu que dans son esprit… Non ? Qui sait ?
Mention spéciale à ton arbre et à son « feuillage » ! Ils m’ont fait forte impression et j’en garderai un très bon souvenir…
Oh ? Mais pourquoi fais-tu apparaître ton acrostiche aussi visiblement ? Ça gâche un peu la surprise… TT_TT
Une pile électrique aux Piles, voilà qui n’est pas banal et qui vient enrichir le vivier d’adeptes de divinités ne faisant pas partie du Panthéon. Un Sharivaton que ton personnage adore la petite déesse du Tumulte ! Comment ça « bien sûr, c’est évident » ?
Ton électron libre fait souffler un vent de fraîcheur — et de légèreté — sur la région, ce qui n’est pas pour me déplaire. Rien n’est sérieux, tout est prétexte au jeu… Qu’est-ce que ça change ! Merci-merci !
Gros coup de coeur pour le passage dans la taverne — je n’imaginais pas Maître Kontouar aussi jeune, mais peut-être ai-je mal lu le récit correspondant ? — qui s’intègre joliment au reste tant il détricote la trame de fond pour y insérer les interventions de ton personnage en filigrane. C’pas intrusif pour un sou, et même chouettement tourné !
Mais alors en ce qui concerne la justification que tu donnes à l’anonymat des porteurs de capuche, là, chapeau ! C’est aussi réfléchi que logique, sur le fond comme dans la forme, et tout ça témoigne d’un travail de recherche pas pris par-dessus la jambe. Bravo, bravo ! O_o
Ouais, c’est essentiellement cette réflexion que je retiens de ton histoire, plus que le reste. C’était inattendu et, à mon sens, hyper bien mené (ou, du moins, suffisamment convaincant pour me persuader que ça l’était). Je ne me lasse pas de la relire, plus que l’inventaire des méfaits de ton encapuchonnée, sa distribution de friandises et ses plaintes incessantes à l’encontre de la routine ambiante qui finissent, paradoxalement, par dev’nir ennuyeux à la longue.
Non, vraiment, merci pour ce moment de réflexion et de remise en question ! J’en suis bigrement satisfaite !
Un toast pour cette entrée en matière fondamentalement angoissante qui s’achève sur un fou-rire lorsqu’on imagine un sketch célèbre à la place de la première intervention : « Psssst, tu veux de la drogue ? »
Quel malade peut bien faire son beurre dans les rares recoins des Piles de Kontouar ? Ton personnage a tout de ce vendeur à la sauvette échappé du Hercule de Walt Disney. C’est drôle-drôle-drôle, hahaha !
Certains de ses arguments portent vraiment bien.
En tête, ce fameux « on dit qu'un enfant est élevé par un village mais c'est parce que tout ce qu’on boit à ton âge c’est la parole des autres » qui aurait mérité d’en rester là, sans s’encombrer de l’allusion explicitement dépréciative. La remarque se suffisait à elle-même, elle était lourde de sens et de sous-entendus qu’il n’était pas nécessaire d’expliciter, je crois… Ça revenait à décortiquer une blague, en gros.
‘fin bref, je m’attarde sur un point de détail (mais seulement parce qu’il m’a ‘achement plu).
Wowowoooo… Ce débit (et pas que d’boissons) ! Cette verve ! Ces jeux de mots ! «bandit : cape et bandeau », « bandit : cape et bandeau », « bandit : cape et bandeau »…
Quelle douce musique à mes oreilles. Ça glougloute, ça sonne, ça se répète, ça ding-ding-dong… Mais c’est que tu touches une corde sensible, là, hé ! Encore, te dis-je. ENCORE !
Pouaaaaaaah ! MAGISTRAL ce « t'as survécu douze ans sans les dieux mais pas un jour sans ta famille » ! Tout est franc du collier (autant que faire se peut chez un Roublard, du moins), le toc mis en avant, le plaquage or gratté volontairement. C’est brut de décoffrage et le débit de paroles soutenu — pour ne pas dire haletant — renforce la condition de bonimenteur de ton personnage. C’est grisant !
Bon, la fin (trop) soudaine tombe un poil à plat, en regard de la performance précédemment réalisée, mais il faudra s’en contenter.
Je suis certaine qu’avec une relecture plus poussée, quelques coquilles éliminées et des respirations mieux placées, ton histoire aurait été encore plus prenante qu’elle ne parvient déjà à l’être. N’aie pas peur de te laisser entraîner par tes idées ! Tu as prouvé que tu en avais — et des bonnes, ça oui ! — alors ne « gâche » pas tout (j’exagère en utilisant le verbe « gâcher », hein, ne t'en formalise pas) avec une conclusion trop abrupte... Reviens, mecton, et fais-nous voir de quoi sont capables les membres de ta famille !
Je… Je n’ai pas cerné l’intérêt fondamental des messages de chargement de l’histoire, si c’est ce dont il était question… Toutes mes excuses.
Quoi qu’il en soit, fais bien attention à ce que tu déclares : prétendre que « chaque représentant important des divinités du Krozmoz » intervient dans le choix de Mina revient à frayer dangereusement avec l’une des limites de cette édition des RI. On ne manipule pas des personnages du background officiel. Quoique… On pourrait arguer que chaque représentant d’une divinité est important. Pour cette dernière, en tout cas. Mouais, allez, disons que ça passe pour cette fois…
Je ne te cache pas avoir écarquillé les yeux à la lecture de la mention du culte d’Enutrof. Enfin ! Enfin Celui-Qui-Murmure-À-l’Oreille-des-Cailloux allait avoir droit à son moment de gl… Ah, non.
Mais… Pfff ! Allez, quoiii ! Fais pas ta pince, envoie un Enutrof ! S’te plaîîîît… Non ? Grmpf…Là où d’autres répugnaient à aérer leurs récits, tu t‘échines à fragmenter le tien. Et pas dans la demi-mesure, hein, c’est même parfois trop morcelé, au final… O_o
Bwarf, le cliché de la silhouette mystérieuse et encapée a la vie dure et trouve, dans ta participation, une nouvelle occasion de se rappeler à notre bon souvenir. Je saurais m’en accommoder, mais… Mais n’existe-t-il donc aucune autre manière de créer des personnages qui suscitent la curiosité ?
Râh, pauvre gamine… Pathétique Mina... Nous ne nous rendions vraiment pas compte qu’elle serait la cible d’un tel harcèlement. C’est bon, n’en jetez plus, la coupe est pleine ! On ne nous y reprendra plus, promis-juré-craché ! Rrrrrrrrk-pteuh !
Et ça va loin, cette histoire, jusque dans les menaces et la culpabilisation… Paye ton traumatisme ! Pardon, Minaaaaa ! Pardooooon… TT_TT
Oh, mais… Un sans-dieu ? Ooooh ! Qu’est-ce que ça va donner, ça ? O_O
Pwahahaha ! « c’est pas bien de ne pas avoir de dieu à votre âge » : ce ricanement attendri que ça m’a décroché ! Bravo, huhuhuhuhu !
Par contre, je n’ai pas non plus saisi cette histoire d’intervenant plus jeune que Mina. Cela fait-il référence à quelque chose qui se produira plus tard dans l’histoire ou bien s’agit-il seulement d’une façon de parler ?
D’ailleurs, concernant la façon de parler de ton ancien adepte de Xélor, autant j’apprécie les énigmes, autant certaines de celles qu’il sert à Mina me laissent dubitative. Etre ou avoir, ça passe. C’pas follement élaboré, mais ça fait le café. Celle du choix entre deux gâteaux, en revanche, fonctionne bien mieux dans le contexte de l’histoire (c’est d’ailleurs, je crois, mon énigme favorite parmi toutes celles posées par ton personnage). Celle des deux toutous, en revanche, tire trop en longueur pour atteindre efficacement le coeur de la cible, mais elle avait aussi son propre potentiel.
Je ne comprends pas des masses de quelle manière (punaise, ça fait trois fois que j’écris ne pas comprendre quelque chose, pardon-pardon) ton non-Xélor retombe sur ses pattes et retrouve le fil de sa démonstration pour parvenir à ce qu’il attendait de mettre en avant : l’importance de la foi pure et dure. Toujours est-il qu’il s’en sort et que sa réaction m’a touchée lorsque Mina lui a demandé si la force était proportionnelle à la croyance.
J’ai… J’sais pas, c’est tout niais, hein… J’ai ressenti sa fierté alors qu’il verbalisait ce qu’il ressentait face à la sagacité de la fillette. Là, tu vois, je me mettais bien à la place du personnage. Dommage, par la suite, que la précision maladroite de la coupe imaginaire et des supporters invisibles ait mis à mal cette immersion naissante.
Dans un autre registre, j’ai apprécié le rendez-vous sous une autre apparence donné par l’encapé. C’est une ouverture plaisante et prometteuse, ça, merci !
Tu aurais fini sur une note hyper joyeuse si tu avais supprimé le premier mot de l’ultime phrase. Je crois que cette dernière aurait ainsi vu son effet — déjà bien bon — décuplé !
En définitive, que penser de cette non-participation ? Parce qu’il était quand même demandé de présenter sa divinité favorite à Mina, hein. D’autant plus que je ne saisis toujours pas comment ton personnage peut conserver les pouvoirs octroyés par Xélor alors qu’il ne vénère plus ce dernier…
Ne t’es-tu pas, de fait, disqualifié toi-même en partant du principe qu’aucun dieu n’est important et que seule la foi importe ? Rien n’est moins sûr, mais je suis contente que tu aies pris ce risque inédit car je trouve méga cool d’avoir achevé ces RI sur une participation atypique qui prend les choses à rebrousse-poil !
Jai détaillé un certain nombre de points dans une réponse sur le post de Toko-Rakle si tu es intéressée. Faire des coupes dans un texte est toujours un choix douloureux. Cela peut être pénible pour le lecteur de voir passer plusieurs versions. Une version plus longue et plus détaillée sera mise à disposition si vous le demandez.
P.S : "irent" pour "allèrent" et "coup" pour "cou", c'est limite. Pour le coup avec un p, j'ai honte.
Merci pour ton retour tant attendu, oh grande Paglopglop !
J’n’avais pas songé que la référence à Alice pouvait être un poil (de Wabbit) trop lourde en l’amenant jusqu’à tomber dans ce terrier, étant toujours dans l’introduction de mon récit, et n’empiétant pas tant que ça sur la suite…
Bien vu pour Nathaniel, tu as l’œil (et la mémoire !). J’étais obligé… « Tombe, tombe, tombe ! » a écrit Mr. Lewis Caroll…
Contrairement à ce que tu as interprété, je ne l’ai -objectivement- ni étiqueté comme agoniste ou anta-. Et c’est quelque chose qui traverse tout mon récit d’ailleurs. Il ne soutient aucun des camps dans chacun des conflits qui sont montrés à Mina.
Sur les visions passées, tu as tout juste. Mais en allant plus loin encore, il s’agissait pour moi de montrer que non seulement la famille de Mina est liée de près ou de loin à des événements majeurs du passé et du futur de Dofus. Mais qu’en plus une thématique traverse ces événements : un affrontement bien/mal qui revient, et se répète (après, où est le bien, où est le mal… Ce n’est pas à moi d’en décider… C’est à Mina, et à vous). L’histoire se répète dans le passé comme dans le futur, alors peut-on avoir un impact sur notre présent ?
Car à l’instar de Mina, vous n’êtes que des spectateurs, ne pouvant pas agir, sur ces scènes temporelles crues et marquantes. Mais elle aura une chance de changer son présent.
Tu trouves mon Xélor cruel.
Mais laisse moi te poser une question alors : le temps n’est-il pas cruel ? Nous arrachant des êtres chers, nous aspirant vers une décrépitude dont nous ne pouvons sortir.
Au final, nous apprenons à vivre avec, nous faisons le deuil de ces êtres chers, et nous laissons le cours du temps continuer. Il y a un âge où l’on quitte l’insouciance pour apprendre à vivre avec cela.
Je t’en dis pas plus, mais j’espère que tu as compris où je voulais en venir, et je t’invite à t’attarder une nouvelle fois sur mon récit, en prêtant plus attention à la façon dont réagit Mina… Car c’est au final le véritable cœur de mon récit…
Alors là, je dois t’avouer n’avoir pas pensé à écrire le récit de manière à lui donner une signification en le lisant dans l’autre sens. Mais l’idée est folle. Malheureusement je suis loin d’avoir le talent et les compétences pour écrire quelque chose de cet acabit… Comme tu dis, oufissime d’un point de vue technique et narratif !
Le Xélor qui se serait perdu dans les époques où les époques qui se perdent et se confondent entre elles ? Après tout, le futur éliocalyptique fait maintenant parti du présent…
Sur des éléments moins globaux :
- Ca fait chaud au cœur que les éléments plus… cinématographique que je glisse fasses mouche ! Surtout parce que j’adore les écrire !
- Non, pas de référence aux autres participations : je n’étais pas inspiré, et je me suis toujours pas remis de la douche froide des dernier RI (7 pour moi) : je trouvais mes évocations génialement placées (teintées d’une double référence notamment pour le piano) mais la moitié du jury m’a détruit là-dessus ahah.
Bonjour Pagloplglop ! Merci pour ce premier retour.
Non, en fait, théoriquement, c'est ma deuxième participation aux RI, j'étais sur un autre compte lors de l'édition précédente.
Je me suis permise de présenter Sram en tant que dieu des Morts, suite à des dialogues IG (je place un screen avec l'intéressé) et au premier commandement Sram : "Tu respecteras l’art funéraire et ne cracheras pas sur les tombes". Désolé pour la boulette !
Quand à la profession de nécromancienne, on le remarque également dans les quêtes IG où les nécromanciens n'hésitent pas à citer leur métier pour le moins anodin. Et d'ailleurs, les PNJ auquels je pense sont des Srams.
Oups, une autre boulette avec le coup du corbeau, my bad. Mais y'a bien un monstre qui s'appelle le Corbeau Noir, je crois ?
Quant à l'énumération rapide des facultés de combat des Srams... Bah, Eryne n'est pas une guerrière, alors elle l'a passé rapidement.
En tout cas, merci pour le retour qui est venu assez rapidement, et ravie que ça t'ai plu !
Comme d'habitude, devant ton légendaire style critique je n'arrive pas à saisir à quel point le récit t'a plus ou déplu. La plupart de tes remarques sont exactes et je ne peux être que d'accord avec elles (je suis tout de même désolé que son sage discours ne t'ait pas fait vibrer). Je dirais que l'explication à la plupart de tes questionnements s'expliquent par "j'ai écrit ça rapidement moins de 24h avant la fin simplement pour le plaisir". Il y a des erreurs qui sont à éviter lors d'un "concours littéraire" mais elles sont là et je vis très bien avec. Mais ça tu t'en doutes certainement .
Sinon dans le désordre:
- Non ce n'était pas une ref à MiB mais c'est vrai que ça colle bien et j'adore ces films ! (Mais Mortimer, Kay et Dee ne sont probablement les seuls à avoir tenu de tels propos en fixant le ciel)
- Pourquoi ce grain de riz me colle à la peau alors que c'était l'idée de Théo ? Ton actuel collègue...
- Mortimer n'est pas une tortue pour justement montrer qu'il est inutile d'en être une pour vénérer lxchélonia ! Et avec la place qu'elle occupe actuellement dans la "hiérarchie" divine et son importance en 651, je doute que ses adeptes développent des traits similaires à ceux de leur déesse (peut-être que si, je me souviens de quelques discussions avec Malvadar sur le Discord Rôlistes Douziens, mais j'avoue ne pas particulièrement maîtriser le sujet)
- Si certains des synonymes proposés pour carapace sont de bonnes idées, je ne peux tous les valider
Et finalement je ne sais pas si on doit parler de motivation, passion ou folie quand je vois tout ce que tu nous a (encore) écrit C'est pas nous les "ouffs" dans l'histoire, mais bien toi
Vraghdakk#1234
- ANCIEN ABONNÉ -
05 Avril 2021 - 18:13:53
Salut ! Alors déjà, même pas vrai que je suis nouveau, j'ai RP une fois sur Pandore y'a trois ans. Comment ça vous vous en souvenez pas ? Faîtes marcher vos connexions synaptiques, ou j'sais pas quoi !
Urgholl est un personnage que je joue depuis un long moment sur Wakfu, et que je réutilise souvent en dehors, dans d'autres univers. Qu'est-ce qu'il fait aux Piles, à l'ère des Dofus ? Pourquoi il parle de manière un poil trop soutenue, et beaucoup moins tout de suite après ? Et ben, je suppose que je pourrais fournir des explications bidons, mais la vérité, c'est juste que ça m'amuse beaucoup !
J'suis conscient que je peux être un poil verbeux parfois (souvent), et j'ai envie de dire que c'est là où je me frotte aux limites du forum. J'adore me creuser la tête pour trouver des mots compliqués à caser dans un texte, et tout casser en remplissant les dialogues, voire les descriptions, de vulgarités. Alors, forcément, quand j'essaye de respecter au mieux la charte, et que je vire les "gros mots", ben, on se retrouve juste avec les mots compliqués, que je ne voudrais pas enlever, par peur que le texte soit juste plat, je ne saurais pas par quoi les remplacer !
J'adore faire faire et dire des trucs un peu incohérents à Urgholl, et malheureusement parfois ça porte atteinte à la euh... Bah à la cohérence du texte, en fait.
J'espère que ça ne t'a pas tant dérangé que ça tout de même !
Encore merci de votre implication, de prendre le temps d'organiser tout ça ! (C'est un remerciement qui vaut pour chaque membre du jury !)
@Lilizefou Y a pas à être « désolé » ou quoi que ce soit, hé ! Du moment que vous avez pris plaisir à participer, c'est tout ce qui compte (je crois)... ^^
Quant à chercher à quantifier à quel point tel ou tel récit m'a (dé)plu, c'pas le but premier. 'faudra se contenter de l'étalage de mes impressions et de mon ressenti, huhuhu !
@Sperrylite Ahlala, si vous faites exprès de changer de comptes, aussi... Comment voulez-vous que je m'y retrouve, hein ? Le Corbeau Noir originel (et le suivant après lui) date de l'ère du Wakfu, non ?
@Cow-Smique Ah non, mais oui, mais non : c'est moi qui ai eu cette impression d'antagonisme, hein. Il s'agissait d'une pure interprétation de ma part basée sur un ressenti personnel, rien d'autre... ^^
Le temps, c'est le temps. Il n'est, objectivement, ni cruel ni bienveillant. Le considérer comme tel ne peut se faire que d'un point de vue subjectif (: attention, il s'agira peut-être du prochain sujet de philo' au bac).
Après avoir relu ton récit, comme tu l'as proposé, je ne suis toujours pas certaine d'avoir bien compris où tu voulais en venir... Je tente quand même d'avancer une supposition, tu m'diras si je fais fausse route : le Xélor montre à Mina des passés douloureux auxquels elle ne peut plus rien changer pour lui donner suffisamment de rage et d'envie afin de modifierer le futur déprimant — son futur de fiancée abandonnée — qu'elle entraperçoit à la fin de son voyage, à travers les reflets d'époques ?
@Vraghdakk Bah non, t'inquiète ! C'est un chouette personnage que tu nous as fait découvrir dans ton histoire... ^^
Merci pour tes commentaire inimitables : toujours flatteurs tout en étant impitoyables (j'adore !).
Alors, oui, j'ai commis des fautes (j'avoue...) et je plaide coupable :
J'avais tellement envie que les villageois s'appellent les Piliers (de Kontouar) que, bien qu'ayant vérifié (mais trop vite, sans doute), j'étais persuadé qu'aucun nom n'avait encore été donné. Je me suis précipité...
Et oui, je me suis bien rendu compte qu'en choisissant une biche et son faon j'étais (comment dire...) hors sujet ? Mais, à ma décharge, je n'avais aucune image analogue en tête parmi la faune du Monde des 12. Et, j'ai beau y réfléchir, je ne vois toujours pô...
Enfin, oui, c'est vrai... Je n'ai jamais été fort en théologie (je le reconnais) ! Je pourrais essayer de me justifier en disant que Fantomine n'est pas non plus une spécialiste de la question, etc. Mais la réalité est juste affligeante : je ne me suis même pas documenté sur le Dieu Sram avant d'écrire (sans compter que je devrais le savoir, bien sûr...) !
Enfin, s'agissant de la description des lieux et, notamment, de la bergerie ; oui, tu as sans doute raison. Je crois que c'est par fainéantise que je n'ai pas été plus précis sur le chemin parcouru par les personnages sur la carte. (A moins que je n'ai pas osé "figer" la carte en rajoutant un bout de forêt de l'autre côté de la rivière, à l'ouest ?)
Toujours est-il que j'aurais pu "introduire" la bergerie dans le récit, en la situant sur le parcours. Ca n'aurait pu qu'enrichir l'histoire, la rendre plus vivante...
Donc, finalement, c'est une chance : j'ai toujours une marge de progression (très) importante et je pourrai, donc, encore participer pour essayer de m'améliorer.
Merci beaucoup pour ce commentaire ! Je suis vraiment contente si la lecture de ma participation t'a plu ehe. Et, oui, toujours en retard... Même dans la vie de tous les jours, c'est tout moi ! Je me sens boostée quand je suis en retard !
Pour répondre à ta question, à propos de mon acrostiche trop visible, en fait j'ai eu peur qu'on ne la voie pas du tout, comme ce n'était pas à chaque début de paragraphe, mais plutôt de manière random. Du coup je me suis dit "Alors on va mettre en gras... Non, souligné... Non, italique... Italique et gras... Et... allez les trois" x)
Héhé oui j'ai pas mal fait de petites recherches sur Shariva et ses disciples avant de me lancer. Shariva, c'est délicat parce que les jurys sont directement concernés pour certains, alors, dire des bêtises sur ce culte m'aurait fait passer pour une andouille... ;^;
Voilà voilà ! Encore merci pour ton commentaire :3
Ravi que les sonorités aient fonctionné, j'y tenais à ce "bandit : cape et bandeau". =)
Je vois le problème pour le passage de l'enfant élevé par un village. Et effectivement la fin est plutôt nulle, commencer à écrire le dernier jour n'était pas la meilleure idée pour respecter la deadline. La prochaine fois j'essayerai de me bouger plus tôt pour avoir le temps de finir convenablement et de me relire pour voir ce que j'aurais dû ajouter et pu retirer (sans parler des coquilles).
Merci beaucoup pour cette participation haute en fourberie et pouvoirs occultes, les morts n’ont qu’à bien se tenir, car Mina tient là une réelle fervente du Dieu au crâne souriant !
J’ai beaucoup apprécié l’approche de ton personnage, très fidèle à ce que l’on pourrait imaginer d’une disciple de Sram. Les descriptions sont assez riches, la narration agréable même si ici et là on peut retrouver quelques erreurs de virgule ou de temps qui coupent un peu avec le reste du texte qui est bien écrit, n'hésite donc pas à te relire à voix haute, cela te permettra d'éviter ces soucis de rythme.
Le tout est ponctué d’une touche originale est intéressante qu’est cette proximité de ton héroïne, et de certains autres Sram, comme tu le dis, avec la Nécromancie et la mort… malheureusement cette originalité est également le problème de ton texte : dans le Monde des Douze, la Nécromancie n’est vraiment pas bien vue et ses adeptes sont rares et reclus. Si Sram a une apparence morbide, il n’est pas le Dieu de la Mort, titre qui se rapprocherait plutôt de Thanaténa. Je reconnais cependant que la jonction était tentante et s’implantait agréablement dans le fil des événements.
En tout cas, je me suis régalé de cette lecture et je t’encourage vivement à continuer !
Salutations el-octodonne2,
Les disciples de Iop te saluent ! Et en parlant de disciples de Iop, celle que tu présentes en est un exemple prisé ! La petite Mina a là une présentation assez fidèle de ce qui peut se faire en termes de fervente de Iop.
J’apprécie ce caractère bien trempé que tu nous fais percevoir dans ton récit, par les pensées, les paroles, mais aussi les actes et manières brutales de cette chère Tsugira. Clairement, elle n’aura pas laissé indifférents les différents spectateurs de sa prestation.
Si je devais mettre un petit coup de loupe sur ton récit, il me faudrait cependant mettre en avant que tu as pas mal remanié le cours des choses en ramenant la scène sur la place avec encore un public étoffé, là où les deux récits précédents se chevauchaient bien dans un cadre plus isolé, tu as plutôt tiré Mina au milieu de la place sans réelle transition pour servir le côté spectaculaire de la présentation de ta disciple de Iop, et, d’avis purement personnel, j’aurais peut-être préféré que tu fasses un petit peu moins agir le public pour te concentrer davantage sur ton personnage qui avait toutes les cartes en mains pour dégager une aura intimidante que tu nous fais deviner par ceux qui l’entourent.
En bon disciple de Iop, j’aurais bien aimé savoir de quelle facture était cette épée qui fascinait tant notre petite Mina !
Je noterais aussi un certain nombre d’erreurs mais rien qu’une bonne relecture supplémentaire ne pourrait corriger pour toi à l’avenir !
J’ai en tout cas bien souris à cette présentation de consœur guerrière. Elle est une aventurière comme on aime en rencontrer et dont les histoires sont toujours amusantes à suivre ! J’espère pouvoir un jour lire d’autres aventures de cette incorrigible Tsugira.
À la tienne Lutineur !
Pouvoir lire tes textes, c'est toujours un plaisir. Merci de nous offrir ces lignes agréablement écrites malgré que tu ne veuilles pas entrer en ligne de compte dans nos coups de coeur.
Et quel coup de coeur que ce Pandawa, on l'imagine si bien, on s'y croirait même, l'odeur de fermentation aux abords du notre nez. Je trouve l'histoire tout simplement superbe, notre protagoniste étant d'une cohérence parfaite malgré son don pour l'ivresse et sa passion pour le lait de bambou n'est pas usurpée, qu'elle pirouette il nous a fait là pour sauver cette choppine !
Que Pandawa veille sur lui. Juste, qu'on se le dise entre nous... n'aurais-tu pas confondu "majorité spirituelle" et "majorité" ? Est-ce que ce bougre de Lutineur serait en train de nous faire boire notre p'tiote de 12 ans ?! Oh ça va barder pour lui ! On dirait que tu vas donner une bien mauvaise réputation aux disciples de la Déesse...
Blague à part, ton récit est juste top, agréable à lire et reprend parfaitement les récits précédents en leur rendant honneur de références bien pensées. Que ce soit en compétiteur ou non, continue de nous régaler avec tes récits, c'est du bonheur !
Bonjour à toi, -Lauraetcaroline- !
Je suis ravi de pouvoir lire ta participation tout en poils, le Dieu Écaflip venant compléter cette collection qui promet de se fournir de plus en plus.
Tu as joué une carte (ah les jeux de mots) sécuritaire en reprenant les écrits du Temple, mais tu t'assurais aussi comme ça une ligne d'écriture rassurante... Et c'est ce que j'aurais tendance à trouver dommage dans ce qu'aurait pu nous offrir on disciple d'Écaflip ! Après son introduction si énigmatique, j'étais très curieux de lire la suite, mais c'était peut-être un peu trop linéaire pour la suite, un peu trop scolaire par rapport à ce qu'on pourrait lire dans un ouvrage de Temple, par exemple... est-ce que tu as préféré ne pas trop risquer une narration plus osée pour commencer ?
Si c'est le cas... eh bien j'aurais tendance à dire que tu as tout ce qu'il faut pour te permettre d'oser. J'ai vu de très bonnes choses dans ton texte (notamment l'arrivée de l'Écaflip) et je suis sûr que tu peux étendre de si habiles ressources au reste de ton histoire.
Avouons-le, j'aurais aussi aimé voire des références un peu plus poussées aux participations précédentes, elles sont riches en détails et tu avais matière à nourrir ton texte d'éléments supplémentaires, et c'est là le coeur des RI !
Je t'encourage en tous cas à continuer à écrire, et oser : t'as plume retient bien des belles choses !
Bonjour Tricotinette à la fée bleue !
Quelle amusante visite nocturne tu nous proposes là et ce, tout à l'honneur de la Déesse aux petits soin.
La petite balade nocturne est mignonne, je me suis particulièrement amusé de cette intervention lapinesque où je m'imagine bien ce petit bout tout agité et absolument intenable. À vrai dire il n'aurait vraiment manqué à ton récit... qu'une référence plus forte, plus recherchées aux autres participations !
Enfin, c'est ce que j'aurais pu te dire... s'il n'y avait pas une faute de BG assez conséquente. La Déesse Éniripsa est certes la maîtresse des soins, mais elle n'est pas réputée pour aller soigner à tout bout de champ dans les rues... encore moins d'avoir un atelier ouvert à qui le souhaite, car c'est une résidente de l'Inglorium après tout et non pas une entité accessible et facile à rencontrer.
Je comprends le plaisir que cela a pu être de t'imaginer son coin à elle, mais en prenant cette liberté, tu te mets en délicate position vis-à-vis du BG du jeu, et c'est pourtant une des règles importantes des RI ! C'est dommage, car tu as une belle plume, ton récit est amusant et il ne t'aurait finalement manqué que cette mesure, et quelque chose pour la remplacer pour étoffer ton récit pour avoir une véritable petite perle !
En tous cas, rien ici est hors de ta portée, avec l'imagination, tu n'auras aucun mal à combler cette ombre à l'avenir !
Bonjour... ccfcffccf !
Un nouveau disciple d'Écaflip ? À la bonne heure, le Dieu des joueurs est à déjà deux disciples on dirait (parlant de ça... tu n'aurais pas justement oublié dans ton récit que Mina venait tout juste de rencontrer un Écaflip avant le tient :p ?).
Parlons peu, parlons épopée, celle-là même dans laquelle tu nous entraînes, que ce soit dans les bois ou dans la mine, je vois derrière tes descriptions le désir de créer des scènes épiques pleines de détails... mais cela a finalement joué contre toi.
Il y a nombre de détails, oui, mais ils sont peu espacés, ces phases de descriptions peu aérées ce qui devient vite étouffant, et la scène qui se voulait épique tourne vite à une tirade où ton lecteur risque de se perdre, ou perdre le fil, l'un ou l'autre n'étant pas désirable.
Malheureusement, c'est une petite faute dans laquelle tu verses plusieurs fois dans ton récit ce qui peut être décourageant et c'est bien dommage : on sent ton désir d'en mettre plein la vue.
C'est quelque chose que tu pourras changer sans mal à l'avenir, aussi ne lâche pas l'affaire : un peu de d'air dans tes descriptions, de rythme, et une pointe de piquant et tu auras tout pour séduire tes lecteurs.
*se pince le nez* Salut Katibiby, cobbent ça ba ?
Ah, pas d'inquiétude pour l'haleine de bouftou, on fera avec ! Au tour d'Osamodas d'avoir une représentant, et pas moins que le frère de notre chère Mina !
Je ne vais pas te mentir, je me suis dit que la petite Mina ne serait pas très convaincue par cette aventure. Avoir un texte relativement court n'est jamais un problème lorsque l'on sait y mettre des éléments importants, mais ces éléments, on ne les retrouve pas vraiment. Je trouve que ce brave Jean-Francois manque un peu de conviction, de persuasion, et son exemple est un peu simple, tant est qu'on a du mal à faire forcément le lien avec Osamodas.
Finalement, nous sommes un peu plus proche de la rencontre agréable/aventure que de la tentative de persuasion, ou de conseil. Osamodas n'est pas tant vendu. Oui, invoquer c'est cool, et avoir une influence sur des créatures aussi, mais je ne sais pas... ça manque de quelques anecdotes qui pourraient vraiment nous faire dire qu'être Osamodas, c'est intéressant, voire la classe !
J'ai pu remarquer qu'il y avait pas mal de fautes dans ton texte, notamment des conjugaisons. N'hésite pas à prendre le temps de te relire, vérifier certaines écritures, cela pourra t'éviter des coquilles à l'avenir ! En tous cas, merci pour cette participation, j'espère que tu reviendras avec les bagages plus fournis, parce que ma faim n'en demande que plus !
Piquantes salutations Alexiacia !
Mina sortira de cette rencontre avec de belles leçons de vie, des leçons que seul un bon et fidèle disciple de Sacrieur peut dispenser. Quel dommage que notre protagoniste soit si pressée, je suis sûr et certain qu'elle aurait eu encore beaucoup de belles choses à lui raconter, des choses que j'étais très impatient pour découvrir.
Tu as su mettre le doigt sur des sujets très intéressants et tu as pris en mains des intrigues avec un potentiel riche... j'aurais beaucoup aimé que tu pousses ces thématiques un peu plus loin, quitte à mettre notre disciple du Sacrifice en retard pour son rendez-vous, car si tu mets une certaine "hype", elle n'aboutit pas vraiment.
Je suis pourtant persuadé que notre amie avait dans sa besace quelques histoires à la belle moralité où elle aurait pu illustrer ce fameux sens du sacrifice. Il ne manquait finalement que cet exemple concret, que cette aventure à faire vivre à Mina, peut-être, pour atteindre le top du top !
J'ai remarqué aussi un certain nombre de coquilles, et parfois des maladresses d'écriture. Pour moi, le meilleur remède pour ça, c'est une bonne vieille lecture à haute voix, tu auras tendance à plus facilement remarquer tes erreurs et surtout, tu pourras déceler les endroits où les phrases sont un peu bancales niveau rythme.
En tous cas, tu as un sacré beau paquet de bons ingrédients pour faire une soupe d'exception. Une bonne pièce pour parfaire ce plat et le voilà transformé de goûter à plat de résistance !
Continue à écrire, je réserverai une table à coup sûr à la prochaine recette !
Bienvenue dans les tortueux couloirs des Récits d'Invention -Moeb- !
Et malgré ces chemins tortueux, quelle habile histoire, quel beau texte que tu viens nous présenter là.
Je suis resté accroché à ma lecture du début à la fin, et même jusqu'à la faim car c'est avec gourmandise que je m'imaginais les scènes que tu nous offrais. Ta prise en compte des autres participations est agréablement subtile et je la salue.
Tu as su mettre une aura mystérieuse autour de ton personnage, et c'est avec plaisir que nous l'accompagnons sur la Bossue au côté de Mina, et qu'elle habile utilisation de ses pouvoirs. On ne pouvait en attendre moins d'un digne Eli-... attendez quoi ? Eliatrope ? Avec un "a" ? Aïe... les Eliotropes sont un sujet difficile sur Dofus, mais les Eliatropes, ah ça, excepté de feu N et des quelques caves immergées, il serait problématique de les énumérer à l'âge des Dofus, et c'est pourtant un chemin que tu as emprunté.
Habitué à l'univers de Wakfu ? Quoi qu'il en soit, c'est vraiment dommage pour ton récit car c'est le points culminant qui t'emmène sur cette pente glissante qui te met en défaut vis-à-vis du BG officiel !
J'ai aussi un peu peur que de mettre en avant une source de Wakfu, un "cataliseur" dans la Bossue, n'ait été un peu trop audacieuse, te faisant là aussi glisser sur une pente verglacée. Ne nous mentons pas, l'idée est vraiment intéressante, le concept original mais les RI ont leur cadre et si tu n'en étais pas sorti avec cette dérive, cela aurait été juste parfait !
En tous cas... n'hésite surtout pas à recommencer à présenter tes textes, ils sont très, très agréables à lire !
C'est un plaisir de te revoir Row-Sebal !
Je suis d'autant plus content de revoir ton nom dans ces RI que c'est pour nous proposer un texte aussi agréable à lire.
Tu nous dépeins les charmes de cette chère Fantomine mais ta plume lui vole tous les projecteurs et c'est finalement dans cette aventure où la liberté de la vie de Sram prend un goût unique, aisé à distinguer parmi les saveurs qu'on pouvait lui soupçonner.
Tes références aux autres participations sont fournies, l'argumentaire pour convaincre Mina bien présent et tout ceci accompagné d'une histoire au rythme bien ficelé, touchante et fluide. Tout va bien dans ce texte, et j'ai passé un très bon moment en le lisant, merci !
S'il y avait une chose à redire, ce serait les quelques coquilles cachées ici et là tout au long de ton récit et si on sent que tu as fait une relecture, certaines de part leur camouflage ont trompé ta vigilance. Hormis ceci, impeccable, à quand le prochain tome ?
Bonjour et surtout bienvenue à toi ultimafeca2011 dans l'aventure RI,
C'est toujours plaisant de voir de nouvelles personnes s'essayer à cet exercice pas si simple.
Tu as fais là un choix osé en prenant du recul avec le récit, et c'est assez original d'avoir pris le point de vue du grand père racontant différemment les événements à comparé des participations précédentes !
C'est à la fois habile, mais aussi risqué car tu joues beaucoup avec le hors-sujet mais heureusement tu te rattrapes de justesse à la fin en parlant de ce Feca essayant d'enseigner et de jouer avec la jeune Mina.
C'est d'ailleurs un peu cela qui me laisse un petit peu insatisfait. Si c'est mignon d'entendre un grand père parler à ses petits enfants, tu as aussi déporté le récit si bien que nous passons très, très peu de temps dans le coeur du sujet, le coeur de ces RI : convaincre Mina de rejoindre une divinité.
Dans ton texte, c'est presque anecdotique, et c'est dommage ! J'aurais vraiment aimé voir plus en détails ces échanges entre Mina, comment il lui aura présenté ses pouvoirs, comment il lui aura vendu ce lien avec la Déesse des protections...
Je pense qu'il y avait de la marge pour nourrir ton récit de beaux échanges entre l'un et l'autre, d'autant plus que tu prends le parti de dire qu'ils ont passé plusieurs jours ensemble. Tu prends donc BEAUCOUP de place dans le peu de temps que tout le monde a dans ces Récits d'Invention.
Beaucoup d'espace que tu n'exploites que pour une phrase finalement. C'est dommage ! J'attire également ton attention sur ton écriture, n'hésite surtout pas à relire ton texte plusieurs fois, et au moins une fois à voix haute. Cela te permettra de ne pas souffrir d'un grand nombre de coquille et ton texte ne pourra qu'en gagner en qualité, et c'est tout le mal que je te souhaite pour la suite !
Bonjour Le-C0NTEUR,
Enfin, c'est ce que je dirais si je n'avais pas peur de te rendre grognon.
Ton vieux brouissailles n'est clairement pas des plus sociables. Il est néanmoins un personnage aussi attachant qu'intéressant et son approche du culte Sadida n'a rien à envier à celui de la belle Rosae !
Si je dois regretter une mise un forme un peu... tassée, l'écriture est très belle et la lecture est aussi fluide que difficile à arrêter.
Non seulement ton personnage est dépeint de façon attachante mais le soin que tu mets dans la mise en place de l'environnement mais aussi de leur relationnel a tout pour capter l'attention ! On suit leur échange avec la tendresse et la bienveillance qui peuvent se lire d'un grand-père à sa petite fille, et pourtant ils ne sont pas parentés, sauf, qui sait, par leur culte dans un futur proche ?
C'était donc un pur régal, du début à la fin et cela sans citer les références aux autres participations finement placées. Merci pour ta participation, continue à écrire, c'est un cadeau pour tes lecteurs !
Bonjour Nylwosh,
Et bonjour aussi à ton cher compagnon à quatre pattes ! Il ne faut jamais retirer le mérite de ces courageuses créatures.
Ton récit rentre incontestablement dans l'enclave de ceux qui sont si agréables à lire. C'est un charmant duo que tu nous présentes là pour rencontrer Mina et ton talent pour mettre en scène leur rencontre avec la jeune fille mais aussi pour énumérer les autres participations est qualitatif au point où on en reprendrait pour le dessert !
Cette plume est si habile, que je suis d'ailleurs peut-être resté un peu sur ma faim pour les mérites que Valcade donnait de Féca.
Ah, c'est ça, lorsque l'on goûte à quelque chose de si agréable, on en veut forcément plus ! Allez c'est décidé, c'est clairement ce que je commanderai au prochain Nowel et j'espère voir ton nom en tête d'autres textes à l'avenir, j'en serai ravi !
Bon jour pour un bonjour gearbutcher !
C'est un texte bien énigmatique que tu nous proposes là. J'ai essayé de suivre l'ordre de ton texte et fermer les yeux... mais il ne s'est rien passé ensuite ! J'ai dû les réouvrir, mais forcément, ça n'avait pas le même effet.
La première chose que je vais te dire, c'est que j'ai beaucoup apprécié tes jeux de mots, ils étaient assez habiles ! Parlons peu, parlons mieux, et c'est cette fois de ton cher Éniripsa qu'il est question.
Tu passes un certain temps à amener à sa rencontre avec de jolis détails si bien que lorsqu'on arrive à lui... sa description est si courte, et sa prise de parole si brutale, qu'on a l'impression qu'une partie du texte a été emportée par le courant de la rivière.
La transition est d'autant plus brutale que nous arrivons sur une très grosse phase de texte qui manque un peu d'air si bien que l'on perd facilement l'ambiance et qu'on se retrouve plus à essayer de ne pas se tromper de ligne qu'à suivre ce que tu écris, ce qui joue contre le texte d'apaisement que tu offres.
En tout cas, si Mina aura fait une jolie sieste avec une séance d'ASMR agréable, il lui manquera quelques arguments et convictions à l'égard de la Déesse Éniripsa pour se constituer une solide décision.
N'hésite donc pas à recommencer à écrire, le style que tu as essayé d'employer est prometteur mais offre un peu d'air et des intermèdes à ton lecteur : une fois qu'il aura lu ta séance de méditation, alors il pourra se l'imaginer dans sa tête après coup, mais il ne peut pas et te lire, et se laisser porter par une phase de méditation si le format de la lecture suscite toute son attention pour lire correctement.
Je suis curieux de te voir réessayer et améliorer le format !
Bas les masques Sweyl, et bonjour !
J'avais assez hâte de lire une participation qui parlerait de la culture Zobal et je ne suis pas du tout déçu avec la tienne, la parallèle que tu fais entre le masque et les émotions étant des plus intéressants à suivre.
Prenant le pas sur Mina, on serait même tentés d'aller expérimenter cela nous-même et s'offrir un stage 6 mois Zobal émotionnel.
Ton récit est somme toute agréable à lire, même si je dois avouer avoir beaucoup tiqué lorsque tu as changé le sujet du narrateur. D'un côté, c'est un narrateur omniscient extérieur, et puis d'un coup, c'est ton Zobal. Je ne sais pas si tu as essayé de donner un style particulier à ton texte de cette façon mais du coup, cela constinue dans cette forme précise une erreur assez perturbante.
Je suis aussi un peu étonné que ton Zobal retire son masque comme ça, si facilement devant des inconnus, mais bon, on a vu de tout, même dans les news Dofus !
Pour ce qui est de la prise en compte des autres participations, tu fais bien des références correctes aux autres participations mais j'ai l'impression que tu en as sauté certaines, ton texte prenant assez mal la suite du précédent dans la mesure où l'un était tout juste à l'aube dans une ambiance de repos alors que ton récit arrive en pleine nuit après une journée épuisante. De plus, lorsque la question est posée à Mina de la connaissance de disciples Sadida, elle énumère Rosae mais pas le vieux broussaille qui est pourtant normalement plus frais dans son souvenir.
Cela mis à part, ton écriture est très agréable et tu ne manques pas d'inspiration, vraiment, un gros plus pour ta perception des masques Zobal et leur présentation à la petite Mina !
Élémentaires salutations à toi Chopperkun,
Merci pour ta participation ! C'est une histoire intrigante que tu nous offres là et il devient de plus en plus clair au fil du récit que nous avons affaire à un Huppermage de talent.
Je trouve cette façon d'amener le personnage très sympathique et nous offre un beau point de vue sur qui il pourrait être.
La place sur le potentiel élémentaire est très grande, si bien que l'équilibre serait quasiment rompu par rapport à la partie où il cherche à convaincre Mina, mais c'est quand même suffisamment consistant pour que la balance ne penche pas à l'extrême et que l'argumentaire pour la convaincre soit présent.
Pour ce qui est de l'écriture, je suis un peu troublé quant à la façon dont est construite la phrase pour l'orbe deux, c'est d'ailleurs un peu dommage pour une phrase autant mise en avant car l'anomalie est d'autant plus voyante !
Cela mis à part, ton histoire est agréable à lire et je serais curieux de lire à l'avenir d'autres aventures de ton cher personnage !
Bonjour PAEZZOU au bon dos !
Une chose est certaine, ton personnage n'y va pas de main morte pour convaincre notre chère Mina et il y va fort en arguments et exemples pour lui faire ressentir la passion qu'il a dans sa foi... peut-être un peu trop fort.
Frapper une gamine de douze ans, c'est pas très Dofus ça ! Le reste du récit ne manque pas d'actions et l'aventure est épique... épique oui, mais complètement en dehors du règlement. Les BG officiel du jeu n'est pas du tout respecté, entre Dragons, Dofus, pouvoirs anormaux d'un Sacrieur.
Ton récit avait pourtant commencé mais tout part en cacahuète lorsqu la fleur de Rosae se fait dérober.
Dommage également que l'aventure quitte le lieu de déroulement des RI pour une île mystérieuse.
C'est en tous cas une belle imagination que tu as là. Si tu réussis à la maîtriser pour rentrer un peu plus dans le cadre du règlement, tu pourrais faire des merveilles, j'en suis convaincu, alors n'hésite pas à t'entraîner pour nous faire découvrir à nouveau une de tes aventures !
Tic-tac, c'est l'heure de te dire bonjour Cow-Smique !
Merci pour ta participation que je trouve à la fois passionnante et palpitante, tu as pris en main un sujet assez difficile et tu as fais une fabuleuse histoire jouant avec les événement du passé (et un futur plausible) et apportant une narration agréable sur ces moments historiques forts.
Ajoutons que tu as habilement ajouté des itérations passées de la petite Mina dans ces différents tableaux.
Je tire mon chapeau pour le texte, et si nous n'avions pas été dans le cadre des RI, tu aurais reçu des fleurs de ma part ! Malheureusement, dans notre cadre précis, je trouve que tu joues beaucoup avec la limite des règles, notamment celle qui place le lieu d'où nous sortons finalement pour beaucoup, même s'il s'agit de visions, ou encore au niveau du Background : certes tu n'inventes pas d'histoire à leur sujet, et tu reprends des faits justes vis-à-vis du BG mais il est tout de même demandé de ne pas les faire intervenir dans vos récits tout court, hors là, même si dans ton récit, leur emploi n'est pas contraire à la vérité, ils restent employés et font entièrement parti de ton histoire, ou plutôt, celle de Mina.
J'ajouterai également que tu as mis tellement d'énergie à nous faire une histoire complexe et réussie (ce qui est le cas) que tu en as oublié le sujet : convaincre Mina de se joindre à une divinité. Hors, si on peut deviner que Mina pourrait être impressionnée par les pouvoirs du Xelor, il n'y a aucune forme réelle d'argumentaire autour de Xelor ni de tentative de convaincre, on tombe donc dans du hors sujet.
Pour ce qui est du BG, malgré les gros risques que tu as pris en relatant de tels événements importants, tu n'as pas marché à la faute à un seul instant (du moins à mon premier regard) c'est remarquable !
Là où je pourrais sourciller un petit peu, c'est davantage dans la mesure des pouvoirs que tu donnes à ton personnage, là... on dépasse de très loin les capacités d'un disciple du grand Chronomaître, c'est donc limite.
Quoi qu'il en soit, il faut rendre à Cow-Smique ce qui est à BigBossKurt, c'est un récit impressionnant et agréable à lire, c'est un belle aventure que tu nous fais vivre là ! N'hésites donc à essayer à nouveau à l'avenir, et vu ta qualité de narrateur et tes bonnes idées, je pense que tes lecteurs ne seront pas déçus.
Bonjour Fahne,
Ô guerrière aux milles cicatrices ! Il faut le dire, ta disciple de Sacrieur en jette, elle est impressionnante !
Tu sais bien la vendre et ton récit est assez agréable à s'imaginer lors de la lecture. Il y a cependant un certain nombre de points qui me chagrinent, vis-à-vis du règlement. Tu veux tellement mettre Fahne sous le feu des projecteurs ( ce qui peut se comprendre) que tu en oublies qu'il y a eu beaucoup de participations avant la tienne et tu ne les prends pas en compte.
Cela t'aurait probablement évité de dire à tort que le village n'avait jamais de visiteur, et tu aurais pu voir qu'organiser un grand banquet en l'honneur de ton personnage n'était pas cohérent. Tu vas également directement à l'encontre du règlement deux fois, la première en convainquant directement Mina, ce qui est interdit noir sur blanc mais également avec le nom de ta Dragodinde qui, même si je peux comprendre que ça peut être amusant, est à l'encontre du CGU de Dofus.
Peut-être qu'à être trop passionné par ton personnage, tu en as oublié l'environnement et a créé un relationnel à sens unique avec l'environnement des RI, mais c'est bien là le contraire de ce qui est recherché dans ce concours : il faut interagir avec les autres, les RI, c'est un récit que chacun rend vivant et qui participe doit vivre avec cette ambiance.
Je suis absolument certain que Fahne peut conserver toute sa superbe tout en rendant honneur aux autres participations dans ta narration et en évitant de trop la mettre sous les projecteurs. À personnage humble, présentation humble s'impose pour ne pas le dénaturer !
En tous cas tu n'as pas à rougir, ton récit est agréable à lire !
OonaruatokooO, salutations à toi !
Puisse ta flèche toujours atteindre sa pomme à défaut d'atteindre le Milimulou !
Certes, ton histoire est courte mais je trouve qu'elle a tout ce qu'il faut pour plaire, et ton personnage est très attachant dans son rôle de jeune disciple ayant encore tout à apprendre.
C'est clairement un personnage que Mina avait encore à rencontrer et je te remercie de nous l'avoir apporté par ta participation !
Peut-être y avait-il de la place pour davantage de références aux autres participations dans ton texte, et il y a un certain nombre de coquilles qu'une relecture ou deux pourrait t'aider à corriger mais c'est sinon une aventure simple et agréable à lire, à imaginer et suivre. J'espère en découvrir d'autres à l'avenir !
Malsoir Guillemaut et sombre participation à toi !
Ah ! Voilà quelqu'un qui ose sortir des clous et ce avec une main de maître. Tout est à prendre, rien n'est à jeter.
Tu réussis à mettre en place une ambiance malaisante fidèle à cette sombre assemblée qui attend Mina, tous les détails sont présents, que cela soit pour les autres participations ou pour les tentatives de la convaincre.
Bien évidemment, la curiosité est la première chose piquée dans cette histoire et c'est intrigué que je le suis resté du début à la fin, et même après !
Chapeau bas, bravo à toi pour cette participation impeccable bien que je ne souhaite pas un avenir proche de ces étranges personnages à la chère Mina. Continue à écrire !
Mes condoléances Gothapprentice,
Espérons que chacun se souvienne de ce bon vieux maître Griffe à sa juste valeur.
C'est un récit assez énigmatique et il m'est encore difficile de comprendre la vision qu'a eue Mina avec cette personne de Frigost. Je suis sûr qu'il doit y avoir une explication, mais dans le cas présent, je ne trouve pas même une piste, ce qui me laisse assez perplexe.
Tu aurais peut-être gagné à éclairer un peu cette étrange vision d'un raccord commun avec le cadre de ces RI autour de Mina car ainsi livré à lui-même, ce "rêve" fait un peu... sorti du chapeau.
Je suis d'ailleurs curieux : tu parles déjà du Sadida dans la scène qui se passe à Frigost mais seul Griffe semble avoir subi les affres du temps, à moins que ce ne soit pas le même personnage ?
Quoi qu'il en soit, tu en dis peut-être pas assez, et l'arrivée miraculeuse des camarades de Griffe à cet endroit précis accentue le côté "mis en scène pour être arrangeant", mais qui finalement détonne avec la toile de fond.
Attention également à la prise en compte des autres participations. Tu affirmes que Mina n'a jamais entendu parler de la Chance d'Écaflip... pourtant si, et plusieurs fois même dans les récits précédents, cela n'aide pas avec la sensation d'incohérence que peut laisser la première partie.
Il faut cependant concéder que tu as mis une certain coeur dans ton personnage de Griffe et il est plus qu'intrigant. Pour sûr qu'il doit être le centre de certaines histoires passionnantes, mais ça, nous le découvrirons une autre fois, du moins je l'espère !
Bonjour Bigest--Buzaayy !
C'est une participation qui ne manque pas de mordant ! Nous n'avions pas encore de participation en l'honneur d'Ouginak, ça fait plaisir à voir.
J'ai l'impression que le temps t'a rattrapé et que ta participation était prévue pour bien plus tôt, car la scène que tu nous décris là semble remonter longtemps en arrière, quand Mina était encore au milieu de la place.
Cela fait un peu étrange et rend difficile de vraiment se projeter dans l'histoire que tu nous offres car tu tires un trait sur tout ce que les autres participants (ou presque) nous ont fait vivre mais ont également fait vivre à Mina, tu vas même jusqu'à affirmer le contraire de ce qui a été dit au niveau familial car il a été établi qu'elle avait bien ses deux parents et au moins un frère.
Si on met cela de côté tu nous présentes une vision agréable de ce qui peut motiver à rejoindre le culte d'Ouginak même si tu avais la place à peut-être plus d'exemple ou une aventure plus vivante pour la petite Mina.
Attention également aux quelques coquilles dans ton texte, une relecture de plus aurait pu peut-être t'aider à les éviter. En tous cas, merci pour ta participation et n'hésites pas à retenter l'expérience, tu as clairement de belles choses à dire !
Bonjour Lilizefou,
Merci pour cette participation bien lunée !
Au début, je ne vais pas te mentir, j'attendais avec impatience de voir Tortue Géniale en action... une fois la déception première passée, c'est pour le mieux que tu nous fais découvrir une divinité peu ordinaire et malgré que ce soit un pari risqué, c'est maîtrisé avec habilité et les formes qui vont avec !
C'est une douce philosophie que nous partage le bon vieux Mortimer et Mina a vraiment de quoi être séduite, sans oublier ces références habiles aux autres participations qui implante à merveille ton récit dans la continuité des histoires qui se sont présentées jusqu'à présent.
Un petit plus bien mérité pour l'originalité de la divinité choisie, en tout cas.
C'est impeccable, agréable à lire et original, je te tire mon chapeau ! N'hésite surtout pas à nous régaler à nouveau de tes participations à l'avenir !
Doubles salutations TurfuuTeam !
Quel amusant duo tu nous présentes là avec ces deux frères aux choix atypiques.
J'ai beaucoup aimé ta participation assez originale, et la morale que tu présentes est intéressante, dans la mesure où il ne faut pas toujours suivre la voix pour laquelle on nous prédestine, c'est clairement cette nuance que j'ai beaucoup apprécié dans ton texte !
Je suis peut-être un peu moins bon spectateur sur la deuxième partie de l'histoire où ils font une démonstration de leur pouvoirs, je crois que tu as été un petit peu ambitieux si bien que tu as dépassé le cadre du logique !
Un coup d'épée qui coupe la cime d'une montagne au loin ? Voyons, c'est une prouesse digne de Iop ! Et le fait que le rocher couper retombe dans les mains du frère... il y a quelque chose qui m'échappe ici quoi qu'il arrive.
Attention également aux nombreuses coquilles dans ton texte, n'hésite pas à relire à voix haute ce que tu écris. Cela te permettra d'ajuster naturellement certaines fautes mais également certaines tournures de phrase.
J'attire aussi ta vigilance vers quelques tournures qui peuvent ne pas jouer en la faveur de l'immersion de tes lecteurs : parler de "tank" par exemple, ça fait un peu pencher la tête !
En tous cas, il y a des aspects intéressants dans ta participation, n'hésites pas à perfectionner tout ça autour d'une prochaine participation !
Salutations Antophantomive,
Et loués soient ces soigneurs que sont les Éniripsa !
Merci d'avoir produit cette participation, mais une chose est certaine, je reste pour beaucoup sur ma faim. J'aurais beaucoup aimé en apprendre plus sur Orihime et le médecin, en découvrir davantage sur leur amour pour la Déesse, pourquoi l'une amène Mina chez l'autre plutôt que de lui faire découvrir des aspects d'elle même.
J'ai le sentiment que tu nous montres seulement la pointe de l'Iceberg alors que nous sommes une équipe d'explorateurs sous-marin.
J'en profite pour te signaler un certain nombre de coquille dans ta participation, n'hésite donc pas à effectuer des relectures (et à voix haute, c'est encore mieux car ça t'aide à savoir quand ajuster la formulation et la longueur de tes phrases).
Tu as encore beaucoup à nous montrer que tu caches jalousement, n'hésites pas à oser, et te laisser davantage t'exprimer la prochaine fois, je reste persuadé que tu as de belles histoires à nous raconter !
Mesdames et messieurs, sur la potence ce soir, nous avons nul autre que Vrg-Vraglg... Drvr... lui !
Les faits qui lui sont reprochés sont clairs et sans appel pour l'assemblée, je l'espère.
Pour avoir osé amener le culte d'une divinité pour ce qu'il est, pour avoir osé se risquer à un thème difficile et l'avoir mené avec une perfection insolente, pour avoir mis en place une relation douce et touchante entre ce personnage si particulier et Mina, pour avoir osé mettre une agréable touche d'humour dans une mise en scène bien pensée et pour avoir osé bien écrire en considérant les autres participations, il sera condamné à recevoir cinquante félicitations.
De surcroît, il est de circonstances qu'une sanction obligeant l'accusé à réitérer ses fautes ultérieurement soit appliquée. Une fois mon chapeau tiré, la sanction pourra commencer.
Salutations, Xifeng aux multiples visages,
Merci pour cette participation sur cette classe si intéressante qu'est le Zobal.
C'est un envoûtant voyage que celui qui nous amène au sommet de cet arbre, et ce cette disciple masquée doit avoir un nombre passionnant d'histoire dans sa besace, c'est une sacrée impression que tu laisses en tous cas !
Si je trouve la phase de "persuasion" un peu courte par rapport au reste du texte, il faut concéder que les références aux autres participations sont incroyablement riches et la mise en place de l'ambiance est menée avec grand soin.
Attention cependant, il y a un certain nombre de coquilles dans ton texte. N'hésite donc pas à te relire, et ce même à voix haute pour déceler plus facilement les soucis de rythme.
J'aime personnellement beaucoup le concept de conteur-voyageur et les masques représentant les personnages rencontrés.
Je serai curieux de découvrir d'autres histoires à son sujet, j'espère donc que tu n'hésiteras pas à participer à nouveau, même si c'est pour nous présenter un autre personnage !
Ah, pile à l'heure pour les RI 3 ! Bonjour à toi Limaginaire,
C'est toujours un plaisir de lire tes participations, après tout, ne dit-on pas qu'il faut savoir se faire désirer !
Bon, pour le coup, ça fait un peu mal entrer ta participation dans la continuité des autres et limite tes références aux nombreuses mais pas moins passionnantes histoires qui ont été racontées jusqu'ici.
Mais parlons plutôt de ton texte, et si je dois dire quelque chose dessus, c'est que je me suis bien amusé à le lire. Une disciple de Shariva ? Je l'attendais celle-là et je ne suis pas déçu !
C'est un point de vue assez amusant que les événements que nous suivons par ta plume et ce personnage atypique, et c'est amusant de voir implanté à ce village si paisible une trouble-fête anonyme.
Elle ne manque pas de présenter sa divinité généreusement et avec des arguments tentants, surtout pour une gamine aussi curieuse que notre chère Mina, et d'autant que je puisse le dire, tu respectes beaucoup le BG des Favoris de Shariva, même si certains pourraient dire que ça manque d'explosion...
Tumultueuses félicitations pour ta participation, et un petit plus plus l'illustration que j'adore particulièrement, on se retrouve pour les RI11 à 15 minutes de la deadline donc ?
Eh ! Vous, sortez vos sales pattes du coffres aux récompenses ! Oh, pardon, bonjour minitoast91,
Encore un peu et je te confondais avec un roublard de pacotille... mais non, c'est un roublard, un vrai qui est là ! Et quelle amusante participation, digne d'un véritable disciple de Raval... ou Sram, bref, pas de quoi casser trois pattes à un Smisse.
J'aime beaucoup l'approche très... roublarde, de ton roublard, il salit les autres avec une salière aux dimensions colossales et c'est malgré tout très propres.
Les référence aux autres participations sont là, et malgré quelques coquilles, tu as tartiné en matière d'argumentations pour convaincre cette petite Mina.
Les blagues de ton vendeur à la sauvette m'ont tiré quelques sourires, notamment l'amulette à l'emmental, j'espère vraiment revoir de si habiles jeux de mots à l'avenir dans de nouvelles participations !
Bonsoir Peace4You2,
Et merci pour cette dernière participation !
C'est un intrigant personnage que tu nous offres là et il a de quoi piquer la curiosité, mais malheureusement, il y a beaucoup d'incohérence entre ses actions et son état et le BG de Dofus.
Si pour un Xélor normal (donc que chacun peu jouer) figer le temps est impensable, pour un personnage dont la foi c'est étiolée, c'est aussi surprenant qu'étrange.
Attention également, parler des puissantes forces du Krosmoz qui se mettent à l'oeuvre dans cette histoire, c'est également franchir la ligne du BG. Mina a beau être le centre de notre attention... le Krosmoz n'est pas en émoi, et heureusement !
Les références aux autres participations sont manquantes mais je dois bien te rendre que les imitations des différents protagonistes qui essayent de la convaincre m'a beaucoup fait rire, de même que la représentation des Énutrofs. C'est de la belle carricature.
Je suis cependant un peu perplexe pour la tentative d'encouragement à rejoindre une divinité.
Certes ton personnage apporte des paroles de sagesse à Mina et l'intime à faire le bon choix pour elle, mais ton personnage ne défend à aucun moment une divinité pour convaincre Mina, ce qui est pourtant le thème central de ces RI, tu as donc, en voulant faire trop subtil, trempé dans le hors-sujet.
Attention également à la mise en forme (les sauts de lignes sont omniprésents mais irréguliers) et aux coquilles dans ton texte.
C'est dommage car ton personnage est loin de dire quelque chose d'insensé. Je suis curieux de te voir tenter une nouvelle participation à l'avenir et je suis certain que tu ne te laissera pas avoir par un faux pas sur les règles les prochaines fois !
Je vais essayer d'éclairer les lecteurs sur mes choix d'écriture. Pourquoi "tricher" et sortir cadre du concours en utilisant le rêve ? J'avais dans l'intention de mettre en scène le personnage que rencontre Mina dans un cadre où les unités de temps et de lieu sont abolies. Le rêve me semblait être le moyen le plus évident de m'offrir une certaine liberté. Je voulais aussi entrecroiser deux histoires, celle de Griffe et celle de Mina. Par un lien onirique, Griffe invite Mina dans son passé. Mina se réveille à la mort de Griffe.
Pourquoi Griffe meurt il avec le sourire ? Ceux qui ont été attentifs se souviendront de son regard triste dans le rêve de Mina. Il y a deux raisons à cette tristesse. D'une part, les champs de bataille lui manque. D'autre part, il a le mal du pays. Si il meurt le sourire au lèvre, c'est parce qu'il à pu à nouveau retrouver la terre d'où il vient : Les Piles de Kontouar. Mais, c'est aussi car il pense avoir guidé Mina vers Sa voie.
Je passe à un aspect qui me gène un peu dans mon récit : le tempo. 2500 mots, c'est long... et très court !!! J'ai voulu prendre le temps de faire certaines descriptions de manière détaillé et, honnêtement, j'ai du faire des choix dans les parties que j'ai le plus détaillées. C'est assez frustrant mais c'est les règles et je m'y plie. Quand vous arrivez à vôtre huitième page et que vôtre récit n'est pas terminé, c'est panique à bord.
Enfin, pour ceux qui veulent savoir pourquoi les Huit arrivent aux Piles de Kontouar alors que Griffe est entrain de de mourir, c'est pour moi assez évident. Les Huit ont un lien avec Griffe. Un lien semblable à celui qui le lie à Mina. C'est un lien entre les âmes. Après avoir détailler la mort de Griffe, je vais un peu plus vite pour garder du temps pour la fin.
C'est le dernier moment où Mina peut se comporter comme l'enfant qu'elle est. Les ricochets peuvent paraitre anodins mais je leur donne un sens tout particulier. Mina se dit qu'elle pourra faire mieux avec de l'entrainement. Je parle au lecteur à travers elle. Mon propos est le suivant : si on n'y arrive pas , alors on doit essayer encore. Avec du travail on s'améliore.
Mina évoque ensuite ses souvenirs d'enfance, Elle n'est pas nostalgique. Cela peut être dû à son jeune âge comme à sa maturité. Elle sait que ses amis resteront ses amis quoi qu'il advienne.
Dernier point et tu as visé juste : le vieux Sadida. Alors là, tu as deux choix :
Hypothèse numéro une : Le vieux Sadida ne vieillit pas normalement. Cela est totalement incohérent.
Hypothèse numéro deux : (je la préfère largement ) . Griffe n'a pas pu /su se retirer à temps. Je développe :
Avide de combats, repoussant ses limites, il a tout simplement brulé la chandelle par les deux bouts. Cherchant encore et les sensations et l'excitation que provoquait en lui le combat, il a pris un chemin menant irrémédiablement à la mort. Un mauvais choix ? Pour ma part, je ne saurais juger un personnage pour lequel j'ai tant d'affect. Mais, on peut voir dans l'attitude du vieux Sadida une certaine sagesse. Ce sont deux façons d'appréhender la vie différente et les deux sont respectables à mon sens.
Pour terminer, certains ont attribuer la dernière phrase à Griffe. C'est une possibilité...
Ou bien, c'est peu être l'auteur qui vous invite à faire vos propres choix dans vôtre vie. Mina a son libre arbitre et vous aussi .
J'espère avoir répondu à vos questions et éclairé les zones d'ombre de ce récit.
P.S : J'ai du modifié le post de ma participation une vingtaine de fois et encore désolé pour les fautes. Si vous désirez une versions plus longue et plus travaillée, je suis chaud.
Bonne lecture et à bientôt dans le monde des douze.
Ah, cette limite des 2500 mots n'a pas fini de faire couler des pixels... Imagine seulement 31 participations à lire et relire, parfois plusieurs fois, alors qu'elles feraient plus de 2500 mots chacune. Déjà, sans que les participants de cette édition des RI n'aient atteint cette limite des 77 500 mots cumulés, c'était trèèèès chronophage, mais alors si ladite limite venait à sauter... Brrr.
Cela constitue, comme tu l'as compris, une contrainte de plus ! ^^
Tu parles des « Huit », tu évoques des « ricochets » et je dois bien admettre que je n'ai pas la moindre idée de ce dont il est question. Il a fallu, à une énième reprise, que je relise ton histoire pour comprendre à quoi tu faisais allusion et découvrir que tu avais modifié ta participation entre la dernière fois où je l'avais lue et la clôture du topic RP.
Je... Ahem. 'faut que je t'explique la manière dont je vois les choses parce qu'une telle pratique peut rapidement devenir problématique : à partir du moment où vous publiez votre participation sur le forum, j'estime (cette réflexion n'engage donc que moi) que vous avez suffisamment réfléchi pour ne plus en modifier le contenu. A l'exception d'une édition pour remettre en page le tout (vilain forum officiel), je pars du principe que tout ce qui est écrit vous convient (sinon vous ne le publieriez pas) et n'a pas vocation à changer.
Aussi lorsque j'apprends que certains paragraphes sont apparus, après de multiples modifications de ton récit, je me pose une question : à quoi bon ?
A quoi bon lire un récit, prendre le temps de le commenter et l'évaluer selon les critères définis par le jury pour découvrir, quelques jours plus tard, que son contenu n'est plus le même ?
Entre l'histoire que tu m'as fait découvrir et celle que je redécouvre aujourd'hui, il y a des différences plus grandes qu'une simple correction orthographique (par exemple).
Cela, tu ne le sais peut-être pas, mais certains d'entre nous commentent vos participations au fur et à mesure qu'elles apparaissent afin d'éviter d'avoir à courir contre la montre une fois le délai qui vous est imparti écoulé. Comment pouvons-nous procéder si les participations en question sont susceptibles d'être modifiées à l'envi, à plusieurs reprises ? J'veux dire, sur quelle itération devons-nous baser nos retours, notre notation ? La dernière en date ? Celle-là même qui a été revue mais qui sera rendue « caduque » par une prochaine modification ?
C'est très bien d'être perfectionniste ! C'est super d'avoir le souci du détail ! 'faut juste raison garder et se dire qu'une fois que les dés sont lancés, bah... Ils sont lancés ! A charge pour la personne qui les manipule de faire en sorte qu'elle n'ait pas à regretter de les avoir lancés trop tôt...
Concernant la publication d'une version complète de ton récit, je suis grave partante ! D'autant plus si ça te botte... ^^
C'est ici que ça se passe. J'ai bien-bien hâte de lire tout ça...
Je suis chagriné sur le fait que le plus gros de ton retour concerne l’utilisation du BG.
« Il est strictement interdit de faire intervenir directement un ou des personnages de l’univers du Krosmoz. »
Bon alors, que veux dire « directement » ?
D’accord, sur le RI#7 j’avais franchi la limite à ne pas franchir, faisant intervenir et parler des personnages officiels, et même interagir avec mes personnages.
Même si, pour ma défense, en les limitant à leur strict rôle qu’ils occupent in-game, cela ne me semblait absolument pas gênant. Nacf Virgil qui déclame son texte à la virgule près, Kerubim limité à son rôle d’écaflip adorable, tout cela renforce pour moi l’immersion, faisant vivre les personnage dans un(e ?) Astrub que l’on connaît, où l’on a des repères, et surtout je vous emmène à l’endroit précis où je veux. Mais ok, c’est marqué noir sur blanc, pas d’intervention directe.
Maintenant sur ce RI.
Concernant le background, c’est pour moi une utilisation « indirecte » : je relate des faits qui se sont passés ou vont être amenés à se passer, Mina comme toi êtes spectateurs, il n’y a aucune interaction « directe ». Au final je ne comprends pas pourquoi tu me reproches cette utilisation du BG, si c’est pour me féliciter quelques lignes plus tard pour ne pas avoir fauté…
Concernant le lieu, effectivement je joue avec la règle. Mais au final, les règles ne sont-elles pas inventées pour être contournées avec brio ? Si l’on est prêt à en payer le prix…
***
Au contraire, je trouve que les pouvoirs octroyés à mon Xélor collent très bien au personnage. On parle quand même d’une classe qui supposément manipule le temps, de façon très limitée et ciblée (quelques entités max sur de petites distances : distorsion temporelle, instabilité temporelle, retour spontané etc.). Alors juste lui octroyer le pouvoir d’apercevoir des brides de passé, est-ce trop lui donner ?
Mais au final, est-ce que Mina a-t-elle vraiment vécu tout cela ? Des Xélors qui manipulent l’esprit de personnes autour d’eux, il en a existé…
***
Et enfin, point le plus important à mon sens :
« il n'y a aucune forme réelle d'argumentaire autour de Xélor ni de tentative de convaincre, on tombe donc dans du hors sujet. »
Il ne me semble pas avoir lu ceci dans le sujet. Il était le suivant : « Pour influencer le choix de votre « victime », il vous faudra passer du temps avec elle en lui racontant ou en lui faisant vivre une expérience mémorable susceptible de lui faire comprendre pourquoi elle devrait choisir la divinité dont vous lui ferez la louange. »
Comme j’ai pu le dire à Chopperkun, mon récit était sans doute trop complexe, et mal écrit si tant de personnes passent à côté.
Tournait-il vraiment autour du Dieu Xélor lui-même ?
Je t’invite à lire le retour que j’ai fait à Paglopglop, des éléments de réponse s’y trouvent…
En tous cas, merci pour ton retour et tes compliments. Je t’invite tout de même, avec l’apport de quelques éléments que j’ai pu donner à relire mon texte pour en savourer la substantifique moëlle.
Vraghdakk#1234
- ANCIEN ABONNÉ -
05 Avril 2021 - 18:25:08
Bonsoir votre honneur. En l'absence d'un apport personnel suffisant ou de l'héritage dû au décès récent d'une hypothétique grande-tante qui m'aurait permis de contacter un avocat compétent, je me vois dans l'occupation de m'occuper moi-même de ma défense. Je suis donc pas sorti du sable.
Déjà, permettez-moi de vous dire qu'il me semble que vous exagérez franchement. "Vraghdakk", n'est pas très compliqué à écrire. Alors, forcément, vous direz que cela est facile pour moi, car la mémoire musculaire me permettrait de réécrire ce sobriquet les yeux bandés. Détrompez-vous, et observez plutôt. Oui, observez juste au dessus de votre barre espace. Sur un clavier AZERTY, le V est la seule lettre composant le pseudonyme "Vraghdakk" à se trouver sur cette ligne. Positionnez votre nez dessus, histoire de ne pas le rater. Et maintenant, avec votre front, faites un aller de la gauche à la droite du clavier. "R", "A", à gauche. Puis "G" et "H", au milieu. Et enfin, les deux "K".
Ce qui nous donne ? "Vraghkk". Misère, vous avez raison, c'est dur à écrire !
Ma défense est donc faillible ! Maudit soit mon manque de moyens ! Je ferais de mon mieux pour sortir de ma flemme habituelle et faire pénitence la tête haute, votre honneur.
Coucou Théo et merci pour ce joli commentaire Je comprends tes attentes envers mon personnage puisqu'il est en effet inspiré de plusieurs artistes martiaux (mais pas que !). Dofus c'est autre chose que la baston, et je suis content que tu aies apprécié cette approche différente
Tu devrais retrouver des jeux de mots au prochain RI, je les suis depuis la cinquième édition (celle dans une auberge qui essuie un blizzard) sans jamais intervenir mais j'ai enfin décidé de me bouger, pas trop non plus, seulement le dernier jour, faut pas me brusquer. C'était marrant à écrire en tout cas !
J'arrive un peu après la bataille et j'ai jusqu'à présent été très silencieuse dans ce sujet de discussion, mais cela ne m'a nullement empêchée de lire tout ce que vous avez pu écrire. Cela fait tellement plaisir de voir que vous vous investissez dans la lecture et le commentaire des participations, tellement plaisir de voir un endroit comme celui-ci, ouvert aux échanges. Franchement, merci pour ça !
Je vous livre à mon tour quelques commentaires, ils ne sont pas forcément longs (encore que, hein). Comme l'a précisé Paglopglop il s'agit toujours d'un ressenti personnel, d'attentes personnels, de... bref, de personnel ! Dans chaque participation il y a du bon, toujours. Le fait même d'exister fait de chaque participation quelque chose de super, et je crois que chacun peut être fier d'avoir apporté sa plume à l'édifice qu'est cette édition des Récits d'Invention !
Bonne lecture à tous !
Sperrylite
Ta participation m'a fait très plaisir à lire ! J'ai trouvé que tu avais bien exploité le culte choisi, j'ai aimé la façon dont tu as su décrire Eryne et ses capacités. Les quelques références en début de texte à la participation précédente étaient bien et le thème respecté ! N'hésite pas sur une prochaine participation à ancrer encore plus ton récit dans l'univers de DOFUS par de menus détails (par exemple "corbac" à la place de "corbeau" pour le crâne manié par Eryn, qui nous replace totalement dans le jeu).
En tout cas, bien joué !
el-octodonne2
Ton personnage a décidément du caractère. J'ai aimé la ferveur que j'ai sentie dans ses paroles. J'aurais apprécié que tu emmènes Mina avec toi, que tu lui montre des choses et que tu lui racontes plus que les valeurs de ton Dieu. Une histoire, peut-être, un souvenir. Pourquoi pas cette affaire avec les toges des prêtres, bien que tu joues clairement avec les limites en faisant agir/réagir des personnages qui ne t'appartiennent pas forcément dans un concours de ce genre (ici, les Sept).
Cela dit c'était une participation plus que correcte et sans trop de fautes, qui m'est restée agréable à la lecture !
Lutineur
Comme à chacune de tes participations à ce concours, j'ai pris du plaisir à me laisser transporter dans ton récit. J'ai adoré le personnage de Maitre Kontouar, je l'avais dans l'oeil parfaitement, visuellement, gestuellement.
J'ai beaucoup aimé que tu t'empares par petites touches des participations précédentes, sans en faire trop ; aimé aussi l'ambiance bien posée, le décor décrit simplement mais suffisamment pour qu'on soit dedans. Et cette scène dans la taverne, ce moment délicieux où on ressent le changement d'ambiance... Merci d'avoir participé, vraiment !
(Je note que tu fais boire la petite Mina... ma parole, pauvre enfant ! )
-lauraetcaroline-
J'ai trouvé ta participation bien sympathique, l'idée de citer des commandements était une bonne façon de guider le personnage de Mina et de lui en apprendre un peu plus sur Ecaflip et on retrouve plusieurs symboles forts du dieu.
C'est une bonne chose que tu nous ais bien replacé ton récit dans le contexte offert par le jury, les rives de la Soif particulièrement. Même si au niveau de la temporalité ou des références tu n'inclues pas la participation juste avant la tienne, j'ai bien conscience que ce n'est pas évident surtout quand cela peut pousser à modifier plusieurs fois son propre travail. Sur une prochaine participation, n'hésite pas à inclure des références aux participations des autres au delà du tout début. Par exemple, tes personnages étant proches de la Soif, tu aurais pu mentionner le pont qui la traverse créé par Sperrylite ou encore du cimetière qui se trouve sur l'autre rire.
Une belle mention pour l'inclusion de background liée aux Neuf Queues, c'est chouette de voir ça, j'espère que certains redécouvrirons cet élément !
Tricotinette
Ah, la déesse Eniripsa, je me demandais quand elle serait évoquée pour la première fois ! Il y a beaucoup de douceur dans le personnage de Coumadine. Ce qui tranche d'ailleurs, parfois, avec le rythme de ton récit où tu prends le temps de développer certains évènements quand d'autres sont plus "précipités" (le début et la fin, particulièrement, je crois).
Les éléments utilisés pour présenter le culte sont bien introduits, les mains, les fleurs, ça fait partie des choses que j'ai bien apprécié, tout comme le fait que tu emmènes Mina en balade pour de bon. J'ai aussi aimé ce souvenir évoqué par Coumadine, c'est le genre de choses que j'imaginais bien dans ces RI !
ccfcffccf
Une bonne participation que voilà, avec beaucoup de langage tourné vers le félin, on sent vraiment le lien avec Ecaflip du début à la fin ! Un bon point pour l'ajout d'une légende liée à la fontaine du village, c'est très chouette de voir ainsi réutilisés les éléments de contexte pour y glisser du vivant, de l'humain. Un bon point aussi pour les quelques vers de la fin qui m'ont bien plu !
Je me doute que tu as lu au moins une quelques unes des participations qui ont précédé la tienne, ce qui est bien et t'as permis d'y faire allusion, ceci dit je vois aussi qu'il en a certainement manqué quelques-unes à ta connaissance puisque tu es le second à avoir un disciple d'Ecaflip comme personnage, et donc que la petite Mina avait bel et bien déjà vu un Ecaflip ! Ce n'est clairement pas grave et ça ne m'a pas empêché d'apprécier ton texte !
J'ai eu une étonnante sensation de "détachement", le côté descriptif y est sans doute pour beaucoup : tu parles des sentiments/impressions de tes personnages mais j'ai toujours l'impression que c'est très extérieur à eux. Il y a vraiment quelque chose qui m'a plu chez Miaouch. Son côté "certitude" sans doute !
Katyminy
Voilà une participation qui n'aura pas manqué de me faire sourire, ne serait-ce que pour la mention de l'haleine de tout disciple d'Osamodas qui se respecte ! Bien joué, l'humour est toujours un très bon point ! J'ai aussi particulièrement apprécié l'aspect initiatique et non uniquement descriptif que tu as mis en place : mettre Mina directement en situation de faire elle-même et de ne pas être uniquement témoin, voilà une judicieuse façon de lui montrer ce que peut être la vie d'un disciple d'Osamodas !
Il y a quelques petites fautes qui émaillent ton texte mais rien qui ne m'ait empêché de le lire jusqu'au bout et de l'apprécier.
Ce qui m'a peut-être le plus manqué, parce que nous sommes dans les Récits d'Invention et que c'est un exercice d'écriture communautaire, c'est un lien avec les participations qui ont précédé la tienne. Tu as bien fait mention de la participation du jury mais pas de celles qui sont venues après. Je crois que ça aurait pu apporter encore plus de substance à ta participation.
alexiacia
J'ai bien aimé ta plume de façon générale, j'ai trouvé ta participation fluide et facile à lire. Ce qui m'a chagrinée, encore plus du coup, c'est que j'ai eu la sensation que ça allait très vite, que tu me laissais dans une forme d'attente.
J'aurais tellement aimé découvrir un peu plus ton personnage. Je ne sais au fond pas grand chose d'elle. C'est une disciple de Sacrieur qui est très ancrée dans son culte, mais c'est tout. Même pas de prénom ! (ce qui quelque part rend la participation très intriguante, héhé). J'aurais aimé qu'elle parle (ou pense) d'elle-même à Mina : ses souvenirs, par exemple. Pourquoi avoir rejoint le culte de Sacrieur ? Est-ce que c'est dû à un évènement ? Et bien que ses paroles soient fortes, bien qu'elle fasse un cadeau à Mina avec cette très symbolique couronne d'épines, elle ne lui fait aucune démonstration, ne l'emmène pas voir une chose ou une autre pour lui "prouver" sa dévotion !
En fait c'est sans doute un parti pris, la rencontre est comme "anticipée" au travers de ce que ton personnage pense du début des aventures de Mina avec les différents protagonistes qui lui parlent de leurs cultes respectifs, et on a une interaction un peu "sur le pouce", très particulière.
Un bon point pour le fait d'avoir lu ou en tout cas mentionné un certain nombre de participations qui ont précédé la tienne, ça c'est très important dans un concours communautaire !
-Moeb-
Alors je vais commencer par dire que j'ai adoré ta participation. Sans doute le petit côté Bottero que je n'ai pas pu m'empêcher de ressentir dans certains passages comme l'ascension (si ça se trouve tu n'as jamais lu ça, mais voilà, les ressentis ne se contrôlent pas).
La délicatesse de certains passages, les ajouts au background de Mina qui sont très cools, cette façon de s'approprier l'histoire plus ancienne des Piles et de cette origine du nom, le choix de la classe qui n'était pas forcément évident et la façon dont tu l'amènes, ce côté très libre du choix simplement offert, ... j'ai vraiment été conquise par énormément de choses !
Quel dommage que le petit détail de background éliotrope se soit glissé dans tout ça ! Étant donné que quand un éliotrope meurt il disparait du souvenir de ceux qui l'ont connu, Baynh ne devrait pas être en mesure de se souvenir de lui, pas plus que sa femme. En fait c'était presque parfait. Sans cette mention finale du frère...
C'est en tout cas une superbe participation, merci de nous l'avoir offerte et d'avoir en plus fait des références très bien tournées aux participations précédentes !
Row-Sebal
Quel plaisir que celui de retrouver Fantomine cette fois encore ! Je ne peux pas m'empêcher de sourire, quand j'y pense, c'est super de retrouver un personnage comme ça, d'une édition à l'autre !
De façon globale j'ai trouvé que tu avais fait une très belle participation. Je crois pouvoir dire que ce que j'ai particulièrement apprécié les doutes de Fantomine. Contrairement aux interactions avec d'autres personnages, j'ai vraiment ressenti l'incertitude de ton personnage dans la transmission de ses valeurs. J'ai trouvé les propos justes et la réflexion sur la liberté et l'accomplissement des objectifs intéressante ! D'avoir à la fois un peu d'action pour que Mina soit au contact des caractéristiques plus "physiques" liées au culte était une bonne chose, mais pour moi c'est vraiment la réflexion sur les valeurs qui fait la qualité de ton travail !
ultimafeca2011
Bonjour bonjour ! Une nouvelle tête dans les Récits d'Invention, je crois ? C'est chouette en tout cas !
Pour ta participation, je commencerai par souligner l'idée originale de cette "multitude". Contrairement aux participations précédentes tu es parti non pas sur un personnage qui tenterait directement de convaincre Mina de choisir une divinité particulièrement mais plutôt sur un observateur extérieur à toute l'agitation du village qui aurait envoyé des "amis" à Mina.
L'originalité est une bonne chose mais finalement, je n'ai pas eu le sentiment que tu nous vantais particulièrement les mérites d'une quelconque divinité. Je n'ai pas non plus la certitude que tu ais pris en compte ce qui s'est passé dans les participations antérieures à la tienne, alors que dans un contexte comme celui que tu as choisi cela aurait pu être d'une extrême richesse.
Méfiance quand aux assertions trop évidentes : si tu décrètes que Mina ne supporte pas la vue du sang, cela coupe court à un certain nombre de possibilités pour d'autres participants, par exemple ceux qui choisiraient de lui présenter Sacrieur. C'est en général quelque chose qu'on évite de faire de façon aussi directe. Tu peux la faire grimacer devant du sang en laissant le lecteur interpréter cette information lui-même, sans trop en dire !
Enfin, j'aurais tellement aimé en savoir un peu plus sur les rencontres avec les différents amis de ton grand-père, peut-être raconter un peu ce qui s'était passé avec chacun (comme avec Sunsilver en fait, là on sait et c'est super !).
En bref, il y a dans ta participation de bonnes idées qui ne demandent qu'à être exploitées plus en profondeur !
LE-C0NTEUR
Encore une belle participation venue s'ajouter à ces Récits d'Invention ! Ton histoire se lit très fluidement fluidement -à l'exception peut-être de l'aspect parfois bloc de la mise en page, mais nous connaissons les difficultés offertes par le forum !
J'ai beaucoup aimé le développement du personnage de Broussailles, la façon dont tu le décris rapidement mais efficacement, et dont tu poses son cadre de vie avec ce frêne. La douceur mêlée de grognements de sa relation avec Mina m'a beaucoup plu, tout comme les quelques détails pleins d'humour qui se glissent ici et là (le fait qu'elle se dispute avec sa famille pour toujours et ce tous les deux mois, par exemple !). Ton récit est bien ancré dans l'univers de DOFUS, les jeux de mots avec tout ce qui touche au végétal sont très appréciables.
L'aspect réflexion sur le culte de Sadida -et sur les cultes en général- était là encore très intéressante. Ce côté "tout n'est pas tout rose par chez nous" qui a été finalement assez peu exploité juqu'à présent, le fait qu'un culte nous apporte mais qu'il est aussi important de se projeter dans ce que nous lui apportons, la poésie mêlée à l'importance de la sauvegarde, le tout saupoudré de dialogues savoureux, franchement c'est du beau travail. Merci pour cette lecture plaisante !
Nylwosh
Oh, comme j'ai aimé ta participation à toi aussi ! Quel chouette personnage que celui de Valcade, que j'imagine tout à fait clairement avec Bola à ses côtés ! Et quelle belle réussite que celle de l'inclusion de tant de participations qui ont précédé la tienne ! Merci d'avoir pris ce soin : c'est plaisant pour nous autres du jury, mais c'est aussi extrêmement agréable pour les participants qui retrouvent un peu d'eux dans ton texte. Sans compter la belle toile qui se créer au fur et à mesure !
Il y a vraiment énormément de points positifs dans ton récit. Ta façon d'écrire, déjà, simple, fluide, avec suffisament de descriptions pour qu'on s'imagine mais pas non plus trop. Tes personnages sont efficaces, tu t'es emparée de Mina juste assez pour rendre les choses crédibles sans pour autant entraver une quelconque liberté pour la suite, c'est super !
En fait, la seule chose que je pourrais trouver à "redire" -et le mot est bien trop fort finalement- c'est que j'en aurais voulu plus sur l'attachement de Valcade à Féca. Parce que ce que tu nous as donné à ce sujet était tellement bien que j'aurais voulu que ça se poursuive ! Voilà, donc merci pour cette participation qui m'a beaucoup plu ! (et merci de m'avoir fait redécouvrir ce commandement de Féca, j'ai bien ri !)
gearbutcher
Je dois dire d'entrée de jeu que j'ai trouvé l'angle d'approche pour le culte d'Eniripsa bien original et sympathiquement amené ! J'ai eu l'impression de revivre une séance d'hypnose comme il m'est déjà arrivé d'en avoir, avec ce côté parfois cryptique/énigmatique que peuvent présenter les apprentissages. Et ça, j'ai franchement apprécié ! Et après tout, c'est vrai qu'ils sont bien placés, ces disciples d'Eniripsa, pour soulager les maux de l'esprit autant que ceux du corps !
J'aime aussi la maturité qui se dégage du personnage de Vakog et le fait que tu ais apporté à Mina ce coin de paix où elle trouve détente et réflexion ! Un très bon point aussi, avoir poursuivit sur la voie tracée un peu plus haut par Broussailles.
J'aurais adoré savoir ce qui a poussé Vakog à suivre la voie de la déesse Eniripsa, je dois dire ! Tout comme j'aurais adoré savoir s'il s'est déjà servi de ses techniques et ce que ça a pu apporter autour de lui, bref en découvrir un peu plus sur cette passion pour l'esprit ! En tout cas, le point de vue a été un plaisir à découvrir, merci pour ça !
Sweyl
Eh bien, quelle belle participation ! Si c'est la première fois (et il me semble en effet, au vu de ton commentaire dans le sujet HRP) alors j'espère que ça ne sera pas la dernière et que nous aurons l'occasion de relire d'autres choses avec ta plume ! Parce que franchement, très jolie plume, oui ! Avec du sérieux et des pointes d'humour, une façon de mettre du réel sur les personnages par quelques mots bien choisis, un plaisir !
Bien que parfois un peu confuse suite aux changements de points de vue dans le récit (les moments où tu glisses d'un point de vue omniscient à un point de vue plus interne) je me suis laissée prendre sans aucune peine par le récit et par tes personnages. J'aime particulièrement cette conception des pouvoirs qui entourent les masques et cette réflexion sur la peur et son rôle dans la survie ainsi que sur la place des émotions. Merci donc, d'avoir présenté tout cela dans ton texte et de l'avoir bien écrit !
Chopperkun
Moi qui me demandait si quelqu'un allait aborder la voie des Huppermages, voilà que tu apportes la réponse avec ta participation ! Chapeau, c'est un beau récit. Bien que l'on en sache peu sur ton personnage principal, le côté un peu flou lui sied bien.
Ton approche de l'huppermagie m'a beaucoup plu, elle aussi, elle a bien fait écho en moi pour ce qui est des émotions liées aux différents éléments. Il semble que notre petite Mina aura eu le droit à un beau panorama d'expériences en lien avec les capacités d'un serviteur de la Balance. J'ai aussi beaucoup apprécié ce choix de neutralité sur la réponse finale qui lui a été faite, d'ailleurs, c'est très "équilibre" !
De façon plus générale, un très bon point pour les mentions aux autres participations, pour la fluidité du texte et pour les notes d'humour et d'ancrage dans le cadre des R.I. (géographiques par exemple) que tu as saupoudrés un peu partout (l'eau de Rok, héhé, ça va me rester !).
PAEZZOU
Ohlala, ohlala, il s'en est passé, des choses, dans ta participation ! On commence tranquille et là je me dis "ok, ça c'est chouette, il va jouer avec une Mina un peu moins en forme qu'on a pu la trouver avant, c'est vrai que le choix est sans doute pesant, ça promet !". Et puis Sacrieur, c'est une chouette déesse, y'a de quoi faire avec elle !
D'ailleurs tu as fait, ça, pas de doutes ! Peut-être même que c'est ça qui fait que c'est parti si loin. Alors il y a les soucis avec le BG (un Dofus, carrément ? Je sais bien que nous autres joueurs nous en obtenons "à la pelle", mais dans la vie d'un Douzien lambda, c'est compliqué, les Dofus !), le fait que ton personnage frappe une enfant si jeune (douze ans, ce n'est pas bien vieux pour recevoir un tel coup dans le ventre, est-ce qu'on peut vraiment envisager que les Sacrieurs fassent ce genre de choses qui plus est avec quelqu'un qui ne fait pas partie de leur culte ?) et des fautes de langage par moment. Mais surtout, il y a un tel enchaînement d'évènements que j'avoue m'y être prise à plusieurs reprises pour être sûre de tout bien cerner.
Alors il ne faut pas croire que je n'ai rien apprécié, au contraire, je trouve du bon dans ta participation, tu as un beau foisonnement d'idées, une belle façon de jouer avec les mots par moment pour coller avec le thème de ta déesse, un ancrage certain de ton récit dans l'univers du Krosmoz, et même des liens avec d'autres participations qui font que tu es vraiment dans le récit communautaire ! Je mets même un bon plus pour la description du sacrifice, pour cette perte du personnage principal que nous n'avions pas encore eue dans cette édition et qui est, à vrai dire, bien ! Donc n'hésite pas à prendre le temps de bien organiser ton récit, n'hésite pas à retirer des choses si ça fait trop.
Attention au background : le Dofus n'apportait rien de particulier à l'histoire, au fond, tu aurais pu choisir autre chose de précieux que ça aurait très bien fonctionné et ça t'aurais évité le souci vis-à-vis du BG officiel ! Merci pour ta participation, en tout cas, et j'espère bien que nous aurons l'occasion de te relire sur une prochaine édition !
Cow-Smique
J'ai bien apprécié ta participation, Cow-Smique ! L'inspiration Alice au début, déjà, qui m'a beaucoup fait sourire et qui se reconnait sans peine dès qu'on entraperçoit ce wabbit avec une montre. Je me suis demandé à quel moment tu allais choisir de quitter cet univers pour rentrer dans celui qui était propre à ta participation et finalement, l'arrêt de la chute en cours de route me semble avoir été un bon choix ! Le récit en plusieurs temps - plusieurs époques était aussi fort sympathique, la petite Mina en aura vu, des choses ! Je me demande ceci dit si, traumatisée comme elle semble l'être par son expérience tout au long du récit, elle aura envie de se tourner vers Xélor.
Au final, ton personnage (qu'on connait là encore très peu... pourquoi est-il devenu un disciple du Maître du Temps ? Qui est-il ?) lui donne une belle leçon sur le temps, qu'elle semble retenir au vu de ta conclusion, mais lui donne-t-il pour autant le "pourquoi tu devrais rejoindre Xélor" ? C'est quelque chose qui me laisse pensive, j'aurais sans doute du mal à savoir moi-même !
Au fond, ce qui me manque vraiment dans ta participation, c'est l'aspect communautaire des Récits d'Invention. Pas de mention des participations qui ont précédé la tienne, c'est tellement dommage parce que ça achèverait d'ancrer ton travail dans l'exercice que sont les Récits d'Invention. Même si j'ai conscience qu'à un certain stade on a beaucoup à lire, en inclure ne serait-ce qu'une ou deux ça montre déjà qu'on est allé chercher ce lien ! Cela dit, cela reste un bon texte !
Fhane
Alors, tout d'abord bienvenue dans les Récits d'Invention, il ne me semble pas avoir croisé ton pseudo avant sur cet exercice ! Ensuite, merci pour ta participation, elle se lit somme toute assez fluidement et tu as un style d'écriture qui est bien. On voit aussi que tu prends la peine de bien ancrer ton récit dans l'univers du jeu, c'est un très bon point (que ça soit la faune ou les histoires tirées des quêtes du jeu). Attention cependant, la nouvelle Pandala est très récente, peut-on considérer qu'on raconte aux enfants des Piles des légendes qui la concernent directement depuis bien longtemps ?
Après, je note aussi que ton récit n'inclut pas de mentions d'autres participations, ce qui est pourtant quelque chose d'essentiel dans un concours communautaire. En plus de rajouter du cachet à la participation, cela évite souvent quelques impairs de "rupture de la continuité" : par exemple, il y a beaucoup de visiteurs qui passent aux Piles, encore plus en cette période de cérémonie du choix, il est donc difficile d'envisager qu'une telle agitation (banquet, rencontre avec les Piliers, toute une partie de la nuit à boire et conter) soit mise en place pour chacun d'entre eux pendant les deux semaines du Choix...
Attention aussi au respect des consignes : il est bien fait mention qu'en aucun cas Mina ne peut être décidée directement dans vos participations. Or dans ton texte, elle déclare une première fois choisir Sacrieur, bien que ton personnage l'arrête tout de suite, et sur la fin on a de nouveau la sensation qu'elle sait qui choisir (elle le dit elle même), même sans avoir la possibilité de le révéler. C'est quelque chose qui est susceptible de fermer des portes pour les suivants et il faut absolument éviter ça ! Attention, enfin, à un certain nombre de fautes (je pense en particulier à des accords au féminin manquants que ça soit pour Mina ou pour Fhane) qui, accumulés, sont un peu dommage.
Il y a beaucoup à exploiter dans ta participation. Les pious du début m'ont beaucoup plus (j'ai même espéré que ça soit quelque chose qui traverse toute ta participation et qu'on retrouve jusqu'à la fin, ça aurait été top !), tout comme cette possibilité que tous les choix ne se fassent pas de la même façon qu'aux Piles. Le rêve est une bonne idée, tout comme cette toile de fond du choix qui doit venir du coeur. Ton style est déjà fluide, donc avec une prise en compte judicieuse des consignes et des inclusions d'autres participations dans la tienne ça n'en sera que meilleur !
OonaruatokooO
Ah, et bien enfin, la voilà la déesse Crâ ! J'étais presque résignée, moi, et finalement te voilà ! Il y a de l'idée, dans ta participation, pas de doute, tu as un fil conducteur qui est clair, on sait ce qui se passe et je visualise bien l'enchaînement. J'apprécie le personnage de Cyatold, encore "neuf" dans sa foi, encore maladroit par moments, si loin de la perfection et de l'idée qu'on pourrait se faire d'un individu à même de convaincre l'autre de sa voie, il forme avec Mina un beau duo ! Je suis aussi ravie de voir que tu as casé quelques références à des participations antérieures, bien que ces références restent timides.
Si je peux te donner quelques conseils qui -selon moi car cela reste subjectif comme toujours- pourraient t'aider à t'améliorer, ça serait dans un premier temps une relecture rigoureuse de ton texte : il manque certains mots par endroit, et bien qu'on les devine, cela n'en sort par moins ton lecteur du récit. Attention aussi aux fautes qui émaillent le texte (je dois avouer avoir parfois été surprise, tu as un français juste sur certains points qui ne sont pas évidents, mais à d'autres moments il y a de grosses erreurs, surtout dans le choix des mots, qui m'ont fait tiquer). Ensuite, prends le temps, dans ton histoire. Prends le temps de développer les scènes que tu mets en place, la psyché de tes personnages, leurs émotions, installe le cadre plus encore. Je sais que tu en es capable puisque tu l'as fait par moments, donc n'hésite pas à aller plus loin, à guider ton lecteur et à lui laisser le temps d'apprécier ton déroulé !
Enfin, si tu arrives à approfondir le lien avec d'autres participations, en les saupoudrant au fur et à mesure du texte et pas uniquement au début de celui-ci, alors tu auras vraiment gagné en qualité pour les Récits d'Invention !
Encore merci pour ta participation en tout cas !
Guillemaut
Sacrée participation que voilà ! Il s'en passe, des choses sombres, aux Piles... Le cadre est extrêmement bien posé, tu t'appuies sans peine sur les éléments donnés par le jury comme sur certaines participations de tes camarades pour un récit fluide et très intriguant. Et quel plaisir de voir quelqu'un s'aventurer sur une voie qui n'est pas celle des Douze ! Tout comme Mina, je me suis posé des questions, tout comme elle je dois avouer que j'avais le coeur qui palpitait à la fin du texte. J'espère que la petite Offeranda ne va pas être mangée... Mon imagination cavale, décidément !
Si dans un premier temps j'étais perturbée par la présentation à demi "théâtre" du texte et par le mélange présent-imparfait de certains passages, mon esprit à fini par lâcher cela au profit de l'histoire dans laquelle je me suis laissée entraîner !
Je sais que c'est la volonté de nous laisser imaginer ce qui s'est passé qui guide la fin du texte, qui laisse une ouverture. Et pourtant, qu'est-ce que j'aurais voulu savoir ! Merci pour ta participation !
Gothapprentice
Alors je suis très perturbée ! A la fois j'ai le sentiment d'avoir tout compris et à la fois celui de n'avoir rien compris ! (ou du moins de ne pas être sûre d'avoir compris) Surtout pour le passage du début, en fait. C'est donc un rêve de Mina ? (elle se réveille, j'ai envie de dire que oui) Pourtant elle rêve assez précisément et elle rêve d'un personnage bien réel qu'elle rencontre -d'une certaine façon- une fois de retour dans la réalité. Ou bien était-ce une vision ? Bon, d'une certaine façon le mystère peut fonctionner.
Pour le choix de la divinité... ça serait donc Ecaflip ? Tu nous en dis si peu sur le sujet que je douterais presque, surtout il ne faut pas hésiter à développer cet aspect, tout particulièrement en sachant que c'est le coeur du récit attendu. Et surtout, surtout, tu dis qu'elle n'a jamais entendu parler de la Chance d'Ecaflip. Alors qu'en réalité elle a déjà croisé au moins deux disciples d'Ecaflip au cours des participations des autres candidats. J'ai conscience qu'il est compliqué quand on arrive vers la fin des RI de lire l'ensemble des participations, il peut y en avoir beaucoup, aussi est-il souvent préférable d'éviter de telles affirmations. Ce qui m'ammène à un élément manquant dans ton récit : le lien avec les participations précédentes, qui aurait sans doute apporté encore d'autres couleurs à ton histoire !
Dans l'ensemble, au final, je trouve que tu as fait une chouette participation mais qui ne rentre pas parfaitement dans le cadre : j'ai plutôt la sensation de lire l'histoire de Griffe que celle d'une personne qui essayerait de convaincre Mina de choisir telle ou telle divinité. Il y a donc du très positif tout en étant une participation perfectible.
Bigest--Buzaayy
Un Ouginak progressiste, voilà un personnage auquel je ne m'attendais pas. Maître de méditation qui plus est ! Avec de telles qualités, c'est dommage qu'on n'en apprenne pas plus sur lui. Un peu de ses souvenirs, de son passé ! Et du pourquoi il a cette volonté d'unité, pas seulement avec les Ouginaks semble-t-il ! En fait, tu nous proposes un menu très attrayant et j'aurais voulu plus. Ceci dit c'est déjà une bonne chose, tu es dans les critères, tu parles bien de la divinité que tu as choisie et tu fais mention d'éléments qui sont respectueux du BG, tout va bien de ce côté !
Donc pour faire mieux encore, plusieurs petites choses :
- ne pas hésiter à développer ! Quand on a de bonnes idées et qu'on est loin de la limite imposée pour l'exercice, il ne faut pas avoir peur de donner un peu plus, dans tous les aspects. Je sais que tu es capable de poser un cadre, un environnement, la preuve en est avec le pont, avec l'ambiance/météo, etc. Creuse ton propos sur la divinité, approfondis le lien entre Namy et Mina qui pourraient être un duo vraiment chouette !
- une relecture supplémentaire qui pourra t'éviter quelques petites fautes de français, ce qui rendra la lecture plus agréable encore
- enfin, pour les Récits d'Invention, l'aspect communautaire qui est pour moi la plus simple des améliorations ; n'hésite pas à glisser dans ton récit des petites références aux textes des autres participants, tu auras tout gagné !
En tout cas, merci pour ta participation (et vive Ouginak ! Comment ça, je ne suis pas impartiale ? ...)
Lilizefou
Ah, Ixchelonia ! C'était inattendu, ça, belle originalité dans le choix ! J'ai pensé à bon nombre de divinités en dehors du panthéon des Douze avant que ne commence cette édition, mais j'avais complètement éclipsé la Déesse-Lune !
Je trouve qu'il y a dans ton récit beaucoup de poésie et de délicatesse, du début à la fin. J'ai l'impression d'un personnage très paisible. Nous ne savons rien de son passé, de ce qui l'a amené à vénérer Ixchelonia, de l'endroit d'où il vient, quelque part ça renforce ce côté un peu "rêve" qui accompagne l'ensemble de ton histoire.
La partie au sommet de la Bossue était très belle, cette façon de concevoir la divinité, de faire un parallèle avec le personnage, avec ce côté "humain", très beau travail ! J'aime aussi ce rappel sur l'intensité que peut prendre la vénération pour un dieu : chacun prie à sa façon, chacun s'implique à la hauteur de son souhait, chacun est libre. Belle mention aussi pour le début parce que cette idée que les cérémonies du choix deviennent moins fréquentes, ça m'a bien plu. Le format du choix a pour le moment été assez peu traité, mais c'est quelque chose qui mériterait d'être développé !
C'était fluide, agréable, tu as fait mention d'autres participations de façon assez régulière, discrète mais présente, bref, il y a vraiment beaucoup de qualités dans ton texte !
Un grand merci pour ta participation !
TurfuuTeam
Bien le bonjour ! Tout d'abord, merci pour ta participation. C'est un sacré duo de personnages que tu nous décris. Et deux divinités à défendre, tu ne t'es pas facilité la tâche ! J'ai souri à la description des personnages, à cette idée du choix d'une divinité qu'on n'aurait pas attendu pour eux. C'est une belle leçon, il faut choisir la divinité qui nous plait et pas celle que les autres pensent faite pour nous !
Attention cependant à ne pas aller trop loin avec les pouvoirs accordés à tes personnages, là on est quand même à un sacré niveau (on s'attaque à des montagnes, carrément !).
Il peut aussi être bon d'inclure quelques références à des participations antérieures à la tienne afin de vraiment entrer dans le cadre communautaire qui caractérise les Récits d'Invention, ça apportera encore à ta participation. Prends garde aussi à quelques coquilles (au niveau de la langue) qu'on retrouve ça et là dans ton texte et qu'une relecture supplémentaire pourrait aider à faire disparaitre !
Ceci dit les personnages sont attachants et leur connexion à Mina apporte à l'ensemble de l'imaginaire commun des Piles, et ça, c'est vraiment super !
antophantomhive
Bonjour, avant toute chose merci pour ta participation (il me semble que c'est la première fois que je vois ton pseudonyme pour ce concours, donc bienvenue dans les Récits d'Invention au passage !). Pour le coup, les consignes autour du thème de ces Récits d'Invention sont bien respectée, et pas de soucis au niveau du background du jeu ! Il manque l'aspect communautaire qui consiste à inclure des références à d'autres participations, ou à prendre en compte ce qui s'est passsé avant (le médecin du village a déjà un nom, par exemple, il a été mentionné par quelqu'un avant cela).
Attention aussi aux erreurs de français qui parsèment ton texte, et, plus encore, à la ponctuation. Ta première phrase par exemple, mériterait d'être coupée avec quelques points pour que le rythme soit adapté à l'idée que tu transmets.
Il y a de bonnes pistes dans l'histoire, n'hésite pas à les exploiter : le bouftou du début qui est si vite mis de côté, mais qui pourrait être un bon point de départ pour plein de choses : comment a-t-il été blessé ? Peut-être nous parler de sa blessure un peu plus ? De comment elle le soigne ?
Pareillement avec la visite du médecin chez son patient : n'hésite pas à te détacher de l'aspect "pur" du gameplay dans la description des pouvoirs de l'Eniripsa !
En bref, n'hésite pas à pousser tes idées un peu plus loin, à approfondir, à nous donner un cadre afin de nous permettre de mieux visualiser : décris-nous les décors, les personnages, des émotions, ta participation gagnera immédiatement en qualité !
Vraghdakk
J'ai ri, mais qu'est-ce que j'ai ri ! Urgholl est vraiment un personnage incroyable, et le duo qu'il forme avec Mina fonctionne fabuleusement bien. J'aime énormément la façon que tu as eu d'aborder la foi, une façon très... désabusée ? Lucide ? Je suppose que cela sera à l'interprétation de chacun ! et ce revers plein d'humour face à la foule. Ce rappel que le blasphème ne passe pas forcément dans cet univers (on n'y pense pas toujours, mais oui, qu'est-ce que ça donne, de critiquer une divinité alors que des fidèles sont proches ?). Le tout dans une participation fluide, tartinée de pâtisserie et de cidre, remplie de petites références agréables aux autres participations, que demander de plus franchement ? Un grand grand merci pour cette participation qui me laisse un goût plus qu'agréable en tête !
Xifeng
Quelle douce participation ! Il y avait un peu de tout là-dedans, et chaque fois tes descriptions m'ont permis de pleinement apprécier l'univers, les lieux, les personnages et leurs mimiques. L'arrivée auprès du grand arbre, avec tous ces masques... j'avais une vision presque effrayante, qui s'est un peu accentuée à l'arrivée -apparition devrais-je dire !- de Mad-Nessy. Et qui s'est par la suite dissipée progressivement avec la découverte de ton personnage. Quel plaisir d'en apprendre plus sur ses motivations, sur la voie qu'elle a choisi (et la réflexion sur la pluralité est très intéressante !). Bien joué aussi pour l'introduction de ce questionnement sur la place du culte par rapport à ce que sont les gens !
Et puis par dessus tout ça, bravo pour les inclusions si nombreuses et bien effectuées des participations précédentes, cela nous offre une continuité très appréciable, un ancrage dans cette édition des Récits d'Invention qui est plus que bienvenue ! Chapeau !
limaginaire
Ah, encore une divinité que je n'étais pas certaine de voir venir, bien que nous y ayons pensé au sein du jury ! J'étais très intriguée par les lettres en gras au début des paragraphes, c'était ingénieux !
Je suis moins familière avec ce que peut être la vénération à Shariva mais ce que tu décris correspond à l'idée que je m'en fais à travers ce que j'ai pu lire dans les textes qui en parlent. Je ne me représentais pas forcément la vie aux Piles si ennuyeuse pour Mina, mais en réalité c'est possible qu'en effet, le quotidien d'un petit village ne soit pas non plus ce qu'il y a de plus excitant en dehors des périodes de cérémonie du Choix !
Ton texte se lit bien, les références aux autres participations sont bien là (et ça c'est très chouette !), l'originalité ne manque pas (j'imagine totalement les réactions des habitants par rapport aux différentes tentatives de chamboulement de leur quotidien !). Et puis alors pour le coup, pas d'hésitation, on sent que ton personnage est sûr de son culte, sûr de ce qu'il peut apporter !
Merci pour ta participation, c'était un bon moment de lecture !
minitoast91
Et bien là encore, je dois dire que je me suis tapé une bonne tranche de rigolade en lisant ta participation, merci beaucoup déjà ! L'ambiance est posée, succintement mais efficacement, pas de doute, je suis dans la ruelle avec Mina. Et je me dis "Ah, on a un personnage qui n'est quand même pas hyper charismatique, qu'est-ce que c'est encore que ce vendeur de pacotille à la manque ?". Mais c'était sans compter sur sa tchatche, parce que bon sang il en a, de la tchatche ! Il ne faut pas avoir la langue dans sa poche d'ailleurs, pour démonter les autres cultes tout en mettant le sien en valeur, et pour le coup c'est réussi ! Je ne sais pas si Mina avait les mêmes yeux ronds en l'écoutant que moi en lisant le discours de Korbeil, mais...
Attention aux quelques fautes qui émaillent ton texte et qui peuvent parfois nous faire tiquer, mais dans l'ensemble ton style se lit très bien, c'est sobre et efficace !
Pour moi qui apprécie les Roublards, je suis contente d'avoir eu une participation qui vante leurs... mérites ! Et la fin avait un côté délicieux, avec cet aspect "je-m'en-foustiste" du personnage qui au final n'en a rien à faire du choix de Mina, alors même que depuis plusieurs participations le poids de cette décision pèse sur la jeune fille de façon intensive !
Je souligne aussi avec plaisir que les références sont nombreuses aux autres participations ! Bravo !
Peace4You2
Bonjour et merci pour ta participation -la dernière de cette édition des RI, c'est toujours particulier même pour nous dans le jury ! Concernant ta participation... il y a beaucoup à dire, je pense. Déjà parce qu'il s'y passe un certain nombre de choses, que le personnage (qui n'a pas de nom, en tout cas pour nous, quel mystère !) a beaucoup à dire à la petite Mina. Peut-être trop ? Il m'a semblé parfois me perdre dans toutes ces questions bien mystérieuses. Il y a du bon, les paraboles sont toujours un bon moyen de transmettre quelque chose, donc un bon point pour ça. Le truc c'est que c'est un peu noyé dans tous les mystères que fait ce personnage. Mina est une fillette de douze ans et il est parfois bon d'expliciter un peu plus de choses (et pour nous aussi, ça aurait parfois été pas mal !).
N'hésite pas à relire ton texte une fois de plus, il reste pas mal de fautes d'orthographe qui, accumulées, peuvent sortir le lecteur de ton histoire. Et attention aussi aux incohérences vis-à-vis du background du jeu : un disciple tire en général ses pouvoirs de sa foi envers sa divinité, comme tu l'as d'ailleurs fait comprendre à Mina. Arrêter le temps dans tout une zone comme le fait ton personnage, c'est tout de même un sacré exploit. Alors si ton personnage n'est plus disciple de Xélor, il est un peu étonnant qu'il soit toujours capable d'une telle prouesse... Je note aussi que tu as étendu l'agitation qui imprègne les Piles de Kontouar à... tout le continent, en fait. Certes, l'évènement est d'envergnure comme peut l'être quelque chose qui rompt le quotidien d'un village de campagne, mais de là à aller aussi loin, à devenir une affaire politique...
Par contre j'ai beaucoup aimé cette idée de comptoir à paris tenu par des Enutrofs, j'aurais apprécié que ça serve dans ton histoire tiens ! Une chose est sûre, tu fourmilles d'idées. N'hésite pas à faire un peu de tri avant, à sélectionner et à développer ce que tu auras choisi. Parfois, on n'a pas besoin d'en dire autant, il faut simplement bien transmettre ce que l'on cherche à transmettre !
Vraghdakk#1234
- ANCIEN ABONNÉ -
05 Avril 2021 - 18:49:13
Salut !
Je suis ravi que ma participation vous ait plu, et surtout, fait rire ! Comme je suis pas encore tip-top à l'aise pour faire passer les autres émotions, c'est sur ça que je joue pas mal. C'était un petit casse-tête à doser, en fait. J'étais pas sûr que le fait que le lieu soit juste "la place du village, devant la fontaine", soit pas trop décevant, ni que le fait que ça soit juste un dialogue entre deux personnages sans autre intervenant que l'on nomme clairement soit un peu "léger".
"Est-ce que c'est bien malin de faire une critique de la foi ET de faire défendre Sacrieur à Urgholl ?"
"Est-ce que je devrais critiquer plus de cultes ?"
"Est-ce qu'Urgholl devrait essayer de corrompre Mina avec de l'argent, des crêpes, et des substances illicites, se faire attraper par les autorités compétentes et finir sa vie en cavale ?"
J'me suis posé pas mal de questions et surtout j'ai STRESSÉ. Je suis ravi que ça vous plaise au final !
J'ai choisi de reprendre le personnage de Fantomine, à l'occasion de ma 2ème participation aux RI, car je voulais me donner une petite contrainte supplémentaire (sans que ce soit trop pénalisant). Parce que je suis persuadé que ce type de "contraintes" (comme le cadre qui nous est fixé à l'occasion de ces RI) favorise l'imagination et, finalement, nous aide à écrire...
Et, en définitive, je suis ravi que tu aies du plaisir à retrouver Fantomine, d'une édition à l'autre : c'est pour moi la plus belle des récompenses, tu sais ? Merci beaucoup !
J'ai occulté la lecture des autres récits. Du coup, je suis limite par rapport au thème. Je m'en excuse. Je compte bien rectifier le tir lors de la prochaine édition. C'est déjà un plaisir d'avoir participé. Les interactions entre participants sont des plus intéressantes
Je vois que tu as déjà pris goût aux jeux de mots lunaires Me voilà ravi d'avoir su te transmettre cette délicate philosophie que cet astre que m'évoque. Je suis aussi très content d'avoir pu surprendre avec mon choix de divinité, c'était évidemment mon objectif !
Désolé pour les fautes, pas eu le temps de me relire.
Heureux que mon Roublard t'ait plu, j'ai eu un récent intérêt pour sa classe avec l'annonce de Temporis (ils collent bien à une ambiance casino). Pour le coup je suis pas fier de ma fin parce que je l'ai pas bien amenée mais si a quand même tapé chez toi, je suis content ! =D
Bonjour,
Je tiens à remercier très chaleureusement tous les participants et les commentaires que j'ai lus m'ont beaucoup plu. J'avoue que comme c'est effectivement ma première participation, je n'ai peut-être pas bien compris le principe fondamental de continuité de récits avec les autres participants. Que ces derniers me pardonnent ce manque de connaissance, promis, pour les prochaines fois, je serais beaucoup plus attentif. En tout cas, je tiens à saluer les efforts de toute la communauté et du jury pour le temps qu'ils ont passé à lire, commenter, décortiquer chaque texte.
Au plaisir de tous vous lire de nouveau.
Dofussement Votre
Fhane
Cow-Smique
Les cauchemards se déroulent toujours de la même manière, vous savez ? Pour commencer, vous êtes dans votre environnement naturel et tout va pour le mieux, sauf... un petit détail ! Il y a toujours un truc qui cloche, comme pour vous dire : "Ohé, tu es en train de rêver : attention, ce n'est pas la réalité..." C'est souvent un gros lapin blanc avec une montre à gousset, ou bien un éléphant rose ; mais ça peut être autre chose, bien sûr...
Toujours est-il que si vous ne prenez pas garde à cet avertissement (si vous continuez à rêver) alors, c'est fichu : ça se met à déraper, sans que vous ne puissiez rien faire pour l'en empêcher et (surtout !) sans que vous vous rendiez compte que ce n'est pas réel ! C'est ça un cauchemard : un rêve qui dérape et qui vous semble tellement crédible que vous êtes persuadé que c'est la réalité. Enfin, pour peu que ayez de la fièvre (parce que vous êtes malade), ou que vous ayez absorbé des substances toxiques (une droque, ou du poison) alors, le cauchemard prend la forme d'une aventure incroyable : une histoire totalement délirante, à laquelle vous avez pourtant cru dur comme fer (pendant votre sommeil) et qui vous paraît bien ridicule à votre réveil...
Donc, voilà : c'est sûr que Mina a (elle aussi) consommé des substances hallucinogènes (sans doute des champignons) ! Par contre, pourquoi a-t-elle rêvé d'un xélor ? Là, je reconnais que c'est moins évident... La meilleure explication est qu'elle a vraiment été choquée par le comportement du jeune Jin et que (au plus profond d'elle même) elle aurait voulu faire marche arrière : ne jamais avoir été témoin de l'automutilation que le jeune sacrieur s'est infligé devant elle (pour l'impressionner ?). Mais, comme c'était un mauvais rêve, a chacun de ses sauts dans le passée elle s'est retrouvée, à nouveau, dans une situation cauchemardesque. Par conséquent, on peut espérer que, désormais, dans l'esprit de Mina, le Dieu Xélor soit associé aux pires cauchemards de son existence. Et, donc, qu'elle n'optera pas pour cette divinité...
Fhane
Houlàaa... Encore une migrante sacrieur ? Après l'expérience traumatisante de l'autre jour et son cauchemard de la vieille ? Mais ils vont me la tuer ! Et, en plus, vous l'avez vue l'autre, là (genre badass), avec ses cicatrices de partout et ses mains caleuses ? Tu m'étonnes qu'elle a eu peur, la pauvre Mina ! Enfin, au moins cette Fhane n'a pas l'air dêtre une droguée (c'est toujours ça de pris...).
A vrai dire, c'est une filoute, la Fhane : elle a tout de suite compris qu'elle était arrivée au bon moment et elle a bien l'intention d'en profiter pour marquer des points en faveur de sa déesse... Et (évidemment) c'est parti pour une petite tentative de lavage de cerveau : "non, tu peux me faire confiance, je ne vais pas chercher à t'influencer ; écoute plutôt ton coeur..." Voilà encore une belle hypocrite, tiens ! Elle essaie ni plus ni moins de l'emballer avec ses cicatrices, oui ! Elle va même jusqu'à se déshabiller (la coquine !) pour lui montrer son tatouage, là, sur le sein gauche (comme par hasard) ! Comme quoi, j'avais raison : tous les moyens sont bons, vous avez vu ? Et, d'ailleurs, elle le reconnaît elle-même : "Non, je ne peux pas rester : j'ai un charisme fou et je t'influencerais dans tes choix (ce serait de la triche, tu comprends ?)"... Prétencieuse avec ça !
Enfin... Encore heureux que je n'ai pas été invitée ce banquet, tiens ! J'aurais gaché l'ambiance, vous pouvez me croire : cette façon de s'y prendre pour manipuler une fillette de 12 ans est tout simplement honteuse ! La pauvre Mina doit être totalement déboussolée... Se faire draguer par une femme de l'âge de sa mère, vous vous rendez compte ?
Lhopizer
?
OonaruatokooO
J'aime pô les crâs ! lls sont prétencieux et ne peuvent pas s'empêcher de vous regarder de haut, comme s'ils avaient des bottes à talons. Non, je n'exagère pas ; c'est vrai : attendez d'en croiser un et vous verrez si j'ai pas raison ! Bon, celui-ci a l'air plutôt sympatique, je le reconnais. Mais, c'est un débutant (c'est pour ça !), sinon il ne se serait même pas arrêté...
Toujours est-il que (comme c'est un crâ) il est persuadé que sa déesse est mieux que les autres et il ne peut pas s'empêcher d'essayer de convertir Mina ! (Ca devient pénible, d'ailleurs : comment voulez-vous qu'elle devienne sram, à force que tout le monde lui embrouille les idées, comme ça, hein ?) Enfin, sa technique est ultra classique : "Regarde comme je suis sympa, Mina ! Je te prête mon arc si tu veux ? (Tu veux une Panda d'Piles ?)" Et.. Non, c'est pas vrai ? Il lui fait le coup du milimilou ? (J'y crois pas...) Ca se fait encore ce truc ? (C'est vieux comme le monde...) Comment ? Vous connaissez pas ? (Sérieusement ?) Mais si, c'est simple : vous payez un gars qui se déguise en milimulou et qui s'en prend à la fille que vous draguez. Alors, la fille elle crie (Hiiiiii !!) et vous, vous arrivez pour la sauver et vous passez pour un héros... (facile !) Bon, ici c'est une version un peu différente : le complice du crâ s'en prend à lui (qui fait semblant d'avoir été mis hors jeu) avant de faire semblant d'avoir été touché par la flèche de la gamine (pour lui donner confiance en elle) : c'est pareil...
Bref, je savais qu'avec un crâ ça n'irait pas : ils sont tricheurs, vous pouvez pas imaginer. D'ailleurs, vous avez remarqué ? Une fois le combat terminé Cyatold n'a même plus mal au dos (comme par hasard...) : de la triche, j'vous dis ! Enfin... Au moins, Mina se sera amusée et, de toutes façons, je ne suis pas inquiète : je ne sais pas pourquoi, mais ça m'étonnerait qu'elle devienne crâ.
DlEUx
Oui, c'est vrai.
Guillemaut
Une petite déesse ? Pardon, je voulais dire une divinité mineure. On n'en entend pas souvent parler parce que, bien évidemment, leurs adeptes ne montent jamais sur les marches du podium ! Ils restent aux étages inférieurs...
Comment ? Vous me trouvez cynique ? Irrespectueuse ? Quoi ? Bêcheuse, moi ? Meuhh... Pas du tout ! Je suis réaliste : faut voir les choses en face, c'est tout ! Non seulement il y a peu de divinités qui arrivent à la cheville de Sram (Il faut avoir l'honnêté de le reconnaître ; ce qui n'a pas l'air d'être votre cas.) mais, quoi qu'il en soit, vous n'allez tout de même pas comparer les Douze avec ces... "déïdes" (ou, "esprits" ?). D'ailleurs, vous l'avez bien regardé l'autre, là ? (Comment il s'appelle, déjà ?) Ah, oui : Faust ! (Rien que le nom d'ailleurs, ça n'a rien de glorieux... Vous connaissez un héros qui s'appelle Faust, vous ?) Non, mais, franchement, il ne ressemble à rien : ce type là pourrait avoir n'importe quelle religion (à part sadida, bien sûr...). Son patron, par contre, est plus intéressant : manifestement c'est un "p'tit gars qui n'en veut". J'irais pas jusqu'à dire qu'il m'est sympathique mais, par certains côtés, il a des airs de sram qui ne sont pas pour me déplaire...
Enfin, finalement, grosse déception. Trrèèèss grosse déception ! Mina n'a rien retenu de ce que je lui ai dit. Le baratin des autres, alors là, oui, elle s'en est rappelé. Mais rien de ce que je lui ai expliqué ! Jusqu'à jouer son éventuelle dévotion à un esprit mineur sur un coup de dé ! Franchement : il y a de quoi désespérer...
... (à suivre)
une fois n'est pas coutume, je me lance dans les commentaires (qui n'engagent que moi) des participations de cette dixième édition, une édition anniversaire dira-t-on, des fabuleux récits d'invention.
Mais d'abord un petit mot sur le thème qui m'a d'abord paru rasoir et m'a finalement à peu près convaincu même s'il fera parti pour moi des moins bons. Je m'explique. J'ai personnellement du mal à voir comment proposer quelque chose de vraiment original sur ce thème qui sera presque nécessairement un discours entre un disciple d'un Dieu précis et Mina. Il y avait, je pense, moins de voies pour jouer un peu avec le thème et s'offrir quelques libertés. Ca se ressent un peu en lisant toutes les participations les unes après les autres alors qu'on peut ressentir un sentiment de déjà lu sur la forme ou les arguments des protagonistes. Mais cela en fait un exercice ! Et dès lors qu'on le prend comme tel, s'en devient intéressant. Au final comme tous les RIs me direz-vous...
Sur ma participation : arf. Arf parce que je l'ai basée presque exclusivement sur une information erronée (corrigée depuis) sur le wiki RP de Dofus. Non la date de montée au Panthéon de la Déesse Pandawa n'est pas le 12 martalo de l'an 12 mais bien le 17 martalo de l'an 12, jour de la Fin Patraque. Quand on m'a averti de mon erreur, je l'étais, clairement, patraque... Puisque j'étais assez fier d'avoir pu sortir mon texte le 12 mars IRL en faisant confondre l'aujourd'hui de notre réalité avec celui de nos personnages et que j'aurais pu le faire le 17 avec un texte plus abouti et surtout sans méchante contradiction avec le lore. On dira ce qu'on voudra pour m'excuser, que Maître Kontouar avait ce soir-là un peu trop picolé mais, oui, j'aurais du vérifier mes sources.
Allez, c'est parti avec les 10 premières participations. Je préviens, je n'ai pas l'humour des autres commentateurs qui m'ont, au passage, bien régalé :
-Tag-Heuer-
On commence ici tout en fraîcheur végétale et en douceur sans pour autant tomber dans la mièvrerie avec la démonstration de la puissance de Rosæ. Les explications de cette dernière sont en accord parfait avec la façon de jouer des disciples de Sadida et de leur lore. Je ne vais pas m’attarder plus longtemps puisqu’il s’agit là de l’amorce de ce concours mais j’ai bien apprécié cette première lecture qui met la barre haute, merci !
Sperrylite
Il en fallait bien un pour entamer la danse, je trouve toujours ça courageux d’autant plus que le temps de réflexion et de rédaction est de fait bien réduit. Ce qui n’empêche en rien la qualité du récit ! J’ai trouvé le tout fort bien rédigé et fidèle aux mœurs et habilités des disciples de Sram. J’aurais peut-être envisagé de faire se dérouler le récit en pleine nuit pour un ton plus lugubre et une progression plus nette du personnage de Mina. Je m’explique, je trouve que le différentiel entre le moment où Mina rencontre Eryne et celui où elle la quitte en tout confiance est un peu trop faible en termes d’émotion de la fillette. Maintenant cela aurait peut-être amenuit l’impact du passage sur la faculté d’invisibilité des Srams que j’ai vraiment apprécié. Dernier point, j’ai trouvé que ta participation s’enchainait à merveille avec l’amorce, bravo !
el-octodonne2
Je vais commencer par les aspects qui m’ont un peu dérangé. Une petite incohérence quand tu écris que Tsugira assiste au tour de passe-passe d’Eryne alors que celui-ci est censé se passer au niveau de l’entrée du cimetière. Ce n’est qu’un tout petit irritant mais le découpage de mot par retour à la ligne rend parfois complexe la lecture. Enfin, l’utilisation de « procrastinée » comme un adjectif pour une personne me paraît étrange et me laisse dubitatif sur ce que tu as voulu dire de ton personnage. Mais mis à part ça j’ai trouvé ton récit agréable dans l’ensemble ! Bel effort quant à la retranscription des sorts iops par écrit. Et sympathique idée d’évoquer la propre cérémonie du choix de ta disciple de Iop, bien joué !
-lauraetcaroline-
Bon le récit précédent était le mien et ça va paraître un poil égocentré de te remonter ça mais j’aurais bien aimé lire les conséquences de la nuit imbibée qu’a connue Mina au début de ta participation. J’imagine que tu avais fini de l’écrire avant la mienne et que tu n’as pas souhaité la mettre à jour en conséquence, ce n’est pas grave ! Pêle-mêle, voilà ce que j’ai noté à la lecture des échanges entre Egna et la fillette :
- Plusieurs petits soucis de concordance des temps entre présent et passé simple / imparfait comme au quatrième paragraphe.
- Tu m’as rappelé que chez les Ecaflips le hasard n’existait pas, notion que j’avais un peu oublié, donc merci !
- J’ai bien apprécié ton petit néologisme : écafflipé.
- Les passages en couleurs avaient du sens mais je pense que tu aurais pu pousser le concept jusqu’à la fin de ton texte.
Tricotinette
Coumadine, en voilà un joli prénom ! Ah c’est un médicament, encore mieux ! Bon outre ça, de même que pour le récit précédent je suis un poil déçu de ne pas voir le nom de Pandawa dans ta liste de Dieux desquelles Mina a rencontré les disciples jusqu’alors. Ensuite, je suis toujours un peu gêné quand un personnage reçoit une mission directement de sa divinité comme tu sembles le signifier. J’aime bien l’esprit petit village paumé où les grandes intrigues de ce Monde sont exemptes. Ah et sinon pourquoi avoir utilisé l’appellation lapin plutôt que Lapino pour l’invocation de ton eniripsa ? Cela égratigne un petit peu la fidélité de ton histoire au lore qui est très bonne mis à part ça. J’ai d’ailleurs bien apprécié l’accentuation que tu as mise sur les mains qui sont précieuses pour cette classe de guérisseur.
ccfcffccf
J’ai beaucoup aimé le petit détail sur la Soif que tu donnes au début de ton récit, c’est rafraichissant ! Bon mais désolé, passons aux choses qui fâche. La phrase : « elle n’avait jamais rencontré d’écaflip par le passé » m’a quand même pas mal gêné. D’accord, tu postes cette participation peu de temps après celle de -lauraetcaroline- mais la cohérence globale de ce concours s’en voit pas mal écornée et tu aurais dû t’adapter… Ensuite attention aux fautes sur les noms propres au jeu lui-même comme « énirepsas », ça fait un peu tâche. Bon mais sinon j’ai quand même trouvé de quoi passer un bon moment à la lecture de ton histoire : les jeux de mots typiquement krozmoziens, les aventures dans les galeries, le petit poème final… Pour ça : merci !
Katyminy
Ah, première allusion directe à la famille de Mina ! Qui pour moi sera ternie par les multiples fautes de conjugaisons. Désolé, mais là c’est un peu trop pour ma part… Tu as des efforts à fournir de ce côté-là pour les prochaines fois. Il y a malgré tout de très bonnes idées dans ton récit comme le fait que Mina n’avait jamais vraiment considéré le choix de son frère ou encore la bienveillance bien traduite de ce dernier. Merci !
alexiacia
Toujours pas d’évocation à Pandawa alors que les autres y sont, mais c’est la dernière fois que j’évoque ce point, promis. Et puis l’allusion sur la non-politesse de Coumadine m’a bien fait rire. La tentative d’euphémisme qu’emploie ton personnage quant aux mœurs des disciples de Sacrieur face à une jeune âme est plaisante à lire et me fait dire que toutes les classes ne sont pas égales dans l’exercice. Sinon c’est bien écrit et j’aurais aimé en voir un peu plus qu’un simple discours de te sacrieuse pour faire durer le plaisir.
-Moeb-
Ah j’aurais tant aimé lire ta première version du réveil de Mina comme tu l’as évoqué sur ce topic mais celle-ci fera l’affaire ! J’ai trouvé bien retranscrit le mystère qui peut émaner d’un Eliotrope vu au travers des yeux d’une novice. D’ailleurs je te suis reconnaissant de ne pas t’être emporté dans un discours explicatif sur cette classe qui est si spécifique et dont le lore me dépasse moi-même. L’utilisation des portails est plaisante et la mention des Piles comme source énergétique était très intéressante à mes yeux ! Tu as pas mal glissé de détails des précédentes participations et ça fait plaisir donc à toi aussi un beau merci.
Row-Sebal
Une deuxième sramette qui vient contraster la vision de la discipline de Sram déjà évoquée, c’est plutôt plaisant ! Le tout est bien écrit et contient de nombreuses références aux autres participations, un très bon point. Ce que j’ai pu regretter c’est le peu de connexion avec l’univers du Krozmoz alors que j’ai l’impression que tu avais plusieurs occasions, notamment au niveau de la faune que tu décris dans la forêt et qui fait très « terrienne ». Mais ce que je retiens de ton récit c’est l’esprit de nuance du discours de Fantomine (j’aime beaucoup le prénom au passage) qui ne se sent pas forcément la plus à même de convaincre Mina et qui le fait avec une belle franchise. Joli !
ultimafeca2011
Aïe, aïe, aïe, ici encore, trop de fautes pour connaître une lecture agréable de ton récit. Rien qu’avec un bête correcteur orthographique tu aurais pu éviter cette catastrophe. Je pense qu’il te manque aussi une simple relecture ! Par exemple, à deux lignes d’écart tu utilises deux orthographes différentes pour l’expression « tomber à pic ». Sans parler de la conjugaison, les « ça » utilisés comme possessifs font un peu mal aux yeux aussi… Bon, passons au contenu qui nous présente le grand-père de Mina façon Père Castor. Le concept est original puisqu’on a pas affaire à un unique argumentaire de classe mais à un panel choisi par le vieillard. De fait, la morale est bonne car ton personnage conclut en donnant sa pleine liberté à Mina pour son choix, et cela dans la confiance.
LE-C0NTEUR
D’entrée de jeu, le texte fait très (trop) dense et il faut prendre un peu d’élan avant de sauter dedans. Deuxième irritant, le nom de ton personnage principal est orthographié différemment dès le début, Broussaille au singulier et au pluriel. Bon, simple faute de frappe pas méchante du tout. Je taquine puisque tout le reste m’a vraiment plu ! Entre ton personnage bien caractérisé et atypique comme je les aime (j’ai tout particulièrement apprécié ses petites expressions ligneuses) et Mina pétillante et innocente, le dialogue ne pouvait que faire mouche ! Le discours du vieux sage peut paraître moralisateur mais il se cache derrière toute l’ambivalence de la condition de disciple d’un Dieu. Chapeau bas cher conteur.
Nylwosh
Une sympathique entrée en matière pour Valcade et Bola qui atteignent enfin leur destination d’un soir. J’ai bien aimé la petite interjection à Ecaflip qui rend un peu plus poreuses les barrières entre nos différentes classes si chèrement défendues cette édition. Je vais être franc, j’ai un petit coup de cœur à la lecture de ta participation, je trouve ça savamment écrit ; encore une fois la nuance fait beaucoup. Ta disciple de Féca exprime une évidence :le choix que va faire Mina n’est que le début d’un long apprentissage et non une fin en soi. Avec ça, les histoires de tes pairs sont bien intégrées. Bon allez, quand même dommage pour le chat qui aurait pu aisément devenir un chacha !
gearbutcher
Reprendre directement la morale du récit précédent c’est, je trouve, une très belle idée ! Ton récit est une belle idée ! L’ami Vakog aux paroles énigmatiques ne vient pas ici déblatérer un argumentaire sur sa propre classe mais propose plutôt à Mina une pseudo-séance de relaxation krozmozienne visant à l’aider dans son choix. Choix qui sera la meilleur une fois fait. Pas grand-chose à redire, merci pour cette participation originale.
J'éditerai prochainement ce post avec les autres commentaires.
C'est sympa d'avoir des points de vue différents sur les récits des uns et des autres. Et ces commentaires un peu sérieux, c'est bien aussi...
L'arrivée imminente de la deadline nous a apporté de nouveaux récits! Merci aux auteurs (d'autant plus qu'on assite à la défense de nouveaux cultes!). Sans plus attendre, voici mes commentaires sur les derniers récits. J'espère que vous ne les prendrez pas mal ^^'.
OonaruatokooO
Cyatold, disciple Crâ. Ce disciple débutant sait y faire avec les mots (peut-être même plus qu’avec les flèches). Le parallèle entre le matériel d’archer et l’objectif/chemin est particulièrement bien trouvé je trouve. Le premier tir de Mina, qui se solde par un échec (fallait-il s’attendre à autre chose ?) permet néanmoins de créer une scène touchante de réconfort.
L’apparition du milimulou et sa mise en déroute par Mina font agréablement grandir la jeune fille. L’énumération des sentiments par lesquels est passée Mina fonctionne pour moi. La rencontre, puis le dénouement avec le milimulou et le la séparation sont peut-être un peu hâtés à mon goût, mais le récit reste agréable à lire.
Guillemaut
Faust, un nom qui évoque pour moi le héros qui conclut un pacte avec le diable ou Shaman King, au choix (et encore, les deux peuvent facilement être liés). Avec un tel nom, on s’attend à du lourd.
Mina découvre ici l’existence de dieux en dehors du Panthéon (au passage, le chiffre 1824 a-t-il été choisi au hasard ou fait-il référence à quelque chose en particulier ?) et se met en tête d’en apprendre un peu plus à leur sujet.
Ce qui au fonctionne bien, car la curiosité du lecteur est elle aussi titillée par la même occasion. Malheureusement, nous en apprendrons au final assez peu sur ce culte de dieu inconnu (et même sur Faust), et le récit propose une fin ouverte des plus frustrantes (personnellement) sur son dénouement. On VEUT EN SAVOIR PLUS !! L’auteur a bien joué son jeu x)
Les possibles initiations de Mina et d’Offerenda, qui rappelons-le, a 6 ans et demi, en pleine nuit de surcroît, nous laissent présager du pire, comme du meilleur (la balance penche quand même légèrement plus du côté du pire personnellement).
La façon de retranscrire les paroles prononcées change des récits précédents, on se croirait presque au théâtre, c’est original. Bonus pour Mizaru, Kikazaru et Iwazaru, qui font ici leurs apparitions sous les traits des Ouassingues de la Sagesse et l’illustration !
Gothapprentice
Griffe. Les lignes entre rêve et réalité sont brouillées pour notre plus grand plaisir. D’une part Mina et le sympathique village des Piles, de l’autre Frigost où Griffe vit ses aventures. La rencontre entre les deux est empreinte de mystères (le pendentif, la pièce que Mina retrouve près d’elle) et bien écrite.
J’aime à y voir un partage de savoir, on ne sait trop comment entre l’âme du vieil ecaflip et la jeune Mina, dans le dernier souffle du dernier. Il s’y opère, en plus du passage de l’héritage matériel entre les Huit, un passage de flambeau spirituel avec Mina. Personnellement, j’ai été ému par la fin du vieil écaflip, donc je valide ce récit =).
Pour finir, le dernier paragraphe montrant Mina prête à affronter son destin est touchant. Quant à la dernière phrase, correspond-elle à une des dernières pensées de Griffe (ou même ses pensées depuis l’au-delà ? C’est ce que je suis plus que prêt à croire !
Bigest--Buzaayy
Namyu, sage Ouginak de son état. On a accès à un peu de lore me semble t-il (la réception des Ouginaks par le monde des 12 et leur intégration plus ou moins difficile, ainsi que la présentation du culte en lui-même). Ce dernier point est d’ailleurs assez essentiel pour le cadre du récit, et il est assez bien réalisé, on retrouve les grandes aspirations de la classe, et l’idée de la meute solidaire est bien amenée.
La méditation, qu’exerce Namyu, ne permet cependant pas, à mon sens, de faire une promotion efficace de la classe auprès de Mina. Au final, à moins que Mina n’ait laissé divaguer son esprit comme lors du conte boulanger, aura-t-elle appris beaucoup de choses sur les Ouginaks ? Au moins se sera -t’elle vidée la tête lors de son entretien avec Namy, ce qui ne peut pas lui faire de mal en cette période pleine d’incertitudes.
Bonus linguistique dès le début : « La voyant en PROIE à un sentiment d’inquiétude, je FLAIRE un début de panique […] en laissant échapper un ABOIEMENT ». Très finement joué ^^.
PS : Sig s’était-il vraiment lancé dans d’ennuyantes élocutions ? Damned, ce n’était pas l’effet voulu xD
Lilizefou
Mortimer, aka “l’homme tortue”. Ou un mélange entre Tortue Géniale et Maître Oogway de Kung Fu Panda. Son côté philosophe quant au recrutement de ses disciples est appréciable. La découverte d’une nouvelle déesse, Ixchelonia, fait également plaisir. On a besoin de tels apports dans le Panthéon.
De prime abord, la ressemblance entre la Lune et une carapace de tortue ne m’est pas paru évidente non plus, mais la description qu’en fait Mortimer est efficace. Ce passage constitue à mes yeux le point fort du récit.
Et à nouveau, niveau compétences et aptitudes offertes par le culte d’Ixchelonia, on reste dans le mystère, ce qui nous pousse à nous interroger. C’est malin de la part de l’auteur =).
TurfuuTeam
Place à Etherio et Aethelian, deux boute-en-train survitaminés !
On sent dès le début qu’on ne va pas s’ennuyer avec ces deux-là ! Et un vent de fraîcheur est des plus bienvenus pour aider Mina en prévision de son choix à venir. D’autant plus qu’elle aura droit aux éloges de deux Dieux pour le prix d’un ! Le contraste dans le récit, d’une part voulu héroïque par les jumeaux terribles et la réalité (ils semblent avoir fait plus de bêtises que de réels exploits) est agréable. L’intégration de l’expérience des aventuriers à Bonta et Astrub (pas moyen de se faire des kamas) est une bonne touche humoristique. Tout comme le côté « Super-sayeune » !
Bref, je suis touché par la parenthèse qu’ils offrent à notre chère Mina, et les interactions qu’ils entre les persos.
Et pour revenir sur le commentaire de l’auteur, OUI, personnellement, j’ai souri en découvrant ces deux énergumènes =).
Encore merci aux auteurs pour ces nouvelles histoires!
Pour le nombre 1824, je me permets de te répondre car il est aussi inclus à mon récit, c'est Hel Munster qui a recensé un tel nombre de divinités dans son ouvrage Diis Ignoti, information que l'on peut retrouver IG dans Dieux et Démons d'Acridrik Fenlapanse.
Merci pour ces jolis commentaires, continues comme ça !
J'avais bien une idée pour participer à ce RI, mais j'avoue ne pas avoir pris le temps de rédiger en bonne et due forme quoi que se soit. De ce fait, je vous propose ici le concept, si ça peut en intéresser certain(e)s...
Je voulais faire croiser Mina avec deux personnages qui passaient un peu par hasard aux Piles : M. Bonfoy, une quinzaine d'année, "en formation" et plutôt méprisant vis-à-vis des ruraux, et Dame De Nodagal, bien plus âgée (la soixantaine), instructrice en élémentalisme à l'Académie de Rok, qui escorte le premier car celui-ci est en retenue (pour avoir déclencher un incendie dans l'atelier de Forgemagie de ladite académie...), l'idée étant de lui rappeler les concepts d'humilité et les bases de l'Huppermagie qui lui font vraisemblablement défaut...
Bref, le jeune Bonfoy devait s'entraîner sous les yeux de son prof', dans un champ non loin du village, à soulever un monticule de terre par Huppermagie. Sauf qu'il n'y arrive pas. Alors son professeur devait lui faire comprendre que pour y parvenir, il fallait non pas se concentrer uniquement sur la terre qu'il voulait déplacer, mais aussi sur l'air qui devait s'engouffrer en dessous... Bref, lui faire la morale sur l'Équilibre, tout ça...
Cela aurait été à ce moment-là que Mina, qui les écoutait et les observait depuis peu, se serait timidement avancée, fascinée de voir des magiciens. (bon, un magicien pas doué, mais un magicien quand même !). l'apprenti, qui cherchait à abréger la leçon de son mentor, l'aurait alors remarqué et la discussion entre les trois se serait engagée.
La vénérable femme, apprenant la situation de la jeune fille, aurait alors expliqué qu'il existe une voie légèrement différente des cultes qu'on lui a jusqu'alors présenté. Une voie où les aptitudes s'obtiennent en parti par l'étude et la compréhension à notre bien petite échelle de l'univers, sans trop entrer dans les détails. Tout cela parsemé d'intervention de l'étudiant qui aurait alors vanter l'Huppermagie comme supérieure à tout le reste, mais il se serait fait reprendre avec sévérité (mais justesse) par sa tutrice...
Et... c'est tout... j'avais bien dit que je n'avais que l'idée...
Chose promise, chose due ! A la manière de Row-Sebal et Chopperkun c'est maintenant mon tour de vous faire un retour sur vos récits. (désolé de m'y prendre si tard mais je voulais que tous les récits soit publiés avant mon retour sur ces derniers :/ )
Je m'excuse d'avance si mon retour froisse certains d'entre vous, ce n'est pas l'effet recherché. J'ai beaucoup apprécié les retours de mon récit, qui me permettent de voir, comment ce dernier a été interpréter.
C'est une expérience enrichissante autant pour votre plume que pour la mienne.
Alors
-Tag-Heuer-
Ah la belle Rosæ ! Une magnifique plume pour introduire ce RI. J'ai beaucoup apprécié certains mots et tournures de phrases que je n'ai pas l'habitude de lire : " les vivats, les maisons qui ceinturaient la place, quelques vrilles fleuries, petiote, Son front était ceint, Le petit homoncule, De ce tableau idyllique, Marche avec moi dans l’humus"
Quel régale pour les pupilles !
Je souligne une prouesse de l'auteur : pas une seule fois Rosæ ou Mina n'a été appelé de la même manière et ça j'admire ! En effet, Rosæ est nommée par : " accompagnatrice, guide, adulte, L’adepte de Sadida, etc..." (j'ai tenté de faire de même mais c'est un exercice plus complexe qu'il n'y parait
Beau champs lexical de la nature, comme on pouvait s'y attendre d'une sadidette. Je note également un sous-champs lexical du "guide" attribué à Rosæ. Chapeau l'artiste !
Enfin, les différents noms usés pour invoquer le dieu Sadida m'ont charmé : " le Maître des Poupées, la Grande Sylve,etc..." tout comme l'utilisation des expressions propres à la classe tel que " Lorsque j’ai la broussaille en feu" Bel allusions au livres de classe in game
Enfin, la description des sorts sadida et des poupées eu terminé de faire le tour de la présentation de la classe. Les petits noms données aux poupées ne peuvent que nous faire nous attacher à elle. (Pour ma part, ma préféré est Sacri-fia ^^)
Les jeux de mots sont également au rendez-vous et m'ont bien fait sourire : " Le peuple Sadida est connu pour ses siestes, mais je te promets que je ne te ferai vivre aucune histoire à dormir debout."
Enfin, la fin du récit donnant une amorce aux autres récits avec les pêcheurs rentrant de leur journées de travail m'a directement donné envie de respecter une continuité des récits qui regroupés tous ensemble, pourrait faire un roman, qui sait ?
Sperrylite
Jolie continuité du récit de Rosæ ! Si tous les récits avaient commencé et finis comme celui là, nous aurions vraiment pu créer un roman en rattachant le tout ! (oui je suis idéaliste, quel mal y a-t-il à cela ? :p )
Là encore, j'eus le plaisir de lire des mots précieux : " ses cheveux ivoirins, le chemin devenir plus vallonné, mélopée, etc..."
Mais ?... Toi aussi ?? Pas une seule fois je n'ai noté la même appellation pour Mina ou Eryne. Vraiment bien joué. (la concurrence est rude !)
J'ai grandement apprécié le jeu de clair-obscur tout au long de ton récit ! On oscille entre la lumière et les ténèbres à la manière d'Eryne, que l'on ne peut qualifier de bonne ou mauvaise. Finement jouer de ta part l'ami
Si je ne m'abuse, un discret champs lexical du silence, mélé à celui du cimetière, s'immiscie tout du long et nous rappelle la beauté de ce dernier. La parole est d'argent mais le silence est d'or... Et c'est un bavard qui vous dis cela x)
La coutume de divulguer habilement les différentes appellations de la divinité se poursuit :" le mystérieux culte du Nuisible Invisible" Malheureusement, je n'ai pas déceler les expressions typiques des Srams, qui selon moi, sont la seule touche manquante de ton récit...
Sinon, la subtilité dont tu as fais preuves pour faire étalage du pannel des sorts srams m'a beaucoup plue !
Enfin, la petite touche de cléptomanie propre au disciple du Shinigami scie parfaitement à ton récit. Je suis jaloux ! Il manquerai juste une amorce pour le prochain récit, à la manière du précédent.
el-octodonne2
Ah ma chère Tsugira ! Enfin un peu d'action ! C'est l'un des seules récits où il y a une démonstration d'un sort puissant qui plus est, dont l'utilisation est tourné avec humour : "J’avais été tellement précise que les poils de son nez étaient partis en fumée."
Originale, l'idée de l'aventurière de retour chez elle après de longues années. Le background du personnage nous permet de nous y attacher.
De plus, le parallèle avec sa propre cérémonie des 12 ans et le fait qu'elle connaissais Mina petite lui donne une aura de grande soeur spirituelle ayant quitté le foyer.
Ici, pas de champs lexical, c'est simple, c'est iop. Ah si ! Pardon, on a bien le champs lexical de la baston avec pas mal d'armes et des réflexions iophilosophiques sur les armes. C'est simple, c'est iop, et c'est ça qu'on aime !
Mais attention ! On sent bien la concurrence ahah : "Par politesse et parce qu’il était formellement interdit de se battre en ce jour sacré, j’attendis la fin du tour de passe-passe grotesque et inutile. "
Enfin bon, pour une fois que les iops sont patient et ne veulent pas tout régler par le langage des poings...
Par contre, pas le droit à des expréssions types ou même les différents noms de Iop...
Il y a également des blancs étranges, (serait-ce voulu ?) des sauts de lignes pas communs... Parfois il manque des mots... Et la fin : " j’étais fière d’avoir pu m’exprimer et aider une " nous laisse sur notre faim.
C'est dommage ! Une relecture de plus et le travail aurait été propre.
J'ai bien aimé finir sur une orientation indirect vers la voie du "coeur d'Iop" : "Écoute ton cœur, lui seul te guidera vers le dieu qui te convient." C'est joliement tourné
Lutineur
Maitre Kontouar, mon vieil ami ! Quel dommage que tu ne participe pas à ce concours, tu aurais été un adversaire de taille. (ah ben heureusement alors !)
Tout d'abord, j'aime beaucoup ton style d'écriture. Tu es capable de passer du langage soutenue (dans ton récit en général) au langage grossier (de Maitre Kontouar) avec même une touche d'accent Pandalousien un peu bourré que l'on ressent clairement dans les dialogues.
Belle plume satisfaisant l'oeillade que j'eus sur ton texte : " mordoré , poindre , quelques polis ,etc..."
Ah la Panda d'Piles ! J'aimerai bien la goûter celle là. On en trouve plus en Pandalousie. Vivement que je repasse aux Piles de Kontouar ! Plus sérieusement, c'est finement joué d'avoir publié le récit le 12 martalo intentionnellement : la fêtes des Pandawas, rien que ça ! (je pensais que c'était un peu plus tôt mais bon autant pour moi !)
Bien vu ! Avoir réussi à reprendre la continuité du récit de Rosæ (avec les pêcheur là) alors que plusieurs textes ont été publiés entre temps n'a pas du être une mince affaire.
On a un jolie champs lexical de la boisson, comme un bon
ivrogne...Pandawa !Et vraiment, réussir à raviver la proximité de la Nature aux Sadida c'est culoté ahah : " Ben tu vois, je pense qu’on ne peut pas faire plus en symbiose avec la Nature que nous Pandawas ! "
De plus, l'argumentation est intéressante tout en taquinant les Iops. Quel rude concurent tu aurais fais !
J'adore tes jeux de mots, en particulier celui-ci : " Jeune âme, tu es née près de la Soif, n’offusque pas celle qui l’est Eternelle en laissant cette chope pleine derrière toi."
Petit défaut peut-être, il n'y a eu aucune démonstration de sort. Bien que, la démonstration de souplesse pour sauvé le précieux alcool était époustouflante ! Egalement, la répétition de Mina, du pandawa ou la jeune fille est un poil redondant.
Enfin c'est le 1er récit qui termine par "Loué soit la déesse..." Une fin originale qui n'a pas manqué d'être reprise
-lauraetcaroline-
Mmmmh, ça part mal ! La petite viens de se prendre sa 1ère cuite la veille, certes mais de là à remonter le temps et revivre une 2e fois d'affilé le jour de son 12e anniversaire... Elle est terrible cette Panda d'Piles ! Après, les références aux autres récits sont là, c'est déjà ça.
Enfin, sinon la rencontre hasardeuse avec un disciple du dieu de la chance, c'est une sacré coïncidence, vous ne trouvez pas ?
Une originale façon de parler : en couleur et en preceptes ! Une première !
Par contre, le hasard existe ou pas ? Entre les :" nous sommes clairs sur le fait que le hasard n’existe pas " et les :" le hasard nous entrainerait-il vers le destin qui nous attend ? " Je suis un peu perdu ^^'
Enfin, même s'il y a quelques incohérence, j'ai bien aimé l'expression typique de la fin ! en particulier :" cette rivière me rend tout écafflipé " Bien trouvé !
Dommage que la rencontre soit un peu courte mais cela fais parti du charme de ce récit. Jolie réponse à maitre Kontouar à la toute fin
Tricotinette
Tiens ? Encore une temporalité altérée ? Décidèment Xélor se repose sur ses lauriers --'
Entre le moment où Eryne lui vole son bracelet et ce récit, il s'en ai passé des choses ! (enfin, je dois etre un peu trop à cheval sur la continuité ^^' désolé mais c'est que j'y tiens à faire un roman de tous ces récits !)
Là encore, les références sont présentes donc on te pardonne. Mais c'est la dernière fois hein ?
J'aime beaucoup l'ambiance compte de fées qui fait écho avec la voie Eniripsa autant par le champs léxicale de la féérie que par le début de ton histoire, le rêve de Mina se voyant telle une femme et non une petite fille. D'ailleurs on y voit un peu trop le mot fée ou c'est moi ?
Par contre, WAW ! Qu'est-ce qu'elle est bavarde cette Coumandine x) Enfin, elle parle bien c'est vrai. Ses assonnance sont assez rigolotes : " passe par la fenêtre, tu es toute fluette ! »
Et Pinpin ahah, quel phénomène ! Une vraie pile électrique ce lapin rose. (Energizer ? lol)
Ah la récolte de fleurs. Un classique pour une fillette de 12 ans ! Pourquoi n'y ai-je pas pensé ?
En tout cas, elle est bien occupé la jeune Eniripsa. Elle réussit quand même à placé La fameuse ovation à la déesse, comme les 2 précédents. Une mode aurait-elle été lancé ?
(la suite dans pas longtemps)
Alors, c'est un peu tard pour se poser la question maintenant mais, j'ai volontairement attendu parce que je voulais être dans les derniers à poster, et je me demandais : Sachant qu'on est le dernier jour du concours, Mina est bien censée avoir sa cérémonie demain ?
Ou alors le temps ne s'écoule pas et j'ai vraiment rien compris aux règles ?
Bisous !
Narrativement parlant (d'un point de vue RP* si tu préfères), c'est demain qu'aura lieu le choix de Mina, oui. ^^
Dans les faits (d'un point de vue HRP**, cette fois-ci), les résultats ne seront pas publiés immédiatement, car il nous faut encore faire la moyenne des coups de coeur, achever les commentaires relatifs à certaines participations, rédiger la conclusion en fonction des différentes histoires, etc. C'est un sacré boulot et on aimerait le réaliser correctement...
Autant vous dire que ça ne se fera pas en un claquement de doigts !
* RP : « Roleplay ». Il s'agit du jeu de rôle auquel vous avez participé.
** HRP : Hors RP. C'est ce qui se déroule en-dehors de l'histoire, dans la « vraie vie véritable ».
Il y a quelques années que je n’avais rien écrit pour le Monde des Douze, et malgré ma rouille, le thème était trop bien trouvé et trop tentant pour y résister : un grand bravo pour l’organisation de ce Récit d’Invention !
Pour prolonger l’expérience et parce que j’ai toujours eu un faible pour les récits qui suggèrent plus qu’ils ne disent, je laisse quelques clefs pour ouvrir à tous un autre niveau de lecture (je ne doute pas que certains ont deviné très tôt vers où allait le récit). Si vous êtes curieux, vous voudrez peut-être le lire avant de poursuivre.
1824
Je reprends les mots de Lilizefou : « C'est Hel Munster qui a recensé un tel nombre de divinités dans son ouvrage Diis Ignoti, information que l'on peut retrouver IG dans Dieux et Démons d'Acridrik Fenlapanse »
Faust
Le nom de Faust a effectivement été choisi en référence à la figure populaire du savant qui contracte un pacte avec le Diable (ou le manga Shaman King, merci pour cette découverte Chopperkun). La thématique infernale m’était chère.
« Deux, dans les faits, sont déjà [au Panthéon] sans y être. »
On peut penser au Roi-Dieu, mais aussi à Rushu. La phrase porte évidemment toute la subjectivité de Faust : il est impossible pour lui de considérer ces deux entités comme autre chose que l’égal des divinités du Panthéon... ou bien plus que l'égal.
« [Les temples Sacrieur] sont bien cachés, et à raison »
L’ascension de la déesse Sacrieur au Panthéon, il y a des siècles, a provoqué la colère de Rushu. Les adeptes de Sacrieur auraient cherché à protéger leur lieu de culte des attaques de ses fidèles. D’où sa localisation en jeu, à l’abri des regards.
« Il existe une potion pour se rendre à [l’un de nos temples], celui que notre dieu a érigé en une nuit… Mais au fil des siècles, ses habitants ont oublié leur foi. »
Plusieurs légendes sur la fondation de Brâkmar existent, l’une d’entre elles prétend qu’elle fut érigée en une nuit par Rushu lui-même. L’un des objectifs de la cité était de servir de temple à Sa gloire. Les plus traditionnalistes considèrent la cité comme s’étant éloignée de son objectif initial.
Offerenda
Le latin offerenda signifie « qui doit être offert », et sert d’étymologie au français « offrande ».
« J’ai dressé la table, Messire »
La métaphore ajoute un certain décorum mais surtout préserve le PEGI du récit.
Le prêtre
L’espace d’une phrase, j’ai eu l’occasion de redonner sa voix au rushuiste Urgal (Hécate/Ush).
J’espère que vous aurez pu prendre plaisir à la lecture des mots écrits, ou peut-être à l’imagination des fins suggérées,
Et vous remercie pour tous les sourires que les vôtres m’ont donné, ils ont été nombreux (un certain Pandawa en particulier en est coupable),
Vous souhaitant une très bonne continuation dans l’univers qui est le vôtre,
Urgal
J'espère que vous vous portez tous bien.
A présent que la date limite est passée, je peux vous fournir mes derniers ressentis sur les récits collectés (et vous avez fait fort pour le rush de dernière minute!). Il aurait été dommage d'être privés de ces derniers récits!
Sans plus vous faire attendre, voici mes derniers commentaires.
antophantomhive
Un vaillant effort de la part d’Orihime (référence à Bleach ?) pour faire découvrir à Mina le culte Eniripsa. Accompagnées de Kenzo, on assiste à une démonstration des pouvoirs accordés par la déesse, ainsi qu’une rapide explication du culte. La séparation arrive cependant bien vite, et on n’aura pas eu de nouveaux ajouts par rapport aux autres présentations faites par les disciples du même culte. Il est également dommage que les interactions entre les intervenants ne soient pas plus développées.
Attention aux phrases un peu longues (le second paragraphe est composé d’une unique phrase^^’). Il est néanmoins possible que la ponctuation ait « sauté » lors de l’édition. Un petit peu triste qu’Anton ait si subitement disparu du village, il aurait été sympathique de l’inclure ici. A moins que Kenzo et lui se partagent les urgences (il ne doit jamais y avoir trop d’énis je suppose =)
Vraghdakk
Dites, vous vous rappelez de Vakog et de son conte boulanger ? (Désolé, mais j’y tiens ^^). J’ai le plaisir de vous présenter Urgholl, le Crepemestre ! Celui-ci, non content de faire preuve DE mauvaise foi, dénigre allégrement les autres cultes, mais avec sous couvert (oserai-je dire glaçage ?) d’un humour bien placé. Chacun en prend pour son grade on dirait. Entre les gâteaux poilus, des gâteaux brûlés et d’autres plein de grumeaux car mal mélangés, il n’épargne rien ni personne. Force est de reconnaître que ces pâtisseries ne font pas vraiment envie.
J’ai apprécié la remise en question de Mina au début du récit, ainsi que le passage sur l’aspect pratique des religions (qu’apporte tel ou tel culte, par rapport aux autres… ?). Le fait que Mina aide Urgholl dans son plaidoyer montre aussi qu’elle a bien évolué depuis le début des récits (et cela fait plaisir à voir !) Oui, je suis fier d’elle mais chuut. Merci pour ce récit, il était cool à lire =)
PS : Sig réussit très bien le gâteau au chocolat, il ne faut pas croire tout ce qu’Urgholl raconte !
Xifeng
Mad-Nessy, une Zobal philosophe. La première partie du récit, et les références à tous ceux qui précèdent font vraiment plaisir ! L’ensemble du texte est vraiment bien écrit, et on imagine sans mal le repaire de la conseillère du jour (ou plutôt de la soirée). La défense de la classe, si elle n’est pas forcée, est cependant puissante. On retrouve le parallèle émotion/masque déjà développé par la précédente défense zobal, mais présenté d’une autre manière. En ce sens, les deux récits se répondent et se complètent.
Bonus pour l’arbre aux masques, le hobby particulier de Mad (qui me paraît vraiment cool, retranscrire les rencontres marquantes dans les masques, riche idée !) et les paroles réconfortantes pour Mina, qui semblait vraiment en avoir besoin. On peut dire qu’elles tombent à pic !
PS : Je serai vraiment curieux de voir les masques que Mad-Nessy pourrait produire à partir des récits des rencontres avec les autres disciples que Mina pourrait lui faire.
limaginaire
La défense d’un nouveau culte et d’une nouvelle déesse, ici Shariva ! Le début du récit, avec notamment le récit des aventures de la disciple est très agréable à lire. On peut sans crainte dire qu’elle mène une vie des plus tumultueuses. Il est tout aussi rafraîchissant d’avoir affaire à un personnage qui se dévoile (si peu) et existe en dehors de ses interactions avec Mina. Là où les autres pouvaient sembler n’exister ou se découvrir qu’en présence de Mina, le background de la disciple de Shariva lui permet d’exister à part entière seule (sérieusement, imaginez les courses de charrettes ou même la chasse aux objets si vous n’êtes pas convaincu(e)s ^^).
Wow, un acrostiche pour Shariva ! Il fallait y penser, c’est bien joué ! Ce récit était des plus divertissant et j’ai personnellement accroché =). Avoir affaire à une disciple chauve aurait été marrant, dommage que le dessin joint révèle qu’elle ait toujours des cheveux xD.
minitoast91
Korbeil, petit filou ! Déjà, poster le récit à 23h59, terminer son récit par une phrase qui se veut péremptoire (« on gagne à tous les coups ») et dénigrer la Balance avec d’autres broches à l’emmental ?! Sig, tel je le connais, ne serait vraiment pas content ^^’. (D’autant plus que le choix lui importe peu, juste un pari de plus… Mais je m’égare !).
Le récit est sympathique, on s’exprime sans langue de bois (« Et comment t’es-tu retrouvée déguisée en sapin de Nowel ? »), les jeux de mots avec la Soif, la Bossue, la Balance, le pile ou pile sont autant de touches appréciables. Les références au lore (le venin de Serpentins, Chapiteau des Magik Riktus, Capitaine Ekarlatte,…) permettent d’ancrer assez efficacement le récit. On retrouve le côté famille des roublards, et l’argument qui renvoie à celle de Mina est bien trouvé. On tente tout doucement d’amadouer en vendant son roublabot et des explosions tout partout, mais cela suffira-t ’il ?
Au final, ça parle beaucoup mais ça ne montre pas grand-chose, est-ce que c’est typique chez les roublards ? ^^
Peace4You2
Un nouvel illustre inconnu, et pas des moindres car on termine les récits par quelqu’un qui n’est plus affilié à aucun dieu. L’ancien disciple de Xélor, à présent athée, n’en est pas moins intéressants car il permet à Mina de s’interroger et de continuer à réfléchir (sans en avoir trop l’air).
Les petites énigmes, qui permettent à l’enfant, de saisir l’essence de la conversation en les ramenant à des préoccupations enfantines, sont habilement écrites. Mina trouve un réconfort plus que nécessaire auprès de ce dernier compagnon, d’autant plus que la cérémonie du choix est ici décrite comme un capharnaüm des plus épouvantables.
La spontanéité de Mina lors de ses réponses cadre avec son âge et son petit côté impertinent (« vous n’avez pas honte ? ») permettent d’égayer ce récit. Il n’y a que le début sur lequel je m’interroge encore.
Dans l’ensemble, c’est un récit qui m’a plu (un peu comme tous les autres me direz-vous).
Merci pour votre lecture et vos retours, j'ai personnellement pris beaucoup de plaisir à vous lire et à discuter avec vous. Pour une première expérience avec les Récits d'Invention, je suis comblé.
A très vite? =)
Chopper'
Personnellement, je n'ai pas eu le temps, mais vous aurez la suite, c'est promis...
Je me demandai si vous aviez un peu de visibilité quant à la publication des résultats.
J'ai plus d'ongles de dispo là, c'est pour ça que je demande.
Dofussement votre.
P.S : J'expliquerai mes choix d'écriture après le concours si ça vous intéresse .
Bon jeu et à plus dans le monde des douzes ^^
Merci pour les retours, réponses à mes interrogations, clins d'oeil à vos persos en jeu et autres précisions qui continuent à enrichir les récits! Entre les 1824 dieux, Fahne et Ducon, le pourquoi du comment derrière le prénom Jean-François ou même les clefs de Guillemaut (au passage, respect!), les relectures sont des plus sympathiques.
Avoir la confirmation pour certaines de mes premières impressions (maître Oogway, Fahne et Faust notamment) me ravit. D'ailleurs, pour le premier, Mortimer doit-il son nom (après moult recherches ^^) à un certain Tortimer d'Animal Crossing? (si tel est le cas, j'avoue que j'ai triché, n'ayant pas joué au jeu. Pour moi, niveau tortues célèbres, j'étais plutôt du côté des tortues ninja, de Franklin qui sait compter deux par deux et lacer ses chaussures et de Caroline xD... La découverte n'en est que plus appréciable!)
C'est avec plaisir que je partage les quelques références que j'ai également, et si elles vous plaisent, tant mieux =)
Enfin, juste pour revenir sur les messages de mes vdds:
Vraghdakk
"C'est aussi ça, faire preuve de classe." Pour un sujet d'invention portant sur un choix de divinité, cette expression est plus que de circonstance! Bien joué!
Fhane
Personnellement, aucuuune idée à quand on aura droit à une annonce des résultats. Mais la fin du concours étant encore proche, je suppose qu'on peut raisonnablement compter sur une ou deux semaines?
Eutecto
L'histoire que tu imagines a l'air prometteuse, en plus de défendre les huppers (hein, comment ça un "parti pris"?! Du tout!...). Aura-t'on la chance de la lire dans son intégralité malgré la fin du concours?
A la prochaine!
Je voulais savoir : Pouvons nous aussi faire nos commentaires sur la participation des autres et commenter leurs textes ?
Merci d'avance !
PS : Je n'ai pas répondu sur le message de Fhane mais j'avoue que je préfèrerais aussi attendre pour les commentaires pour les résultats.. J'essaie d'éviter mes ongles à ronger aussi mais à attendre un peu plus le final n'en sera que plus appréciable ^^
Evidemment que tu peux également te lancer dans le commentaire des œuvres! Tous les retours sont bons à prendre, et nul n'en a, à ma connaissance, le monopole.
Les retours que l'on a pour l'instant sont d'ailleurs tous écrits par des participants, ta contribution sera la bienvenue.
J'ai hâte de te lire =)
Cette édition a encore été forte en récits inventifs et qualitatifs et c'est un régal pour nous de tous vous lire, mais vient aussi le moment du verdict final avec les coups de coeur, nos coups de coeur... Et si on doit bien dire quelque chose, c'est que vous ne nous avez pas rendu la tâche facile, la concurrence est rude ! Aussi, il va nous falloir un petit peu plus de temps pour délibérer et pouvoir vous donner notre choix en notre âme (ou c'qu'il en reste) et concience. Qu'est-ce que cela veut dire ? Cela veut dire que les résultats finaux seront disponibles dimanche prochain, mais impatients comme vous devez être de découvrir les résultats, nous avons décidé de ne pas vous laisser en reste : vous pourrez trouver à la suite les commentaires qui sont déjà prêts !
Bonne lecture à tous !
Mais alors à un point... Pfou ! O_o
Non mais vous avez vu ce que vous avez fait ? Sérieusement ? Vous avez explosé tous les compteurs, là ! Un nouveau record de participations (31, bande de grands malades !), un déluge de retours et de commentaires après plusieurs éditions de sécheresse et, surtout, une ambiance teeeeeeellement, mais teeeeeeellement plaisante !
Bravo et surtout (que vous ayez participé, commenté, échangé ou juste proposé), du fond du coeur, un énorme MERCI !
Les commentaires, remarques et critiques qui vont suivre, vous le savez déjà, n'engageront que moi (j'suis pas une professionnelle, très clairement, vous avez le droit de ne pas être d'accord avec mes observations : il ne s'agit que de mon ressenti personnel-à-moi-et-moi-seule-pas-touche-chasse-gardée). J'estime important et normal de pouvoir fournir un retour qui fasse de l'effort que vous avez fourni, en prenant le temps de participer à cette dixième édition des Récits d'Invention, quelque chose qui valait le coup, pour vous. Je vous l'ai déjà écrit il y a quelques semaines : faire en sorte que vous obteniez un retour sur votre investissement fait partie de l'ADN des Récits d'Invention. Et vous avez dépassé mes espérances les plus folles en ressuscitant cette pratique. J'en suis encore baba... Merciii !
Savoir ce qu'un récit, que l'on a imaginé et mis en mots, produit sur une personne qui l'a lu est ô combien précieux et source d'enseignements (à la fois sur soi et sa manière de raconter des histoires, mais également sur la perception des autres). Voyez-y une énième forme de partage (joie d'offrir, plaisir de recevoir) autour de la thématique qui nous a réunis sur le forum officiel.
A votre place, j'adorerais découvrir ce que les uns et les autres ont pu penser d'une histoire de mon cru (et pourquoi, soyons dingues), alors j'me dis que ça vous fera peut-être plaisir de savoir quel impact vous avez eu sur une partie de la vie d'une de vos lectrices. Ça ne va pas plus loin (venez on discute de la teneur de nos retours respectifs, c'est tellement chouette).
Sur ce, commentons, mes bons ! Et sans limites de mots, s'il vous plaît... Niark Niark Niark !
Sperrylite
ALLEEEEEEZ ! On commence directement avec une adoratrice de Sram ! Et dans la foulée de l’annonce de l’ouverture des RI#10 ! J’étais pas prête.
T’as d’emblée cassé le cliché du personnage ténébreux qui sort des ombres vu que c’est la base de la religion Sram, les ombres. Ouf ! Pour ça, merci. Je commençais déjà à grommeler un vieux : « Ohlala, je sors des ombres parce que je suis trop dark/badass/mystérieuse, gnagn… Ah, non. Ouuuh, ok, mea culpa ! »
Le fait qu’Eryne annonce qu’elle est nécromancienne mettait l’eau à la bouche : comment comptait-elle présenter sa profession à la pataude Mina, de justesse échappée d’un bain forcé ? PLOT TWIST : elle ne le fera pas, à mon grand désespoir (je boude, j’te cause plus). Le coup du trajet qui rasait les murs et suivait les ombres ajoutait au charme du personnage et lui donnait de la consistance en venant renforcer la description physique qui en était faite, c’était chouette. Ton Eryne respecte les Commandements de Sram, y a pas à dire !
D’ailleurs, revenons un instant sur le métier d’Eryne : nécromancienne. Cette profession est loin de faire l’unanimité dans le Monde des Douze et est généralement tenue secrète. Difficile d’imaginer ton personnage vouloir en faire la publicité (j’t’assure, les nécromanciens sont trèèèèèès mal vus, comme peuvent l’attester divers PNJ et supports dofusiens). D’ailleurs, si son culte est relativement morbide, Sram n’est pas le dieu de la Mort, mais de l’Ombre. La mort — pardon, la Mort — c’est Thanaténa. Tu ne peux pas la louper : c’est la grande faucheuse qui règne sur le Pays Gris ! Remarque, peut-on dire de Sram qu’il est un nécromancien dans la mesure où il fut tout de même responsable de la Nuit des Morts-Brigands durant laquelle il invoqua une armée de Chafers ? Ah… Y a débat ! Bref.
Première participation et, BAM, premier enrichissement de la carte des Piles de Kontouar. Voilà que tu nous y ajoutes un cimetière et que tu l’exploites à sa juste mesure ; ça, c’est bien-bien cool. Ça (me) donne l’impression que t’as compris comment fonctionnait cette édition des RI et ça fait plaisir. D’autant plus que ce n’est pas évident lorsqu’il s’agit d’une première participation. Certes, d’un côté, il peut être plus facile d’inventer des lieux lorsqu’il n’y en a pas encore trop, mais il faut également oser le faire… Bien joué, et merci !
Bon, je suis un chouïa dubitative vis-à-vis du traitement que tu fais du mode de combat des adeptes de Sram : ça ressemble davantage à une énumération rapide, de type « liste de courses », qu’autre chose, alors qu’il y aurait eu matière à creuser. Même si je me demande si ça n’aurait pas été contre-productif dans la mesure où viser l’exhaustivité pouvait confiner à l’écoeurement… T’as peut-être bien fait, en fin de compte.
Par contre, autant t’as géré tout ce qui avait trait au background Sram, autant j’ai tiqué à la lecture du mot « corbeau ». C’est que dalle, hein, on va pas s’mentir, mais t’avais moyen d’accentuer l’immersion en lui préférant « corbac », qui colle davantage à l’univers (pardon, au Krosmoz) ! C’est un point de détail, mais il paraît que Rushu s’y cache, donc bon…
Y a des moments où tu inities des descriptions (le voile d’ombre sortant du crâne, le silence sépulcral, et la disparition des membres, par exemple) qui m’ont laissée sur ma faim (mais, ça, t’y peux rien puisque c’est de ma faute : j’adore les descriptions) dans la mesure où elles auraient, je crois, été encore plus immersives si t’avais pris le temps de t’appesantir dessus, via le champ lexical des sens, par exemple, afin que l’on puisse véritablement se sentir projeté dans la scène, avoir la sensation d’y être et de vivre les événements. Tu y arrivais le mieux, je trouve, lors du passage de la course de Mina, avec ses pieds qui martèlent le sol. Boum-boum-boum, c’était facile de ressentir les impacts, les chocs sourds contre les talons qui remontent dans les jambes, etc. Y aurait peut-être eu moyen de reproduire ça à d’autres moments, donc. Ou peut-être pas… Après tout, c’est toi qui écris, tu fais bien c’que tu veux !
Le coup de l’invisibilité d’autrui, tout de même, est assez pratique ! Quoi de mieux pour faire goûter Mina aux pouvoirs de Sram que… d’en partager un avec elle ? Je ne m’y attendais pas, l’idée a fait (mou)mouche, bravo !
Le larcin du bracelet, quant à lui, était un poil convenu, mais… Mais mince, on cause d’une fervente de Sram, là ! Pouvait-on passer à côté de pareille opportunité ? C’était l’occasion de faire briller Eryne, de lui donner du panache, huhuhu. Ce faisant, tu as également accentué le relief du personnage de Mina : d’où lui vient ce bracelet ? Pourquoi le conserve-t-elle dans une poche fermée au lieu de le porter à son poignet ? Ces questions — qui permettaient de s’arrêter un instant sur le personnage de la gamine et de réfléchir à ce que l’on (ne) sait (pas) d’elle — peuvent très bien demeurer en suspens : elles titillent l’imagination et le font bien. C’est une bonne chose que tu te sois permis ces ouvertures, ces perches tendues aux autres participants : ça donne du grain à moudre à ceux qui te lisent et rebondissent sur ton texte !
Pour un premier récit, ça démarre bien, bravo ! J’espère que cette expérience aura su te plaire et qu’on te reverra prochainement de ce côté-ci du forum officiel…
el-octodonne2
Argh, t’as été victime du forum : il a massacré ta mise en page, ce qui casse relativement l’immersion et nous prive de la fin de ton récit, désormais amputée… Qu’on vienne en aide à cette participante ! Nouvelle, qui plus est ! TT_TT
Bon, ‘as-y, je vais tâcher de faire abstraction de la forme pour me focaliser sur le fond. Ooooh, ah ouais, t’annonces d’entrée de jeu qu’il ne peut pas y avoir d’autres participants vénérant Iop ET faisant partie du village (la chose étant réservée aux seuls parents de ton personnage et ce dernier). Ok, c’est osé, mais ça permet d’éliminer la concurrence, c’pas bête. Pas bête du tout ! Les seuls adorateurs de Iop ne pourront donc qu’être de passage aux Piles de Kontouar, ‘faudra que je m’en souvienne pour la lecture des participations qui suivront la tienne…
La vache, c’est quand même bien relou ces phrases découpées par le forum et ces retours à la ligne intempestifs… Attends, j’ai un doute : ton personnage est un homme ou une femme ? On jongle entre les participes passés accordés au féminin et au masculin. C’est peut-être un oubli de relecture ?
Bon, quoi qu’il en soit, tu dotes Mina d’un caractère et d’une force peu communs : là encore, les autres participants feraient bien de s’en rappeler. Hahaha, sympatoche le coup du « règlement de comptes » à l’occasion de la cérémonie d’initiation. C’est crédible et ça sent presque le vécu ! XD
C’est bête, hein, mais c’est ce genre de remarque, aussi petite qu’innocente, qui permet de se projeter/de projeter ses expériences dans une histoire. Tu sous-entends et notre imagination fait le reste…
Gaffe, cependant, à ne pas modifier le genre des intervenants précédents : Eryne est une femme, pas un homme ! Par ailleurs, on dirait que tu as compris que cette édition des RI se déroulait sur une seule journée, mais elle s’étale bel et bien sur deux semaines. C’est du détail, j’en conviens, mais comme écrit plus haut, ça peut avoir son importance !
A partir d’un certain point (lorsque Tsugira se lève de sa chaise), on sent poindre la fatigue : ton discours se fait moins assuré, les coquilles se multiplient et émaillent davantage ton récit. N’hésite pas à faire des pauses, à laisser décanter les choses et à revenir l’esprit frais et l’oeil alerte (à moins que ça ne soit l’inverse ?) lorsque tu sens que tu commences à lutter pour garder ta concentration. En l’état, je pense que cela aurait permis d’approfondir l’immersion de ton lectorat dans ton histoire.
Allez, on revient au fond du fond : la prétention de Tsugira. Ohlalaaaa… Elle en devenait presque arrogante, usant de tous les superlatifs pour se décrire, elle et ses exploits… A l’entendre, elle excelle dans tout ce qu’elle entreprend. Ouais, d’accord, l’anecdote avec les Sept est marrante, mais trop de trop tue le trop… Entre ça et le fait qu’elle accapare l’attention des gens en un claquement de doigts (ou d’épée contre un bouclier), qu’elle nous sort des flammes dosées au millikamètre près et bondit sans crier gare comme pas deux… Pfff, on sent bien la Gr0b1ll en puissance.
D’un autre côté, le fait est que de décrire un personnage comme celui-ci de la manière dont tu l’as fait ne laisse pas indifférent. Ou ne me laisse pas indifférente, du moins. J’ai appris (tu m’as appris) à ne pas l’apprécier, et ce n’est pas forcément une mauvaise chose, loin de là, puisque ça m’a permis de me positionner par rapport à lui. J’ai des sentiments plus tranchés à l’égard de Tsugira que par rapport à d’autres personnages de ces RI. Donc c’est plutôt cool : elle a un impact et ne passe pas inaperçue (même si tu aurais pu y parvenir différemment). C’est ton choix, ‘faut le respecter, c’est très bien ainsi.
« Baktou frêne‘tch », comme dirait… Comme dirait personne, tiens.
N’y avait-il pas un paradoxe dans le fait que tu décrives une Mina intimidée après le bond alors que… Ooooh, le sortilège d’Intimidation ? Ça expliquerait tout !
C’est une bonne chose que tu aies, toi z’aussi, tendu des perches impliquant l’existence d’autres « guides », à l’image du Crâ ou même de la personne désormais sans poils de nez. Cela donnera potentiellement de la matière aux participants suivants.
Je croise les doigts pour que tu repasses sur le topic RP pour t’apercevoir de l’absence de la fin de ton récit, parce que j’aimerais bien-bien-bien la lire !
Lutineur
Hé, Mina, t’as quelque chose à voir avec la famille des Tandu ? Non ? Mince, on aurait pu croire que… Bah ! C’est ce bon vieux Lutineur qui s’égare...
Voilà une tête connue, après deux nouveaux-venus : il fallait bien qu’un habitué des RI rempile (de Kontouar). Qu’auras-tu pondu, cette fois-ci ?
Hahaha, un Pandawa ! Et pas de première fraîcheur, semble-t-il… Dans des RI placés sous l’égide de la beauté et de l’exception, il est rafraîchissant de croiser du miteux, du poisseux et du rabougri : ça vient à point nommé renforcer les descriptions de chaque personnage ainsi que leurs identités propres. Tu valorises les autres en rabaissant ton poivrot. Si c’est pas gentil, ça…
D’ailleurs, question aspect communautaire, ça passe comme du p’tit lait... Tu rebondis sur les lieux imaginés, tu évoques les actions des personnages des autres participants, et tu te payes le luxe d’implanter une taverne dans les Piles ! Il ne manque que quelques virgules oubliées, par-ci par-là, pour parachever le tout et davantage rythmer le récit. Un récit qui promeut l’alcoolisme juvénile, d’ailleurs. QUELLE HONTE ! QUEL SCANDALE ! QUELLE IN-DI-GNI-TÉ !
Pwahaha ! La Panda d’Piles ! Oooooh, elle est jolie, celle-là ! Mais moins que le coup du 12 martalo. Punaise, mais oui ! On aurait voulu le faire exprès qu’on n’y aur… Ahem, bien sûr, bien sûr, tout était calculé dans le choix des dates de cette édition des RI, voyons. Tu as saisi cette perche qui vous était tendue avec br… Comment ça « pas crédible » ? Ben ouais, la Fin Patraque commémorant l’accession de Pandawa au Panthéon a lieu chaque 17 martalo, et non le 12. A cinq jours près, t’y étais !
Toujours est-il que ce petit point background était fort agréable, notamment l’interrogation interne de Mina au sujet des grandes dates à retenir… C’était drôle, tout naïf, et fichtrement efficace. Même chose pour la remise en question des intentions des intervenantes précédentes, sans pour autant tacler ces dernières à la gorge.
Sans blague, douze ans, ça fait quand même jeune pour devenir la « collègue de boisson » d’un pilier de comptoir… QUE FAIT LA MILICE ?
Elle… ? Trinque ? Ah… On n’a pas le popotin sorti des ronces, alors…
Punaise, le contraste quasi-graphique entre le Maître Kontouar vanneur et le Maître Kontouar outré (vous l’avez ?) est bieeeeen cool ! On sent le gars qui ne plaisante plus, sur un coup de tambour imaginaire. Ça prend aux tripes, et fait limite froid dans le dos. Bien ouéj. Mais ça ne vaut pas, selon moi, cette description que tu fais du contenu de la chope de Mina.
J’veux dire… C’est bête, hein, mais… Ben, elle a reçu sa boisson, sans trop s’y intéresser. C’était qu’un élément du décor tout juste imaginé et salement survolé dans ma tête jusqu’à ce que tu t’appesantisses dessus. Et là, outch, c’est devenu un personnage à part entière. Alors que t’as fait quoi, concrètement ? T’as évoqué le passage du temps, avec la mousse qui était retombée. Et t’as parlé de sa couleur, pas folle, limite rebutante. Ouais, c’est très-très bête, mais ça (me) suffit. Ça (me) suffit pour se (me) dire : « Ah, ouais, je suis Mina. Vraiment. J’ai écouté l’ivrogne sans l’écouter et regardé ce qu’il me montrait sans le voir. »
J’vais peut-être chercher trop loin, mais ça fait l’effet d’une claque dans la margoulette, en mode : « Si je suis passée à côté de ça, n’y aurait-il pas d’autres points qui m’auraient échap… Oulah, non, ‘faut que je me calme. »
A la fin de l’envoi, tu touches.
Bon, le passage décrivant le sauvetage in extremis de la boisson de Mina était sympa, mais il m’a fait moins d’effet. Je lui ai préféré la pose du Pandawa, éclairée à la lueur d’une flamme chancelante. C’était visuel, ça avait de la gueule, c’était l’une de ces respirations qui manquaient (via les virgules) au récit de manière trèèèès anecdotique. Et la salve d’applaudissements, hahaha, comme à la cantine, bien qu’il n’y ait eu aucun bris de verre ! Par contre, le lait de bambou fermenté a réalisé deux voyages ? Comment tu te la pèèèèèètes ! Même pas cap’ de recommencer, pour voir.
Tout ça avait un joyeux goût de reviens-y : c’était pas de la flotte, loin de là. Une eau de vie savamment distillée, à la rigueur, avec quelques bulles. Ça pétillait sur la langue sans pour autant coller la moindre gueule de bois, mais je maintiens, persiste et signe : la seule déesse adéquate… C’est celle qu’a des couettes.
-lauraetcaroline-
Ooooh, une autre tête connue... Bon retour par ici !
Pour un peu, on croirait entendre Le Matin en fond musical… C’est un bon réveil, ça, pour une fillette fatiguée de sa première cuite et d’une journée bien chargée. La transition avec la participation précédente est toute douce, c’est chouet… Argh, mince, la voilà mise à mal par un souci de concordance des temps (tu alternes présent de l’indicatif et passé simple), ce qui donne une sensation de zoom-dézoom assez déstabilisante. Il vaudrait mieux que tu t’accordes sur une temporalité en particulier car cela permettrait d’homogénéiser ton récit et d’en faciliter la lecture et, ce faisant, de favoriser l’immersion de ton lectorat.
Double mince, c’est un retour dans le passé que tu nous proposes ici puisque tu ne tiens absolument pas compte de la participation qui a précédé la tienne ! Peut-être as-tu rédigé ton histoire sans en avoir pris connaissance ? Râââh, ce que c’est frustrant… Le contraire aurait été tellement cooooool !
Cool comme l’eau de la Soif (vous l’avez ?) et le fait que tu te serves tout de même des éléments de décor plantés précédemment, ça fait plaisir ! Ooooh, et… Mais… Mais oui ! T’as bien potassé les Commandements d’Ecaflip ! Hahaha, bien joué ! Est-ce que tu vas nous sortir les dix pour rythmer la rencontre de Mina avec ton ange… pardon, avec Egna ? Ce serait assez attendu, mais y a moyen de moyenner un bon fil directeur ! Voyons voir…
HAAAAAN ! MAIS OUIIIII ! Mais-mais-mais… Rôhlalaaaa ! T’as réussi à évoquer un pan peu mis en avant du background officiel en évoquant la légende de l’affrontement entre Ecaflip et l’Hydre ! Je suis Amour, merciiiii ! T’as donc regardé la série Aux trésors de Kerubim ? Haaaaaaa, c’est trop bien que tu t’en serves !
En revanche, c’est dommage qu’Egna parte aussi vite après avoir lâché son anecdote mythique. Le soufflé retombe trop tôt, alors que tu commençais à bien le faire lever. Je m’attendais à une sorte de montée en puissance et… Et puis non, râh ! C’est trop injuste… Enfin, en tout cas, ça fera un cadeau de plus pour Mina, c’est déjà ça. Elle va finir par vénérer Enutrof, à ce rythme-là…
Tricotinette
Popopooooo, ce défilé d’habitués des RI, c’est tellement enthousiasmaaant…
Alors, qu’as-tu trouvé de nouveau à raconter, cette fois-ci ? Ah, sympa le rêve plus ou moins prémonitoire, ça pose tranquillement l’ambiance, mais… Oh non, toi aussi tu passes à l’as la participation du Pandawa ? Pfff… Vous avez quelque chose contre les amateurs de boissons alcoolisées, c’est ça ?
Pourtant, j’ai cru qu’il était toujours question de la cuite de la veille pour Mina car j’ai buté sur le fait que ton Eniripsa passe en voletant par la fenêtre de la chambre de la gamine : « Tiens ? Elle s’invite chez les gens comme ça ? Tranquille, la Coumadine ! ‘faudrait voir à pas trop s’gêner... »
‘faut que je te fasse une confidence : à ce moment-ci de l’histoire, j’étais convaincue que la chambre de Mina se trouvait à l’étage de sa maison. C’est sans doute dû au fait que l’Eniripsa volait. J’ai associé sa position aérienne à la nécessité de prendre de la hauteur et n’ai pas songé un seul instant que la chambre se trouvait au rez-de-chaussée. Ce qui a provoqué, plus tard, une drôle de réaction chez moi.
Bref, j’en reviens à Coumadine qui pratique mieux que personne la méthode du pied dans la porte ou, dans le cas présent, de la tête par la fenêtre. Quelle sans-gêne ! « Bonjour, avez-vous entendu parler de notre Sainte Panseuse et Rafistoleuse, la déesse Eniripsa ? »
Vas-y que j’te ficherais pareille envahisseuse dehors, non mais !
Mais Mina est bon public, c’est là son moindre défaut. Et gentille, comme fille. Polie avec ça. Jamais il ne lui viendrait l’idée de couper Coumadine dans son élan, elle est trop bien élevée pour cela ! Et curieuse, hein, ‘faut le dire…
C’qui me permet d’embrayer sur la remarque suivante : Coumadine parle d’un pêcheur s’étant fait mordre par un requin marteau-faucille (allusion fine à l’univers de DOFUS donc j’aime ça donc t’as bien joué donc il faut qu’tu continues ainsi) et dont la cheville avait dû être soignée pour cela. J’sais pas pourquoi, mais j’ai eu du mal à imaginer la cheville mordue car la première image qui m’est venue à l’esprit en lisant « guérir la cheville » était celle d’une entorse. C’qui n’est pas très compatible avec une morsure (de requin, qui pis est). Du coup, ça m’a un brin éjectée du récit. Peut-être qu’en utilisant un autre mot, comme « rafistoler » ou « suturer », l’image des chairs déchiquetées m’aurait plus facilement sauté au visage ? Aucune idée, mais j’avais envie de t’en parler.
Et toi aussi t’as dû avoir envie de causer, parce que tu as doté Mina d’un nouveau trait : la maladresse ! Maladresse que l’on peut retrouver dans d’autres participations, ça fait un petit pont entre elles et la tienne, c’qui est chouette, même si ce n’est pas forcément volontaire.
Et puis ça te fournit un matériau à exploiter : Coumadine peut faire une démonstration des pouvoirs conférés par sa divinité sur les blessures de… AAAAH, LA FENÊTRE ! MINA NE SAUTE PAS !
Tu vois ce que ça fait que de penser que la chambre de Mina se trouve à l’étage ? J’ai cru que la petite était encouragée à se défenestrer ! T’as voulu tuer Mina, c’est ça ? C’est ça ? Tu devrais avoir honte… Avoue, Coumadine bosse pour qui ? La MORGUE d’Eniripsa ?
Blague à part, y avait incompréhension de ma part, donc je suis retournée lire le début de ton histoire pour déterminer si, oui ou non, la chambre se trouvait à l’étage, etc. Apparemment pas, mais ce n’était pas très clair, aussi ai-je pris le parti de me dire que j’avais mal interprété les choses.
Par contre, autant t’as géré avec le requin marteau-faucille, autant je ne m’explique pas que tu n’aies pas relevé la coquille sur le « lapin ». A moins que le sort n’ait changé (mais je viens de vérifier et il apparaît que non), cette créature insupportable aux longues oreilles s’appelle un lapino (avec un o) ! Comment se fait-il que tu aies commis une erreur aussi impardonnable ? C’est fini entre toi et moi. Tu t’es dit que tu m’avais charmée avec ton marteau-faucille et que tu pouvais te permettre ce genre de petite trahison ? Mais non ! Que daaaalle ! Et t’as rempilé avec l’histoire du « chat », en plus, alors qu’un « chacha » aurait convenu à merveille...
Bon, je m’emballe, mais, tu l’auras compris, c’est un peu regrettable de buter là-dessus (et j’exagère avec le mot « buter ») alors que t’as fait l’effort de coller à l’univers dofusien plus tôt dans le texte.Gros sourire à la lecture du manque d’autorité de Coumadine sur Pinpin, c’était amusant à visualiser et, rien que d’en reparler, je me remets à pouffer.
Bon, au final, je trouve que LE moment qui m’a le plus interpellée, ç’a été celui de la réflexion de Mina à propos de son sentiment d’être redevable. Mine de rien, tu posais une question ‘achement intéressante : « Devait-elle choisir un culte pour remercier l’un de ses membres d’avoir fait quelque chose pour elle ? »
Ça pouvait créer un débat interne bien-bien sympa : le choix de Mina serait-il biaisé ? Le fait d’être, en quelque sorte, « achetée » par l’un ou l’autre des croyants, remettait-il en question la puissance de sa dévotion envers la divinité qu’elle choisirait ? Non, vraiment, ça n’avait l’air de rien, lu comme ça, mais ça stimulait fortement l’imagination, bravo !
ccfcffccf
Ah, une nouvelle tête ? Bienvenue, bienvenue !
Nouvelle tête, d’accord, mais nouvel Ecaflip ! Le culte du Grand Taquin a le vent en poupe, dites donc…
Ooooh, ça commence bien. Tu établis des liens entre ton histoire et celle des autres en utilisant des adjectifs communs (ah ben je viens de lire que tu ne t’en caches même pas), c’est malin ! Et puis le fait d’avoir, à nouveau, un personnage en-dehors du stéréotype de l’intervenant d’une beauté et d’un charisme à couper le souffle, aaaah, ça fait du bien. Longue vie aux guenilles !
Le souci, c’est que tu indiques que Mina n’a jamais rencontré d’Ecaflip par le passé. Or on a eu la preuve que si, deux participations plus haut. Tu n’as donc pas pris en considération les récits précédents… Au contre-argument du « mais si, c’est seulement que ça se passe AVANT que Mina ne rencontre Egna », je répondrai qu’il n’est pas forcément utile, sur une histoire globale s’étalant sur deux semaines, de chercher à remonter le temps en s’insérant entre deux participations (à moins de jouer dans l’équipe de Xélor). Y a de la place pour tout le monde, ne vous en faites pas ! Je suppose qu’il s’agit simplement d’un concours de circonstances : t’as écrit ton histoire sans savoir que d’autres avaient été publiées entre temps (c’est à la fois la force et la faiblesse des RI : savoir s’adapter à un contexte changeant ou y renoncer en prenant le risque de créer des incohérences).
Passons. La tirade de Miaouch, le fond de son discours, ahlala… Ce que ça donne envie de l’imiter ! C’est chouette qu’il cherche à descendre les adeptes des autres cultes (légèrement) afin de valoriser le sien, mais ce qui me séduit le plus dans ce qu’il raconte, c’est sa mention de ses amis, de sa guilde. La foi, c’est bien, mais c’pas le plus important. C’est quelque chose qui n’avait pas encore été évoqué dans les autres récits, et je trouve bigrement chouette que tu l’aies fait dans le tien, merci !
Les références au Seigneur des Anneaux sont agréables, celle au corbeau de la fable un peu moins car purement gratuite dans la mesure où elle ne sert en rien le récit. Le coup de l’Empileur créateur de piles est drôle, allez, je le concède !
Toujours est-il qu’à partir de la sortie de la forêt, j’ai l’impression que tu précipites les choses dans la mesure où tes descriptions se font moins riches, plus évasives, au détriment de l’immersion. Les événements s’enchaînent à toute vitesse : « On sort de la forêt. On va à la plage. Y a une grotte qui mène à un souterrain. Il permettra d’accéder à la Bossue ! Aïe, je suis blessé ! »
Il n’y a plus cette progression narrative que tu avais instaurée au début de ton récit, et je ne te cache pas que j’ai dû zieuter la carte fournie au début du topic RP pour essayer d’y voir clair dans les pérégrinations de Miaouch et Mina.
Bon, les allusions aux sortilèges d’Ecaflip sonnent juste la plupart du temps, mais qu’est-ce que ceux-ci auraient plus de panache s’ils étaient davantage accompagnés de descriptions adéquates ! Rôhlala, ça aurait tellement plus de gueule ! Et j’suis certaine que t’en es capable, hein ! Alors pourquoi nous/t’en priver ? Ah, peut-être à cause de la limite du nombre de mots ?
Je t’ai cherché des excuses, des pirouettes, pour me convaincre que tu n’attentais pas au background officiel en déclarant que la pièce appartenait à Ecaflip : « Ouiiii, on pourrait dire qu’elle appartient à Ecaflip PARCE QUE son créateur la lui a dédiée. De fait, elle serait au Grand Taquin sans que ce dernier ne soit jamais intervenu… Allez, on va dire que ça passe, vu sous cet angle ! »
Par contre, non.
Non, non et non ! L’ellipse de l’effondrement, c’est un scandale !
« Et à ce moment »... Je t’en ficherai, moi, du « et à ce moment… » !
Je voulais davantage de contexte, moi… Tu m’en prives de la plus vile des manières, je suis Colère, na. Le poème final est sympa, même si la métrique aurait mérité un petit coup de polish final. Idem pour l’hirondelle que tu aurais pu, je crois, revisiter à la sauce douzienne, afin de conserver l’immersion jusqu’au bout !
Au final, Mina obtient, une nouvelle fois, un cadeau/souvenir de sa rencontre avec une religion, et ça s’inscrit dans la lignée que vous, participants de ces RI#10, semblez avoir décidé d’initier. C’est raccord !
Katyminy
Sur le chemin du retour ? Quel chemin du retour ? Je… Je suis perdue, alors que l’histoire vient tout juste de commencer. TT_TT
Ça ne peut pas être après l’aventure avec Miaouch. C’est peut-être dans la foulée de celle avec Coumaline ? On manque de repères temporels, argh. Bon, au moins, on sait que ce passage se déroule après la promenade avec Rosæ.
Il faut tout de même se réjouir du fait que Mina gagne un frère dans l’affaire ; c’est une bonne chose, ça lui évitera d’être fille unique ! Leur relation ne semble pourtant pas être au beau fixe, tout juste cordiale, c’est un peu triste…
Toujours est-il qu’il faut mettre en avant que tu as pris soin de t’intéresser aux Commandements d’Osamodas, l’haleine fétide de Jean-François l’atteste, et, ça, c’est super ! Ça (me) montre que tu as fait des recherches. Je te conseille, d’ailleurs, de procéder de la sorte pour tout ce qui a trait à la relecture. En l’état, de nombreuses erreurs se sont glissées dans ta participation et tu aurais pu, je pense, en éliminer une quantité non négligeable en relisant ton texte à tête reposée et/ou en utilisant des correcteurs disponibles en ligne. Si je te fais cette remarque, c’est uniquement pour que tu comprennes que l’immersion dans ton histoire peut être malmenée par ces erreurs : ces dernières éjectent le lectorat du récit et l’empêchent de l’apprécier à sa juste valeur. En les corrigeant, le gain est double : tes lecteurs profitent à fond de ton histoire et, toi, tu progresses !
Ça, c’était pour la forme, j’en reviens au fond et notamment au traitement de Jean-François. Somme toute, ce dernier est assez timide. N’aie pas peur, ose, fonce, lance-toi ! JF (je peux l’appeler JF ?) doit avoir tant de choses à raconter à sa sœur, tant d’anecdotes à partager avec elle au sujet de ses camarades à poils, plumes et écailles… Leurs plus beaux exploits, leurs pires mésaventures, leurs joies, leurs peines… Y avait matière à accentuer davantage la description du quotidien d’un disciple d’Osamodas. Comment l’imagines-tu, toi, ce quotidien ? De quelle façon penses-tu que s’écoulent les journées de Jean-François et sa troupe ?
Alors, oui, d’accord, le passage pratico-pratique du dressage de Mulou fonctionne bien, c’est sûr. Mais il y avait moyen de pousser les choses encore plus loin, je crois. Au niveau des impressions, des sensations, des réactions des personnages à partager avec nous, tes lecteurs…
C’est la première fois que tu te lances dans les RI, ta participation est tout à fait honorable, ne t’en fais pas, mais y a… Y a ce « mais », justement, parce que j’avais l’impression que tu tenais quelque chose d’assez fou entre tes mains (le pendant faunistique de la promenade forestière avec l’adepte de Sadida) et que tu n’as fait qu’en effleurer la surface. Peut-être par retenue, je ne sais pas ? A moins que je ne me monte le bourrichon ? Dis-moi ce qu’il en est, s’il te plaît, parce que j’ai envie de savoir comment tu as abordé les choses, ça m’intéresse !
alexiacia
Le retour d’alexiacia ! Que d’habitués, que d’habitués…
Brrr, pas gentille, cette intervenante. Elle a des idées bien arrêtées, dis donc. Espérons seulement qu’elle n’a pas également arrêté d’avoir des idées…
J’en profite pour ouvrir une parenthèse sur l’emploi des temps : tu utilises beaucoup-beaucoup l’imparfait du subjonctif au lieu du passé simple. Or certaines actions de ton adoratrice de Sacrieur ne s’étalent pas dans le temps (imparfait), mais sont ponctuelles (passé simple). Je conçois qu’à l’oreille, on ne fasse pas la différence, mais à l’écrit, celle-ci existe. Je referme ici la parenthèse.
Le fait d’avoir opté pour un personnage d’abord simple observateur te permet de réaliser de multiples références, allusions et — cerise sur le gâteau — commentaires au sujet des interventions des autres participants. C’est pratique, ça tient la route, t’aurais eu tort de t’en priver ! Tu aurais même pu marquer des points et leur voler la vedette en allant plus loin, niark niark niark.Je m’explique : ta Sacrieur reproche leurs boniments à ses « concurrents » du moment, mais elle ne cherche pas, elle-même, à proposer autre chose que des paroles et des discours grandiloquents à Mina.
Peut-être aurait-elle pu tirer son épingle du jeu en partageant son expérience de la souffrance (ses bons comme ses mauvais côtés) avec la petite ? En l’état, elle se contente de peu et, pour une femme d’action telle qu’elle semble être, il est dommage, à mon sens, qu’on ne puisse pas davantage joindre le geste à la parole… C’est comme la couronne d’épines : tu aurais peut-être pu davantage développer autour de son histoire, pour que Mina comprenne mieux ce qu’elle représentait, et se fasse une idée plus précise de ce qu’était le culte de Sacrieur ? Tout cela est restée très théorique. Trop, peut-être ? Je voulais te lire davantage, moiiii… TT_TT
‘as-y, d’où tu critiques le cidre des Isselba ? Non mais, tu… Ouais, bon, il n’est peut-être pas siiiiii bon que ça dans la bouche d’une Sacri’ qui a roulé sa bosse et dû boire quantité d’autres alcools. N’empêche qu’il est plutôt fameux, selon les critères locaux…
Ce qui me rend hyper jouasse — parmi d’autres choses, hein — c’est que t’as vraiment intégré et respecté la temporalité des différentes interventions : tout le monde trouve un écho à sa participation dans ton récit (sauf peut-être le Pandawa) et les événements du tien se déroulent bel et bien le lendemain de l’amorce. Une telle prise en compte des histoires de chacun, c’est super ! Merci beaucoup !
-Moeb-
Woh. Woh-woh-WOH !
Du descriptif, du narratif, des enjeux, de la réflexion… Y a à boire et à manger, là-dedans ! O_o
Décortiquons tout ça dans la mesure de mes maigres moyens… Sans déc’, vous n’avez peut-être pas idée de ce que c’est que de commenter chacune de vos œuvres sans (se) donner l’impression de céder à la facilité d’un : « GG, c’était bien. A plus ! »
J’veux du retour constructif qui vous serve, moi ! Allez, je m’retrousse les manches et j’y r’tourne.
Bim ! Les parents de Mina ont désormais un nom, ‘faudra qu’on s’en souvienne, idem pour leur profession ! Plus de relief, toujours plus de relief ! Encooooore, s’il vous plaîîît !
Ne penses-tu pas qu’à « un quart d’heure de la côte », les habitants des Piles savent plus ou moins tous où s’achève le voyage de la Soif ? Huhuhu.
Vu que Mina se réveille en fin de matinée, j’imagine qu’on en est au troisième jour ? Ah ! Voilà ! Toi aussi tu avais compris que sa chambre se trouvait à l’étage ! Je ne suis pas totalement folle, voilà qui me rassure…
Argh, l’oncle Ben est un Eliotrope. J’veux bien qu’un grand pouvoir implique de grandes responsabilités, mais que les Douze et les Autres nous préservent de l’abomination (in)cohérente que représente ce peuple… Bon, voyons voir sur quel pied tu as décidé de nous faire danser.
Pfouuu, mais ces descriptions, quoi… Cette immersion… Allez, j’peux avoir du rab’, s’te plaît ?Et ce sens de la formule, huhuhu ! « Le jour n’attend pas le réveil des étoiles », rien que ça. C’est joliment tourné, y a pas à mégoter, bravo !
J’apprécie énormément le fait que Bayhn soit indescriptible ? J’veux dire, t’as beau lui avoir collé des traits lisses, des yeux profonds et une carrure qui ne passe pas inaperçue, c’est tout juste si je parviens à me le représenter mentalement. Non, à vrai dire, je n’y parviens pas. Du tout. Pour moi, c’est une silhouette à contre-jour, une vague tache floue et ça ne fait qu’accentuer la malédiction des Eliotropes (: s’effacer, à leur trépas, de la mémoire de ceux qui les ont connus). Voulu ? Pas voulu ? J’m’en moque, ça me plaît, tout simplement.
Dis voir, tu fais de l’escalade ou pas ? Outre les descriptions (j’ai déjà parlé de tes descriptions ?) prenantes et ô combien pertinentes, y a cette sensation de se retrouver en pleine séance de grimpe lors de l’ascension de la Bossue par Mina et son oncle.
D’ailleurs, causons-en de la Bossue ! Ça va me permettre de mettre le doigt sur ce qui m’a fait grincer des dents après avoir constamment soupiré d’aise. Ton idée de donner une signification au nom du village est très bonne. C’est réfléchi, ça paraît cohérent, et ça enrichit d’autant plus l’histoire collective en approfondissant celle du lieu. Cependant, en ce qui concerne le respect du background officiel, je ne suis pas certaine que cela puisse passer d’annoncer, de but en blanc, que la Bossue est l’équivalent d’un réacteur nucléaire longtemps convoité mais jamais véritablement exploité. D’autant plus que la notion de « Wakfu » est relativement confidentielle et nouvelle. Certes, on n’a pas précisé à quelle époque se déroulaient ces RI ! Oui, tu précises qu’il n’a pas été fait grand usage des gisements cachés. Mais il n’empêche que… Il n’empêche que ce serait conférer beaucoup (trop) d’importance à l’endroit (quand bien même tu pourrais jouer sur la notion de « réputation » pas forcément vérifiée) en plus de risquer de bouleverser l’équilibre du monde connu en conférant un sacré regain de puissance aux adeptes du… Du Roi-Dieu. Pas de la Grande Déesse.
Parce que cette dernière est vénérée par les Eliatropes, alors que c’est son fils (le Roi-Dieu) qu’adorent (ahem) les Eliotropes. Y a un semblant de confusion ici, que l’on pourrait balayer du revers de la main en prétextant que Bayhn a lu les textes apocryphes de Lyrad le Silencieux (Du Wakfu, pour ceux que ça intéresse). Le mystère demeure ! D’ailleurs, ton personnage prétend que Nelop, son frère, était un Eliatrope. La chose est impossible car les seuls Eliatropes encore en vie, à l’ère des Dofus, sont confinés à l’intérieur d’Emrub et il s’agit uniquement des enfants du peuple de la Grande Déesse. Les adultes, eux, sont tous morts lors de la dévastation du futur Monde des Douze durant le cataclysme ayant débarrassé sa surface des Méchasmes qui s’y trouvaient. Du coup, déso’ pas déso’, y a quelque chose qui ne se tient pas dans ce que ton personnage explique à Mina. Quand j’disais que la cohérence avait tendance à être malmenée dès qu’on touche aux Eli(x)tropes...
Pour finir — parce que toutes les bonnes choses ont une fin, ton récit y compris — tu nous as casé un chouette rebondissement final avec la révélation du secret de la filiation de Mina. Pauvre gosse ! Elle qui devait passer deux semaines à réfléchir à son orientation religieuse, là voilà qui risque de harceler ses parents de questions et nous faire une crise existentielle. Je ne te félicite pas, c’est honteux. Quel oncle affreux ton Bayhn fait !
D’ailleurs, cette annonce signifie autre chose : Jean-François, le « grand-frère » de Mina, serait son demi-frère, issu des amours de Martol avec quelqu’un d’autre puisque tu précisais que Mina était la première enfant d’Alyne (et j’ai crié… Criéééééééé ! Alyne, ‘faut qu’tu rev…).
Oulalah, ça devient compliqué tout ça…
Quoi qu’il en soit, je te remercie pour cette première participation aux Récits d’Invention, et j’espère bien te relire lors des prochaines éditions ou, plus rapidement, au sein du Coeur de la Fontaine. Mon p’tit doigt me dit que tu as encore plein de choses à nous raconter...
Row-Sebal
Coucou, toi ! Ça faisait un bail… Huhuhu.
Aaaah, Fantoto, Fantomine… Comme on se retrouve, oui-oui-ou… Hé mais, non !
Non-non-non ! Ce ne sont pas les Piliers, mais les Empileur(se)s ! C’est écrit sur le topic RP… Aaaargh, nooooon ! Pourquoiii ? Pourquoi si tôôôt ? Je… Ça y est, tu m’as brisé le coeur. Non, n’insiste pas, te dis-je, tout est fini entre nous, je…
Bon, oui, c’est chouette d’avoir voulu améliorer l’histoire des Piles en donnant un nom à celles et ceux qui y habitent, mais tu aurais dû relire le texte introductif car l’information y figurait déjà. N’as-tu donc aucune considération pour nos pauvres déclarations ? Je me sens trahie et ma peine est indescriptible… TT_TT
A part ça, j’aime bien la description de l’atmosphère des Piles, ça colle tranquillement à l’idée de village paisible que je m’en fais. Machin qui sait tout de ses voisins parce que Bidule lui raconte les dernières anecdotes glanées auprès de Trucmuche… Ah, la vie en communauté restreinte !
Et puis cette idée de créer une coutume à base de cidre, hahaha, c’est tellement pittoresque ! Plus que le concours de beauté entre Fantomine et Rosæ, tu me diras, mais t’as bieeeen rattrapé le coup avec le dialogue qui a suivi. Sa teneur en crédibilité était assez importante ! Les échanges étaient logiques, pour le moins naturels et les réactions des deux protagonistes (bon, surtout celles de ton personnage) sacrément… Ben… Intéressantes !
Son positionnement vis-à-vis de la nécromancie (coeur-coeur pour la moue de dédain) constituait une superbe réappropriation/exploitation d’idée ! Tu rebondissais carrément sur l’un des récits précédents, au lieu de céder à la facilité de la simple énumération des rencontres. Merci !
Bon, ’faut que je te le dise (à toi comme aux z’autres) : à chaque fois que vous vous affairez à décrire un parcours réalisé par vos personnages et celui de Mina, je galère affreusement à tenter de comprendre par où vous passez à l’aide de la carte fournie dans la première publication. C’est ignoble, et j’en viens à me demander si vous ne le faites pas exprès… Bande de sadiques.
A part ça, je n’ai pas très bien saisi l’intérêt de courir après Fantomine d’un seul coup d’un seul. Ça m’a semblé sortir d’on ne sait quel chapeau tellement c’était soudain. Au vu de l’orientation de la carte, je suis prête à parier que le bois dans lequel les deux personnages pénètrent n’est pas le même que celui de Rosæ sinon il y aurait, je crois, un souci dans le trajet réalisé par Mina et Fantomine. Après tout, nous vous avions dit qu’il y avait des bois millénaires autour du village donc ça demeure crédible.
La présence d’une liane, en revanche, m’a quelque peu désarçonnée tant elle paraissait déplacée sous un climat tel que celui des Piles de Kontouar. Enfin, sur l’île de Moon, à la rigueur, j’aurais compris… Mais du côté des Piles, j’sais pas, ça me semblait un tantinet incongru. Idem pour l’évocation de la biche et de son faon. Ça, je sais pourquoi ça m’a surprise : c’est tout bonnement parce que je n’ai jamais imaginé voir ces animaux dans le Krosmoz, n’ayant jamais lu non plus la moindre mention à leur sujet… Pour le coup, j’étais un peu perdue : « Euh, mais… Ça se passe où, au final, tout ça ? Je… Je ne reconnais pas le Monde des Douze. »
Peut-être qu’avec des termes plus évasifs, moins précis, des sous-entendus, ce serait mieux passé ? Du type « elles virent deux cervidés : une mère et son petit », comme tu l’as fait plus tard. Là, tu aurais évoqué sans nommer, laissant notre imagination faire le reste, au lieu « d’imposer » une image précise (et potentiellement erronée, j’en sais rien) à notre esprit. C’est un détail, hein, mais je me devais de le mentionner puisqu’il a haché ma lecture à ce moment-là. En plus, on a découvert dans la mise à jour de Pandala qu’il y avait des inspirations de cervidés, donc ça pouvait passer d’autant mieux...
Tu sais quoi ? Je suis sûre que Fantomine… c’est Pocahontas. D’ici deux paragraphes, elle va nous chanter L’Air du Vent et plonger dans un torrent. O-bli-gé.
Tiens ? Même pas ! Bon…
Par contre, la bergerie sort d’où ? Elle se matérialise d’un seul coup à l’orée de la forêt ? Ne penses-tu pas que tu aurais gagné en immersion en prenant le temps de décrire ce bâtiment et/ou sa découverte par les deux jeunes femmes ? Elle aurait peut-être moins donné l’impression de jaillir du néant pour des besoins purement scénaristiques (la partie de cache-cache).
D’ailleurs, jouer à cache-cache avec une adoratrice du Nuisible Invisible ? NERF SRAM ! GO BAN !
A ce sujet, ça me permet une transition bienvenue au sujet de quelques formulations et coquilles éparpillées au long de l’histoire qui auraient mérité une plus ample relecture. Exemple de circonstance : on ne se « met » pas « invisible », on le devient. C’est tout bête, mais ça fait une différence appréciable. En l’état (sans doute parce que je suis une peau de vach… pardon, de Moogrr), ça m’a fait tiquer et regretter que tu n’aies pas davantage pris le temps de choisir comment tourner ta formule. En gros, ça revenait à découvrir que tu m’avais gentiment offert un bouquet de fleurs, mais que l’une d’entre elles était déjà fanée. Visualises-tu le désarroi qui fut le mien ? Ma détresse psychologique ? HEIN ? Non, nooon, bien sûr que non… Tu préfères gambader avec Mina pendant que… Ah, oui, Mina. Revenons-en au plus important : le récit !
C’est le résultat qui compte. Point.
Je…
Oui.
Merci. Ton interprétation de la philosophie Sram, dans toute son évidence, est aussi simple que plaisante.
Tu veux la bourse de ce marchand, là-bas ? Débrouille-toi comme tu veux. Vole-la. Tue-le et dépouille-le. Envoie quelqu’un faire le sale boulot à ta place. Fais à ta façon, du moment que tu atteins ton objectif. Làààà, on cause ! Lààààà, y a un moment riche d’enseignements ! A ceci près que Sram n’est pas le dieu de la Mort, hé.
Les insinuations au sujet des autres cultes frisent la manipulation chère à la Grande Ombre au Tableau, c’est très bien vu, bravo !
Mais ce qui achève de poser la cerise sur ton pudding à l’arsenic (Sram oblige), c’est cette espèce de fatalité dans ta toute dernière phrase : « après tout, elles étaient aux Piles ».
Tu trouveras peut-être ça bête, mais… Pfou. J’sais pas trop comment le formuler… Y a une sorte de résignation, de vérité universelle, d’évidence douloureuse dans cette seule remarque et… Et ça pose une ambiance, quoi. Ça résume l’atmosphère du lieu, des parages, de la région ! Ce sont les Piles, et les Piles resteront toujours ce qu’elles sont, contrairement à celles et ceux qui la peuplent et qui, eux, ont le choix de devenir qui ils veulent. C’est trois fois rien, mais ça fait tout. C’est la petite claque… Non, la petite tape compatissante sur l’épaule à l’heure des adieux. Punaise, c’est une conclusion dans la conclusion et, ça, c’est… Ça fait du bien, même si ça fait du mal. C’est un pincement au coeur, voilà ! Et si c’en est un, c’est que ça fonctionne. Bravo !
ultimafeca2011
Poum-poudoum, une nouvelle tête fait son apparition, tralalalalèreuh !
Argh, par contre, il aurait fallu que tu te relises davantage. Je ne le répéterai jamais assez : relisez-vous, toutes et tous, ne serait-ce que par respect pour votre lectorat ; si vous ne le faites pas pour vous, faites-le pour nous. TT_TT
Il n’y a rien de plus terrible que d’être éjecté d’une histoire par des erreurs qui auraient pu être évitées grâce à une relecture consciencieuse et/ou l’utilisation de logiciels de correction. En l’état, je suis contente de voir apparaître un vieillard bienveillant, mais je peine à entrer dans ton récit à cause de fautes qui n’ont pas lieu d’être.
Peut-être que tu rencontre des difficultés face à l’écrit et il est, dans ce cas, tout à ton honneur d’avoir osé relever le défi de participer à ces Récits d’Invention (bravo-bravo, continue comme ça, c’est une très bonne mentalité), mais, par pitié, essaye d’utiliser les moyens à ta disposition pour combler les lacunes qui peuvent être les tiennes.
Promis, j’arrête là en ce qui concerne la forme de ton récit, je me doute que ce n’est pas le genre de chose agréable à lire (à moins que tu ne sois masochiste, après tout, c’est toi que ça regarde), mais je me devais de t’en faire la remarque… Ne serait-ce que par souci d’honnêteté !
L’histoire, donc. TON histoire. Ton Père Castor — tu permets que je l’appelle comme ça ? C’est la première image qui m’est venue à l’esprit lorsque j’ai débuté ma lecture — file d’entrée de jeu une information cruciale concernant Mina : elle a des petits frères et/ou petites sœurs, en plus d’avoir un grand-père aux Piles de Kontouar. L’arbre généalogique de l’héroïne n’en finit pas de se dessiner… Au grand désespoir de mes méninges. C’est que ça devient touffu, tout ça ! Vous êtes des grands malades, hein. Vous le savez, ça ? Dites, vous le savez ? Chut. Ne répondez pas. On a dit qu’on parlait de l’histoire.
Je me demande comment considérer l’implication du vieux dans les aventures de Mina dans la mesure où il ne lui présente pas la divinité qu’il vénère, mais l’envoie rencontrer différents adeptes des Douze. S’agit-il d’un hors-sujet, d’après toi ?
D’un côté, le papy influence le choix de Mina vu qu’il élimine de l’équation des cultes qu’il considère inconvenants. Il exprime donc un avis et, en ce sens, il y a un parti-pris en ce qui le concerne. Cependant, d’un autre côté, ton personnage n’explique ses raisons qu’à ses pôtits n’enfants et pas à Mina elle-même. Cette dernière ne peut donc pas bénéficier des réflexions de l’ancêtre et de son avis éclairé au sujet des différentes « classes ». D’ailleurs, le choix de ce mot m’a paru déplacé : il est sensément plus utilisé dans un contexte HRP (: comprendre « entre joueurs conscients parlant d’un jeu vidéo ») que dans un contexte RP (: « où les personnages font partie intégrante d’un univers dont ils n’ont pas tous les codes, sans se douter que celui-ci est fictif »). Du coup, ça m’a fait une drôle d’impression ! Mais c’est peut-être uniquement dû à ma perception des choses, hein ? T’inquiète.
T’avais bien commencé ton histoire en pensant à faire quelques allusions à d’autres participations, et j’ai regretté que tu n’aies pas poursuivi en ce qui concernait le personnage de la maman que tu décrivais comme souvent en vadrouille aux quatre coins du monde. L’image colle assez peu, je crois, avec celle que dépeignait une autre participation (: à savoir une mère de famille venue aux Piles pour vivre de la culture du lin), c’est dommage car ton récit aurait gagné à exploiter ce filon !
Même chose pour l’allergie subite de Mina aux poils de rongeurs à longues oreilles : une participation précédente mettait la gamine en relation directe avec un Lapino sans que rien de dramatique ne lui arrive. Aucune réaction allergique, pas un seul éternuement ni même la moindre démangeaison… Difficile de se convaincre, dans ces conditions, que ce qu’affirme ton personnage puisse être véridique ; il y a une certaine incohérence dans cette déclaration.
Et vient enfin le moment où tu fais intervenir un personnage nommé (et pour cause, c’est celui que tu joues sur DOFUS). Là, tu commençais à prendre tes aises. Là, t’avais des choses à dire. Là, c’était l’occasion de nous faire découvrir Sunsilver, sa façon de penser, de parler, d’agir, et d’être. Son caractère, ses manies, ses réactions face à différente situations, ô Douze comme j’aurais aimé que tu nous les dévoiiiiiles ! C’était vraiment LE tournant de ton récit car tu avais toutes les cartes en main pour devenir, véritablement, maître de ton récit. Et tu nous as privés de toutes ces belles choses, bouhouhouuuu… TT_TT
Tu as expédié le tout comme tu l’as fait des différentes autres anecdotes au sujet d’adeptes moyens des Douze. Sunsilver n’avait, finalement, rien de plus qu’eux tous, si ce n’est un nom. Pourquoiiii ? Pourquoiiiiiiiiiiiii ? Tu étais l’Élu, Sunsilver, c’était toi ! La pro-RI que je suis voulait que tu t’affranchisses de la routine, pas que tu t’y conformes ! Tu devais amener l’originalité dans l’histoire globale, pas la condamner aux regrets ! Nous étions comme des frères… Je t’aimais Anaki… ultimafeca2011. Ahem.
Je suis Colère et Espoir. Colère parce que j’ai un sentiment d’inachevé ou d’inexploité face à ta participation qui recèle un potentiel certain (pour ne pas dire « un certain potentiel ») et Espoir parce que tu as désormais des pistes d’évolution pour tes prochains écrits. Et j’espère bien pouvoir les lire, ceux-là ! Non mais oh. Tout de même. Allons. Hé. Ne crois pas t’en tirer comme ça, mon gaillard, je t’ai à l’oeil !
LE-C0NTEUR
Outch… Pavé César, ceux qui ne te liront pas te saluent !
Bonjour-bonjour, avez-vous entendu parler de Notre Régente et Maîtresse, la Mise en Page ? Sérieusement, Javion, aère tout ça ! Ouvre les fenêtres, saute des lignes, espace tes paragraphes ! Que cette impression de densité disparaisse et emporte avec elle cette appréhension du type : « Euuuuh… Qu’est-ce que c’est que cette masse-là ? C’est quoi ce mur textuel ? Non. Non-non-non. J’ai claiiiiirement pas envie de me taper un pavé aussi étouffant que celui-ci. »
Je me le suis farci, le pavé, c’est pas l’souci, mais punaise… La mise en page, quoi.
Question forme, donc, c’est un gros pâté du genre bourratif (: pas « bien bourratif », hein, juste bourratif). En ce qui concerne le fond, en revanche, c’est totalement différent !
Déjà, rien que le rythme, les descriptions et le concept en lui-même ! L’éloge de la lenteur dans toute sa splendeur… Punaise, ce que ça fait du bieeeeeen ! Une pause au milieu du rythme effréné des autres histoires. Une parenthèse aussi bien narrative que réelle. Aaaaah… Bonheur. Luxe, calme et volupté, comme dirait l’autre.
Et puis cette conception du temps, des choses qui importent, des événements qui comptent. Cette formulation : « Ils restaient assis à regarder les étoiles jusqu’à ce que leur pâle lueur ait absorbé les doutes et les chagrins. »
« Jusqu’à ce que leur pâle lueur ait absorbé les doutes et les chagrins » ! C’est impossible, c’est poétique, c’est beau. Encore !
Le traitement d’un Broussaille (avec ou sans s final ?) bourru, archétype du vieil ours solitaire ému par l’innocence de la jeunesse. Un cliché sur canne, mais — pfiou ! — ça fonctionne teeeeellement bien...
« Ils restaient assis à regarder les étoiles jusqu’à ce que leur pâle lueur ait absorbé les doutes et les chagrins. »
Je. Ne. M’en. Lasse. Pas. Mmmmh…
Et cette énumération constante des forces extérieures qui tentent d’exercer une pression, aussi faible soit-elle, sur la carapace de l’habitant du vieux frêne. Des gouttes de pluie sur le plumage d’un Kouin Kouin ! Là encore, c’est très imagé sans l’être. C’est rythmé, et même mélodique. On entend la petite musique broussailleuse en fond sonore, très ténue, toute à base de râles, de reniflements, de soupirs et de ruminements. Avec le métronome de la canne sur le sol inégal de la vie des Piles. Rôhlala, mais qu’est-ce que tu me fais lire, Jaja ? Qu’est-ce que tu me fais dire, surtout ?
Il BOUDE, le vieux. Il. Boude. Et c’est affreusement mignon. Le contre-pied est total tandis que je prends le mien (de pied). C’est habile, je jubile.
Petit bémol, cependant, avec la scène de dialogue. Je ne saurais trop dire pourquoi, celle-ci sonne moins… plus… Râââh, comment dire ? Là où les paragraphes précédents mettaient l’accent sur la représentation et l’appropriation mentales de l’histoire par le lectorat, l’échange verbal, lui, était figé dans la pierre. Immuable, statique. Les précédentes discussions se faisaient au discours direct et, ce dernier, m’a paru un poil trop vif, immédiat ou réactif pour un texte basé sur l’assimilation lente et progressive d’événements vécus plus ou moins directement.
D’où cette impression de décalage, de petit vertige. Pas inconfortable, hein, mais plus aussi bouyou-bouyou (terme technique) qu’auparavant. A la relecture, je m’aperçois que c’est le changement de point de vue (on suit désormais Mina) qui justifie un tel revirement rythmique. Ceci explique cela, il me semble. Mais j’préfère quand même le vieux, na.
Broussaille, je crois, parle trop — trop vite, trop fort — car il a trop de choses à dire (tu dis toi-même qu’il n’est pas dans son état normal et que sa réaction est exceptionnelle). Il ne laisse pas Mina tirer des conclusions de ses silences et de ses marmonnements (et, d’un autre côté, je le conçois, ç’aurait été tellement chiant que cet échange se base sur de pauvres et laconiques « oui » et « non » en guise de réponses aux questions métaphysiques de la petiote). Certes, il propose une approche totalement inédite de la situation par rapport à ses « concurrents » (là encore), mais n’y avait-il pas un autre traitement possible ? Je n’en sais rien et, si tu as choisi celui-ci, c’est que tu devais avoir tes raisons. Cette seule idée me suffit.
D’ailleurs, ne te serais-tu pas essayé, toi z’aussi, à l’art des passeurs de songes sur la fin de ton récit ? La fatigue semble avoir prélevé son tribut et ton attention avoir décru, en atteste l’apparition inopinée de quelques coquilles dont ton histoire était, jusque-là, globalement dépourvue. C’est beau un tel investissement, huhuhu !
J’achève cette lecture à la manière de Broubrou et de Nini : le coeur gonflé de bonheur. C’que je m’apprête à t’écrire est mièvre à souhait, mais… Merci.
Beaucoup.
Nylwosh
Allez, boum. On commence directement sur un jeu de mots. Plaisir, joie… Et attentes, du coup !
Des attentes sacrément bien comblées, d’ailleurs. Tu parviens à prolonger cet entre-deux méditatif instauré par la participation précédente en exploitant brillamment le terreau fertile qu’elle représente. Ton récit joue à merveille le rôle de transition… Non, c’est plus que ça, on est au-delà de la transition. C’est de la transition ++ ! Tu parviens à saisir le témoin, à le transporter jusqu’à la prochaine histoire tout en accompagnant cette phase de relais d’une rencontre moins que gratuite et plus que payante.
T’exploites tout : la topographie, les perches tendues (in)volontairement par celles et ceux qui ont pris la parole avant toi et, même si l’on pourrait se demander, de prime abord, comment relier Valcade à la « mission » donnée par les Sept alors même qu’elle n’était pas présente à ce moment précis du récit global, tu réussis à tirer ton épingle du jeu sans nous faire hurler à l’incohérence.
Tout est logique.
Valcade n’était pas là ? Pas grave, Mina lui expliquera.
Que vient faire Valcade dans le coin ? Elle sort de nulle part ? Non, elle vient rendre visite à un personnage susceptible d’être incarné par quelqu’un d’autre, par la suite.
Tout se tient, tu saisis les mains tendues, fournis de la matière à exploiter, c’est fichtrement communautaire !
Bon, parfois, cela en devient limite lourd : je pense principalement à l’énumération des rencontres vécues par Mina. Mais, intégré dans tout le reste, ça passe largement.
Ça passe largement pour la simple et bonne raison qu’à aucun moment ton adepte de Féca ne cherche à se mêler des choix et décisions de la gamine : tu l’as écrit toi-même, son rôle tient plus de l’oreille attentive, de l’étrangère à laquelle on peut se confier sans crainte d’être jugé(e), qu’autre chose. Et c’est, justement, ce qui fait toute sa force. Une force que tu as su, je crois, décupler en endormant Mina. En permettant à la propriétaire de Bola de s’épancher, une fois certaine qu’elle ne serait pas, à son tour, jugée par plus petite qu’elle, tu as mis le doigt sur un point relativement peu abordé auparavant : celui des raisons ayant poussé les différents intervenants à embrasser tel ou tel culte d’une divinité douzienne.
Le regard critique de Valcade sur son propre parcours explose les compteurs d’honnêteté (bon, facile de jouer la carte de la franchise quand son interlocutrice pionce, mais passons) ! Quant à savoir si Mina en retiendra quelque chose, là n’est pas le sujet. L’essentiel est que ton personnage l’ait aidée à prendre conscience de certaines choses, positives comme négatives. Peut-être que l’inconscient de la fillette fera le reste ? Il est des questions qui ne doivent pas trouver de réponse(s).
A l’image du troisième commandement de Féca que tu interprètes (ou cherches à interpréter) chouettement à ta sauce ! D’un côté, ça témoigne d’une certaine recherche de ta part au sujet de la religion Féca, et, d’un autre côté, cela donne une profondeur certaine à Valcade. Tout le monde y gagne : ton personnage, ton lectorat, et toi !
P’tit bémol, à la rigueur, sur les parchemins laissés en guise de souvenir, mais c’est sans doute parce que j’en ai eu une interprétation toute personnelle. J’ai trouvé ce geste déplacé car relativement intrusif, venant de Valcade qui s’était bien gardée, jusque-là, d’influencer de quelque manière que ce soit l’avenir de Mina. Ça revenait à tomber sur un fragment de coquille d’oeuf en dégustant une mousse au chocolat. Tout d’un coup, t’as quelque chose qui craque sous la dent, tu te demandes d’où ça vient, ce que c’est, et ça t’extrait momentanément de ton petit moment de plaisir gustatif. Et puis bon… Un seul parchemin pour la myriade de personnes à qui Mina devrait écrire ? C’est un peu juste, non ? A moins qu’elle n’opte pour une lettre collective, mais, là encore, elle n’aura pas la certitude de parvenir à joindre tous les voyageurs de passage aux Piles en ce moment. Ouais, p’tit bémol.
Mais c’pas bien grave vu que t’as réussi à raccrocher les wagons en concluant ta transition narrative (narrée, plutôt ?) sur l’application d’un autre Commandement de Féca, toujours en exploitant des éléments mis en place par d’autres. Boum, cerise sur la mousse au chocolat !
gearbutcher
Ooooh, un habitué !
Râh, que c’est compliqué…
Qui ? Quoi ? Quel suspense ! Va-t-elle lâcher le morceau ? Mieux vaut que je t’explique en quoi et pourquoi je suis bien embêtée — pour ne pas dire tiraillée — plutôt que de te laisser dans l’expectative.
Vois-tu, lorsque j’ai appris que l’intervenant de ce récit — le tien — serait un Eniripsa, je me suis dit que ce serait l’occasion de découvrir une nouvelle facette des adeptes de ce culte puisque Coumadine était déjà passée par là auparavant.
Donc, lorsque Vakog a commencé à évoquer les soins psychologiques, j’étais toute contente. Ça ne sentait pas le réchauffé et me donnait toutes les raisons du monde de trépigner sur ma chaise à l’idée de partager ta vision de la chose.
Et j’ai tellement, mais teeeeeellement déchanté… TT_TT
A plusieurs niveaux, car c’est l’effet d’un tout global plutôt que d’un élément bien précis et déterminé.
Le premier, et je crois que c’est le principal, concerne les maladresses de langage, d’expression.
Oui, décider de faire de Vakog quelqu’un qui soigne les maux de l’âme par les mots est une excellente idée et, cela, personne ne viendra me l’ôter de la tête ! Je suis convaincue que tu as bien fait d’orienter tes réflexions dans cette direction.
Mais ces mots dont tu remplis la bouche de Vakog, eux, manquent d’âme (sans compter le fait qu’il annonce vouloir aider Mina à y voir plus clair, mais ne l’est aucunement dans sa façon de s’exprimer, c’est même tout le contraire). J’ai eu l’impression de lire un discours maintes et maintes fois répété jusqu’à ce qu’il ait été lavé de la dernière tâche de sincérité. Vakog m’a fait de la peine, dans la mesure où il m’a fait cet effet de ressortir des mots qui n’étaient pas les siens, peut-être entendus auprès de certains de ses maîtres (à penser et/ou à panser), et qu’il a notés pour pouvoir les recaser plus tard, sans comprendre véritablement leur signification. Imagine donc quelques petits cailloux syntaxiques venus se glisser dans mes souliers de lectrice sur le tranquille chemin du discours de ton Eniripsa et tu pourras, je pense, te représenter la situation qui fut la mienne.
Et c’est dommage parce que, à certains moments, j’avais l’opportunité de voir glisser cette toge de péteux mystérieux tout verbeux dont s’était drapé Vakog pour l’entrapercevoir lui. Le véritable Vakog. Celui qui parvient à reprendre le contrôle pour faire preuve d’humanité et d’empathie, alors que son alter ego s’est lancé dans une explication pseudo-savante en se dépouillant de toute trace d’émotion.C’est pas parlant, c’est ça ? Alors exemple : « La confusion est la porte d’entrée à la réorganisation des perceptions. Souhaites-tu que je t’accompagne pour que tu puisses avoir les idées un peu plus claires durant cette période ? »
La confusion gnagnagna, ok, on a compris que tu connaissais des mots Vakog, cool pour toi. Souhaites-tu que… Inversion sujet-verbe pour bien montrer que tu sais causer de manière soutenue, bravo Vakog. AH ! BIEN ! Là, on a du langage oral qui pointe le bout de son nez avec ce « pour que » et cet « un peu plus » ! Là, on parvient à apercevoir un Vakog plus humain, qui cède à la facilité et aux travers de l’expression populaire.
J’ai vraiment vécu tout ça en remplaçant Vakog par le Dr. Jekyl et Mr Hyde. Jekyll toutes les fois où toi, en tant que rédacteur, tu t’échinais à chercher des tournures alambiquées (ça a dû te demander du travail, mine de rien) et Hyde dès que ta concentration faiblissait et que ta façon habituelle de t’exprimer (celle de tout le monde, hein, on va pas s’mentir) en profitait pour faire une incursion dans ton récit. Paradoxalement, donc, ce sont ces incohérences syntaxiques qui rendent Vakog plus crédible (le Dr. Vakog m’endormait plus qu’il ne me stimulait), mais ça vient également troubler le tableau dans la mesure où l’on ne sait plus trop sur quel pied danser.
‘fin bref, tout ça pour dire que si tu veux absolument faire de Vakog un Eniripsa qui cause farpaitement bien sans « dédoublement de la personnalité », j’ai peut-être une technique (qui vaut ce qu’elle vaut, hein, tu te feras ton propre avis sur la question) pour toi. Elle passe par la nécessité de réaliser plusieurs relectures et — pourquoi pas ? — de soumettre ton texte à l’épreuve du gueuloir (même si tu n’es pas obligé de te casser la voiiiiiiiix pour ce faire). Cela te permettrait d’identifier les passages que tu pourrais enrichir et/ou retravailler pour uniformiser le tout, tout en rendant ce dernier plus facile à lire.
J’avais des choses à dire, dis donc… Et ce n’est pas fini, embrayons sur cette tentative de relaxation hypnotique.
Ici aussi, j’ai eu l’impression de lire, ou d’écouter, le discours pré-enregistré d’un robot.
As-se-yez-vous-res-pi-rez-on-est-bien-n’est-ce-pas-vous-pou-vez-chan-ger-de-pos-si-tion-quand-vous-vou-lez. C’est peut-être fait exprès, hein ? Si ça se trouve, c’est un parti-pris, je n’en sais rien. N’empêche… N’empêche que je suis convaincue que cet aspect froid, inaccessible, et faussement amical attente au discours de Vakog et au message de ton histoire. Peut-être aurais-tu pu tourner les choses différemment ? En faisant participer Mina, par exemple ; Vakog aurait pu lui demander de décrire ce qu’elle ressentait (physiquement, hein, via le champ lexical des sens) plutôt que de lui dire ce qu’elle devait ressentir. Y aller plus progressivement. De cette manière, l’immersion aurait été facilitée, Vakog n’aurait pas fait les questions ainsi que les réponses, et l’échange s’en serait trouvé enrichi. Ou même juste, toi en tant que narrateur omniscient, décrire les sensations de Mina en fonction des événements afin de vous inviter à partager sa torpeur ?
‘fin bref (elle ose dire « bref » après tout ça, quelle ordure), c’est compliqué. Je croyais dur comme fer au potentiel de ton idée, mais ne me suis pas retrouvée dans l’exploitation que tu en as faite. C’est sans doute plus « moi » que « toi », pardon ! J’ai peut-être (trop) projeté ma propre interprétation du sujet que tu t’es choisi sur celle que tu en as faite. N’empêche que ça m’a donné faim cette histoire. Il reste du mille-feuilles ?
Sweyl
Hé, dis, on tenterait pas d’entrer dans le vif du sujet sans tergiverser ? Allez, on fait comme ça !
Je ne sais pas si c’était volontaire, mais tu as osé faire découvrir deux divinités à Mina en même temps. Une pour Rey... et l’autre pour Anton. Stupeur, tremblements, cafouillage au sein du mécanisme de l’Horloge Divine. Qu’as-tu donc fait, malheureuuuuuux ?
Mine de rien, même si le premier occupait la scène sans remords, le second avait s’affairait en coulisses et était pour le moins présent. Ce faisant, il défendait discrètement les couleurs de sa paroisse sans mot dire (ou presque).
Sans transition aucune, je tiens à te remercier du fond du coeur et, surtout, à te féliciter pour ces très chouettes descriptions et, plus généralement, pour l’atmosphère, l’ambiance, qui se dégage de ton récit. L’immersion y est top, le vocabulaire riche et précis, complètement au service de l’histoire. Grâce à toi, les Piles de Kontouar gagnent un peu plus en relief et, surtout, un guérisseur expert !
Pwaaah, mais ces descriptions, quoi… Quel régal ! Tout le champ lexical des sens y passe, comment ne pas se sentir happé(e) à leur lecture ? Un plongeon à faire et à refaire, miam, plouf et re-plouf !Si seulement les dialogues avaient été du même acabit… Selon moi (ça vaut c’que ça vaut), c’était le point-faible de ta participation. Le tout restait crédible (même s’il manquait, çà et là, de ces fioritures descriptives dont tu nous gratifiais auparavant) jusqu’au fatidique éclat de rire.
Je… Que… Pardon ?
C’était abrupt ! « Sans transition, bonsoâââr », comme disait l’autre. Mais…
D’où sort cette situation sans queue ni tête ? Un instant Rey se marre et, dans la seconde qui suit, il balance une question qui n’a rien à voir (ouiii, mais c’est un Zobaaaal, il est foufouuuu…). Il ne manquerait pas un paragraphe, ici ?
A la rigueur, Rey rigole de soulagement, s’attarde à détailler Mina, lui demande quel âge elle a et embraye sur le thème de la majorité spirituelle : ça ne prend pas vingt lignes et ça évite de se retrouver en Absurdie. Mais non, tu nous sors ça d’un de tes masques et, BAM, on doit se débrouiller avec. D’accord. D’accord-d’accord. Mais alors, dans ce cas, pour ce qui est de l’immersion, on… Ah, il faut faire avec ? Euh, soit. J’promets pas de n’pas crier, hein, mais je vais essayer. Anton, vite, me concentrer sur Anton. Lui, ses interventions parlées sont efficaces.
Tu seras mon phare dans la nuit, Oncle ‘ton ! Ma bouée de sauvetage lorsque commencent à manquer les descriptions tirées à quatre épingles de ton narrateur.
Ah, d’ailleurs, en parlant de narration, c’était une excellente idée de varier les points de vue comme tu l’as fait. Bien joué !
P’naise, mais nooooon, tu l’as écrit sur des montagnes rus...frigostiennes, ton récit ? D’un dialogue à l’autre, la qualité et la pertinence des interventions varie (oui, mais ça reste dans le thème des masques du Zobaaaal, tu n’comprends paaaaaas, c’est une licence artistiiiique), alors que celle de tes DESCRIPTIONS DE GUEDIN, elle, demeure constante dans l’excellence. Je… Mais oui, bien sûr ! C’est pour le plaisir de nous laisser trouver quelque chose à redire, c’est ça ?
TU L’AS FAIT EXPRÈS. Non ? Raaah…
Ouais, non, y a vraiment un creux en milieu de récit (entre l’éclat de rire et l’interruption du début de discussion par l’arrivée d’Anton), et tout le reste se tient bien-bien-bien. Je suis bien contente d’avoir découvert une nouvelle tête telle que la tienne ! Jéjéwel pleïde, comme disent les Bworks !
‘faut absolument que tu r’viennes de ce côté-ci du forum officiel. Vrai de vrai, des idées et des moyens tels que les tiens, on ne crachera jamais dessus, alors fais-nous-en profiter, hé !
Chopperkun
Bouyah, toi ! Alors, comme ça, tu te lances dans les Récits d’Invention ? Super !
Oh ! Je… J’ai été désarçonnée par ton choix de passer les dialogues en italique. Ayant tendance à associer ça aux pensées des personnages plutôt qu’à leurs échanges oraux, j’ai manqué une marche l’espace d’un instant. Mais plus de peur que de mal, t’inquiète !
Les inconnus qui font des clins d’oeil aux jeunes filles, en revanche, c’est sacrément flippant… Qui est ton personnage ? Un vilain suceur de sang ? Ah, non… Même pas !
Etant donné que l’on suit les réflexions internes de ton narrateur, pourquoi avoir opté pour des parenthèses, ici et là ? C’est du détail, hein, mais ce choix de « pensée dans la pensée » m’intrigue !
HAAAAN ! PUNAIIIISE ! OOOOH ! Le coup des framboises ! Mais… HAAAAAAAAAN ! Mais c’est trop bien ! Ça sort de NULLE PART, ça surprend, ça claque, et ça explose en bouche ! Mais… Mais c’est GÉNIAL ! C’est le genre d’ajout anodin qui continue d’enrichir la personnalité de Mina (ah, non, à la relecture, c’est Sig qui s’exprime, mea culpa) tout en mettant en avant qu’elle, hé, n’est qu’une gosse avec une vie des plus simples. Pfouuuuu, trop-trop bien. Hahaha, « j’aime les framboises » ! Je ne m’en remets pas…
Argh, mince, y a comme un souci de mise en page avec ces dialogues en italique. Tes sauts de ligne ont, semble-t-il, été bouffés par le forum. Considère que je tapote avec compassion sur ton épaule droite en secouant la tête de tristesse. Aï nodatt fil brô, comme dit… Comme ne le dit personne de ma connaissance, tiens.
L’utilisation des couleurs est sympatoche, ça permet de susciter l’impatience chez ton lectorat, une fois que l’on a compris que c’est en lien avec les éléments et réponses de la fillette. C’est bien pensé, il ne faut juste pas en abuser ! Chose que tu ne fais pas, fort heureusement !
Bon, à la deuxième interprétation des changements colorés de l’orbe, j’te cache pas que j’ai soupiré un p’tit peu, j’imaginais déjà venir, gros comme une maison, le coup de la Mina hyper équilibrée, porteuse des valeurs cardinales des quatre éléments et n’aspirais qu’à une chose : que tu prennes le contre-pied de cette attente en révélant que, non, Mina n’était en rien disposée à faire preuve d’un équilibre idéal. Là, ça lui aurait permis de se démarquer, d’avoir une sorte de marge de progression et, somme toute, d’approfondir sa personnalité en indiquant que la gamine avait, peut-être, des prédispositions pour un ou deux éléments, mais que dalle en ce qui concernait les autres. Bref, qu’elle n’était pas exceptionnelle parce que, après tout, un monde blindé d’individus exceptionnels ne présente que peu d’intérêt au final. Mais je m’égare !
Arf, la voilà déjà cul et chemise avec la liberté aérienne et la phrase rouge que j’aperçois quelques lignes plus bas me laisse croire que tu as pris le parti d’opter pour la Mina multi-éléments. C’est un choix, je le respecte !
En revanche, ce que je trouve de plus en plus problématique, ce sont vraiment ces dialogues en italique. Sans le moindre tiret cadratin, la compréhension des interventions s’en retrouve compliquée. ‘faut parfois s’arrêter pour se dire : « Ah, y a un saut de ligne, ça ne peut pas être Sig qui parle donc c’est forcément Mina. Râââh, ç’aurait été plus intuitif avec des tirets, c’est tout bête ! »
A l’évocation des voyages de Mina pour rendre visite à des membres de sa famille, j’ai été déchirée entre deux visions. La première fut absolument positive : « Waaaah, et vas-y que je t’enrichis ENCORE le background de Mina sans prêter à conséquence ! En plus, ça ouvre des possibilités pour les participants suivants, c’est trop cool ! »
La seconde, quant à elle, fut plus partagée : « Un à deux jours enfermée dans une diligence, coincée avec les membres de sa famille, ça ne doit pas être une expérience super fofolle pour une gamine. Mais je considère peut-être les choses de la mauvaise façon : davantage comme une adulte que comme une enfant avide de découvertes ? Si ça se trouve, elle a passé tout le trajet à côté du cocher, voire même sur le toit avec les bagages ? »
Bon, revenons-en à nos deux marcheurs. Tu ne peux pas savoir à quel point j’ai apprécié de lire le mot « futaie ». Non, tu ne te l’imagines pas. Il ne payait pas de mine, mais… Pfff… Qu’il était rafraîchissant ! C’est bête, hein ? Mais utiliser autre chose que « bois » ou « forêt » donne tout de suite plus l’impression que tu as réfléchi au choix des mots employés, qu’ils ont été pesés et soupesés. Un grand merci.
Euh, attends… Mina explose en touchant l’orbe bleuté ? Tu en parlais au masculin auparavant, pourquoi opter pour le féminin, à ce moment précis ? Tu m’as éjectée de l’action, ce faisant… TT_TT
Dommage, par ailleurs, que tu n’aies pas décrit les sensations de Mina lors de son contact avec l’orbe terrestre. J’étais curieuse de savoir quels seraient ses effets...
En tout cas, sache que j’aime beaucoup-beaucoup la présentation que Sig fait de lui-même et de sa vocation (bon, je regrette un poil que les noms des éléments n’aient pas été colorisés, cette fois-ci). C’est aussi clair que limpide (hormis le passage relatif à l’Omnirune si Mina n’en a jamais entendu parler). Le ton de la fillette m’a déstabilisée l’espace d’un instant : l’inversion sujet-verbe y était pour beaucoup et avait de quoi surprendre dans la bouche d’une jeune adolescente.
Coeur-coeur pour ton « clair comme de l’eau de Rok », hahaha !
Oooh, tu as même réussi à évoquer la forgemagie propre aux Huppermages… O_O
C’est très bien trouvé, bravo ! Mina aurait peut-être pu faire mine de s’intéresser à cette pratique, non ? Cela aurait permis à Sig de briller davantage. Qu’en penses-tu ?
Clore ton récit sur un ultime ajout à l’univers des Piles est une très bonne chose. Il faudra penser à ces arches creusées dans le bois qui marquent l’entrée (mais laquelle ?) du village, désormais !
PAEZZOU
Oh, encore une nouvelle tête… Bienvenue par ici, installe-toi, et fais péter ton récit !
Ah, ça commence fort, d’ailleurs. L’ambiance est à la morosité et, si la thématique de la crainte d’avoir à choisir n’avait pas encore été traitée, elle tranche considérablement avec l’acceptation quasi-enjouée de la situation par Mina dans les histoire ayant précédé la tienne.
Ooooh, jolie tentative d’appui sur le background officiel de la part du conteur sous acide ! A ceci près que le Méryde des larmes se nomme Tolgnas (« sanglot » à l’envers, si tu préfères) et non « Tolgonas ». Tu y étais presque ! L’intention était ‘achement louable, je t’en félicite quand même parce que c’est important d’féliciter les adeptes des Mérydes. On les oublie trop souvent.
Erf, j’suis moins satisfaite en ce qui concerne ton utilisation du mot « moustiques » en lieu et place de « moskito », certainement due à un moment d’inattention (relis-toiiiiii, ça t’évitera certaines coquilles et favorisera d’autant plus l’immersion des lecteurs). POURQUOI TU M’FAIS ÇA, HEIN ? Alors que je te soutenais il y a à peine un instant !
O. M. G.
La méthode de pêche de fou-furieuuuuux… O_o
Je ne comprenais pas pourquoi les goujons et les moskitos échangeaient de place, mais avec les explications, c’était tout de suite mieux et… ET QUE C’EST MALIN, bord d’aile de mer ! BRAVO !!! Tu innoves, tu prends des risques, j’suis teeeeeellement jouasse en découvrant cette idée ! Bravo-bravo-bravo !
« Oui mais comment qu’il fait pour transposer les moskitos et les goujons alors que la transpo’ ne fonctionne que sur l’utilisateur et sa cible ? » Ben… Il se laisse piquer par les moskitos et, puisque ceux-ci contiennent désormais de son sang à lui, il peut les utiliser comme extensions de son corps, j’imagine ? Non ? Hé, ‘fallait y penser ! Trop-trop bien (comme l’âne).
Bien que j’aie été relativement peu admirative de la façon dont Jin malmène Mina sans crier gare, je me suis rappelé que… Hé, c’est totalement admis puisqu’il s’agit véritablement d’une coutume du culte de Sacrieur ! Et puis que dire de ce personnage qui colle, trait pour trait (ou cicatrice pour cicatrice) à l’image dépeinte par le livre de classe de la Vierge de Fer ? T’as bien bossé ton sujet, coco, GG !
En revanche, tu gagnerais à travailler tes transitions car passer des réflexions métaphysiques des deux personnages au vol d’une rose réutilisée juste pour l’occasion afin d’introduire un adversaire sorti tout droit des fonds boueux de la Soif, mouais… Y a plus convaincant !
D’ailleurs, en parlant de transition, ça m’en fait une toute prête pour évoquer tes digressions HRP dans lesquelles tu envoies allègrement balader toute idée de quatrième mur. Dis-toi bien que, pour le coup, ça nuit plus au récit que ça ne lui profite. Dans un Deadpool, ça passe parce que c’est le propre du personnage, mais, dans ton histoire, l’effet est tout autre : « Je… Hein ? Qu’est-ce qu’il raconte ? ‘as-y, là ! On était en plein retournement de situation, viens pas me casser mon immersion avec tes remarques qui n’ont rien à faire là, oh ! Pfff… J’en étais où, moi ? »
Kuzco, ça te parle ? Oui ? Ben… Tu m’as pourri mon groove.
Et il en allait de même pour toutes les allusions hors-Krosmoz que tu as casées dans ton histoire : le paddle, et DBZ en tête ! Ça me chiffonne parce que t’as l’air de t’éclater à écrire tout ça — et ça (me) fait graaaaave plaisir à lire — et que ça peut sonner rabat-joie de te le dire, mais… Mais on d’mandait de la cohérence dans les règles de cette édition des Récits d’Invention. Les références et autres allusions subtiles, en revanche, sont totalement acceptées et encouragées !
P’naise, tu prends quoi ? J’en veux parce que ça a l’air de te mettre dans un état… O_o
J’ai eu du mal à suivre le rythme effréné (pour ne pas dire bordélique) des aventures de Mina et Jin. Toujours est-il que l’îlot sur lequel ils rejoignent le voleur à tentacules m’a beaucoup fait penser à celui qui sert de repère à Aguabrial ! Notamment l’histoire des deux coquillages-serrures.
Pouah, ce Jin ferait un excellent héros de shônen ! Il en a toutes les caractéristiques… On pourrait croire qu’un excès de badassitude tuerait la badassitude, mais il parvient à s’en sortir relativement bien, même s’il nous gratifie de quelques poncifs du genre...
Euh, alors… Non, stop, arrêtez tout.
Le dragon, le Dofus, non. Juste non.
Là, tu t’appropries trop le background officiel. C’pas n’importe quoi un dragon, et un Dofus encore moins. On ne peut pas en sortir de nos chapeaux à l’envi. T’en as trop pris, gros. Ça m’a totalement démotivée dans ma lecture : bim, t’avais cédé à la folie des grandeurs propre, généralement, aux personnes qui se lancent dans le jeu de rôle dofusien (moi la première, hein, t’inquiète).
J’ai pas compris d’où sortait le bandeau frontal de la fin. C’était celui de Jin ? Il avait été décrit auparavant ?
‘fin bref. Autant l’histoire commençait sur les chapeaux de roues et contenait de très bonnes idées et réappropriations de l’essence du culte de Sacrieur, à mon sens, autant elle est partie en c...acahuète lors de l’entrée dans la caverne du m3g4b0ss2f1n4ldelam0rkitu. Du coup, mi-figue mi-raisin comme sensation à l’issue de sa lecture. J’dis pas que je me suis fait violence sur la fin, mais pas loin… C’était assez particulier, et ça illustrait assez bien, je crois, les dangers du retour d’acide !
Cow-Smique
Coucou, toi. Ça faisait une paye ! 2500 mots tout pile, effectivement, bien joué… O_O
Hop, direct une référence à Alice au Pays des Merveilles. N’avons-nous d’ailleurs, en jeu, pas un PNJ semblable au Wabbit que tu décris ? J’ai l’impression d’en avoir déjà croisé un de ce type… En tout cas, c’était suffisamment original pour être plaisant comme introduction. L’allusion était assez légère (y a du Panpan en lui ou c’est une impression ?) pour ne pas prendre le pas sur le reste. Reste qui, d’ailleurs, permettait ENFIN de voir une nouvelle « utilisation » d’une partie des Sept (Triploza, en l’occurrence). C’était chouette, merci !
D’où sortait le Xélor ? C’était le Wabbit ? Je n’ai pas compris de qui il retournait étant donné que le personnage n’avait pas été explicitement introduit.
Bwarf, l’allusion filée au voyage d’Alice, c’moins folichon… Là, y a plus de clin d’oeil fugace : c’est une oeillade appuyée, peu subtile et bien-bien lourde qui prend le pas sur tout le reste. C’est dommage !
Oh, mais… Attends (hahaha, attendre dans une histoire basée sur le t… bref) ! Le gosse qui remontait, là, c’était… Nathaniel (un personnage des RI#7, pour ceux qui se poseraient la question) ? Oooooh, que ce serait drôle et habile si tel était bien le cas !
La description de la voix de l’interlocuteur m’a fait penser à Nox, ce qui a certainement biaisé mon appréciation du personnage que j’ai immédiatement étiqueté « antagoniste », surtout qu’il n’était pas spécialement vendu comme un être bienveillant.
J’sais pas pourquoi, mais la description du maquillage à base de quatre traits suivie du rugissement puis du chaos m’ont beaucoup plu. C’était très graphique, très sensoriel, ça fonctionnait bien ! Y avait-il une référence derrière le personnage de la guerrière, d’ailleurs ?
Je n’ai pas saisi l’intérêt de cette première vision d’un passé depuis longtemps révolu, mais j’imagine qu’il s’agissait, peut-être, de montrer à Mina l’importance des choix de chacun, ce, à différentes époques ?
Oh, tu en profites même pour caser d’autres événements historiques, quitte à citer des dialogues du film DOFUS – LIVRE 1 ! C’est original, mais je ne vois toujours pas où le Xélor veut en venir, surtout en tourmentant Mina comme il le fait… O_o
S’agit-il de faire comprendre à la fillette qu’elle se bercerait d’illusions si elle pensait pouvoir infléchir le cours du temps ? ‘fin, j’veux dire, avec l’exemple de la glaciation de Frigost par Djaul, ça ferait sens, mais en ce qui concerne les deux voyages temporels précédents ? Quoi qu’il en soit, joli coup de coeur pour le passage dans lequel un Féca utilise son égide pour protéger certains de ses camarades ! Ça m’a fait le même chouette effet que la guerrière brâkmarienne peinturlurée… Merci !
Concernant la dernière vision, je n’ai pas pu l’apprécier à sa juste mesure et le regrette car je n’ai pas pu explorer ce pan du jeu, n’ayant pas l’optimisation requise pour une bonne réalisation de ses quêtes. En revanche, j’ai compris où et « quand » ça se passait, mais aussi les tenants et aboutissants des différentes actions des personnages, donc j’imagine avoir saisi le message dans sa globalité...
Ton Xélor était, en définitive, bien cruel. Certes, il fait un don à Mina — celui du bonheur dans l’instant présent — mais au prix d’un traumatisme indéniable. Le jeu en valait-il la chandelle ? Tout cela est-il susceptible de pousser l’adolescente à opter pour une vie au service de la protection du temps (en déjouant les tentatives de « rectification » du passé et en oeuvrant pour un avenir idéalisé) ? Je n’en sais rien… Laissons les années faire leur œuvre !
Par curiosité, j’ai tenté de relire ton récit de bas en haut, histoire de déterminer si, oui ou non, remonter le temps m’offrirait une nouvelle expérience de lecture ou aboutirait à la même conclusion (ce qui aurait été oufissime à plusieurs niveaux : technique, littéraire et, surtout, narratif)… Mais non. Tant pis, ce sera pour une prochaine fois, huhuhu !
Ah, dernière question : pourquoi ne pas avoir cherché à intégrer les récits des autres participants au tien ? J’ai été surprise de n’en trouver aucune trace, était-ce voulu ou un simple oubli ?Je relis ton histoire (comme celle des autres) et d’autres éléments me sautent à la figure. Pour commencer, les coquilles et étourderies qui parsèment ton texte et qui sauteraient (elles z’aussi) sur la mine d’une relecture à tête reposée, je crois. Ce faisant, ton texte gagnerait en fluidité et serait d’autant plus prenant !
Mais il n’y a pas que ça : le personnage du Xélor. Je ne sais pas si c’est volontaire ou non, mais il y a une phrase qui me titille, chez lui : « Un choix d’importance t’es soumis dans les jours à venir, Mina… Il était temps que je te rencontre. »
Passons outre l’absence du t dans ce « es » et concentrons-nous un instant sur le temps de la phrase ou, plutôt (Minnie, Mickey et Dingo), LES temps. Le fait que ton Xélor parle au présent d’un événement futur (puis qu’il enchaîne sur du passé) me gifle un peu. En mode « gifle révélatrice ».
J’m’explique parce que ce n’est pas assez clair actuellement : si tu as fait exprès de rendre ton personnage décalé temporellement, c’est brillant. A la relecture de cette unique phrase, j’ai dû m’arrêter pour me demander si ce Xélor, à force de voyager dans des souvenirs et des reflets de futurs éventuels, ne s’était finalement pas perdu à travers les époques et ne savait plus sur quelle temporalité s’exprimer, d’où son emploi du présent pour un événement futur.
La chose est à venir, mais lui l’a déjà vue et elle représente un passé plus ou moins révolu, alors qu’il s’agit de l’instant présent. Du coup, il ne sait plus sur quel pied danser et mélange touuuus les temps dans ses phrases. Sauf que la suite de ton histoire ne part pas dans cette direction donc j’pense pas que ce soit réfléchi comme tel, mais j’me suis quand même posé la question… L’espace d’un instant.
Fhane
Un avatar roux, un nom évocateur… Désolée, mais je t’imagine déjà comme une carotte.
Et, chère carotte, autant dire que ton récit commence tranquillement, à l’image d’un potager sans histoires. J’ai même cru un instant que Mina se perdrait dans la contemplation de la faune locale, quitte à devenir athée ou que sais-je encore ?
Mais non, voilà que t’as fait débouler cette créature étrange qui a su piquer ma curiosité jusqu’à ce que tu la compares avec un âne. Et j’ai tremblé de toute mon âme… La mention d’une créature issue de notre monde m’a, l’espace d’un instant, déboussolée et extirpée de ce début d’ambiance que tu avais su créer. Et puis j’ai relativisé en me disant qu’il était possible d’en apercevoir un, d’âne, dans l’un des tomes d’Ogrest réalisés par Mig. L’honneur était sauf, et la rupture de l’immersion moindre ! Et puis, y a pas à dire, ta description de la dragodinde faisait plaisir à lire, ne serait-ce que pour ton choix des couleurs et des attitudes de la bestiole. Merci ! Ce regard, brrr… Qui voudrait effleurer la véritable nature du Vide n’aurait qu’à plonger son regard dans celui d’une dragodinde… Pas vrai ? Non ? Pardon.
En revanche, non, on dit « PandawUshu » avec deux u. Sans i, en gros.
On passera sur le portrait extrêmement mélioratif que tu dresses de Fhane (la perfection au féminin, ou presque) pour se concentrer sur cette idée, très imagée (et donc très-très cool selon des critères qui ne regardent que ma pomme, chère carotte), d’un monde cicatrisé dans la paume de sa main. L’idée est ‘achement chouette ; je la trouve extrêmement plaisante à lire et encore plus à me la représenter !
Je regrette cependant que ton récit se déroule au début du délai de deux semaines imparti à Mina. Il nous renvoie bieeeeen loin en arrière alors qu’il aurait tout à fait eu sa place au moment où tu l’as publié (sur les derniers jours) et tu aurais, à cette occasion, pu davantage prendre en compte les histoire ayant précédé la tienne, faisant de ta participation une pièce s’imbriquant facilement dans le puzzle de cette édition des RI.
Haaaan, ce… Cette petite bouffée d’oxygène, en plein discours sur le choix d’une vie ! Je veux parler de l’observation du couple de pious, évidemment ! Ça permet de relativiser à fond la situation ! Pendant que Mina se fait des nœuds au cerveau, le Monde, lui, continue de tourner et se fout toooooooootalement de ses réflexions. Pfiou, ça remet magistralement les choses à leur place ! Bien jouéééée ! O_o
Oh, l’intervention d’un Obvijevan aurait été cool, maintenant que j’y pense en lisant ta description du sabre ! Par contre, toujours non, on dit « PandawUshu ». Je te l’assure, vraiment-vraiment.
C’est dommage, ça, parce que tu utilises des noms issus du background de Pandala (: Ikwa, Musamune, Amirukam) qui témoignent de ta connaissance de la chose, mais tu butes sur un terme « essentiel ». Ça revient à bâtir un superbe château de cartes… en plein courant d’air. D’ailleurs, pense à bien te relire car il y a plusieurs coquilles qui viennent, bourrasques embêtantes sévissant ici et là, perturber la lecture. Ça claquerait encore plus sans, j’en suis convaincue !
Je ne suis pas certaine que transposer une partie du folklore de Pandala aux Piles fonctionne, mais la tentative mérite d’être notée ! En revanche, concernant la rareté du passage d’un étranger aux Piles, là, tu te fourres le doigt dans l’oeil jusqu’au coude (voire plus, si affinités) : les participations précédentes sont là pour te prouver exactement le contraire et c’est ici que ton choix de ne pas les avoir prises en compte porte préjudice à l’ensemble de l’édifice que tu as patiemment bâti. Attention, tremblement de teeeeerre !
Hé, c’est bête et tout niais, hein, mais… Gros frisson sur la fin de ton texte. Le coeur. Le coeuuuur ! Rodrigue, as-tu du...
Lhopizer
Ooooh ! Quel style… O_o
Tu as TOUT dit et d’une manière qui me laisse encore pantelante…Ce parti-pris de promouvoir la cause du Vide par le néant, c’est… Pfou ! Merci !
OonaruatokooO
Hahaha, le clin d’oeil à la bande-dessinée ! Bravo !
Mais, euh, attends voir… Y aurait pas eu comme un souci au niveau de la mise en page des dialogues ? Les répliques se retrouvent collées les unes aux autres. C’est assez particulier ! O_o
Oooh, tu as su caser « bachelette »… C’est admirable, j’en redemande ! Cependant, gredin que tu es, tu aurais pu prendre le même soin dans la traque de tes coquilles que dans celle du choix de tes mots. Nous y aurions tous considérablement gagné, je crois, ton histoire, ton lectorat, et toi.
Je trouve ça bien chouette que tu fasses de Cyatold un néophyte dont la chance lui permet, parfois, de briller aux yeux de Mina. Ça change de tous les intervenants précédents, rompus à la bonne marche du monde, et chacun expert dans son domaine de compétences. Ça permet de relativiser les choses et d’éviter de sombrer dans une surenchère un tantinet malsaine. Ça fait du bien. Ça ME fait du bien, devrais-je plutôt dire, de découvrir un personnage avec ses doutes, ses faiblesses et une conscience de ses limites.
Râââh, mais comment se fait-il que tu parviennes à caser des termes aussi recherchés, soutenus, voire surannés et, l’instant d’après, à te planter sur l’accord d’un adjectif ou d’un participe passé ? C’est frustraaaaant… Qu’est-ce que c’est que cette arnaque ? J’abuse sur le terme « arnaque », hein.
Parfois, ce sont carrément des mots qui manquent et disparaissent, trouant tes descriptions et déchirant la couverture que représente ton immersion. Et c’est dommage, ça, parce que tu as de bonnes idées pour poser des ambiances, mais elles pâtissent de ce que j’imagine être un manque de… Bah, de relecture, tout simplement. As-tu pris le temps de laisser reposer ton texte, de le relire après coup, en ayant fait une pause plus ou moins longue ? Je t’assure que c’est particulièrement utile pour débusquer, à la manière d’un Crâ au regard acéré, les erreurs qui se terrent dans un texte.
Y avait un super postulat de base, dans ton récit, celui de débuter, de se tromper, de chuter pour mieux se relever… Bref, d’apprendre. Et j’ai l’impression que tu as pris un tout autre chemin sur la fin de ton histoire en optant pour un affrontement aussi symbolique que… Râh, le terme ne me plaît ni ne me satisfait, mais je dirais « basique ». Ça m’a semblé un peu « facile » comme dénouement, mais peut-être étais-tu pressé(e) de mettre un terme à ton histoire ? Toujours est-il que tu as pris le soin de choisir un adversaire qui faisait écho à une participation précédente, et, ça, c’est (très) appréciable ! T’imagines s’il s’agit du même prédateur que pour le récit faisant intervenir Jean-François ? Hahaha, paye la malchance du Milimulou, dans ce cas ! Fouetté, dompté puis perforé façon passoire… Huhuhu ! La victime du bois des Piles, le pauvre… C’est limite si je ne l’imagine pas en tant que Vil Coyote, maintenant… Merci pour ce sourire !
Guillemaut
Aaaaah, une tête connue !
Et, surtout, une atmosphère bien mystérieuse qui fleure bon le soufre… En même temps, avec un prénom tel que Faust, on part tout de suite avec un a priori diabolique — que dis-je ? — rushuiste !
Fais, en tout cas, attention à la concordance des temps : tu parles au passé et cases du présent dans le même élan, ce qui a tendance à désarçonner, faisant plus se demander de quelle manière se passe l’action qu’autre chose.
En tout cas, le simple fait de voir le Diis Ignoti évoqué me réjouit, et encore plus lorsque l’image d’un vieux Mufafah balafré vient se superposer à celle de ton sombre personnage…
En revanche, je dois t’avouer que la perspective de croiser une enfant pauvre (orpheline ?) dans une communauté aussi petite que celle des Piles de Kontouar m’a quelque peu surprise. Personne n’aurait pris la gamine sous son aile, alors que tout le monde s’y mêle des affaires de chacun, comme décrit dans plusieurs des récits ayant précédé le tien ? Ça me semble bizarre, un brin incohérent, et davantage au service de ton récit (« j’ai besoin d’un sous-fifre à ce moment précis donc je vais créer un personnage dans ce but sans chercher plus loin les implications d’un tel choix »), mais je crois discerner une potentielle issue… et donc une certaine justification.
Offerenda (après tout, son nom répond déjà à la question que je suis sur le point de poser) ne serait-elle pas vouée à mourir, sacrifiée en l’honneur de quelque démon ? La p’tite offrande sur pattes, quoi. On verra bien !
Ouais, plus Faust cause sans en causer de son culte, plus cette supposition se tient. Quel infâme suppôt de Rushu, celui-là ! Ah, ça fait du bien de penser qu’une entité extérieure au Panthéon a été choisie… Merci ! Qui plus est, tu fais patiemment monter la sauce, l’atmosphère se fait de plus en plus oppressante, les informations que Faust distille permettent, petit à petit, de déchirer le voile qui l’entourait jusqu’à présent… Le crescendo est réussi !
Pwahaha, les trois Ouassingues de la sagesse ! Je n’ai pas compris de quelle manière les trois crânes étaient sculptés, ceci dit. Un coup ce sont des crânes, un autre des figurines ?
Bon, l’histoire de la potion de téléportation m’a parue un peu surfaite, mais peut-être trouvera-t-elle une utilité plus tard ? Fusil de Tchekhov en puissance ?
Raaaah, mais cette guerre que tu fais à la concordance des teeeeemps ! Tu es fâché avec Xélor et tu as décidé que ton lectorat devait pâtir de votre bisbille, c’est ça ? Dis-le, allez, dis-leeee ! TT_TT
Hahaha, allez, rien que pour le fait d’avoir imaginé ton Sadida tr0d4rk jouer à la poupée, je t’en veux moins… Bien joué ! Huhuhu !
Oh, mince ! T’avais décidé d’accélérer le rythme en optant pour des phrases de plus en plus courtes et tu y parvenais bien jusqu’à ce que tu ne butes sur « Lanterne plus nécessaire. »
T’aurais casé « superflue» ou « inutile » à la place de « plus nécessaire », tu serais parvenu à accentuer l’atmosphère oppressante. Idem pour la suite qui, pour le coup, ne faisait pas spécialement sens. « S’apprête à entrer. Lorsque soudain. »
N’utilise pas un verbe d’action à ce moment-là, tu casses le crescendo ! Préfère-lui plutôt « Pas de la porte. » et opte davantage pour un « Et… » laconique et blindé de tension au lieu de l’incorrect « Lorsque soudain. »
Ça se joue à pas grand-chose, ce sont des détails, mais ils auraient su renforcer, je crois, le sentiment d’urgence et de suspense que tu t’efforçais à mettre en place.
Quoi qu’il en soit, la suite… Ohlala, quelle suite ! O_o
Cette vague de souvenirs qui déferle sur Mina… Tous les enseignements, conseils et p’tits trucs que les personnes qu’elle a pu rencontrer au cours des deux dernières semaines lui ont donnés, waaaah… Ça rend, mais… Hyyyyyper bien ! Ça passe mieux que crème ! D’autant plus que tu parviens à sauver la situation, à sublimer le truc, en optant pour un procédé narratif qui a fait ses preuves : tu sous-entends et, MIEUX, tu nous laisses nous faire notre propre film (en coupant court avec un cliffhanger d’enfoi… de derrière les fagots). TROP-TROP JOUASSE !
Ça, c’est du retournement de situation ! Ça, c’est de la perche tendue à l’imagination collective ! Pouaaaah, bravo et merci pour ce final !
Gothapprentice
Bienvenue par ici, l’apprenti gothique !
J’te mets tout de suite dans le bain : j’ai poussé des cris indignés lorsque j’ai commencé à lire ton histoire. Enfin, non, pas tout à fait, mais j’étais mentalement désarçonnée.
Ça s’est, à peu de choses près, passé ainsi :
« Hein ? Quoi ? Que… Dans un petit village de Frigost ? Mais… Hein ? Attends, qu’est-ce que… J’ai mal compris, là. Bon, c’est peut-être un… Ah mais non, dans la suite du paragraphe, il est bien stipulé que ça se passe sur Frigost. Mais non, mais c’est pas possible, ce doit être moi qui ne comprends pas… Mais si ! Mais si, c’est ça ! Punaise, mais… LIRE L’AMORCE ET LES TEXTES SUIVANTS EN PRENANT EN CONSIDÉRATION LE CADRE CHAMPÊTRE DES PILES DE KONTOUAR, C’EST ENCORE TROP DEMANDER ? Pfff, mais vas-yyyyy… En plus comment tu veux faire pousser du LIN sur Frigost ? Mais… Ça n’a aucun sens ? Il envoie tout péter, làààà… Et vas-y que j’me la raconte avec ma cape noire, gnagnagna… Mais dégoûtée, quoi, il n’a absolument pas tenu compte des indications… Et alleeeez, des Smilomouuuths… Ben oui, parce qu’il paraît ÉVIDENT que les Piles se trouvent sur Frigost, hein. Si ça se trouve, ça date d’avant la glacia… Ah ben même pas puisqu’il… Râââh, pfff, bon je lis quand même mais ça sert à quoi de préciser les choses avant de… Oh. »
Oh.
Tout le début n’était qu’un rêve. Je…
D’accord, tu m’as bien eue. J’exècre l’excuse facile du « oulalah, hihihi, ce n’était qu’un rêve », hein, mais d’accord. C’est ton choix, ton angle d’attaque, il faut le respecter et je le ferai. Pas de souci.
Du coup, une relecture depuis le début a été nécessaire afin que je sois en mesure d’apprécier ton histoire, enfin lavée de l’affreuse souillure — tu visualises une souillure ? C’est déjà pas jojo, mais alors imagine en plus qu’elle soit affreuse et, là, tu trembleras d’effroi, toi z’aussi — de ton affront-qui-n’en-était-finalement-pas-un. Oui, parce que tu m’as fait du mal, je tiens à le préciser. Tu es vilain. Na.
On rembobine et on r’commence… Frigost, donc.
On part sur une histoire de réincarnation en écho à l’un des récits précédents ? Peut-être bien que oui, peut-être bien que non, mais ça peut le faire !
Y a quelque chose qui m’a perturbée (encooooore ?) dans la temporalité du rêv… Ah ben non, j’oubliais : c’est un rêve. Donc aux chio… aux vestiaires la cohérence ! Tellement facile, ça, le rêve… Ouais, donc, en gros, je ne comprenais pas comment on passait d’une description des habitudes de jeu de Mina à un tête-à-tête avec Griffe. Mais le rêve ne s’embête pas avec le concept galvaudé de la transition classique. Il est au-dessus de tout ça, le rêve. Sacré rêve… Toujours le mot pour rire !
Mina, tu seras un enfant-soldat : prends cette arme et file poutrer de l’adversaire car tel est ton destiiiin ! Tin-tin-tin-tiiiiiiin… Vous êtes des grands malades. Vraiment, hein.
Bon, y a des passages que je ne comprends pas trop, MÊME EN PRENANT EN COMPTE LE FAIT QUE TOUTE CETTE PARTIE N’EST QU’UN RÊÊÊVE (p’naise, il faut que je me détende, là : vite, penser à des chachas qui brûlent, des chachas qui miaulent, des chachas qui…) : le cou de Griffe qui se transforme en « coup », ses cartes qui « irent » se planter dans l’écorce d’un arbre. J’veux bien que le subconscient d’une gamine de douze ans soit riche, mais, là, ‘faudra m’expliquer… J’opte pour des coquilles d’écriture qu’une relecture approfondie aurait permis de faire disparaître. Dis-moi si je me trompe, s’il te plaît.
D’ailleurs, tant qu’on y est, j’étais presque persuadée que le coup de l’arbre et du Sadida était une allusion au vieux Broussaille ! Bon, par la suite, j’ai découvert que non, mais, sur le coup, j’ai trouvé ça bien amené.
Lors du réveil de Mina, afin d’accentuer la découverte du corps à la suite du cri, je pense que tu aurais pu prendre davantage ton temps afin de décrire la situation. En parlant de l’agitation des habitants des Piles, des bruits et des images perçus par Mina, tu serais parvenu à retranscrire avec encore plus de justesse et de force la gravité de la situation. Enfin, je dis « gravité de la situation », mais il serait plus juste de parler « d’impact de la conclusion ». Là, tu nous révèles directement ce qu’on s’attend tous à découvrir et, vu la manière dont tu as su construire ton récit jusque-là, j’ai trouvé — peut-être à tort — que ça ne lui rendait pas justice.
C’était le point culminant de ton histoire, le moment-charnière, celui où tout basculait, l’instant fugace où tout devait se recouper, et tu l’as un peu trop précipité, ce qui en a quelque peu amoindri la portée. Pourtant, c’était ouf d’avoir pensé à décrire la décrépitude de Griffe ! C’était d’ailleurs d’autant plus fort qu’on avait — nous, lecteurs — un moyen de se représenter mentalement un « avant/après » de Cape Noire. Y avait cette espèce de jeu de miroirs qui nous renvoyait aux différentes images de ton Ecaflip. Chouette-chouette idée, bon traitement du truc, à ceci près que le tout aurait vraiment gagné en impact émotionnel avec un crescendo un brin plus dosé ou étalé.
Mais l’idée fonctionne quand même bigrement bien, hein, j’insiste là-dessus !
Hé ! Non, Mina ne choisit pas « évidemment de devenir disciple d’Ecaflip » : c’est précisé dans les consignes. Quoi ? Tu te dis désolé pour les fautes… C’est donc que tu es conscient qu’il y en a ? Dans ce cas, pourquoi ne pas chercher à les éliminer en utilisant les divers outils à ta disposition (correcteurs, relecture, etc.) ? Ta réponse m’intéresse, je ne pose pas cette question pour le plaisir !
Tiens, d’ailleurs, depuis ma dernière question, j’ai relu ton récit, et voilà que tu en as modifié certains passages, dont la fin ! Pourquoi çaaaaa ?
Bigest--Buzaayy
Et une nouvelle tête, une !
Ce que je vais t’écrire se retrouve dans d’autres commentaires de vos récits : faites attention à la concordance des temps que vous employez, par pitié.
Passer du présent de l’indicatif à l’imparfait pour revenir, la phrase d’après, au présent de l’indicatif donne le vertige et finit, à terme, par carrément coller le mal de mer. Une homogénéité temporelle favorise le déroulement d’un fil narratif. Le passage d’un temps à un autre n’est, généralement, pas anodin. A manier avec précaution, donc ! Sur ce, revenons-en à ton récit.
Ouaf, voilà un personnage qui a du chien(chien) ! Espérons juste qu’il ne cabotinera pas trop… Huhuhu.
La simple idée d’un Ouginak méditatif m’a fait sourire. De quelle race imagines-tu ton Namyu ? Quel chien serait, selon toi, pile-poil dans la thématique de la zénitude absolue ? Je n’y connais pas grand-chose en la matière, mais je me demande quand même quelle image de Namyu tu avais en tête en le concevant…
Hahaha : « je t’ai senti(e) en difficulté » ! J’espère que le champ lexical de l’odorat continuera d’être exploité de la sorte. C’est discret, mais sacrément appréciable comme remarque, et d’autant plus lorsque c’est un Ouginak qui la formule !
Arf, par contre, tu remontes le temps et situes ton récit au tout début de l’histoire globale. C’est dommage ! Est-ce parce que tu n’as pas pu lire les autres interventions ?
Euh… PARDOOOON ? Mina aurait toujours vécue seule avec sa mère, sans père ni frère ni sœur ? Mais… Mais non ! C’est justement le contraire de ce qui a été bâti par les autres narrateurs. Mina a une famille recomposée et nombreuse, on ne parle pas du tout de la même personne, là ! Ahlala, quelle erreur du joueur françaaaaais… Punaise, mais… Mais noooon, c’est limite du gâchis que d’envoyer paître, comme tu le fais avec cette déclaration somme toute anodine, tout ce qui a été imaginé avant ton intervention. C’est jeter l’aspect communautaire des Récits d’Invention avec l’eau du bain. Maiiiis… Pourquoiiiiii ?
Si tu avais pris ou eu le temps de lire les autres participations, tu aurais découvert que la thématique du « ne laisse jamais les autres choisir à ta place, prends tes propres décisions » avait déjà été traitée et cela t’aurait sans doute évité de la répéter ici, en proposant quelque chose d’autre, quelque chose de plus original.
Tu sais, je me suis demandé si l’emploi du présent de l’indicatif avait un sens caché en ce qui concerne ton Ouginak. Considérant que les chiens (les animaux, en règle générale) vivent l’instant présent sans pour autant se mettre à tracer des plans sur la comète, je me suis dit que tu avais peut-être fait exprès de choisir de tout écrire à ce temps-ci. Histoire de bien montrer que ton Ouginak, lui z’aussi, n’avait que faire de ce qui ne se passait pas en ce moment-même. Quitte à s’autoriser une entorse exceptionnelle à sa façon d’être et de penser (: ce qui est passé n’est plus maîtrisable et ce qui arrivera ne s’est pas encore produit, alors pourquoi s’en faire ?) dans le dernier paragraphe où il évoque la décision à venir de Mina.
Etait-ce voulu ainsi — auquel cas j’applaudirai l’idée des deux mains — ou bien est-ce que je pars dans des élucubrations plus que capillotractées ?
Lilizefou
Tiens, coucou, toi ! Tu as décidé de mettre ton grain de
rizsel dans cette édition des RI ?Que nous as-tu pondu ? Voyons, voyons…
Ooooh, voilà quelqu’un qui a entendu parler du dilemme de Mina ailleurs qu’aux Piles ! Peut-être dans une région proche d’une des cases de la bande-dessinée promotionnelle, qui sait ? Qui est-ce ? Tortue Géniale ? A-t-il des lunettes de soleil et une barbe drue ?
Bwarf, Mortimer est un perdant magnifique, voilà qui en fait quelqu’un de bigrement attachant à mes yeux. Du coup, la carapace, le bâton noueux, le culte chélonien… On part sur une vénération d’Ixchelonia ? Si tel est le cas, on aurait une nouvelle mise en avant d’une divinité absente du Panthéon !
Je n’ai pas compris pour quelle(s) raisons tu passais du passé au présent, ici et là, était-ce réfléchi ?
N’empêche, les prêcheurs convaincus d’avoir l’aval de leur divinité font des adversaires redoutables… Jusqu’où serait prêt à aller Mortimer pour ENFIN faire gagner une âme à sa déesse, hein ? Jusqu’où ?!
Argh, l’inconnu entre deux âges qui aborde une gamine en la complimentant sur la fleur qui orne sa chevelure… Ne bouge pas, j’appelle la Milice ! Blague à part, c’est une façon comme une autre de faire un clin d’oeil discret à de précédentes participations. Ça se marie bien avec le reste, ça passe tranquillement, et tu aurais eu tort de t’en priver !
Néanmoins, nouvelle incompréhension de ma part dans le paragraphe suivant : il est question de divinités puis d’inconnus nombreux. Qui représente ce « ils » ? Et pourquoi Mortimer pense-t-il que certains ont été très insistants lorsque Mina lui parle du nombre de divinités recensées ? Quel est le lien ?
Montrer quelque chose de joli ? Il propose juste de lui montrer quelque chose de… joli ? D’aucuns auraient parlé de quelque chose de beau, ç’aurait été plus vendeur, plus spectaculaire, plus aguicheur… Mais, « joli », ça pare le tout d’une forme de simplicité naïve, peut-être plus apte à séduire ou convaincre une fillette. Quand je vous disais que ce Mortimer était louche avec les enfants !
Attends, comment Mortimer s’allonge-t-il sur le sol avec sa carapace sur le dos ? C’est… Ah, bon, d’accord, tu en parles par après, bien vu. J’ai rien dit, j’ai rien dit. Cela étant, le choix du terme « exosquelette » m’a paru trop brut de décoffrage. Comment dire ? Disons simplement que le mot faisait comme tache dans le décor tranquille que tu avais bâti. C’était un poil trop pointu, trop précis, dans une atmosphère placée sous le signe du « chaque chose en son temps, ne nous précipitons pas ». ‘fin bref, ça m’a semblé déplacé, voire inadéquat. Après, je conçois qu’il n’y a pas des masses de synonymes pour le mot « carapace ». Armure, blindage, coquille, cuirasse, bouclier… On en fait bien vite le tour.
Je ne connaissais pas l’expression « se mettre confortable », étant partisane de « s’installer confortablement », mais suis ravie de l’avoir découverte !
Ton « Elle est magnifique, n’est-ce pas ? » m’a fait penser à… A je ne sais pas quoi ! Mais j’ai eu comme une réminiscence d’un film, d’une voix grave ou ancienne, pétrie de mélancolie… Je suis incapable de retrouver d’où ça viendrait, mais, du coup, la question a fait bien plus mouche que ce à quoi je ne m’attendais tant ça enrichissait le moment d’une émotion supplémentaire. OH, JE SAIS ! Men In Black ! Quand, en parlant des étoiles, son précédent partenaire dit à K : « Elles sont belles, hein ? »
Gagnééééé, c’était bien Ixchelonia !
Gaffe aux répétitions qui pourraient être évitées : typiquement les pronoms qui sont repris d’une phrase sur l’autre, et d’autres encore auparavant, voire même que par la suite.
Bon, alors, euh… Comment dire ? L’image de la lune qui ressemble à une carapace de tortue, c’est juste dingue. C’est le genre de remarque qui déboule de nulle part, sans crier gare, et qui te chamboule un moment de lecture : « Attends, mais… Mais oui, c’est pas bête du tout, ça ! Punaise, bien trouvééé ! »
Heureusement, d’ailleurs, parce que le discours empreint de sagesse millénaire qui a suivi n’a absolument pas su faire vibrer la moindre corde sensible chez moi. Je me contenterai de la carapace lunaire, bien plus efficace et imagée à mon sens ! Il en faut pour tous les goûts (quelqu’un a parlé de soupe de tortue ?)…
Haaaan, l’apparition subtile d’une majuscule au mot « Lune » alors qu’auparavant il était écrit « lune » ! La transition discrète du statut d’astre, de satellite, à celui de divinité ! C’est fourbe, c’est fin, ça se mange sans faim, bravo ! T’aurais même pu filer la métaphore en écrivant « elle La trouvait déjà plus jolie », qu’en penses-tu ?
En tout cas, ça marque bien l’évolution de la pensée de Mina au niveau de sa considération de ce qui l’entoure (ou de ceux qui l’entourent, c’est selon).
Il y a peut-être un bémol sur l’impact qu’ont eu les précédents intervenants au niveau de la mentalité de Mina. Je parle ici du fait qu’elle recherche une contrepartie directe et tangible dans la vénération d’Ixchelonia. Mortimer fait pâle figure (l’adepte de la Lune, pâle, vous l’avez ?) à côté des hérauts de Sram, Sadida, Iop, Ecaflip et Ouginak… On peut même dire de lui qu’il se contente de très peu, en comparaison des autres, et qu’Ixchelonia ne semble qu’avoir peu de choses à (lui) offrir, en définitive. D’ailleurs, pourquoi l’a-t-il choisie ? Pour ne pas avancer à tâtons en pleine nuit ? On ne le saura jamais, mais ça semble lui convenir ainsi alors, s’il est heureux, réjouissons-nous pour lui. Au final, on dirait que la seule reconnaissance des bienfaits d’Ixchelonia suffit pour rendre grâce à cette dernière.
Au fait, dernière question : pourquoi ne pas avoir fait de Mortimer une tortue dès le départ ? On en retrouve à différents endroits du Monde des Douze, après tout !
TurfuuTeam
Yeah, déjà, c’est bien-bien cool que tu débutes ton récit pile au moment où s’est achevé le précédent, ça donne vraiment l’impression d’un tout homogène. Merci !
Bon, j’ai un peu d’mal à concevoir le fait que les silhouettes des jumeaux se dessinent à l’horizon, mais il paraît que la lune est levée donc disons que ça reste plausible.
Ce qui l’est moins, hélas, c’est la cohérence de ton récit : ce dernier est truffé d’erreurs qui viennent en perturber la lecture. Et je ne parle pas de coquilles, mais bien de ce que l’on appelle de véritables fautes d’ortho’gaffe. C’est dommage, je t’assure, parce que l’on passe plus de temps à regretter la lecture d’une nouvelle boulette qu’à s’extasier devant les prouesses d’Etherio et de son frangin.
Pourtant, ce sont deux personnages hauts en couleurs que tu nous as présentés-là ! Après des intervenants pâlots comme Mortimer, ça fait un bien fou d’avoir de l’action avec tes deux surexcités ! Oh, et l’image du Muloubard, miam ! Ex-quise. On cerne directement le personnage, c’est très visuel. Et le contraste entre la carrure phénoménale et l’arc chétif, hahaha, ça faisait grave plaisir à imaginer…
En revanche, de là à imaginer Etherio posséder la force d’un dieu (coucou Ougah), mouais… Non. ‘faut pas pousser mémé dans les orties, surtout lorsqu’elle est en short, hein.
Ah, et t’aurais peut-être dû éviter de mentionner le mot « cheval » en préférant à la queue éponyme le terme de « catogan »… C’est un détail d’ordre cosmétique (absolument pas cosmique) mais du genre qui change la perception des choses !
Attends, je… Que… Quoi ? Tu présentes Etherio puis… Tu représentes Etherio ? J’ai plutôt l’impression que tu ne t’es pas relu avec beaucoup d’attention et que tu voulais causer d’Aethelian, non ?
P’naise, c’est ouf ce que ton duo dynamique fonctionne bien... Tes personnages sont des caricatures ambulantes. Ils sont attachants au possible, possèdent une personnalité sur laquelle on pourrait tordre une barre de fer (à tout faire ou non), et représentent une inépuisable source de gags. GG !
Toutefois, y a toujours ce souci des erreurs qui flingue la cohésion de l’histoire. C’est dommaaaage, pfff, que je t’en veux pour çaaa… Le coup du Super-sayeune, bof-bof. J’imagine que tu t’es fendu la poire à l’écrire, et j’en suis contente pour toi, mais ça me tire plus de mon immersion (déjà malmenée) qu’autre chose.
J’ai trouvé qu’on perdait de cette originalité qui faisait le sel de ton récit lorsque tes personnages ont commencé à dévoiler des pouvoirs archi-pétés : le saut en hauteur qui ferait pâlir Goultard, l’épée divine qui découpe des pics rocheux (d’ailleurs, fais gaffe, on avait demandé à ce que l’environnement ne soit pas impacté par les actions de vos personnages).
Au final, les deux zigotos qui rataient tout ce qu’ils entreprenaient — avec panache, certes — se retrouvent propulsés au rang de demi-dieux. Cette faiblesse — ce décalage — qui faisait leur force, tu l’as fait disparaître… J’te cache pas que j’ai essuyé quelques larmes de regret à ce moment-là de ma lecture. Mince, c’était tellement jouissif et stimulant d’imaginer tes bras-cassés devoir composer avec leurs physiques et leurs aspirations aux antipodes les uns des autres ! Et voilà que tu envoyais promener ces perspectives prometteuses… Bouh, je te dis « bouh » ! Et je pleuuuuure… Je pleuuuuuure cette fraîcheur fanée par tes envies de grandeuuuur… Pourquoi m’as-tu fait ça, hein ? Pourquoââââ ?
La référence au tank a achevé de me tirer hors de l’histoire : c’est le genre de réflexion HRP qui tue l’immersion puissance mille. Alors qu’il y avait moyen de formuler la même remarque d’une façon bien plus adéquate qui n’aurait pas dénaturé la teneur du propos, j’en suis convaincue ! Idem pour le gorille… Je ne crois pas avoir déjà croisé ce mot en jeu, mais je peux me tromper !
Je suis persuadée d’une chose, au final, c’est que tu t’es éclaté à écrire et, rien que ça, c’est génial à ressentir. ‘fin, c’est qu’une impression, hein, mais on ne peut pas écrire toutes ces choses sans y prendre un malin plaisir. Alors continue de t’amuser en racontant des histoires, s’il te plaît, cette seule perspective me ravit !
antophantomhive
Je suis désolééééée… TT_TT
Je… Je n’ai pas du tout accroché à ton histoire, je… Je te demande pardooooon !
Il faut que je t’explique pourquoi car il me semble que c’est important (autant pour toi que pour moi).
Déjà, il y a des fautes. Beaucoup de fautes. Tout-tout-tout-tout-tout pleeeeein de fautes. Et une telle quantité d’erreurs, crois-le si tu veux, ça flingue fortement la faculté à se projeter dans une histoire. Il y a des phrases à rallonge qui, à différents endroits de ton récit, feraient perdre leur souffle à un(e) apnéiste chevronné(e). Petit conseil : relis tes écrits à voix haute. Tu sentiras ainsi à quels endroits il est nécessaire de faire des pauses afin de respirer : places-y des signes de ponctuation (virgules, points). Tu verras, rien que ça, ça change considérablement la donne ! Cela évitera, par exemple, d’achever de lire une phrase de six pieds de long en ayant oublié de quoi elle parlait au départ. Ce faisant, tes lecteurs seront plus touchés par ce que tu leur racontes, davantage « immergés » dans l’action, si tu préfères.
En ce qui concerne les erreurs, je n’ai pas d’autres conseils que ceux que je donnais précédemment : relecture, relecture, relecture et relecture. Sans oublier les précieux correcteurs orthographiques et les traitements de texte gratuits qui pullulent sur le Net. Rien que ça, ça fait une bonne partie du boulot ! Après, j’dis pas qu’il ne restera pas quelques coquilles, éparpillées ici et là, mais ça soulagera grandement le récit global.
D’ailleurs, en ce qui concerne le récit, j’ai été positivement surprise de découvrir que tu avais considéré qu’Orihime (Bleach powaaaa) ferait une parfaite disciple d’Eniripsa. Ça paraît tellement évident que je n’avais jamais pris le temps d’y réfléchir et ça fait de ton clin d’oeil quelque chose d’encore plus malin. Bravo !
En revanche — et c’est là que c’est dommage, j’ai cru comprendre que tu n’avais pas lu ou pu lire les autres histoires car, si cela avait été le cas, tu aurais su que les Piles de Kontouar possédaient déjà leur propre « médecin » en la personne d’Anton. C’est l’un des participants qui t’a précédé qui l’a inventé. La cohérence générale prend ici un coup dans l’aile…
En dépit de tout ça, je suis contente.
Contente parce que tu as tout simplement osé participer.
Nombreux sont ceux qui ne se sentent pas le courage de sauter le pas, mais, toi, tu as fait cet effort. Dis-toi bien que tout ce que je t’ai écrit plus haut n’a pas vocation à te décourager, bien au contraire !
Je ne suis pas là pour te faire de la peine, te casser ou autre méchanceté, rassure-toi ! On a tous débuté quelque part. Tout le monde a une marge de progression, dans quelque domaine que ce soit. Mes remarques n’ont d’autre but que de t’indiquer ce que tu pourrais travailler pour rendre ta prochaine histoire (parce que J’ESPÈRE BIEN qu’il y en aura une) meilleure que celle-ci.
Hé, t’as fait le plus dur : tu t’es lancé dans le bain des Récits d’Invention !
Il ne tient qu’à toi d’apprécier d’y barboter. Personne ne te demande d’y taper des longueurs, hein. Eclate-toi, partage-nous ton plaisir de raconter des aventures (on s’en moque de leur longueur, ce n’est pas la taille qui compte), fais des bulles et saute du plongeoir. T’as tout pour y arriver maintenant que t’es passé dans le pédiluve des retours et commentaires.
Vraghdakk
Que de nouveaux-venuuuus, aaaah, ouiiii, toujours pluuuuuus !
Outch, la question de départ : « Et si je décevais quelqu’un ? »
Ma main à couper qu’on va lui répondre un truc du style : « Tu es la seule que tu ne dois pas décevoir, Mina » à un moment ou un autre du récit. Je crois le voir venir gros comme une maison et croise les doigts — du moment que j’en ai encore dix — pour que ça n’arrive pas tant ce serait convenu...
Ceci dit, j’apprécie l’image du jour qui se prépare pour s’en aller dormir. C’est joli, merci !
Des crêpes ? Hein ? Quelles crêpes ? Aurais-je loupé un tel détail ? Ooooh, un ukulélé entre les pognes d’un géant ! Décalage, incongruité, bizarrerie… J’aime !
Ah, d’accord, c’est lui le pourvoyeur de sucreries. Ceci explique cela ! « Crepemestre », carrément ! Excusez du peu… La claaaaaasse ! La description que tu en fais est tout à fait charmante (et je (sou)pèse mes mots). J’en viens presque à me le représenter comme un camion de glaces plutôt que comme un Sacri’ couvert de cicatrices et j’ai l’impression de sentir les cristaux de sucre crisser sous mes dents en lisant ton Urgholl taper Mina de son coude…
Quel fin tacticien, ce géant… Il a compris que ventre affamé n’a pas d’oreilles, aussi s’attelle-t-il à remplir celui de Mina. A moins qu’il ne cherche l’ancestrale reconnaissance du ventre ? Rusé, le bougre !
J’en viens même à me demander si Urgholl n’aurait pas gagné à vénérer un Méryde tel que Dees ou Nido pour établir un parallèle entre la pâte à crêpe, la foi, les dieux et les fidèles… Mais je vois que tu dresses, à travers une savante et houleuse série d’échanges entre Mina et son fournisseur de gâteries, un portrait progressif (mais pas forcément progressiste) du culte de Sacrieur.
Je note : avantage dermatologique certain, ne coupe pas les cheveux en quatre lorsqu’il s’agit de raser gratis, précision indéniable, talent certain dans la séparation des corps, délicatesse relative, intolérance pas qu’au lactose, mauvaise foi proportionnelle à la crise hépatique du fidèle. Mouais, ça ne fait pas rêver, tout ça. Quid des adeptes diabétiques, mmmh ?
Trêve de galéjades, le fait est qu’Urgholl est terriblement attachant. Il y a quelque chose de choupinou dans le fait d’imaginer ce grand gaillard se comporter comme un gosse face à une gamine qui doit alors se comporter comme une adulte. Même si je ne goûte pas toujours le registre plus que soutenu employé par le géant (j’sais pas, j’trouve que ça ne colle pas bien à la situation, au personnage que tu nous décris), je me régale de la qualité du récit. Merci beaucoup, parce qu’il se dévore sans problème !
J’aime ce que je lis (donc ce que tu écris). C’est rafraîchissant, même si parfois un peu verbeux, et, surtout, fichtrement original. Y a de la matière, pas spécialement de grumeaux, et les crêpes suffisamment réussies pour qu’on puisse quasiment voir à travers. Ce qui me permet de conclure sur l’observation suivante : j’ai conservé mes deux mains. Appelez-moi le chef, j’ai deux mots à lui dire !
Xifeng
RATATATATATATATATATA ! « Ça, c’est fait, on passe à la suite. »
Quelle rafale de références aux autres récits dès le départ ! Je… Que… Qu’est-ce qui vient de se passer ?
Erf, caser l’anglicisme « token » dans la foulée et, ce, sans crier gare, c’pas fou-fou-fou.
Ah, mais c’est que tu continues d’énumérer les différentes rencontres, en plus ! Au fur et à mesure, ça finit par se transformer en liste de courses et on se (je me) demande davantage laquelle tu oublieras plutôt qu’autre chose. C’en devient presque lourd, à l’image de Mina qui se pare des nombreux présents lui ayant été faits, et je désespère de lire quelque chose de nouveau en lieu et place d’un résumé des épisodes précédents…
Toujours est-il que j’apprécie la façon dont tu as scindé les souvenirs : d’un côté, ceux qui concernent des inconnus et, de l’autre, ceux qui ont trait à des têtes familières. Je trouve ça chouette et plus intelligent qu’un bête recensement de personnages. Au moins, ça démontre que tu as réfléchi à l’articulation des choses, ce qui est pour le moins agréable. Non, c’est même franchement cool, n’ayons pas peur des mots !
Et que dire de ta vision de Mina ? Une bête de foire ? Eh bien, tu n’as pas tort. Je n’avais pas du tout envisagé les choses sous cet angle, et tu as très bien fait de proposer pareille approche, merci.
En revanche, ce que je conçois moins, c’est que Mina n’ait jamais entendu parler de l’existence d’un arbre tel que tu le décris dans ton histoire. Il est maousse costaud, le bousin. Passablement remarquable, même. Et personne — genre peeeeeeersonne — n’en aurait jamais fait mention durant les douze années d’existence de la pauvre fillette ? La pilule a du mal à passer, ‘faut croire qu’elle fait la même taille que l’arbre en question…
A part ça, l’idée d’y suspendre des myriades de masques illuminés est brillante. Ça pose et crée une ambiance particulièrement fantastique, j’en redemande ! Encore, encore !
Les changements de visages inertes de la Zobal sont fluides et rendent le personnage ô combien attrayant (et mystérieux), je me demande si elle basera son mode de communication sur l’enfilage de masques expressifs plutôt que de céder à la facilité du langage oral… Ah ben non, tant pis. Ça commençait pourtant de la sorte… Bon, admettons qu’elle cause. Pour dire quoi ?
D’ailleurs, tant que j’y songe, pense à faire gaffe à la concordance des temps : y a des passages où l’on saute du coq à l’âne — ou du Tofu Royal au Iop, si tu préfères — et cela vient attenter à la beauté de l’instant, de la scène, de la lecture.
Idem pour les velléités d’écriture inclusive. Soit tu joues le jeu jusqu’au bout et tu l’appliques absolument partout, soit tu t’abstiens et tu évites un résultat en demi-teinte qui donne l’impression d’avoir le popotin coincé entre deux chaises.
Concernant la conteuse, son visage est-il entièrement ou partiellement masqué ? Je te pose cette question car tu indiques qu’elle sourit à une Mina éplorée, sauf que cette dernière ne risque pas de voir le sourire en question, si ? Tu me diras, il peut toujours se sentir dans ses intonations…Haaaan, ç’aurait été tellement cool d’avoir des descriptions plus poussées des masques que Mad-Nessy disposait entre elle et Mina pour appuyer son propos ! Cela aurait certainement enrichi et approfondi la scène, tu ne penses pas ?
Il y aurait sans doute eu davantage d’enjeux dans le fait de narrer la légende future de Mina à la sculpteuse d’histoires puisqu’on aurait eu un avant-goût des légendes d’autres personnes rencontrées par la Zobal. En l’état, on a compris que l’histoire d’une personne s’étale sur le masque qui lui est dédié, mais on n’a strictement aucun aperçu du résultat via des descriptions des œuvres suspendues. J’sais bien qu’il ne faut pas regretter ce qui n’a pas existé, mais je ne parviens pas à me défaire de l’idée que ç’aurait été une sacrée valeur ajoutée...
Entre nous, Mina n’a-t-elle pas rêvé cette rencontre ? Tu effaces les traces de Mad’, relègues cette dernière au rang de souvenir évanescent et joues sur la potentielle fatigue ainsi que l’égarement autant géographique que psychique de l’adolescente. Tout pourrait bien n’avoir eu lieu que dans son esprit… Non ? Qui sait ?
Mention spéciale à ton arbre et à son « feuillage » ! Ils m’ont fait forte impression et j’en garderai un très bon souvenir…
limaginaire
Aaaargh, toujours en retaaaard…
Oh ? Mais pourquoi fais-tu apparaître ton acrostiche aussi visiblement ? Ça gâche un peu la surprise… TT_TT
Une pile électrique aux Piles, voilà qui n’est pas banal et qui vient enrichir le vivier d’adeptes de divinités ne faisant pas partie du Panthéon. Un Sharivaton que ton personnage adore la petite déesse du Tumulte ! Comment ça « bien sûr, c’est évident » ?
Ton électron libre fait souffler un vent de fraîcheur — et de légèreté — sur la région, ce qui n’est pas pour me déplaire. Rien n’est sérieux, tout est prétexte au jeu… Qu’est-ce que ça change ! Merci-merci !
Gros coup de coeur pour le passage dans la taverne — je n’imaginais pas Maître Kontouar aussi jeune, mais peut-être ai-je mal lu le récit correspondant ? — qui s’intègre joliment au reste tant il détricote la trame de fond pour y insérer les interventions de ton personnage en filigrane. C’pas intrusif pour un sou, et même chouettement tourné !
Mais alors en ce qui concerne la justification que tu donnes à l’anonymat des porteurs de capuche, là, chapeau ! C’est aussi réfléchi que logique, sur le fond comme dans la forme, et tout ça témoigne d’un travail de recherche pas pris par-dessus la jambe. Bravo, bravo ! O_o
Ouais, c’est essentiellement cette réflexion que je retiens de ton histoire, plus que le reste. C’était inattendu et, à mon sens, hyper bien mené (ou, du moins, suffisamment convaincant pour me persuader que ça l’était). Je ne me lasse pas de la relire, plus que l’inventaire des méfaits de ton encapuchonnée, sa distribution de friandises et ses plaintes incessantes à l’encontre de la routine ambiante qui finissent, paradoxalement, par dev’nir ennuyeux à la longue.
Non, vraiment, merci pour ce moment de réflexion et de remise en question ! J’en suis bigrement satisfaite !
minitoast91
Ecrivain(e)s, portons un (mini-)toast !
Un toast pour cette entrée en matière fondamentalement angoissante qui s’achève sur un fou-rire lorsqu’on imagine un sketch célèbre à la place de la première intervention : « Psssst, tu veux de la drogue ? »
Quel malade peut bien faire son beurre dans les rares recoins des Piles de Kontouar ? Ton personnage a tout de ce vendeur à la sauvette échappé du Hercule de Walt Disney. C’est drôle-drôle-drôle, hahaha !
Certains de ses arguments portent vraiment bien.
En tête, ce fameux « on dit qu'un enfant est élevé par un village mais c'est parce que tout ce qu’on boit à ton âge c’est la parole des autres » qui aurait mérité d’en rester là, sans s’encombrer de l’allusion explicitement dépréciative. La remarque se suffisait à elle-même, elle était lourde de sens et de sous-entendus qu’il n’était pas nécessaire d’expliciter, je crois… Ça revenait à décortiquer une blague, en gros.
‘fin bref, je m’attarde sur un point de détail (mais seulement parce qu’il m’a ‘achement plu).
Wowowoooo… Ce débit (et pas que d’boissons) ! Cette verve ! Ces jeux de mots ! «bandit : cape et bandeau », « bandit : cape et bandeau », « bandit : cape et bandeau »…
Quelle douce musique à mes oreilles. Ça glougloute, ça sonne, ça se répète, ça ding-ding-dong… Mais c’est que tu touches une corde sensible, là, hé ! Encore, te dis-je. ENCORE !
Pouaaaaaaah ! MAGISTRAL ce « t'as survécu douze ans sans les dieux mais pas un jour sans ta famille » ! Tout est franc du collier (autant que faire se peut chez un Roublard, du moins), le toc mis en avant, le plaquage or gratté volontairement. C’est brut de décoffrage et le débit de paroles soutenu — pour ne pas dire haletant — renforce la condition de bonimenteur de ton personnage. C’est grisant !
Bon, la fin (trop) soudaine tombe un poil à plat, en regard de la performance précédemment réalisée, mais il faudra s’en contenter.
Je suis certaine qu’avec une relecture plus poussée, quelques coquilles éliminées et des respirations mieux placées, ton histoire aurait été encore plus prenante qu’elle ne parvient déjà à l’être. N’aie pas peur de te laisser entraîner par tes idées ! Tu as prouvé que tu en avais — et des bonnes, ça oui ! — alors ne « gâche » pas tout (j’exagère en utilisant le verbe « gâcher », hein, ne t'en formalise pas) avec une conclusion trop abrupte... Reviens, mecton, et fais-nous voir de quoi sont capables les membres de ta famille !
Peace4You2
Je… Je n’ai pas cerné l’intérêt fondamental des messages de chargement de l’histoire, si c’est ce dont il était question… Toutes mes excuses.
Quoi qu’il en soit, fais bien attention à ce que tu déclares : prétendre que « chaque représentant important des divinités du Krozmoz » intervient dans le choix de Mina revient à frayer dangereusement avec l’une des limites de cette édition des RI. On ne manipule pas des personnages du background officiel. Quoique… On pourrait arguer que chaque représentant d’une divinité est important. Pour cette dernière, en tout cas. Mouais, allez, disons que ça passe pour cette fois…
Je ne te cache pas avoir écarquillé les yeux à la lecture de la mention du culte d’Enutrof. Enfin ! Enfin Celui-Qui-Murmure-À-l’Oreille-des-Cailloux allait avoir droit à son moment de gl… Ah, non.
Mais… Pfff ! Allez, quoiii ! Fais pas ta pince, envoie un Enutrof ! S’te plaîîîît… Non ? Grmpf…Là où d’autres répugnaient à aérer leurs récits, tu t‘échines à fragmenter le tien. Et pas dans la demi-mesure, hein, c’est même parfois trop morcelé, au final… O_o
Bwarf, le cliché de la silhouette mystérieuse et encapée a la vie dure et trouve, dans ta participation, une nouvelle occasion de se rappeler à notre bon souvenir. Je saurais m’en accommoder, mais… Mais n’existe-t-il donc aucune autre manière de créer des personnages qui suscitent la curiosité ?
Râh, pauvre gamine… Pathétique Mina... Nous ne nous rendions vraiment pas compte qu’elle serait la cible d’un tel harcèlement. C’est bon, n’en jetez plus, la coupe est pleine ! On ne nous y reprendra plus, promis-juré-craché ! Rrrrrrrrk-pteuh !
Et ça va loin, cette histoire, jusque dans les menaces et la culpabilisation… Paye ton traumatisme ! Pardon, Minaaaaa ! Pardooooon… TT_TT
Oh, mais… Un sans-dieu ? Ooooh ! Qu’est-ce que ça va donner, ça ? O_O
Pwahahaha ! « c’est pas bien de ne pas avoir de dieu à votre âge » : ce ricanement attendri que ça m’a décroché ! Bravo, huhuhuhuhu !
Par contre, je n’ai pas non plus saisi cette histoire d’intervenant plus jeune que Mina. Cela fait-il référence à quelque chose qui se produira plus tard dans l’histoire ou bien s’agit-il seulement d’une façon de parler ?
D’ailleurs, concernant la façon de parler de ton ancien adepte de Xélor, autant j’apprécie les énigmes, autant certaines de celles qu’il sert à Mina me laissent dubitative. Etre ou avoir, ça passe. C’pas follement élaboré, mais ça fait le café. Celle du choix entre deux gâteaux, en revanche, fonctionne bien mieux dans le contexte de l’histoire (c’est d’ailleurs, je crois, mon énigme favorite parmi toutes celles posées par ton personnage). Celle des deux toutous, en revanche, tire trop en longueur pour atteindre efficacement le coeur de la cible, mais elle avait aussi son propre potentiel.
Je ne comprends pas des masses de quelle manière (punaise, ça fait trois fois que j’écris ne pas comprendre quelque chose, pardon-pardon) ton non-Xélor retombe sur ses pattes et retrouve le fil de sa démonstration pour parvenir à ce qu’il attendait de mettre en avant : l’importance de la foi pure et dure. Toujours est-il qu’il s’en sort et que sa réaction m’a touchée lorsque Mina lui a demandé si la force était proportionnelle à la croyance.
J’ai… J’sais pas, c’est tout niais, hein… J’ai ressenti sa fierté alors qu’il verbalisait ce qu’il ressentait face à la sagacité de la fillette. Là, tu vois, je me mettais bien à la place du personnage. Dommage, par la suite, que la précision maladroite de la coupe imaginaire et des supporters invisibles ait mis à mal cette immersion naissante.
Dans un autre registre, j’ai apprécié le rendez-vous sous une autre apparence donné par l’encapé. C’est une ouverture plaisante et prometteuse, ça, merci !
Tu aurais fini sur une note hyper joyeuse si tu avais supprimé le premier mot de l’ultime phrase. Je crois que cette dernière aurait ainsi vu son effet — déjà bien bon — décuplé !
En définitive, que penser de cette non-participation ? Parce qu’il était quand même demandé de présenter sa divinité favorite à Mina, hein. D’autant plus que je ne saisis toujours pas comment ton personnage peut conserver les pouvoirs octroyés par Xélor alors qu’il ne vénère plus ce dernier…
Ne t’es-tu pas, de fait, disqualifié toi-même en partant du principe qu’aucun dieu n’est important et que seule la foi importe ? Rien n’est moins sûr, mais je suis contente que tu aies pris ce risque inédit car je trouve méga cool d’avoir achevé ces RI sur une participation atypique qui prend les choses à rebrousse-poil !
Jai détaillé un certain nombre de points dans une réponse sur le post de Toko-Rakle si tu es intéressée. Faire des coupes dans un texte est toujours un choix douloureux. Cela peut être pénible pour le lecteur de voir passer plusieurs versions. Une version plus longue et plus détaillée sera mise à disposition si vous le demandez.
P.S : "irent" pour "allèrent" et "coup" pour "cou", c'est limite. Pour le coup avec un p, j'ai honte.
Bon jeu et à bientôt dans le monde des douze.
Merci beaucoup pour cette participation haute en fourberie et pouvoirs occultes, les morts n’ont qu’à bien se tenir, car Mina tient là une réelle fervente du Dieu au crâne souriant !
J’ai beaucoup apprécié l’approche de ton personnage, très fidèle à ce que l’on pourrait imaginer d’une disciple de Sram. Les descriptions sont assez riches, la narration agréable même si ici et là on peut retrouver quelques erreurs de virgule ou de temps qui coupent un peu avec le reste du texte qui est bien écrit, n'hésite donc pas à te relire à voix haute, cela te permettra d'éviter ces soucis de rythme.
Le tout est ponctué d’une touche originale est intéressante qu’est cette proximité de ton héroïne, et de certains autres Sram, comme tu le dis, avec la Nécromancie et la mort… malheureusement cette originalité est également le problème de ton texte : dans le Monde des Douze, la Nécromancie n’est vraiment pas bien vue et ses adeptes sont rares et reclus. Si Sram a une apparence morbide, il n’est pas le Dieu de la Mort, titre qui se rapprocherait plutôt de Thanaténa. Je reconnais cependant que la jonction était tentante et s’implantait agréablement dans le fil des événements.
En tout cas, je me suis régalé de cette lecture et je t’encourage vivement à continuer !
Salutations el-octodonne2,
Les disciples de Iop te saluent ! Et en parlant de disciples de Iop, celle que tu présentes en est un exemple prisé ! La petite Mina a là une présentation assez fidèle de ce qui peut se faire en termes de fervente de Iop.
J’apprécie ce caractère bien trempé que tu nous fais percevoir dans ton récit, par les pensées, les paroles, mais aussi les actes et manières brutales de cette chère Tsugira. Clairement, elle n’aura pas laissé indifférents les différents spectateurs de sa prestation.
Si je devais mettre un petit coup de loupe sur ton récit, il me faudrait cependant mettre en avant que tu as pas mal remanié le cours des choses en ramenant la scène sur la place avec encore un public étoffé, là où les deux récits précédents se chevauchaient bien dans un cadre plus isolé, tu as plutôt tiré Mina au milieu de la place sans réelle transition pour servir le côté spectaculaire de la présentation de ta disciple de Iop, et, d’avis purement personnel, j’aurais peut-être préféré que tu fasses un petit peu moins agir le public pour te concentrer davantage sur ton personnage qui avait toutes les cartes en mains pour dégager une aura intimidante que tu nous fais deviner par ceux qui l’entourent.
En bon disciple de Iop, j’aurais bien aimé savoir de quelle facture était cette épée qui fascinait tant notre petite Mina !
Je noterais aussi un certain nombre d’erreurs mais rien qu’une bonne relecture supplémentaire ne pourrait corriger pour toi à l’avenir !
J’ai en tout cas bien souris à cette présentation de consœur guerrière. Elle est une aventurière comme on aime en rencontrer et dont les histoires sont toujours amusantes à suivre ! J’espère pouvoir un jour lire d’autres aventures de cette incorrigible Tsugira.
À la tienne Lutineur !
Pouvoir lire tes textes, c'est toujours un plaisir. Merci de nous offrir ces lignes agréablement écrites malgré que tu ne veuilles pas entrer en ligne de compte dans nos coups de coeur.
Et quel coup de coeur que ce Pandawa, on l'imagine si bien, on s'y croirait même, l'odeur de fermentation aux abords du notre nez. Je trouve l'histoire tout simplement superbe, notre protagoniste étant d'une cohérence parfaite malgré son don pour l'ivresse et sa passion pour le lait de bambou n'est pas usurpée, qu'elle pirouette il nous a fait là pour sauver cette choppine !
Que Pandawa veille sur lui. Juste, qu'on se le dise entre nous... n'aurais-tu pas confondu "majorité spirituelle" et "majorité" ? Est-ce que ce bougre de Lutineur serait en train de nous faire boire notre p'tiote de 12 ans ?! Oh ça va barder pour lui ! On dirait que tu vas donner une bien mauvaise réputation aux disciples de la Déesse...
Blague à part, ton récit est juste top, agréable à lire et reprend parfaitement les récits précédents en leur rendant honneur de références bien pensées. Que ce soit en compétiteur ou non, continue de nous régaler avec tes récits, c'est du bonheur !
Bonjour à toi, -Lauraetcaroline- !
Je suis ravi de pouvoir lire ta participation tout en poils, le Dieu Écaflip venant compléter cette collection qui promet de se fournir de plus en plus.
Tu as joué une carte (ah les jeux de mots) sécuritaire en reprenant les écrits du Temple, mais tu t'assurais aussi comme ça une ligne d'écriture rassurante... Et c'est ce que j'aurais tendance à trouver dommage dans ce qu'aurait pu nous offrir on disciple d'Écaflip ! Après son introduction si énigmatique, j'étais très curieux de lire la suite, mais c'était peut-être un peu trop linéaire pour la suite, un peu trop scolaire par rapport à ce qu'on pourrait lire dans un ouvrage de Temple, par exemple... est-ce que tu as préféré ne pas trop risquer une narration plus osée pour commencer ?
Si c'est le cas... eh bien j'aurais tendance à dire que tu as tout ce qu'il faut pour te permettre d'oser. J'ai vu de très bonnes choses dans ton texte (notamment l'arrivée de l'Écaflip) et je suis sûr que tu peux étendre de si habiles ressources au reste de ton histoire.
Avouons-le, j'aurais aussi aimé voire des références un peu plus poussées aux participations précédentes, elles sont riches en détails et tu avais matière à nourrir ton texte d'éléments supplémentaires, et c'est là le coeur des RI !
Je t'encourage en tous cas à continuer à écrire, et oser : t'as plume retient bien des belles choses !
Bonjour Tricotinette à la fée bleue !
Quelle amusante visite nocturne tu nous proposes là et ce, tout à l'honneur de la Déesse aux petits soin.
La petite balade nocturne est mignonne, je me suis particulièrement amusé de cette intervention lapinesque où je m'imagine bien ce petit bout tout agité et absolument intenable. À vrai dire il n'aurait vraiment manqué à ton récit... qu'une référence plus forte, plus recherchées aux autres participations !
Enfin, c'est ce que j'aurais pu te dire... s'il n'y avait pas une faute de BG assez conséquente. La Déesse Éniripsa est certes la maîtresse des soins, mais elle n'est pas réputée pour aller soigner à tout bout de champ dans les rues... encore moins d'avoir un atelier ouvert à qui le souhaite, car c'est une résidente de l'Inglorium après tout et non pas une entité accessible et facile à rencontrer.
Je comprends le plaisir que cela a pu être de t'imaginer son coin à elle, mais en prenant cette liberté, tu te mets en délicate position vis-à-vis du BG du jeu, et c'est pourtant une des règles importantes des RI ! C'est dommage, car tu as une belle plume, ton récit est amusant et il ne t'aurait finalement manqué que cette mesure, et quelque chose pour la remplacer pour étoffer ton récit pour avoir une véritable petite perle !
En tous cas, rien ici est hors de ta portée, avec l'imagination, tu n'auras aucun mal à combler cette ombre à l'avenir !
Bonjour... ccfcffccf !
Un nouveau disciple d'Écaflip ? À la bonne heure, le Dieu des joueurs est à déjà deux disciples on dirait (parlant de ça... tu n'aurais pas justement oublié dans ton récit que Mina venait tout juste de rencontrer un Écaflip avant le tient :p ?).
Parlons peu, parlons épopée, celle-là même dans laquelle tu nous entraînes, que ce soit dans les bois ou dans la mine, je vois derrière tes descriptions le désir de créer des scènes épiques pleines de détails... mais cela a finalement joué contre toi.
Il y a nombre de détails, oui, mais ils sont peu espacés, ces phases de descriptions peu aérées ce qui devient vite étouffant, et la scène qui se voulait épique tourne vite à une tirade où ton lecteur risque de se perdre, ou perdre le fil, l'un ou l'autre n'étant pas désirable.
Malheureusement, c'est une petite faute dans laquelle tu verses plusieurs fois dans ton récit ce qui peut être décourageant et c'est bien dommage : on sent ton désir d'en mettre plein la vue.
C'est quelque chose que tu pourras changer sans mal à l'avenir, aussi ne lâche pas l'affaire : un peu de d'air dans tes descriptions, de rythme, et une pointe de piquant et tu auras tout pour séduire tes lecteurs.
*se pince le nez* Salut Katibiby, cobbent ça ba ?
Ah, pas d'inquiétude pour l'haleine de bouftou, on fera avec ! Au tour d'Osamodas d'avoir une représentant, et pas moins que le frère de notre chère Mina !
Je ne vais pas te mentir, je me suis dit que la petite Mina ne serait pas très convaincue par cette aventure. Avoir un texte relativement court n'est jamais un problème lorsque l'on sait y mettre des éléments importants, mais ces éléments, on ne les retrouve pas vraiment. Je trouve que ce brave Jean-Francois manque un peu de conviction, de persuasion, et son exemple est un peu simple, tant est qu'on a du mal à faire forcément le lien avec Osamodas.
Finalement, nous sommes un peu plus proche de la rencontre agréable/aventure que de la tentative de persuasion, ou de conseil. Osamodas n'est pas tant vendu. Oui, invoquer c'est cool, et avoir une influence sur des créatures aussi, mais je ne sais pas... ça manque de quelques anecdotes qui pourraient vraiment nous faire dire qu'être Osamodas, c'est intéressant, voire la classe !
J'ai pu remarquer qu'il y avait pas mal de fautes dans ton texte, notamment des conjugaisons. N'hésite pas à prendre le temps de te relire, vérifier certaines écritures, cela pourra t'éviter des coquilles à l'avenir ! En tous cas, merci pour cette participation, j'espère que tu reviendras avec les bagages plus fournis, parce que ma faim n'en demande que plus !
Piquantes salutations Alexiacia !
Mina sortira de cette rencontre avec de belles leçons de vie, des leçons que seul un bon et fidèle disciple de Sacrieur peut dispenser. Quel dommage que notre protagoniste soit si pressée, je suis sûr et certain qu'elle aurait eu encore beaucoup de belles choses à lui raconter, des choses que j'étais très impatient pour découvrir.
Tu as su mettre le doigt sur des sujets très intéressants et tu as pris en mains des intrigues avec un potentiel riche... j'aurais beaucoup aimé que tu pousses ces thématiques un peu plus loin, quitte à mettre notre disciple du Sacrifice en retard pour son rendez-vous, car si tu mets une certaine "hype", elle n'aboutit pas vraiment.
Je suis pourtant persuadé que notre amie avait dans sa besace quelques histoires à la belle moralité où elle aurait pu illustrer ce fameux sens du sacrifice. Il ne manquait finalement que cet exemple concret, que cette aventure à faire vivre à Mina, peut-être, pour atteindre le top du top !
J'ai remarqué aussi un certain nombre de coquilles, et parfois des maladresses d'écriture. Pour moi, le meilleur remède pour ça, c'est une bonne vieille lecture à haute voix, tu auras tendance à plus facilement remarquer tes erreurs et surtout, tu pourras déceler les endroits où les phrases sont un peu bancales niveau rythme.
En tous cas, tu as un sacré beau paquet de bons ingrédients pour faire une soupe d'exception. Une bonne pièce pour parfaire ce plat et le voilà transformé de goûter à plat de résistance !
Continue à écrire, je réserverai une table à coup sûr à la prochaine recette !
Bienvenue dans les tortueux couloirs des Récits d'Invention -Moeb- !
Et malgré ces chemins tortueux, quelle habile histoire, quel beau texte que tu viens nous présenter là.
Je suis resté accroché à ma lecture du début à la fin, et même jusqu'à la faim car c'est avec gourmandise que je m'imaginais les scènes que tu nous offrais. Ta prise en compte des autres participations est agréablement subtile et je la salue.
Tu as su mettre une aura mystérieuse autour de ton personnage, et c'est avec plaisir que nous l'accompagnons sur la Bossue au côté de Mina, et qu'elle habile utilisation de ses pouvoirs. On ne pouvait en attendre moins d'un digne Eli-... attendez quoi ? Eliatrope ? Avec un "a" ? Aïe... les Eliotropes sont un sujet difficile sur Dofus, mais les Eliatropes, ah ça, excepté de feu N et des quelques caves immergées, il serait problématique de les énumérer à l'âge des Dofus, et c'est pourtant un chemin que tu as emprunté.
Habitué à l'univers de Wakfu ? Quoi qu'il en soit, c'est vraiment dommage pour ton récit car c'est le points culminant qui t'emmène sur cette pente glissante qui te met en défaut vis-à-vis du BG officiel !
J'ai aussi un peu peur que de mettre en avant une source de Wakfu, un "cataliseur" dans la Bossue, n'ait été un peu trop audacieuse, te faisant là aussi glisser sur une pente verglacée. Ne nous mentons pas, l'idée est vraiment intéressante, le concept original mais les RI ont leur cadre et si tu n'en étais pas sorti avec cette dérive, cela aurait été juste parfait !
En tous cas... n'hésite surtout pas à recommencer à présenter tes textes, ils sont très, très agréables à lire !
C'est un plaisir de te revoir Row-Sebal !
Je suis d'autant plus content de revoir ton nom dans ces RI que c'est pour nous proposer un texte aussi agréable à lire.
Tu nous dépeins les charmes de cette chère Fantomine mais ta plume lui vole tous les projecteurs et c'est finalement dans cette aventure où la liberté de la vie de Sram prend un goût unique, aisé à distinguer parmi les saveurs qu'on pouvait lui soupçonner.
Tes références aux autres participations sont fournies, l'argumentaire pour convaincre Mina bien présent et tout ceci accompagné d'une histoire au rythme bien ficelé, touchante et fluide. Tout va bien dans ce texte, et j'ai passé un très bon moment en le lisant, merci !
S'il y avait une chose à redire, ce serait les quelques coquilles cachées ici et là tout au long de ton récit et si on sent que tu as fait une relecture, certaines de part leur camouflage ont trompé ta vigilance. Hormis ceci, impeccable, à quand le prochain tome ?
Bonjour et surtout bienvenue à toi ultimafeca2011 dans l'aventure RI,
C'est toujours plaisant de voir de nouvelles personnes s'essayer à cet exercice pas si simple.
Tu as fais là un choix osé en prenant du recul avec le récit, et c'est assez original d'avoir pris le point de vue du grand père racontant différemment les événements à comparé des participations précédentes !
C'est à la fois habile, mais aussi risqué car tu joues beaucoup avec le hors-sujet mais heureusement tu te rattrapes de justesse à la fin en parlant de ce Feca essayant d'enseigner et de jouer avec la jeune Mina.
C'est d'ailleurs un peu cela qui me laisse un petit peu insatisfait. Si c'est mignon d'entendre un grand père parler à ses petits enfants, tu as aussi déporté le récit si bien que nous passons très, très peu de temps dans le coeur du sujet, le coeur de ces RI : convaincre Mina de rejoindre une divinité.
Dans ton texte, c'est presque anecdotique, et c'est dommage ! J'aurais vraiment aimé voir plus en détails ces échanges entre Mina, comment il lui aura présenté ses pouvoirs, comment il lui aura vendu ce lien avec la Déesse des protections...
Je pense qu'il y avait de la marge pour nourrir ton récit de beaux échanges entre l'un et l'autre, d'autant plus que tu prends le parti de dire qu'ils ont passé plusieurs jours ensemble. Tu prends donc BEAUCOUP de place dans le peu de temps que tout le monde a dans ces Récits d'Invention.
Beaucoup d'espace que tu n'exploites que pour une phrase finalement. C'est dommage ! J'attire également ton attention sur ton écriture, n'hésite surtout pas à relire ton texte plusieurs fois, et au moins une fois à voix haute. Cela te permettra de ne pas souffrir d'un grand nombre de coquille et ton texte ne pourra qu'en gagner en qualité, et c'est tout le mal que je te souhaite pour la suite !
Bonjour Le-C0NTEUR,
Enfin, c'est ce que je dirais si je n'avais pas peur de te rendre grognon.
Ton vieux brouissailles n'est clairement pas des plus sociables. Il est néanmoins un personnage aussi attachant qu'intéressant et son approche du culte Sadida n'a rien à envier à celui de la belle Rosae !
Si je dois regretter une mise un forme un peu... tassée, l'écriture est très belle et la lecture est aussi fluide que difficile à arrêter.
Non seulement ton personnage est dépeint de façon attachante mais le soin que tu mets dans la mise en place de l'environnement mais aussi de leur relationnel a tout pour capter l'attention ! On suit leur échange avec la tendresse et la bienveillance qui peuvent se lire d'un grand-père à sa petite fille, et pourtant ils ne sont pas parentés, sauf, qui sait, par leur culte dans un futur proche ?
C'était donc un pur régal, du début à la fin et cela sans citer les références aux autres participations finement placées. Merci pour ta participation, continue à écrire, c'est un cadeau pour tes lecteurs !
Bonjour Nylwosh,
Et bonjour aussi à ton cher compagnon à quatre pattes ! Il ne faut jamais retirer le mérite de ces courageuses créatures.
Ton récit rentre incontestablement dans l'enclave de ceux qui sont si agréables à lire. C'est un charmant duo que tu nous présentes là pour rencontrer Mina et ton talent pour mettre en scène leur rencontre avec la jeune fille mais aussi pour énumérer les autres participations est qualitatif au point où on en reprendrait pour le dessert !
Cette plume est si habile, que je suis d'ailleurs peut-être resté un peu sur ma faim pour les mérites que Valcade donnait de Féca.
Ah, c'est ça, lorsque l'on goûte à quelque chose de si agréable, on en veut forcément plus ! Allez c'est décidé, c'est clairement ce que je commanderai au prochain Nowel et j'espère voir ton nom en tête d'autres textes à l'avenir, j'en serai ravi !
Bon jour pour un bonjour gearbutcher !
C'est un texte bien énigmatique que tu nous proposes là. J'ai essayé de suivre l'ordre de ton texte et fermer les yeux... mais il ne s'est rien passé ensuite ! J'ai dû les réouvrir, mais forcément, ça n'avait pas le même effet.
La première chose que je vais te dire, c'est que j'ai beaucoup apprécié tes jeux de mots, ils étaient assez habiles ! Parlons peu, parlons mieux, et c'est cette fois de ton cher Éniripsa qu'il est question.
Tu passes un certain temps à amener à sa rencontre avec de jolis détails si bien que lorsqu'on arrive à lui... sa description est si courte, et sa prise de parole si brutale, qu'on a l'impression qu'une partie du texte a été emportée par le courant de la rivière.
La transition est d'autant plus brutale que nous arrivons sur une très grosse phase de texte qui manque un peu d'air si bien que l'on perd facilement l'ambiance et qu'on se retrouve plus à essayer de ne pas se tromper de ligne qu'à suivre ce que tu écris, ce qui joue contre le texte d'apaisement que tu offres.
En tout cas, si Mina aura fait une jolie sieste avec une séance d'ASMR agréable, il lui manquera quelques arguments et convictions à l'égard de la Déesse Éniripsa pour se constituer une solide décision.
N'hésite donc pas à recommencer à écrire, le style que tu as essayé d'employer est prometteur mais offre un peu d'air et des intermèdes à ton lecteur : une fois qu'il aura lu ta séance de méditation, alors il pourra se l'imaginer dans sa tête après coup, mais il ne peut pas et te lire, et se laisser porter par une phase de méditation si le format de la lecture suscite toute son attention pour lire correctement.
Je suis curieux de te voir réessayer et améliorer le format !
Bas les masques Sweyl, et bonjour !
J'avais assez hâte de lire une participation qui parlerait de la culture Zobal et je ne suis pas du tout déçu avec la tienne, la parallèle que tu fais entre le masque et les émotions étant des plus intéressants à suivre.
Prenant le pas sur Mina, on serait même tentés d'aller expérimenter cela nous-même et s'offrir un stage 6 mois Zobal émotionnel.
Ton récit est somme toute agréable à lire, même si je dois avouer avoir beaucoup tiqué lorsque tu as changé le sujet du narrateur. D'un côté, c'est un narrateur omniscient extérieur, et puis d'un coup, c'est ton Zobal. Je ne sais pas si tu as essayé de donner un style particulier à ton texte de cette façon mais du coup, cela constinue dans cette forme précise une erreur assez perturbante.
Je suis aussi un peu étonné que ton Zobal retire son masque comme ça, si facilement devant des inconnus, mais bon, on a vu de tout, même dans les news Dofus !
Pour ce qui est de la prise en compte des autres participations, tu fais bien des références correctes aux autres participations mais j'ai l'impression que tu en as sauté certaines, ton texte prenant assez mal la suite du précédent dans la mesure où l'un était tout juste à l'aube dans une ambiance de repos alors que ton récit arrive en pleine nuit après une journée épuisante. De plus, lorsque la question est posée à Mina de la connaissance de disciples Sadida, elle énumère Rosae mais pas le vieux broussaille qui est pourtant normalement plus frais dans son souvenir.
Cela mis à part, ton écriture est très agréable et tu ne manques pas d'inspiration, vraiment, un gros plus pour ta perception des masques Zobal et leur présentation à la petite Mina !
Élémentaires salutations à toi Chopperkun,
Merci pour ta participation ! C'est une histoire intrigante que tu nous offres là et il devient de plus en plus clair au fil du récit que nous avons affaire à un Huppermage de talent.
Je trouve cette façon d'amener le personnage très sympathique et nous offre un beau point de vue sur qui il pourrait être.
La place sur le potentiel élémentaire est très grande, si bien que l'équilibre serait quasiment rompu par rapport à la partie où il cherche à convaincre Mina, mais c'est quand même suffisamment consistant pour que la balance ne penche pas à l'extrême et que l'argumentaire pour la convaincre soit présent.
Pour ce qui est de l'écriture, je suis un peu troublé quant à la façon dont est construite la phrase pour l'orbe deux, c'est d'ailleurs un peu dommage pour une phrase autant mise en avant car l'anomalie est d'autant plus voyante !
Cela mis à part, ton histoire est agréable à lire et je serais curieux de lire à l'avenir d'autres aventures de ton cher personnage !
Bonjour PAEZZOU au bon dos !
Une chose est certaine, ton personnage n'y va pas de main morte pour convaincre notre chère Mina et il y va fort en arguments et exemples pour lui faire ressentir la passion qu'il a dans sa foi... peut-être un peu trop fort.
Frapper une gamine de douze ans, c'est pas très Dofus ça ! Le reste du récit ne manque pas d'actions et l'aventure est épique... épique oui, mais complètement en dehors du règlement. Les BG officiel du jeu n'est pas du tout respecté, entre Dragons, Dofus, pouvoirs anormaux d'un Sacrieur.
Ton récit avait pourtant commencé mais tout part en cacahuète lorsqu la fleur de Rosae se fait dérober.
Dommage également que l'aventure quitte le lieu de déroulement des RI pour une île mystérieuse.
C'est en tous cas une belle imagination que tu as là. Si tu réussis à la maîtriser pour rentrer un peu plus dans le cadre du règlement, tu pourrais faire des merveilles, j'en suis convaincu, alors n'hésite pas à t'entraîner pour nous faire découvrir à nouveau une de tes aventures !
Tic-tac, c'est l'heure de te dire bonjour Cow-Smique !
Merci pour ta participation que je trouve à la fois passionnante et palpitante, tu as pris en main un sujet assez difficile et tu as fais une fabuleuse histoire jouant avec les événement du passé (et un futur plausible) et apportant une narration agréable sur ces moments historiques forts.
Ajoutons que tu as habilement ajouté des itérations passées de la petite Mina dans ces différents tableaux.
Je tire mon chapeau pour le texte, et si nous n'avions pas été dans le cadre des RI, tu aurais reçu des fleurs de ma part ! Malheureusement, dans notre cadre précis, je trouve que tu joues beaucoup avec la limite des règles, notamment celle qui place le lieu d'où nous sortons finalement pour beaucoup, même s'il s'agit de visions, ou encore au niveau du Background : certes tu n'inventes pas d'histoire à leur sujet, et tu reprends des faits justes vis-à-vis du BG mais il est tout de même demandé de ne pas les faire intervenir dans vos récits tout court, hors là, même si dans ton récit, leur emploi n'est pas contraire à la vérité, ils restent employés et font entièrement parti de ton histoire, ou plutôt, celle de Mina.
J'ajouterai également que tu as mis tellement d'énergie à nous faire une histoire complexe et réussie (ce qui est le cas) que tu en as oublié le sujet : convaincre Mina de se joindre à une divinité. Hors, si on peut deviner que Mina pourrait être impressionnée par les pouvoirs du Xelor, il n'y a aucune forme réelle d'argumentaire autour de Xelor ni de tentative de convaincre, on tombe donc dans du hors sujet.
Pour ce qui est du BG, malgré les gros risques que tu as pris en relatant de tels événements importants, tu n'as pas marché à la faute à un seul instant (du moins à mon premier regard) c'est remarquable !
Là où je pourrais sourciller un petit peu, c'est davantage dans la mesure des pouvoirs que tu donnes à ton personnage, là... on dépasse de très loin les capacités d'un disciple du grand Chronomaître, c'est donc limite.
Quoi qu'il en soit, il faut rendre à Cow-Smique ce qui est à BigBossKurt, c'est un récit impressionnant et agréable à lire, c'est un belle aventure que tu nous fais vivre là ! N'hésites donc à essayer à nouveau à l'avenir, et vu ta qualité de narrateur et tes bonnes idées, je pense que tes lecteurs ne seront pas déçus.
Bonjour Fahne,
Ô guerrière aux milles cicatrices ! Il faut le dire, ta disciple de Sacrieur en jette, elle est impressionnante !
Tu sais bien la vendre et ton récit est assez agréable à s'imaginer lors de la lecture. Il y a cependant un certain nombre de points qui me chagrinent, vis-à-vis du règlement. Tu veux tellement mettre Fahne sous le feu des projecteurs ( ce qui peut se comprendre) que tu en oublies qu'il y a eu beaucoup de participations avant la tienne et tu ne les prends pas en compte.
Cela t'aurait probablement évité de dire à tort que le village n'avait jamais de visiteur, et tu aurais pu voir qu'organiser un grand banquet en l'honneur de ton personnage n'était pas cohérent. Tu vas également directement à l'encontre du règlement deux fois, la première en convainquant directement Mina, ce qui est interdit noir sur blanc mais également avec le nom de ta Dragodinde qui, même si je peux comprendre que ça peut être amusant, est à l'encontre du CGU de Dofus.
Peut-être qu'à être trop passionné par ton personnage, tu en as oublié l'environnement et a créé un relationnel à sens unique avec l'environnement des RI, mais c'est bien là le contraire de ce qui est recherché dans ce concours : il faut interagir avec les autres, les RI, c'est un récit que chacun rend vivant et qui participe doit vivre avec cette ambiance.
Je suis absolument certain que Fahne peut conserver toute sa superbe tout en rendant honneur aux autres participations dans ta narration et en évitant de trop la mettre sous les projecteurs. À personnage humble, présentation humble s'impose pour ne pas le dénaturer !
En tous cas tu n'as pas à rougir, ton récit est agréable à lire !
OonaruatokooO, salutations à toi !
Puisse ta flèche toujours atteindre sa pomme à défaut d'atteindre le Milimulou !
Certes, ton histoire est courte mais je trouve qu'elle a tout ce qu'il faut pour plaire, et ton personnage est très attachant dans son rôle de jeune disciple ayant encore tout à apprendre.
C'est clairement un personnage que Mina avait encore à rencontrer et je te remercie de nous l'avoir apporté par ta participation !
Peut-être y avait-il de la place pour davantage de références aux autres participations dans ton texte, et il y a un certain nombre de coquilles qu'une relecture ou deux pourrait t'aider à corriger mais c'est sinon une aventure simple et agréable à lire, à imaginer et suivre. J'espère en découvrir d'autres à l'avenir !
Malsoir Guillemaut et sombre participation à toi !
Ah ! Voilà quelqu'un qui ose sortir des clous et ce avec une main de maître. Tout est à prendre, rien n'est à jeter.
Tu réussis à mettre en place une ambiance malaisante fidèle à cette sombre assemblée qui attend Mina, tous les détails sont présents, que cela soit pour les autres participations ou pour les tentatives de la convaincre.
Bien évidemment, la curiosité est la première chose piquée dans cette histoire et c'est intrigué que je le suis resté du début à la fin, et même après !
Chapeau bas, bravo à toi pour cette participation impeccable bien que je ne souhaite pas un avenir proche de ces étranges personnages à la chère Mina. Continue à écrire !
Mes condoléances Gothapprentice,
Espérons que chacun se souvienne de ce bon vieux maître Griffe à sa juste valeur.
C'est un récit assez énigmatique et il m'est encore difficile de comprendre la vision qu'a eue Mina avec cette personne de Frigost. Je suis sûr qu'il doit y avoir une explication, mais dans le cas présent, je ne trouve pas même une piste, ce qui me laisse assez perplexe.
Tu aurais peut-être gagné à éclairer un peu cette étrange vision d'un raccord commun avec le cadre de ces RI autour de Mina car ainsi livré à lui-même, ce "rêve" fait un peu... sorti du chapeau.
Je suis d'ailleurs curieux : tu parles déjà du Sadida dans la scène qui se passe à Frigost mais seul Griffe semble avoir subi les affres du temps, à moins que ce ne soit pas le même personnage ?
Quoi qu'il en soit, tu en dis peut-être pas assez, et l'arrivée miraculeuse des camarades de Griffe à cet endroit précis accentue le côté "mis en scène pour être arrangeant", mais qui finalement détonne avec la toile de fond.
Attention également à la prise en compte des autres participations. Tu affirmes que Mina n'a jamais entendu parler de la Chance d'Écaflip... pourtant si, et plusieurs fois même dans les récits précédents, cela n'aide pas avec la sensation d'incohérence que peut laisser la première partie.
Il faut cependant concéder que tu as mis une certain coeur dans ton personnage de Griffe et il est plus qu'intrigant. Pour sûr qu'il doit être le centre de certaines histoires passionnantes, mais ça, nous le découvrirons une autre fois, du moins je l'espère !
Bonjour Bigest--Buzaayy !
C'est une participation qui ne manque pas de mordant ! Nous n'avions pas encore de participation en l'honneur d'Ouginak, ça fait plaisir à voir.
J'ai l'impression que le temps t'a rattrapé et que ta participation était prévue pour bien plus tôt, car la scène que tu nous décris là semble remonter longtemps en arrière, quand Mina était encore au milieu de la place.
Cela fait un peu étrange et rend difficile de vraiment se projeter dans l'histoire que tu nous offres car tu tires un trait sur tout ce que les autres participants (ou presque) nous ont fait vivre mais ont également fait vivre à Mina, tu vas même jusqu'à affirmer le contraire de ce qui a été dit au niveau familial car il a été établi qu'elle avait bien ses deux parents et au moins un frère.
Si on met cela de côté tu nous présentes une vision agréable de ce qui peut motiver à rejoindre le culte d'Ouginak même si tu avais la place à peut-être plus d'exemple ou une aventure plus vivante pour la petite Mina.
Attention également aux quelques coquilles dans ton texte, une relecture de plus aurait pu peut-être t'aider à les éviter. En tous cas, merci pour ta participation et n'hésites pas à retenter l'expérience, tu as clairement de belles choses à dire !
Bonjour Lilizefou,
Merci pour cette participation bien lunée !
Au début, je ne vais pas te mentir, j'attendais avec impatience de voir Tortue Géniale en action... une fois la déception première passée, c'est pour le mieux que tu nous fais découvrir une divinité peu ordinaire et malgré que ce soit un pari risqué, c'est maîtrisé avec habilité et les formes qui vont avec !
C'est une douce philosophie que nous partage le bon vieux Mortimer et Mina a vraiment de quoi être séduite, sans oublier ces références habiles aux autres participations qui implante à merveille ton récit dans la continuité des histoires qui se sont présentées jusqu'à présent.
Un petit plus bien mérité pour l'originalité de la divinité choisie, en tout cas.
C'est impeccable, agréable à lire et original, je te tire mon chapeau ! N'hésite surtout pas à nous régaler à nouveau de tes participations à l'avenir !
Doubles salutations TurfuuTeam !
Quel amusant duo tu nous présentes là avec ces deux frères aux choix atypiques.
J'ai beaucoup aimé ta participation assez originale, et la morale que tu présentes est intéressante, dans la mesure où il ne faut pas toujours suivre la voix pour laquelle on nous prédestine, c'est clairement cette nuance que j'ai beaucoup apprécié dans ton texte !
Je suis peut-être un peu moins bon spectateur sur la deuxième partie de l'histoire où ils font une démonstration de leur pouvoirs, je crois que tu as été un petit peu ambitieux si bien que tu as dépassé le cadre du logique !
Un coup d'épée qui coupe la cime d'une montagne au loin ? Voyons, c'est une prouesse digne de Iop ! Et le fait que le rocher couper retombe dans les mains du frère... il y a quelque chose qui m'échappe ici quoi qu'il arrive.
Attention également aux nombreuses coquilles dans ton texte, n'hésite pas à relire à voix haute ce que tu écris. Cela te permettra d'ajuster naturellement certaines fautes mais également certaines tournures de phrase.
J'attire aussi ta vigilance vers quelques tournures qui peuvent ne pas jouer en la faveur de l'immersion de tes lecteurs : parler de "tank" par exemple, ça fait un peu pencher la tête !
En tous cas, il y a des aspects intéressants dans ta participation, n'hésites pas à perfectionner tout ça autour d'une prochaine participation !
Salutations Antophantomive,
Et loués soient ces soigneurs que sont les Éniripsa !
Merci d'avoir produit cette participation, mais une chose est certaine, je reste pour beaucoup sur ma faim. J'aurais beaucoup aimé en apprendre plus sur Orihime et le médecin, en découvrir davantage sur leur amour pour la Déesse, pourquoi l'une amène Mina chez l'autre plutôt que de lui faire découvrir des aspects d'elle même.
J'ai le sentiment que tu nous montres seulement la pointe de l'Iceberg alors que nous sommes une équipe d'explorateurs sous-marin.
J'en profite pour te signaler un certain nombre de coquille dans ta participation, n'hésite donc pas à effectuer des relectures (et à voix haute, c'est encore mieux car ça t'aide à savoir quand ajuster la formulation et la longueur de tes phrases).
Tu as encore beaucoup à nous montrer que tu caches jalousement, n'hésites pas à oser, et te laisser davantage t'exprimer la prochaine fois, je reste persuadé que tu as de belles histoires à nous raconter !
Mesdames et messieurs, sur la potence ce soir, nous avons nul autre que Vrg-Vraglg... Drvr... lui !
Les faits qui lui sont reprochés sont clairs et sans appel pour l'assemblée, je l'espère.
Pour avoir osé amener le culte d'une divinité pour ce qu'il est, pour avoir osé se risquer à un thème difficile et l'avoir mené avec une perfection insolente, pour avoir mis en place une relation douce et touchante entre ce personnage si particulier et Mina, pour avoir osé mettre une agréable touche d'humour dans une mise en scène bien pensée et pour avoir osé bien écrire en considérant les autres participations, il sera condamné à recevoir cinquante félicitations.
De surcroît, il est de circonstances qu'une sanction obligeant l'accusé à réitérer ses fautes ultérieurement soit appliquée. Une fois mon chapeau tiré, la sanction pourra commencer.
Salutations, Xifeng aux multiples visages,
Merci pour cette participation sur cette classe si intéressante qu'est le Zobal.
C'est un envoûtant voyage que celui qui nous amène au sommet de cet arbre, et ce cette disciple masquée doit avoir un nombre passionnant d'histoire dans sa besace, c'est une sacrée impression que tu laisses en tous cas !
Si je trouve la phase de "persuasion" un peu courte par rapport au reste du texte, il faut concéder que les références aux autres participations sont incroyablement riches et la mise en place de l'ambiance est menée avec grand soin.
Attention cependant, il y a un certain nombre de coquilles dans ton texte. N'hésite donc pas à te relire, et ce même à voix haute pour déceler plus facilement les soucis de rythme.
J'aime personnellement beaucoup le concept de conteur-voyageur et les masques représentant les personnages rencontrés.
Je serai curieux de découvrir d'autres histoires à son sujet, j'espère donc que tu n'hésiteras pas à participer à nouveau, même si c'est pour nous présenter un autre personnage !
Ah, pile à l'heure pour les RI 3 ! Bonjour à toi Limaginaire,
C'est toujours un plaisir de lire tes participations, après tout, ne dit-on pas qu'il faut savoir se faire désirer !
Bon, pour le coup, ça fait un peu mal entrer ta participation dans la continuité des autres et limite tes références aux nombreuses mais pas moins passionnantes histoires qui ont été racontées jusqu'ici.
Mais parlons plutôt de ton texte, et si je dois dire quelque chose dessus, c'est que je me suis bien amusé à le lire. Une disciple de Shariva ? Je l'attendais celle-là et je ne suis pas déçu !
C'est un point de vue assez amusant que les événements que nous suivons par ta plume et ce personnage atypique, et c'est amusant de voir implanté à ce village si paisible une trouble-fête anonyme.
Elle ne manque pas de présenter sa divinité généreusement et avec des arguments tentants, surtout pour une gamine aussi curieuse que notre chère Mina, et d'autant que je puisse le dire, tu respectes beaucoup le BG des Favoris de Shariva, même si certains pourraient dire que ça manque d'explosion...
Tumultueuses félicitations pour ta participation, et un petit plus plus l'illustration que j'adore particulièrement, on se retrouve pour les RI11 à 15 minutes de la deadline donc ?
Eh ! Vous, sortez vos sales pattes du coffres aux récompenses ! Oh, pardon, bonjour minitoast91,
Encore un peu et je te confondais avec un roublard de pacotille... mais non, c'est un roublard, un vrai qui est là ! Et quelle amusante participation, digne d'un véritable disciple de Raval... ou Sram, bref, pas de quoi casser trois pattes à un Smisse.
J'aime beaucoup l'approche très... roublarde, de ton roublard, il salit les autres avec une salière aux dimensions colossales et c'est malgré tout très propres.
Les référence aux autres participations sont là, et malgré quelques coquilles, tu as tartiné en matière d'argumentations pour convaincre cette petite Mina.
Les blagues de ton vendeur à la sauvette m'ont tiré quelques sourires, notamment l'amulette à l'emmental, j'espère vraiment revoir de si habiles jeux de mots à l'avenir dans de nouvelles participations !
Bonsoir Peace4You2,
Et merci pour cette dernière participation !
C'est un intrigant personnage que tu nous offres là et il a de quoi piquer la curiosité, mais malheureusement, il y a beaucoup d'incohérence entre ses actions et son état et le BG de Dofus.
Si pour un Xélor normal (donc que chacun peu jouer) figer le temps est impensable, pour un personnage dont la foi c'est étiolée, c'est aussi surprenant qu'étrange.
Attention également, parler des puissantes forces du Krosmoz qui se mettent à l'oeuvre dans cette histoire, c'est également franchir la ligne du BG. Mina a beau être le centre de notre attention... le Krosmoz n'est pas en émoi, et heureusement !
Les références aux autres participations sont manquantes mais je dois bien te rendre que les imitations des différents protagonistes qui essayent de la convaincre m'a beaucoup fait rire, de même que la représentation des Énutrofs. C'est de la belle carricature.
Je suis cependant un peu perplexe pour la tentative d'encouragement à rejoindre une divinité.
Certes ton personnage apporte des paroles de sagesse à Mina et l'intime à faire le bon choix pour elle, mais ton personnage ne défend à aucun moment une divinité pour convaincre Mina, ce qui est pourtant le thème central de ces RI, tu as donc, en voulant faire trop subtil, trempé dans le hors-sujet.
Attention également à la mise en forme (les sauts de lignes sont omniprésents mais irréguliers) et aux coquilles dans ton texte.
C'est dommage car ton personnage est loin de dire quelque chose d'insensé. Je suis curieux de te voir tenter une nouvelle participation à l'avenir et je suis certain que tu ne te laissera pas avoir par un faux pas sur les règles les prochaines fois !
Je vais essayer d'éclairer les lecteurs sur mes choix d'écriture. Pourquoi "tricher" et sortir cadre du concours en utilisant le rêve ? J'avais dans l'intention de mettre en scène le personnage que rencontre Mina dans un cadre où les unités de temps et de lieu sont abolies. Le rêve me semblait être le moyen le plus évident de m'offrir une certaine liberté. Je voulais aussi entrecroiser deux histoires, celle de Griffe et celle de Mina. Par un lien onirique, Griffe invite Mina dans son passé. Mina se réveille à la mort de Griffe.
Pourquoi Griffe meurt il avec le sourire ? Ceux qui ont été attentifs se souviendront de son regard triste dans le rêve de Mina. Il y a deux raisons à cette tristesse. D'une part, les champs de bataille lui manque. D'autre part, il a le mal du pays. Si il meurt le sourire au lèvre, c'est parce qu'il à pu à nouveau retrouver la terre d'où il vient : Les Piles de Kontouar. Mais, c'est aussi car il pense avoir guidé Mina vers Sa voie.
Je passe à un aspect qui me gène un peu dans mon récit : le tempo. 2500 mots, c'est long... et très court !!! J'ai voulu prendre le temps de faire certaines descriptions de manière détaillé et, honnêtement, j'ai du faire des choix dans les parties que j'ai le plus détaillées. C'est assez frustrant mais c'est les règles et je m'y plie. Quand vous arrivez à vôtre huitième page et que vôtre récit n'est pas terminé, c'est panique à bord.
Enfin, pour ceux qui veulent savoir pourquoi les Huit arrivent aux Piles de Kontouar alors que Griffe est entrain de de mourir, c'est pour moi assez évident. Les Huit ont un lien avec Griffe. Un lien semblable à celui qui le lie à Mina. C'est un lien entre les âmes. Après avoir détailler la mort de Griffe, je vais un peu plus vite pour garder du temps pour la fin.
C'est le dernier moment où Mina peut se comporter comme l'enfant qu'elle est. Les ricochets peuvent paraitre anodins mais je leur donne un sens tout particulier. Mina se dit qu'elle pourra faire mieux avec de l'entrainement. Je parle au lecteur à travers elle. Mon propos est le suivant : si on n'y arrive pas , alors on doit essayer encore. Avec du travail on s'améliore.
Mina évoque ensuite ses souvenirs d'enfance, Elle n'est pas nostalgique. Cela peut être dû à son jeune âge comme à sa maturité. Elle sait que ses amis resteront ses amis quoi qu'il advienne.
Dernier point et tu as visé juste : le vieux Sadida. Alors là, tu as deux choix :
Hypothèse numéro une : Le vieux Sadida ne vieillit pas normalement. Cela est totalement incohérent.
Hypothèse numéro deux : (je la préfère largement
Avide de combats, repoussant ses limites, il a tout simplement brulé la chandelle par les deux bouts. Cherchant encore et les sensations et l'excitation que provoquait en lui le combat, il a pris un chemin menant irrémédiablement à la mort. Un mauvais choix ? Pour ma part, je ne saurais juger un personnage pour lequel j'ai tant d'affect. Mais, on peut voir dans l'attitude du vieux Sadida une certaine sagesse. Ce sont deux façons d'appréhender la vie différente et les deux sont respectables à mon sens.
Pour terminer, certains ont attribuer la dernière phrase à Griffe. C'est une possibilité...
Ou bien, c'est peu être l'auteur qui vous invite à faire vos propres choix dans vôtre vie. Mina a son libre arbitre et vous aussi
J'espère avoir répondu à vos questions et éclairé les zones d'ombre de ce récit.
P.S : J'ai du modifié le post de ma participation une vingtaine de fois et encore désolé pour les fautes. Si vous désirez une versions plus longue et plus travaillée, je suis chaud.
Bonne lecture et à bientôt dans le monde des douze.
J'arrive un peu après la bataille et j'ai jusqu'à présent été très silencieuse dans ce sujet de discussion, mais cela ne m'a nullement empêchée de lire tout ce que vous avez pu écrire. Cela fait tellement plaisir de voir que vous vous investissez dans la lecture et le commentaire des participations, tellement plaisir de voir un endroit comme celui-ci, ouvert aux échanges. Franchement, merci pour ça !
Je vous livre à mon tour quelques commentaires, ils ne sont pas forcément longs (encore que, hein). Comme l'a précisé Paglopglop il s'agit toujours d'un ressenti personnel, d'attentes personnels, de... bref, de personnel ! Dans chaque participation il y a du bon, toujours. Le fait même d'exister fait de chaque participation quelque chose de super, et je crois que chacun peut être fier d'avoir apporté sa plume à l'édifice qu'est cette édition des Récits d'Invention !
Bonne lecture à tous !
Ta participation m'a fait très plaisir à lire ! J'ai trouvé que tu avais bien exploité le culte choisi, j'ai aimé la façon dont tu as su décrire Eryne et ses capacités. Les quelques références en début de texte à la participation précédente étaient bien et le thème respecté ! N'hésite pas sur une prochaine participation à ancrer encore plus ton récit dans l'univers de DOFUS par de menus détails (par exemple "corbac" à la place de "corbeau" pour le crâne manié par Eryn, qui nous replace totalement dans le jeu).
En tout cas, bien joué !
el-octodonne2
Ton personnage a décidément du caractère. J'ai aimé la ferveur que j'ai sentie dans ses paroles. J'aurais apprécié que tu emmènes Mina avec toi, que tu lui montre des choses et que tu lui racontes plus que les valeurs de ton Dieu. Une histoire, peut-être, un souvenir. Pourquoi pas cette affaire avec les toges des prêtres, bien que tu joues clairement avec les limites en faisant agir/réagir des personnages qui ne t'appartiennent pas forcément dans un concours de ce genre (ici, les Sept).
Cela dit c'était une participation plus que correcte et sans trop de fautes, qui m'est restée agréable à la lecture !
Lutineur
Comme à chacune de tes participations à ce concours, j'ai pris du plaisir à me laisser transporter dans ton récit. J'ai adoré le personnage de Maitre Kontouar, je l'avais dans l'oeil parfaitement, visuellement, gestuellement.
J'ai beaucoup aimé que tu t'empares par petites touches des participations précédentes, sans en faire trop ; aimé aussi l'ambiance bien posée, le décor décrit simplement mais suffisamment pour qu'on soit dedans. Et cette scène dans la taverne, ce moment délicieux où on ressent le changement d'ambiance... Merci d'avoir participé, vraiment !
(Je note que tu fais boire la petite Mina... ma parole, pauvre enfant !
-lauraetcaroline-
J'ai trouvé ta participation bien sympathique, l'idée de citer des commandements était une bonne façon de guider le personnage de Mina et de lui en apprendre un peu plus sur Ecaflip et on retrouve plusieurs symboles forts du dieu.
C'est une bonne chose que tu nous ais bien replacé ton récit dans le contexte offert par le jury, les rives de la Soif particulièrement. Même si au niveau de la temporalité ou des références tu n'inclues pas la participation juste avant la tienne, j'ai bien conscience que ce n'est pas évident surtout quand cela peut pousser à modifier plusieurs fois son propre travail. Sur une prochaine participation, n'hésite pas à inclure des références aux participations des autres au delà du tout début. Par exemple, tes personnages étant proches de la Soif, tu aurais pu mentionner le pont qui la traverse créé par Sperrylite ou encore du cimetière qui se trouve sur l'autre rire.
Une belle mention pour l'inclusion de background liée aux Neuf Queues, c'est chouette de voir ça, j'espère que certains redécouvrirons cet élément !
Tricotinette
Ah, la déesse Eniripsa, je me demandais quand elle serait évoquée pour la première fois ! Il y a beaucoup de douceur dans le personnage de Coumadine. Ce qui tranche d'ailleurs, parfois, avec le rythme de ton récit où tu prends le temps de développer certains évènements quand d'autres sont plus "précipités" (le début et la fin, particulièrement, je crois).
Les éléments utilisés pour présenter le culte sont bien introduits, les mains, les fleurs, ça fait partie des choses que j'ai bien apprécié, tout comme le fait que tu emmènes Mina en balade pour de bon. J'ai aussi aimé ce souvenir évoqué par Coumadine, c'est le genre de choses que j'imaginais bien dans ces RI !
ccfcffccf
Une bonne participation que voilà, avec beaucoup de langage tourné vers le félin, on sent vraiment le lien avec Ecaflip du début à la fin ! Un bon point pour l'ajout d'une légende liée à la fontaine du village, c'est très chouette de voir ainsi réutilisés les éléments de contexte pour y glisser du vivant, de l'humain. Un bon point aussi pour les quelques vers de la fin qui m'ont bien plu !
Je me doute que tu as lu au moins une quelques unes des participations qui ont précédé la tienne, ce qui est bien et t'as permis d'y faire allusion, ceci dit je vois aussi qu'il en a certainement manqué quelques-unes à ta connaissance puisque tu es le second à avoir un disciple d'Ecaflip comme personnage, et donc que la petite Mina avait bel et bien déjà vu un Ecaflip ! Ce n'est clairement pas grave et ça ne m'a pas empêché d'apprécier ton texte !
J'ai eu une étonnante sensation de "détachement", le côté descriptif y est sans doute pour beaucoup : tu parles des sentiments/impressions de tes personnages mais j'ai toujours l'impression que c'est très extérieur à eux. Il y a vraiment quelque chose qui m'a plu chez Miaouch. Son côté "certitude" sans doute !
Katyminy
Voilà une participation qui n'aura pas manqué de me faire sourire, ne serait-ce que pour la mention de l'haleine de tout disciple d'Osamodas qui se respecte ! Bien joué, l'humour est toujours un très bon point ! J'ai aussi particulièrement apprécié l'aspect initiatique et non uniquement descriptif que tu as mis en place : mettre Mina directement en situation de faire elle-même et de ne pas être uniquement témoin, voilà une judicieuse façon de lui montrer ce que peut être la vie d'un disciple d'Osamodas !
Il y a quelques petites fautes qui émaillent ton texte mais rien qui ne m'ait empêché de le lire jusqu'au bout et de l'apprécier.
Ce qui m'a peut-être le plus manqué, parce que nous sommes dans les Récits d'Invention et que c'est un exercice d'écriture communautaire, c'est un lien avec les participations qui ont précédé la tienne. Tu as bien fait mention de la participation du jury mais pas de celles qui sont venues après. Je crois que ça aurait pu apporter encore plus de substance à ta participation.
alexiacia
J'ai bien aimé ta plume de façon générale, j'ai trouvé ta participation fluide et facile à lire. Ce qui m'a chagrinée, encore plus du coup, c'est que j'ai eu la sensation que ça allait très vite, que tu me laissais dans une forme d'attente.
J'aurais tellement aimé découvrir un peu plus ton personnage. Je ne sais au fond pas grand chose d'elle. C'est une disciple de Sacrieur qui est très ancrée dans son culte, mais c'est tout. Même pas de prénom ! (ce qui quelque part rend la participation très intriguante, héhé). J'aurais aimé qu'elle parle (ou pense) d'elle-même à Mina : ses souvenirs, par exemple. Pourquoi avoir rejoint le culte de Sacrieur ? Est-ce que c'est dû à un évènement ? Et bien que ses paroles soient fortes, bien qu'elle fasse un cadeau à Mina avec cette très symbolique couronne d'épines, elle ne lui fait aucune démonstration, ne l'emmène pas voir une chose ou une autre pour lui "prouver" sa dévotion !
En fait c'est sans doute un parti pris, la rencontre est comme "anticipée" au travers de ce que ton personnage pense du début des aventures de Mina avec les différents protagonistes qui lui parlent de leurs cultes respectifs, et on a une interaction un peu "sur le pouce", très particulière.
Un bon point pour le fait d'avoir lu ou en tout cas mentionné un certain nombre de participations qui ont précédé la tienne, ça c'est très important dans un concours communautaire !
-Moeb-
Alors je vais commencer par dire que j'ai adoré ta participation. Sans doute le petit côté Bottero que je n'ai pas pu m'empêcher de ressentir dans certains passages comme l'ascension (si ça se trouve tu n'as jamais lu ça, mais voilà, les ressentis ne se contrôlent pas).
La délicatesse de certains passages, les ajouts au background de Mina qui sont très cools, cette façon de s'approprier l'histoire plus ancienne des Piles et de cette origine du nom, le choix de la classe qui n'était pas forcément évident et la façon dont tu l'amènes, ce côté très libre du choix simplement offert, ... j'ai vraiment été conquise par énormément de choses !
Quel dommage que le petit détail de background éliotrope se soit glissé dans tout ça ! Étant donné que quand un éliotrope meurt il disparait du souvenir de ceux qui l'ont connu, Baynh ne devrait pas être en mesure de se souvenir de lui, pas plus que sa femme. En fait c'était presque parfait. Sans cette mention finale du frère...
C'est en tout cas une superbe participation, merci de nous l'avoir offerte et d'avoir en plus fait des références très bien tournées aux participations précédentes !
Row-Sebal
Quel plaisir que celui de retrouver Fantomine cette fois encore ! Je ne peux pas m'empêcher de sourire, quand j'y pense, c'est super de retrouver un personnage comme ça, d'une édition à l'autre !
De façon globale j'ai trouvé que tu avais fait une très belle participation. Je crois pouvoir dire que ce que j'ai particulièrement apprécié les doutes de Fantomine. Contrairement aux interactions avec d'autres personnages, j'ai vraiment ressenti l'incertitude de ton personnage dans la transmission de ses valeurs. J'ai trouvé les propos justes et la réflexion sur la liberté et l'accomplissement des objectifs intéressante ! D'avoir à la fois un peu d'action pour que Mina soit au contact des caractéristiques plus "physiques" liées au culte était une bonne chose, mais pour moi c'est vraiment la réflexion sur les valeurs qui fait la qualité de ton travail !
ultimafeca2011
Bonjour bonjour ! Une nouvelle tête dans les Récits d'Invention, je crois ? C'est chouette en tout cas !
Pour ta participation, je commencerai par souligner l'idée originale de cette "multitude". Contrairement aux participations précédentes tu es parti non pas sur un personnage qui tenterait directement de convaincre Mina de choisir une divinité particulièrement mais plutôt sur un observateur extérieur à toute l'agitation du village qui aurait envoyé des "amis" à Mina.
L'originalité est une bonne chose mais finalement, je n'ai pas eu le sentiment que tu nous vantais particulièrement les mérites d'une quelconque divinité. Je n'ai pas non plus la certitude que tu ais pris en compte ce qui s'est passé dans les participations antérieures à la tienne, alors que dans un contexte comme celui que tu as choisi cela aurait pu être d'une extrême richesse.
Méfiance quand aux assertions trop évidentes : si tu décrètes que Mina ne supporte pas la vue du sang, cela coupe court à un certain nombre de possibilités pour d'autres participants, par exemple ceux qui choisiraient de lui présenter Sacrieur. C'est en général quelque chose qu'on évite de faire de façon aussi directe. Tu peux la faire grimacer devant du sang en laissant le lecteur interpréter cette information lui-même, sans trop en dire !
Enfin, j'aurais tellement aimé en savoir un peu plus sur les rencontres avec les différents amis de ton grand-père, peut-être raconter un peu ce qui s'était passé avec chacun (comme avec Sunsilver en fait, là on sait et c'est super !).
En bref, il y a dans ta participation de bonnes idées qui ne demandent qu'à être exploitées plus en profondeur !
LE-C0NTEUR
Encore une belle participation venue s'ajouter à ces Récits d'Invention ! Ton histoire se lit très fluidement fluidement -à l'exception peut-être de l'aspect parfois bloc de la mise en page, mais nous connaissons les difficultés offertes par le forum !
J'ai beaucoup aimé le développement du personnage de Broussailles, la façon dont tu le décris rapidement mais efficacement, et dont tu poses son cadre de vie avec ce frêne. La douceur mêlée de grognements de sa relation avec Mina m'a beaucoup plu, tout comme les quelques détails pleins d'humour qui se glissent ici et là (le fait qu'elle se dispute avec sa famille pour toujours et ce tous les deux mois, par exemple !). Ton récit est bien ancré dans l'univers de DOFUS, les jeux de mots avec tout ce qui touche au végétal sont très appréciables.
L'aspect réflexion sur le culte de Sadida -et sur les cultes en général- était là encore très intéressante. Ce côté "tout n'est pas tout rose par chez nous" qui a été finalement assez peu exploité juqu'à présent, le fait qu'un culte nous apporte mais qu'il est aussi important de se projeter dans ce que nous lui apportons, la poésie mêlée à l'importance de la sauvegarde, le tout saupoudré de dialogues savoureux, franchement c'est du beau travail. Merci pour cette lecture plaisante !
Nylwosh
Oh, comme j'ai aimé ta participation à toi aussi ! Quel chouette personnage que celui de Valcade, que j'imagine tout à fait clairement avec Bola à ses côtés ! Et quelle belle réussite que celle de l'inclusion de tant de participations qui ont précédé la tienne ! Merci d'avoir pris ce soin : c'est plaisant pour nous autres du jury, mais c'est aussi extrêmement agréable pour les participants qui retrouvent un peu d'eux dans ton texte. Sans compter la belle toile qui se créer au fur et à mesure !
Il y a vraiment énormément de points positifs dans ton récit. Ta façon d'écrire, déjà, simple, fluide, avec suffisament de descriptions pour qu'on s'imagine mais pas non plus trop. Tes personnages sont efficaces, tu t'es emparée de Mina juste assez pour rendre les choses crédibles sans pour autant entraver une quelconque liberté pour la suite, c'est super !
En fait, la seule chose que je pourrais trouver à "redire" -et le mot est bien trop fort finalement- c'est que j'en aurais voulu plus sur l'attachement de Valcade à Féca. Parce que ce que tu nous as donné à ce sujet était tellement bien que j'aurais voulu que ça se poursuive ! Voilà, donc merci pour cette participation qui m'a beaucoup plu ! (et merci de m'avoir fait redécouvrir ce commandement de Féca, j'ai bien ri !)
gearbutcher
Je dois dire d'entrée de jeu que j'ai trouvé l'angle d'approche pour le culte d'Eniripsa bien original et sympathiquement amené ! J'ai eu l'impression de revivre une séance d'hypnose comme il m'est déjà arrivé d'en avoir, avec ce côté parfois cryptique/énigmatique que peuvent présenter les apprentissages. Et ça, j'ai franchement apprécié ! Et après tout, c'est vrai qu'ils sont bien placés, ces disciples d'Eniripsa, pour soulager les maux de l'esprit autant que ceux du corps !
J'aime aussi la maturité qui se dégage du personnage de Vakog et le fait que tu ais apporté à Mina ce coin de paix où elle trouve détente et réflexion ! Un très bon point aussi, avoir poursuivit sur la voie tracée un peu plus haut par Broussailles.
J'aurais adoré savoir ce qui a poussé Vakog à suivre la voie de la déesse Eniripsa, je dois dire ! Tout comme j'aurais adoré savoir s'il s'est déjà servi de ses techniques et ce que ça a pu apporter autour de lui, bref en découvrir un peu plus sur cette passion pour l'esprit ! En tout cas, le point de vue a été un plaisir à découvrir, merci pour ça !
Sweyl
Eh bien, quelle belle participation ! Si c'est la première fois (et il me semble en effet, au vu de ton commentaire dans le sujet HRP) alors j'espère que ça ne sera pas la dernière et que nous aurons l'occasion de relire d'autres choses avec ta plume ! Parce que franchement, très jolie plume, oui ! Avec du sérieux et des pointes d'humour, une façon de mettre du réel sur les personnages par quelques mots bien choisis, un plaisir !
Bien que parfois un peu confuse suite aux changements de points de vue dans le récit (les moments où tu glisses d'un point de vue omniscient à un point de vue plus interne) je me suis laissée prendre sans aucune peine par le récit et par tes personnages. J'aime particulièrement cette conception des pouvoirs qui entourent les masques et cette réflexion sur la peur et son rôle dans la survie ainsi que sur la place des émotions. Merci donc, d'avoir présenté tout cela dans ton texte et de l'avoir bien écrit !
Chopperkun
Moi qui me demandait si quelqu'un allait aborder la voie des Huppermages, voilà que tu apportes la réponse avec ta participation ! Chapeau, c'est un beau récit. Bien que l'on en sache peu sur ton personnage principal, le côté un peu flou lui sied bien.
Ton approche de l'huppermagie m'a beaucoup plu, elle aussi, elle a bien fait écho en moi pour ce qui est des émotions liées aux différents éléments. Il semble que notre petite Mina aura eu le droit à un beau panorama d'expériences en lien avec les capacités d'un serviteur de la Balance. J'ai aussi beaucoup apprécié ce choix de neutralité sur la réponse finale qui lui a été faite, d'ailleurs, c'est très "équilibre" !
De façon plus générale, un très bon point pour les mentions aux autres participations, pour la fluidité du texte et pour les notes d'humour et d'ancrage dans le cadre des R.I. (géographiques par exemple) que tu as saupoudrés un peu partout (l'eau de Rok, héhé, ça va me rester !).
PAEZZOU
Ohlala, ohlala, il s'en est passé, des choses, dans ta participation ! On commence tranquille et là je me dis "ok, ça c'est chouette, il va jouer avec une Mina un peu moins en forme qu'on a pu la trouver avant, c'est vrai que le choix est sans doute pesant, ça promet !". Et puis Sacrieur, c'est une chouette déesse, y'a de quoi faire avec elle !
D'ailleurs tu as fait, ça, pas de doutes ! Peut-être même que c'est ça qui fait que c'est parti si loin. Alors il y a les soucis avec le BG (un Dofus, carrément ? Je sais bien que nous autres joueurs nous en obtenons "à la pelle", mais dans la vie d'un Douzien lambda, c'est compliqué, les Dofus !), le fait que ton personnage frappe une enfant si jeune (douze ans, ce n'est pas bien vieux pour recevoir un tel coup dans le ventre, est-ce qu'on peut vraiment envisager que les Sacrieurs fassent ce genre de choses qui plus est avec quelqu'un qui ne fait pas partie de leur culte ?) et des fautes de langage par moment. Mais surtout, il y a un tel enchaînement d'évènements que j'avoue m'y être prise à plusieurs reprises pour être sûre de tout bien cerner.
Alors il ne faut pas croire que je n'ai rien apprécié, au contraire, je trouve du bon dans ta participation, tu as un beau foisonnement d'idées, une belle façon de jouer avec les mots par moment pour coller avec le thème de ta déesse, un ancrage certain de ton récit dans l'univers du Krosmoz, et même des liens avec d'autres participations qui font que tu es vraiment dans le récit communautaire ! Je mets même un bon plus pour la description du sacrifice, pour cette perte du personnage principal que nous n'avions pas encore eue dans cette édition et qui est, à vrai dire, bien ! Donc n'hésite pas à prendre le temps de bien organiser ton récit, n'hésite pas à retirer des choses si ça fait trop.
Attention au background : le Dofus n'apportait rien de particulier à l'histoire, au fond, tu aurais pu choisir autre chose de précieux que ça aurait très bien fonctionné et ça t'aurais évité le souci vis-à-vis du BG officiel ! Merci pour ta participation, en tout cas, et j'espère bien que nous aurons l'occasion de te relire sur une prochaine édition !
Cow-Smique
J'ai bien apprécié ta participation, Cow-Smique ! L'inspiration Alice au début, déjà, qui m'a beaucoup fait sourire et qui se reconnait sans peine dès qu'on entraperçoit ce wabbit avec une montre. Je me suis demandé à quel moment tu allais choisir de quitter cet univers pour rentrer dans celui qui était propre à ta participation et finalement, l'arrêt de la chute en cours de route me semble avoir été un bon choix ! Le récit en plusieurs temps - plusieurs époques était aussi fort sympathique, la petite Mina en aura vu, des choses ! Je me demande ceci dit si, traumatisée comme elle semble l'être par son expérience tout au long du récit, elle aura envie de se tourner vers Xélor.
Au final, ton personnage (qu'on connait là encore très peu... pourquoi est-il devenu un disciple du Maître du Temps ? Qui est-il ?) lui donne une belle leçon sur le temps, qu'elle semble retenir au vu de ta conclusion, mais lui donne-t-il pour autant le "pourquoi tu devrais rejoindre Xélor" ? C'est quelque chose qui me laisse pensive, j'aurais sans doute du mal à savoir moi-même !
Au fond, ce qui me manque vraiment dans ta participation, c'est l'aspect communautaire des Récits d'Invention. Pas de mention des participations qui ont précédé la tienne, c'est tellement dommage parce que ça achèverait d'ancrer ton travail dans l'exercice que sont les Récits d'Invention. Même si j'ai conscience qu'à un certain stade on a beaucoup à lire, en inclure ne serait-ce qu'une ou deux ça montre déjà qu'on est allé chercher ce lien ! Cela dit, cela reste un bon texte !
Fhane
Alors, tout d'abord bienvenue dans les Récits d'Invention, il ne me semble pas avoir croisé ton pseudo avant sur cet exercice ! Ensuite, merci pour ta participation, elle se lit somme toute assez fluidement et tu as un style d'écriture qui est bien. On voit aussi que tu prends la peine de bien ancrer ton récit dans l'univers du jeu, c'est un très bon point (que ça soit la faune ou les histoires tirées des quêtes du jeu). Attention cependant, la nouvelle Pandala est très récente, peut-on considérer qu'on raconte aux enfants des Piles des légendes qui la concernent directement depuis bien longtemps ?
Après, je note aussi que ton récit n'inclut pas de mentions d'autres participations, ce qui est pourtant quelque chose d'essentiel dans un concours communautaire. En plus de rajouter du cachet à la participation, cela évite souvent quelques impairs de "rupture de la continuité" : par exemple, il y a beaucoup de visiteurs qui passent aux Piles, encore plus en cette période de cérémonie du choix, il est donc difficile d'envisager qu'une telle agitation (banquet, rencontre avec les Piliers, toute une partie de la nuit à boire et conter) soit mise en place pour chacun d'entre eux pendant les deux semaines du Choix...
Attention aussi au respect des consignes : il est bien fait mention qu'en aucun cas Mina ne peut être décidée directement dans vos participations. Or dans ton texte, elle déclare une première fois choisir Sacrieur, bien que ton personnage l'arrête tout de suite, et sur la fin on a de nouveau la sensation qu'elle sait qui choisir (elle le dit elle même), même sans avoir la possibilité de le révéler. C'est quelque chose qui est susceptible de fermer des portes pour les suivants et il faut absolument éviter ça ! Attention, enfin, à un certain nombre de fautes (je pense en particulier à des accords au féminin manquants que ça soit pour Mina ou pour Fhane) qui, accumulés, sont un peu dommage.
Il y a beaucoup à exploiter dans ta participation. Les pious du début m'ont beaucoup plus (j'ai même espéré que ça soit quelque chose qui traverse toute ta participation et qu'on retrouve jusqu'à la fin, ça aurait été top !), tout comme cette possibilité que tous les choix ne se fassent pas de la même façon qu'aux Piles. Le rêve est une bonne idée, tout comme cette toile de fond du choix qui doit venir du coeur. Ton style est déjà fluide, donc avec une prise en compte judicieuse des consignes et des inclusions d'autres participations dans la tienne ça n'en sera que meilleur !
OonaruatokooO
Ah, et bien enfin, la voilà la déesse Crâ ! J'étais presque résignée, moi, et finalement te voilà ! Il y a de l'idée, dans ta participation, pas de doute, tu as un fil conducteur qui est clair, on sait ce qui se passe et je visualise bien l'enchaînement. J'apprécie le personnage de Cyatold, encore "neuf" dans sa foi, encore maladroit par moments, si loin de la perfection et de l'idée qu'on pourrait se faire d'un individu à même de convaincre l'autre de sa voie, il forme avec Mina un beau duo ! Je suis aussi ravie de voir que tu as casé quelques références à des participations antérieures, bien que ces références restent timides.
Si je peux te donner quelques conseils qui -selon moi car cela reste subjectif comme toujours- pourraient t'aider à t'améliorer, ça serait dans un premier temps une relecture rigoureuse de ton texte : il manque certains mots par endroit, et bien qu'on les devine, cela n'en sort par moins ton lecteur du récit. Attention aussi aux fautes qui émaillent le texte (je dois avouer avoir parfois été surprise, tu as un français juste sur certains points qui ne sont pas évidents, mais à d'autres moments il y a de grosses erreurs, surtout dans le choix des mots, qui m'ont fait tiquer). Ensuite, prends le temps, dans ton histoire. Prends le temps de développer les scènes que tu mets en place, la psyché de tes personnages, leurs émotions, installe le cadre plus encore. Je sais que tu en es capable puisque tu l'as fait par moments, donc n'hésite pas à aller plus loin, à guider ton lecteur et à lui laisser le temps d'apprécier ton déroulé !
Enfin, si tu arrives à approfondir le lien avec d'autres participations, en les saupoudrant au fur et à mesure du texte et pas uniquement au début de celui-ci, alors tu auras vraiment gagné en qualité pour les Récits d'Invention !
Encore merci pour ta participation en tout cas !
Guillemaut
Sacrée participation que voilà ! Il s'en passe, des choses sombres, aux Piles... Le cadre est extrêmement bien posé, tu t'appuies sans peine sur les éléments donnés par le jury comme sur certaines participations de tes camarades pour un récit fluide et très intriguant. Et quel plaisir de voir quelqu'un s'aventurer sur une voie qui n'est pas celle des Douze ! Tout comme Mina, je me suis posé des questions, tout comme elle je dois avouer que j'avais le coeur qui palpitait à la fin du texte. J'espère que la petite Offeranda ne va pas être mangée... Mon imagination cavale, décidément !
Si dans un premier temps j'étais perturbée par la présentation à demi "théâtre" du texte et par le mélange présent-imparfait de certains passages, mon esprit à fini par lâcher cela au profit de l'histoire dans laquelle je me suis laissée entraîner !
Je sais que c'est la volonté de nous laisser imaginer ce qui s'est passé qui guide la fin du texte, qui laisse une ouverture. Et pourtant, qu'est-ce que j'aurais voulu savoir ! Merci pour ta participation !
Gothapprentice
Alors je suis très perturbée ! A la fois j'ai le sentiment d'avoir tout compris et à la fois celui de n'avoir rien compris ! (ou du moins de ne pas être sûre d'avoir compris) Surtout pour le passage du début, en fait. C'est donc un rêve de Mina ? (elle se réveille, j'ai envie de dire que oui) Pourtant elle rêve assez précisément et elle rêve d'un personnage bien réel qu'elle rencontre -d'une certaine façon- une fois de retour dans la réalité. Ou bien était-ce une vision ? Bon, d'une certaine façon le mystère peut fonctionner.
Pour le choix de la divinité... ça serait donc Ecaflip ? Tu nous en dis si peu sur le sujet que je douterais presque, surtout il ne faut pas hésiter à développer cet aspect, tout particulièrement en sachant que c'est le coeur du récit attendu. Et surtout, surtout, tu dis qu'elle n'a jamais entendu parler de la Chance d'Ecaflip. Alors qu'en réalité elle a déjà croisé au moins deux disciples d'Ecaflip au cours des participations des autres candidats. J'ai conscience qu'il est compliqué quand on arrive vers la fin des RI de lire l'ensemble des participations, il peut y en avoir beaucoup, aussi est-il souvent préférable d'éviter de telles affirmations. Ce qui m'ammène à un élément manquant dans ton récit : le lien avec les participations précédentes, qui aurait sans doute apporté encore d'autres couleurs à ton histoire !
Dans l'ensemble, au final, je trouve que tu as fait une chouette participation mais qui ne rentre pas parfaitement dans le cadre : j'ai plutôt la sensation de lire l'histoire de Griffe que celle d'une personne qui essayerait de convaincre Mina de choisir telle ou telle divinité. Il y a donc du très positif tout en étant une participation perfectible.
Bigest--Buzaayy
Un Ouginak progressiste, voilà un personnage auquel je ne m'attendais pas. Maître de méditation qui plus est ! Avec de telles qualités, c'est dommage qu'on n'en apprenne pas plus sur lui. Un peu de ses souvenirs, de son passé ! Et du pourquoi il a cette volonté d'unité, pas seulement avec les Ouginaks semble-t-il ! En fait, tu nous proposes un menu très attrayant et j'aurais voulu plus. Ceci dit c'est déjà une bonne chose, tu es dans les critères, tu parles bien de la divinité que tu as choisie et tu fais mention d'éléments qui sont respectueux du BG, tout va bien de ce côté !
Donc pour faire mieux encore, plusieurs petites choses :
- ne pas hésiter à développer ! Quand on a de bonnes idées et qu'on est loin de la limite imposée pour l'exercice, il ne faut pas avoir peur de donner un peu plus, dans tous les aspects. Je sais que tu es capable de poser un cadre, un environnement, la preuve en est avec le pont, avec l'ambiance/météo, etc. Creuse ton propos sur la divinité, approfondis le lien entre Namy et Mina qui pourraient être un duo vraiment chouette !
- une relecture supplémentaire qui pourra t'éviter quelques petites fautes de français, ce qui rendra la lecture plus agréable encore
- enfin, pour les Récits d'Invention, l'aspect communautaire qui est pour moi la plus simple des améliorations ; n'hésite pas à glisser dans ton récit des petites références aux textes des autres participants, tu auras tout gagné !
En tout cas, merci pour ta participation (et vive Ouginak ! Comment ça, je ne suis pas impartiale ? ...)
Lilizefou
Ah, Ixchelonia ! C'était inattendu, ça, belle originalité dans le choix ! J'ai pensé à bon nombre de divinités en dehors du panthéon des Douze avant que ne commence cette édition, mais j'avais complètement éclipsé la Déesse-Lune !
Je trouve qu'il y a dans ton récit beaucoup de poésie et de délicatesse, du début à la fin. J'ai l'impression d'un personnage très paisible. Nous ne savons rien de son passé, de ce qui l'a amené à vénérer Ixchelonia, de l'endroit d'où il vient, quelque part ça renforce ce côté un peu "rêve" qui accompagne l'ensemble de ton histoire.
La partie au sommet de la Bossue était très belle, cette façon de concevoir la divinité, de faire un parallèle avec le personnage, avec ce côté "humain", très beau travail ! J'aime aussi ce rappel sur l'intensité que peut prendre la vénération pour un dieu : chacun prie à sa façon, chacun s'implique à la hauteur de son souhait, chacun est libre. Belle mention aussi pour le début parce que cette idée que les cérémonies du choix deviennent moins fréquentes, ça m'a bien plu. Le format du choix a pour le moment été assez peu traité, mais c'est quelque chose qui mériterait d'être développé !
C'était fluide, agréable, tu as fait mention d'autres participations de façon assez régulière, discrète mais présente, bref, il y a vraiment beaucoup de qualités dans ton texte !
Un grand merci pour ta participation !
TurfuuTeam
Bien le bonjour ! Tout d'abord, merci pour ta participation. C'est un sacré duo de personnages que tu nous décris. Et deux divinités à défendre, tu ne t'es pas facilité la tâche ! J'ai souri à la description des personnages, à cette idée du choix d'une divinité qu'on n'aurait pas attendu pour eux. C'est une belle leçon, il faut choisir la divinité qui nous plait et pas celle que les autres pensent faite pour nous !
Attention cependant à ne pas aller trop loin avec les pouvoirs accordés à tes personnages, là on est quand même à un sacré niveau (on s'attaque à des montagnes, carrément !).
Il peut aussi être bon d'inclure quelques références à des participations antérieures à la tienne afin de vraiment entrer dans le cadre communautaire qui caractérise les Récits d'Invention, ça apportera encore à ta participation. Prends garde aussi à quelques coquilles (au niveau de la langue) qu'on retrouve ça et là dans ton texte et qu'une relecture supplémentaire pourrait aider à faire disparaitre !
Ceci dit les personnages sont attachants et leur connexion à Mina apporte à l'ensemble de l'imaginaire commun des Piles, et ça, c'est vraiment super !
antophantomhive
Bonjour, avant toute chose merci pour ta participation (il me semble que c'est la première fois que je vois ton pseudonyme pour ce concours, donc bienvenue dans les Récits d'Invention au passage !). Pour le coup, les consignes autour du thème de ces Récits d'Invention sont bien respectée, et pas de soucis au niveau du background du jeu ! Il manque l'aspect communautaire qui consiste à inclure des références à d'autres participations, ou à prendre en compte ce qui s'est passsé avant (le médecin du village a déjà un nom, par exemple, il a été mentionné par quelqu'un avant cela).
Attention aussi aux erreurs de français qui parsèment ton texte, et, plus encore, à la ponctuation. Ta première phrase par exemple, mériterait d'être coupée avec quelques points pour que le rythme soit adapté à l'idée que tu transmets.
Il y a de bonnes pistes dans l'histoire, n'hésite pas à les exploiter : le bouftou du début qui est si vite mis de côté, mais qui pourrait être un bon point de départ pour plein de choses : comment a-t-il été blessé ? Peut-être nous parler de sa blessure un peu plus ? De comment elle le soigne ?
Pareillement avec la visite du médecin chez son patient : n'hésite pas à te détacher de l'aspect "pur" du gameplay dans la description des pouvoirs de l'Eniripsa !
En bref, n'hésite pas à pousser tes idées un peu plus loin, à approfondir, à nous donner un cadre afin de nous permettre de mieux visualiser : décris-nous les décors, les personnages, des émotions, ta participation gagnera immédiatement en qualité !
Vraghdakk
J'ai ri, mais qu'est-ce que j'ai ri ! Urgholl est vraiment un personnage incroyable, et le duo qu'il forme avec Mina fonctionne fabuleusement bien. J'aime énormément la façon que tu as eu d'aborder la foi, une façon très... désabusée ? Lucide ? Je suppose que cela sera à l'interprétation de chacun ! et ce revers plein d'humour face à la foule. Ce rappel que le blasphème ne passe pas forcément dans cet univers (on n'y pense pas toujours, mais oui, qu'est-ce que ça donne, de critiquer une divinité alors que des fidèles sont proches ?). Le tout dans une participation fluide, tartinée de pâtisserie et de cidre, remplie de petites références agréables aux autres participations, que demander de plus franchement ? Un grand grand merci pour cette participation qui me laisse un goût plus qu'agréable en tête !
Xifeng
Quelle douce participation ! Il y avait un peu de tout là-dedans, et chaque fois tes descriptions m'ont permis de pleinement apprécier l'univers, les lieux, les personnages et leurs mimiques. L'arrivée auprès du grand arbre, avec tous ces masques... j'avais une vision presque effrayante, qui s'est un peu accentuée à l'arrivée -apparition devrais-je dire !- de Mad-Nessy. Et qui s'est par la suite dissipée progressivement avec la découverte de ton personnage. Quel plaisir d'en apprendre plus sur ses motivations, sur la voie qu'elle a choisi (et la réflexion sur la pluralité est très intéressante !). Bien joué aussi pour l'introduction de ce questionnement sur la place du culte par rapport à ce que sont les gens !
Et puis par dessus tout ça, bravo pour les inclusions si nombreuses et bien effectuées des participations précédentes, cela nous offre une continuité très appréciable, un ancrage dans cette édition des Récits d'Invention qui est plus que bienvenue ! Chapeau !
limaginaire
Ah, encore une divinité que je n'étais pas certaine de voir venir, bien que nous y ayons pensé au sein du jury ! J'étais très intriguée par les lettres en gras au début des paragraphes, c'était ingénieux !
Je suis moins familière avec ce que peut être la vénération à Shariva mais ce que tu décris correspond à l'idée que je m'en fais à travers ce que j'ai pu lire dans les textes qui en parlent. Je ne me représentais pas forcément la vie aux Piles si ennuyeuse pour Mina, mais en réalité c'est possible qu'en effet, le quotidien d'un petit village ne soit pas non plus ce qu'il y a de plus excitant en dehors des périodes de cérémonie du Choix !
Ton texte se lit bien, les références aux autres participations sont bien là (et ça c'est très chouette !), l'originalité ne manque pas (j'imagine totalement les réactions des habitants par rapport aux différentes tentatives de chamboulement de leur quotidien !). Et puis alors pour le coup, pas d'hésitation, on sent que ton personnage est sûr de son culte, sûr de ce qu'il peut apporter !
Merci pour ta participation, c'était un bon moment de lecture !
minitoast91
Et bien là encore, je dois dire que je me suis tapé une bonne tranche de rigolade en lisant ta participation, merci beaucoup déjà ! L'ambiance est posée, succintement mais efficacement, pas de doute, je suis dans la ruelle avec Mina. Et je me dis "Ah, on a un personnage qui n'est quand même pas hyper charismatique, qu'est-ce que c'est encore que ce vendeur de pacotille à la manque ?". Mais c'était sans compter sur sa tchatche, parce que bon sang il en a, de la tchatche ! Il ne faut pas avoir la langue dans sa poche d'ailleurs, pour démonter les autres cultes tout en mettant le sien en valeur, et pour le coup c'est réussi ! Je ne sais pas si Mina avait les mêmes yeux ronds en l'écoutant que moi en lisant le discours de Korbeil, mais...
Attention aux quelques fautes qui émaillent ton texte et qui peuvent parfois nous faire tiquer, mais dans l'ensemble ton style se lit très bien, c'est sobre et efficace !
Pour moi qui apprécie les Roublards, je suis contente d'avoir eu une participation qui vante leurs... mérites ! Et la fin avait un côté délicieux, avec cet aspect "je-m'en-foustiste" du personnage qui au final n'en a rien à faire du choix de Mina, alors même que depuis plusieurs participations le poids de cette décision pèse sur la jeune fille de façon intensive !
Je souligne aussi avec plaisir que les références sont nombreuses aux autres participations ! Bravo !
Peace4You2
Bonjour et merci pour ta participation -la dernière de cette édition des RI, c'est toujours particulier même pour nous dans le jury ! Concernant ta participation... il y a beaucoup à dire, je pense. Déjà parce qu'il s'y passe un certain nombre de choses, que le personnage (qui n'a pas de nom, en tout cas pour nous, quel mystère !) a beaucoup à dire à la petite Mina. Peut-être trop ? Il m'a semblé parfois me perdre dans toutes ces questions bien mystérieuses. Il y a du bon, les paraboles sont toujours un bon moyen de transmettre quelque chose, donc un bon point pour ça. Le truc c'est que c'est un peu noyé dans tous les mystères que fait ce personnage. Mina est une fillette de douze ans et il est parfois bon d'expliciter un peu plus de choses (et pour nous aussi, ça aurait parfois été pas mal !).
N'hésite pas à relire ton texte une fois de plus, il reste pas mal de fautes d'orthographe qui, accumulées, peuvent sortir le lecteur de ton histoire. Et attention aussi aux incohérences vis-à-vis du background du jeu : un disciple tire en général ses pouvoirs de sa foi envers sa divinité, comme tu l'as d'ailleurs fait comprendre à Mina. Arrêter le temps dans tout une zone comme le fait ton personnage, c'est tout de même un sacré exploit. Alors si ton personnage n'est plus disciple de Xélor, il est un peu étonnant qu'il soit toujours capable d'une telle prouesse... Je note aussi que tu as étendu l'agitation qui imprègne les Piles de Kontouar à... tout le continent, en fait. Certes, l'évènement est d'envergnure comme peut l'être quelque chose qui rompt le quotidien d'un village de campagne, mais de là à aller aussi loin, à devenir une affaire politique...
Par contre j'ai beaucoup aimé cette idée de comptoir à paris tenu par des Enutrofs, j'aurais apprécié que ça serve dans ton histoire tiens ! Une chose est sûre, tu fourmilles d'idées. N'hésite pas à faire un peu de tri avant, à sélectionner et à développer ce que tu auras choisi. Parfois, on n'a pas besoin d'en dire autant, il faut simplement bien transmettre ce que l'on cherche à transmettre !
Je suis ravi que ma participation vous ait plu, et surtout, fait rire ! Comme je suis pas encore tip-top à l'aise pour faire passer les autres émotions, c'est sur ça que je joue pas mal. C'était un petit casse-tête à doser, en fait. J'étais pas sûr que le fait que le lieu soit juste "la place du village, devant la fontaine", soit pas trop décevant, ni que le fait que ça soit juste un dialogue entre deux personnages sans autre intervenant que l'on nomme clairement soit un peu "léger".
"Est-ce que c'est bien malin de faire une critique de la foi ET de faire défendre Sacrieur à Urgholl ?"
"Est-ce que je devrais critiquer plus de cultes ?"
"Est-ce qu'Urgholl devrait essayer de corrompre Mina avec de l'argent, des crêpes, et des substances illicites, se faire attraper par les autorités compétentes et finir sa vie en cavale ?"
J'me suis posé pas mal de questions et surtout j'ai STRESSÉ. Je suis ravi que ça vous plaise au final !
Je tiens à remercier très chaleureusement tous les participants et les commentaires que j'ai lus m'ont beaucoup plu. J'avoue que comme c'est effectivement ma première participation, je n'ai peut-être pas bien compris le principe fondamental de continuité de récits avec les autres participants. Que ces derniers me pardonnent ce manque de connaissance, promis, pour les prochaines fois, je serais beaucoup plus attentif. En tout cas, je tiens à saluer les efforts de toute la communauté et du jury pour le temps qu'ils ont passé à lire, commenter, décortiquer chaque texte.
Au plaisir de tous vous lire de nouveau.
Dofussement Votre
Fhane